Covid-19 : Israël va commencer à injecter une quatrième dose à toutes les personnes de plus de 60 ans.
Israël : une quatrième dose de vaccin contre le Covid pour les plus de 60 ans et les soignants.
Le premier ministre Naftali Bennett a déclaré mardi que tous les Israéliens de plus de 60 ans et le personnel médical auront droit à une quatrième dose de vaccin contre le Covid-19, après consultation d’un groupe d’experts.
« Les citoyens d’Israël ont été les premiers au monde à recevoir la troisième dose de vaccin contre le Covid-19, et nous continuons d’être à l’avant-garde avec la quatrième dose », a-t-il dit dans un communiqué diffusé par ses services, appelant ceux qui remplissent ces critères à « aller se faire vacciner ».
Près de 830 cas du variant Omicron ont déjà été détectés en Israël, dont 480 viennent de voyageurs entrés sur le territoire israélien, d’après les autorités.
Plus de 4,1 des 9,3 millions d’habitants d’Israël ont reçu trois doses de vaccins anticoronavirus, le pays vaccinant actuellement les enfants de cinq à 11 ans.
Le pays a ainsi annoncé, plus tôt dans la journée, avoir ajouté les États-Unis et plusieurs autres pays à sa liste rouge d’une cinquantaine d’Etats vers lesquels il est interdit de voyager.
Un épidémiologiste et professeur de santé publique annonce un scénario catastrophe.
Covid : paralysie du pays, restrictions dans l’urgence, le scénario catastrophe d’un épidémiologiste pour janvier.
Alors que le gouvernement opte pour des fêtes de fin d’année sans restriction pour les Français, malgré un variant Omicron de plus en plus virulent, l’épidémiologiste Mahmoud Zureik alerte ce dimanche 19 décembre dans les colonnes du JDD sur un scenario peu réjouissant pour le mois de janvier.
Après des fêtes de fin d’année, conditionnées au seul respect des gestes barrière et à l’annulation des événements rassemblant du public le soir de la Saint-Sylvestre, va-t-on vers un mois de janvier terrible ?
C’est ce que redoute Mahmoud Zureik, l’épidémiologiste et professeur de santé publique, qui répond aux questions du Journal du Dimanche.
"Niveaux de contamination jamais atteints"
Et le scientifique n’est pas vraiment optimiste concernant la suite des événements. Car la transmissibilité du variant Omicron, extrêmement élevée, laisse redouter "des niveaux de contamination jamais atteints", note Mahmoud Zureik. Pour lui, la conséquence d’un variant si rapidement transmissible, c’est que "le système de soins risque d’être sous tension extrême".
Un risque de paralysie du pays ?
À la question de savoir si ce paramètre peut entraîner une "paralysie du pays en janvier", l’épidémiologiste ne ferme pas la porte. Pour lui, cela commencerait par le dilemme des soignants contaminés : s’isoler et risquer qu’ils ne soient plus assez nombreux pour prendre en charge les nombreux patients ou continuer à travailler et risquer de contaminer ces derniers ainsi que leurs collègues.
Mais ce qui pourrait paralyser le pays, c’est "si les métiers en première ligne, comme les caissiers, ne peuvent pas être assurés", explique-t-il.
Omicron risque d’aggraver la vague
Le scientifique rappelle qu’on manque encore de données sur la dangerosité d’Omicron et appelle à recevoir une troisième dose. Pour Mahmoud Zureik, dans l’éventualité "très peu probable" selon lui, que "la sévérité d’Omicron soit deux à trois fois moindres par rapport à Delta", sa transmissibilité fait que le nombre de cas graves sera quand même beaucoup plus élevé qu’actuellement et pour lui "il faut tout faire pour ne pas être infectés tous au même moment".
Et face à ce scénario, l’épidémiologiste juge les mesures annoncées par le gouvernement "très timides" et "pas de nature à pouvoir infléchir la courbe". S’il comprend la lassitude des Français, il rappelle néanmoins que "la vague est bien là et Omicron risque de l’aggraver dangereusement".
Des restrictions annoncées dans l’urgence ?
Alors, pour Mahmoud Zureik, il sera difficile d’y échapper : "Les restrictions qui n’ont pas été adoptées cette semaine, comme le couvre-feu pour le Nouvel-An ou le prolongement des vacances scolaires, risquent d’être annoncées prochainement dans l’urgence". Omicron n’a pas dit son dernier mot semble-t-il.
Un épidémiologiste et professeur de santé publique annonce un scénario catastrophe.
Covid : paralysie du pays, restrictions dans l’urgence, le scénario catastrophe d’un épidémiologiste pour janvier.
