Oui, parce que dans le monde animal une proie est d’une autre espèce. Alors que ce terme utilisé dans le monde humain à l’intérieur de l’espèce.
On peut considérer que le terme prédateur est détourné, si on veut.
L’Optimum de Paretto explique bien cela, pour les activités économiques : augmenter le bien-être de certains individus sans réduire celui des autres. Bill Gates, avec Microsoft a fourni au grand public un programme d’exploitation pour que le grand public et les entreprises puissent utiliser des ordinateurs. Il a apporté une plue-value économique (avant qu’il fasse a fondation). Soros est devenu milliardaire en abîmant les monnaies des pays : il n’a apporté aucune plue-value, son activité a été prédatrice.
On est bien d’accord qu’on n’est pas d’accord, mon cher Yoa. Il y a toutes sortes de raisons qui expliquent ce à quoi on est confrontés aujourd’hui. Moi je ne suis pas d’accord avec ce plan totalitaire devant nous et j’explique à quoi il ressemble.
Après, pourquoi nous sommes en désaccord, en partageant à peu près les mêmes infos dessus, je ne sais pas vraiment. Vous dites qu’il y a un prédateur en vous, pour ma part il n’y a rien de ça en moi. Je n’ai pas d’attrait de ni rejet pour le pouvoir, ça dépend comment il est utilisé, mais je l’avais déjà écrit.
ok, mouvement d’humeur. Je sais que cet endroit
n’est plus un "site citoyen de réinformation". Avox en a fait une simple machine à clics avec des proxys pour balancer de l’info
insipide et des trolls entretenus pour tout exciter. Rien ne sert de discuter avec des
nuisibles heureux de montrer qu’ils sont malfaisants (et je n’en fais pas une
question de QI, j’ai passé ce genre de puérilité). J’échange simplement ici sur
ce qui m’intéresse avec ceux, dont vous, qui me permettent d’apprendre et
confronter pour vérifier ce que je pense. Mais je suis de plus en plus pris à
des activités et déplacements, plus utiles pour changer (chez moi) les choses,
d’une part, et qui me préparent pour la suite d’autre part.
Je repasserai, mais ce sera plus ponctuel, surtout sous les articles de Norman dont je partage, en effet, la dénonciation de la "junte" mondialiste totalitaire (l’argent numérique, les injections de saloperies, les autorisations numériques pour vivre et la puce dans le cerveau, ça me concerne).
- Il y a réchauffement continu à tendance croissante de l’air depuis la révolution industrielle et on y ajoute l’accroissement de la pop mondiale.
- Ce sont les terres émergées qui entraînent le réchauffement.
- Il y a montée d’instabilité climatique.
- Certaines régions reverdissent, d’autres se désertifient : Les observations par satellite15 montrent un verdissement de la végétation16 au cours des trois dernières décennies dans certaines
régions d’Asie, d’Europe, d’Amérique du Sud, du centre de l’Amérique du Nord et du sud-ouest de l’Australie. Ce verdissement résulte
à la fois d’un allongement de la saison de croissance, des dépôts d’azote, de la fertilisation par le CO2 * et de la gestion des terres
(degré de confiance élevé). Un brunissement de la végétation18 a été observé dans certaines régions, dont le nord de l’Eurasie, certaines
parties de l’Amérique du Nord, de l’Asie centrale et du bassin du Congo, sous l’effet principalement de stress hydriques (degré de
confiance moyen). À l’échelle mondiale, la superficie des régions touchées par le verdissement excède celle des régions touchées par
le brunissement de la végétation (degré de confiance élevé). * La fertilisation par le CO2
est définie dans ce rapport comme l’intensification de la croissance des végétaux due à l’augmentation de la concentration atmosphérique en dioxyde
de carbone (CO2
). L’ampleur de la fertilisation dépend de la disponibilité en eau et nutriments.
- Il est difficile de distinguer la cause humaine et naturelle tant à l’émission qu’à la captation du carbone. Les terres émergées sont à la fois une source et un puits de CO2
en raison de facteurs anthropiques et naturels, d’où la difficulté
de séparer les flux d’origine anthropique de ceux d’origine naturelle (degré de confiance très élevé). Les modèles globaux estiment
à 5,2 ± 2,6 GtCO2 an-1 (fourchette probable) les émissions nettes de CO2
dues aux usages et aux changements d’affectation des
terres entre 2007 et 2016. Ces émissions nettes sont en grande partie dues à la déforestation, partiellement compensée par le
boisement/reboisement, et aux émissions et absorptions dues à d’autres activités d’usage des terres (degré de confiance très
élevé) (tableau RID.1)23. Il n’y a pas de tendance claire dans les émissions annuelles depuis 1990 (degré de confiance moyen)
(figure RID.1). 1.1, 2.3, tableau 2.2, tableau 2.3
Tout changement de condition des terres25, qu’il soit dû à l’usage des terres ou au changement climatique, a une incidence
sur le climat mondial et régional (degré de confiance élevé). À l’échelle régionale, un changement de condition des terres
peut réduire ou accentuer le réchauffement et affecter l’intensité, la fréquence et la durée des événements extrêmes.
L’ampleur et le sens de ces changements varient selon l’endroit et la saison (degré de confiance élevé). Résumé du
chapitre 2, 2.3, 2.4, 2.5, 3.3
Pour les préconisations elles sont orientées essentiellement sur la gestion durable des terres (lutter contre la désertification, politique forestière, agriculture durable et respectueuse). Le rapport insiste que c’est la gestion durable des terres qui peut permettre de réduire les gaz à effets de serre.
Je remarque : - Il n’y a pas de pass carbone, ni insectes à manger, ni voitures électriques dans les préconisations "aux décideurs", (Klaus ? Ursula ? Manu ?). - On a l’impression d’un "tout ça pour ça", du "scientifik" qui a l’air de ressembler au bon sens : aller planter des forêts dans les zones arides (on sait faire, des résultats spectaculaires en Chine, Jordanie, Californie...), améliorer les pratiques agricoles qui soient fertiles pour les terres, en France embaucher plein de pompiers pour préserver les précieuses forêts et végétaliser les villes (ilots de chaleurs selon le GIEC). Bref, du narratif qu’on n’entend jamais quand ça parle de "lutter contre le changement climatique". - Evidemment, le rapport ne parle pas de Mars, ni de la Lune ni de Saturne. La présence humaine a évidemment une incidence sur le réchauffement. Mais en creux, rien ne dit dans le rapport que c’est le carbone qui chauffe la planète, il manque la confrontation avec le réchauffement du système solaire.