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abolab

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  • Premier article le 30/09/2019
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    abolab 19 octobre 2019 10:17

    @abolab "la convention sur l’interdiction des armes chimiques" (CIAC). 



  • 1 vote
    abolab 19 octobre 2019 10:11

    @sls0 Les armes conventionnelles acheminées par le cabinet de guerre de François Hollande ont manifestement transité par l’Irak, d’après ses propres dires.

    Dès son arrivée au pouvoir en mai 2012, Hollande voulait à tout prix faire tomber Bachar el-Assad, mais face à la multiplicité des forces en présence, entre les djihadistes, les nationalistes musulmans, les nationalistes kurdes, le régime syrien, etc., armer les groupes pro-démocratie minoritaires en Syrie n’était donc pas suffisant pour faire tomber le régime.

    Pour Hollande le seul moyen de faire tomber Assad était donc d’intervenir militairement en Syrie avec l’aval de l’ONU et de participer directement à la guerre.

    Mais comme pour la guerre en Irak, il fallait une bonne raison, une "ligne rouge" à franchir pour que l’ONU accepte un engagement militaire des pays occidentaux en Syrie.

    Et cette ligne rouge avait clairement été définie dès le 27 août 2012 par François Hollande : l’"utilisation d’armes chimiques".

    Comme pour la guerre en Irak, avec le régime Bush, pour provoquer la guerre, il fallait donc que le cabinet de guerre de Hollande provoque sur le terrain le franchissement de cette ligne rouge.

    Vu qu’à l’époque la Syrie n’avait pas signé la convention sur l’interdiction sur les armes chimiques, l’utilisation des armes chimiques en Syrie entrait dans un flou juridique, que Hollande a manifestement utilisé pour provoquer la guerre.

    Quoi donc mieux qu’un véhicule de pompiers officiel, pour faire parvenir en Syrie en toute discrétion, par la route en Europe et ce en passant par la Turquie,

    des armes non conventionnelles, comme des précurseurs chimiques nécessaires à l’élaboration de quelques obus sales, et dont l’utilisation susciterait l’indignation internationale et principalement celle de la France qui pousserait ainsi l’ONU à accepter un engagement militaire afin de faire tomber Assad ?



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    abolab 19 octobre 2019 09:18

    @sls0
     On connaît tous la "grande légitimité scientifique" de l’ANSES, notamment prônée par le gouvernement, et qui recommande des "zones-tampon" de 5 à 10 mètres pour l’utilisation des pesticides dans les champs, alors que de nombreuses études montrent que les pesticides, herbicides, etc se lient aux particules de l’air (15 à 40% des épandages) et peuvent se déplacer sur des milliers de kilomètres, voire même faire le tour de la Terre avec une durée de vie pouvant être supérieure à un mois...

    La convention de Stockholm stipule que tous les produits avec une durée de vie supérieure à deux jours doit être considéré comme un polluant organique persistant (POP) et donc tout doit être fait pour en réduire l’usage, ce que ne font pas les pays qui ont pourtant signé et ratifié cette convention.



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    abolab 19 octobre 2019 09:02

    @sls0
    Evidemment que si les productions sont faites avec des pesticides chimiques ou si les pesticides chimiques sont directement produits dans le coton, on trouvera nécessairement des traces...

    Mais aujourd’hui, en ce qui concerne l’example du glyphosate que vous prenez, nous savons que même des doses très infimes ont des effets toxiques pour les organismes vivants :

    Multiomics reveal non-alcoholic fatty liver disease in rats following chronic exposure to an ultra-low dose of Roundup herbicide, Scientific Reports

    L’arsenic à faible dose (dose naturelle) est protecteur du cancer, tandis qu’à haute dose, il est cancérigène. Mais les molécules industrielles de synthèse et notamment les biocides utilisés en agriculture sont toxiques non seulement à haute dose, mais également à faible dose, tandis que le produit de leur métabolisation par l’organisme peut également avoir des effets toxiques.

    Les normes et VRT sont faites pour permettre aux industries de continuer à utiliser ces produits dangereux. Ce sont des "zones-tampons" conceptuelles agissant comme une barrière légale entre l’industrie et les consommateurs, mais la réalité est que toute dose de produit toxique est toxique, et qu’il n’y a pas de dose sans danger.



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    abolab 19 octobre 2019 08:53

    @Laconicus Je faisais bien sûr référence "la bête immonde" qu’est devenue l’industrie qui dans tous les domaines n’hésite pas à empoisonner les consommateurs pour développer leur profit, avec l’aval et la bienveillance des gouvernements.

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