Alors que le gouvernement opte pour des fêtes de fin d’année sans restriction pour les Français, malgré un variant Omicron de plus en plus virulent, l’épidémiologiste Mahmoud Zureik alerte ce dimanche 19 décembre dans les colonnes du JDD sur un scenario peu réjouissant pour le mois de janvier.
Après des fêtes de fin d’année, conditionnées au seul respect des gestes barrière et à l’annulation des événements rassemblant du public le soir de la Saint-Sylvestre, va-t-on vers un mois de janvier terrible ?
C’est ce que redoute Mahmoud Zureik, l’épidémiologiste et professeur de santé publique, qui répond aux questions du Journal du Dimanche.
"Niveaux de contamination jamais atteints"
Et le scientifique n’est pas vraiment optimiste concernant la suite des événements. Car la transmissibilité du variant Omicron, extrêmement élevée, laisse redouter "des niveaux de contamination jamais atteints", note Mahmoud Zureik. Pour lui, la conséquence d’un variant si rapidement transmissible, c’est que "le système de soins risque d’être sous tension extrême".
Un risque de paralysie du pays ?
À la question de savoir si ce paramètre peut entraîner une "paralysie du pays en janvier", l’épidémiologiste ne ferme pas la porte. Pour lui, cela commencerait par le dilemme des soignants contaminés : s’isoler et risquer qu’ils ne soient plus assez nombreux pour prendre en charge les nombreux patients ou continuer à travailler et risquer de contaminer ces derniers ainsi que leurs collègues.
Mais ce qui pourrait paralyser le pays, c’est "si les métiers en première ligne, comme les caissiers, ne peuvent pas être assurés", explique-t-il.
Omicron risque d’aggraver la vague
Le scientifique rappelle qu’on manque encore de données sur la dangerosité d’Omicron et appelle à recevoir une troisième dose. Pour Mahmoud Zureik, dans l’éventualité "très peu probable" selon lui, que "la sévérité d’Omicron soit deux à trois fois moindres par rapport à Delta", sa transmissibilité fait que le nombre de cas graves sera quand même beaucoup plus élevé qu’actuellement et pour lui "il faut tout faire pour ne pas être infectés tous au même moment".
Et face à ce scénario, l’épidémiologiste juge les mesures annoncées par le gouvernement "très timides" et "pas de nature à pouvoir infléchir la courbe". S’il comprend la lassitude des Français, il rappelle néanmoins que "la vague est bien là et Omicron risque de l’aggraver dangereusement".
Des restrictions annoncées dans l’urgence ?
Alors, pour Mahmoud Zureik, il sera difficile d’y échapper : "Les restrictions qui n’ont pas été adoptées cette semaine, comme le couvre-feu pour le Nouvel-An ou le prolongement des vacances scolaires, risquent d’être annoncées prochainement dans l’urgence". Omicron n’a pas dit son dernier mot semble-t-il.
Un épidémiologiste et professeur de santé publique annonce un scénario catastrophe.
Covid : paralysie du pays, restrictions dans l’urgence, le scénario catastrophe d’un épidémiologiste pour janvier.
Alors que le gouvernement opte pour des fêtes de fin d’année sans restriction pour les Français, malgré un variant Omicron de plus en plus virulent, l’épidémiologiste Mahmoud Zureik alerte ce dimanche 19 décembre dans les colonnes du JDD sur un scenario peu réjouissant pour le mois de janvier.
Après des fêtes de fin d’année, conditionnées au seul respect des gestes barrière et à l’annulation des événements rassemblant du public le soir de la Saint-Sylvestre, va-t-on vers un mois de janvier terrible ?
C’est ce que redoute Mahmoud Zureik, l’épidémiologiste et professeur de santé publique, qui répond aux questions du Journal du Dimanche.
"Niveaux de contamination jamais atteints"
Et le scientifique n’est pas vraiment optimiste concernant la suite des événements. Car la transmissibilité du variant Omicron, extrêmement élevée, laisse redouter "des niveaux de contamination jamais atteints", note Mahmoud Zureik. Pour lui, la conséquence d’un variant si rapidement transmissible, c’est que "le système de soins risque d’être sous tension extrême".
Un risque de paralysie du pays ?
À la question de savoir si ce paramètre peut entraîner une "paralysie du pays en janvier", l’épidémiologiste ne ferme pas la porte. Pour lui, cela commencerait par le dilemme des soignants contaminés : s’isoler et risquer qu’ils ne soient plus assez nombreux pour prendre en charge les nombreux patients ou continuer à travailler et risquer de contaminer ces derniers ainsi que leurs collègues.
Mais ce qui pourrait paralyser le pays, c’est "si les métiers en première ligne, comme les caissiers, ne peuvent pas être assurés", explique-t-il.
Omicron risque d’aggraver la vague
Le scientifique rappelle qu’on manque encore de données sur la dangerosité d’Omicron et appelle à recevoir une troisième dose. Pour Mahmoud Zureik, dans l’éventualité "très peu probable" selon lui, que "la sévérité d’Omicron soit deux à trois fois moindres par rapport à Delta", sa transmissibilité fait que le nombre de cas graves sera quand même beaucoup plus élevé qu’actuellement et pour lui "il faut tout faire pour ne pas être infectés tous au même moment".
Et face à ce scénario, l’épidémiologiste juge les mesures annoncées par le gouvernement "très timides" et "pas de nature à pouvoir infléchir la courbe". S’il comprend la lassitude des Français, il rappelle néanmoins que "la vague est bien là et Omicron risque de l’aggraver dangereusement".
Des restrictions annoncées dans l’urgence ?
Alors, pour Mahmoud Zureik, il sera difficile d’y échapper : "Les restrictions qui n’ont pas été adoptées cette semaine, comme le couvre-feu pour le Nouvel-An ou le prolongement des vacances scolaires, risquent d’être annoncées prochainement dans l’urgence". Omicron n’a pas dit son dernier mot semble-t-il.
Les Pays-Bas reconfinent jusqu’au vendredi 14 janvier.
Noël confiné. Les Pays-Bas seront placés dès dimanche en "confinement", pour la période des fêtes de Noël, afin de tenter de stopper la cinquième vague de Covid-19 et la forte progression du variant Omicron, a annoncé samedi 18 décembre le Premier ministre néerlandais Mark Rutte.
"Je suis ici ce soir d’humeur sombre. Pour le résumer en une phrase, les Pays-Bas vont retourner au confinement à partir de demain", a-t-il déclaré au cours d’une conférence de presse.
"C’est inévitable avec la cinquième vague et avec Omicron qui se répand encore plus vite que nous ne l’avions craint. Nous devons intervenir maintenant par précaution", a poursuivi le Premier ministre.
Tous les magasins non essentiels, restaurants, bars, cinémas, musées et théâtres doivent en conséquence fermer leurs portes de dimanche au 14 janvier, tandis que les écoles doivent garder portes closes au moins jusqu’au 9 janvier.
Le nombre des invités que les gens sont autorisés à recevoir chez eux est parallèlement réduit de quatre à deux, sauf pour le jour de Noël, le 25 décembre.
Le chef de l’équipe néerlandaise de gestion de l’épidémie, Jaap van Dissel, a déclaré pendant la même conférence de presse qu’Omicron dépasserait le variant Delta pour devenir dominant aux Pays-Bas d’ici à la fin de l’année.
Les Pays-Bas reconfinent jusqu’au vendredi 14 janvier.
Noël confiné. Les Pays-Bas seront placés dès dimanche en "confinement", pour la période des fêtes de Noël, afin de tenter de stopper la cinquième vague de Covid-19 et la forte progression du variant Omicron, a annoncé samedi 18 décembre le Premier ministre néerlandais Mark Rutte.
"Je suis ici ce soir d’humeur sombre. Pour le résumer en une phrase, les Pays-Bas vont retourner au confinement à partir de demain", a-t-il déclaré au cours d’une conférence de presse.
"C’est inévitable avec la cinquième vague et avec Omicron qui se répand encore plus vite que nous ne l’avions craint. Nous devons intervenir maintenant par précaution", a poursuivi le Premier ministre.
Tous les magasins non essentiels, restaurants, bars, cinémas, musées et théâtres doivent en conséquence fermer leurs portes de dimanche au 14 janvier, tandis que les écoles doivent garder portes closes au moins jusqu’au 9 janvier.
Le nombre des invités que les gens sont autorisés à recevoir chez eux est parallèlement réduit de quatre à deux, sauf pour le jour de Noël, le 25 décembre.
Le chef de l’équipe néerlandaise de gestion de l’épidémie, Jaap van Dissel, a déclaré pendant la même conférence de presse qu’Omicron dépasserait le variant Delta pour devenir dominant aux Pays-Bas d’ici à la fin de l’année.
Les Pays-Bas reconfinent jusqu’au vendredi 14 janvier.
Noël confiné. Les Pays-Bas seront placés dès dimanche en "confinement", pour la période des fêtes de Noël, afin de tenter de stopper la cinquième vague de Covid-19 et la forte progression du variant Omicron, a annoncé samedi 18 décembre le Premier ministre néerlandais Mark Rutte.
"Je suis ici ce soir d’humeur sombre. Pour le résumer en une phrase, les Pays-Bas vont retourner au confinement à partir de demain", a-t-il déclaré au cours d’une conférence de presse.
"C’est inévitable avec la cinquième vague et avec Omicron qui se répand encore plus vite que nous ne l’avions craint. Nous devons intervenir maintenant par précaution", a poursuivi le Premier ministre.
Tous les magasins non essentiels, restaurants, bars, cinémas, musées et théâtres doivent en conséquence fermer leurs portes de dimanche au 14 janvier, tandis que les écoles doivent garder portes closes au moins jusqu’au 9 janvier.
Le nombre des invités que les gens sont autorisés à recevoir chez eux est parallèlement réduit de quatre à deux, sauf pour le jour de Noël, le 25 décembre.
Le chef de l’équipe néerlandaise de gestion de l’épidémie, Jaap van Dissel, a déclaré pendant la même conférence de presse qu’Omicron dépasserait le variant Delta pour devenir dominant aux Pays-Bas d’ici à la fin de l’année.
Covid-19 : le variant Omicron "se propage à un rythme que nous n’avons jamais vu avec aucun autre variant", alerte l’OMS.
Aucun variant du virus du Covid-19 ne s’est jusqu’à présent propagé aussi rapidement qu’Omicron, a déclaré mardi 14 décembre l’Organisation mondiale de la santé (OMS). En tout, "77 pays ont maintenant signalé des cas d’Omicron, mais la réalité est qu’Omicron se trouve probablement dans la plupart des pays, même s’il n’a pas encore été détecté. Omicron se propage à un rythme que nous n’avons jamais vu avec aucun autre variant", a déclaré le directeur général de l’OMS, Tedros Adhanom Ghebreyesus, lors d’une conférence de presse.
La primaire à droite a été une gigantesque magouille. Valérie Pécresse a fait voter des étrangers en sa faveur : un de ses partisans, membre de la communauté franco-asiatique, a fait adhérer à LR des centaines d’Asiatiques, juste avant la primaire !
Ce sont ces centaines d’Asiatiques qui ont adhéré à LR au tout dernier moment … et qui ont permis la victoire de Valérie Pécresse dans la dernière ligne droite !
Des électeurs étrangers derrière la victoire de Valérie Pécresse.
Pour se qualifier au second tour du congrès LR, Valérie Pécresse avait devancé Michel Barnier, troisième, de 1 209 voix seulement. Plusieurs centaines de ses électeurs ont été amenés par un rabatteur de la communauté franco-asiatique, qui a aussi mobilisé des étrangers. La candidate de droite s’oppose pourtant au droit de vote des étrangers.
La candidate Valérie Pécresse a pu compter sur le soutien d’électeurs étrangers pour remporter le scrutin interne organisé lors du congrès des Républicains (LR), du 1er au 4 décembre, selon des informations de Mediapart.
Ces électeurs, rameutés par un élu francilien de la communauté franco-asiatique, ont pu adhérer au parti dans la dernière ligne droite de la campagne interne, les statuts de LR n’interdisant pas aux étrangers de participer au vote.
La primaire à droite a été une gigantesque magouille. Valérie Pécresse a fait voter des étrangers en sa faveur : un de ses partisans, membre de la communauté franco-asiatique, a fait adhérer à LR des centaines d’Asiatiques, juste avant la primaire !
Ce sont ces centaines d’Asiatiques qui ont adhéré à LR au tout dernier moment … et qui ont permis la victoire de Valérie Pécresse dans la dernière ligne droite !
Des électeurs étrangers derrière la victoire de Valérie Pécresse.
Pour se qualifier au second tour du congrès LR, Valérie Pécresse avait devancé Michel Barnier, troisième, de 1 209 voix seulement. Plusieurs centaines de ses électeurs ont été amenés par un rabatteur de la communauté franco-asiatique, qui a aussi mobilisé des étrangers. La candidate de droite s’oppose pourtant au droit de vote des étrangers.
La candidate Valérie Pécresse a pu compter sur le soutien d’électeurs étrangers pour remporter le scrutin interne organisé lors du congrès des Républicains (LR), du 1er au 4 décembre, selon des informations de Mediapart.
Ces électeurs, rameutés par un élu francilien de la communauté franco-asiatique, ont pu adhérer au parti dans la dernière ligne droite de la campagne interne, les statuts de LR n’interdisant pas aux étrangers de participer au vote.
La primaire à droite a été une gigantesque magouille. Valérie Pécresse a fait voter des étrangers en sa faveur : un de ses partisans, membre de la communauté franco-asiatique, a fait adhérer à LR des centaines d’Asiatiques, juste avant la primaire !
Ce sont ces centaines d’Asiatiques qui ont adhéré à LR au tout dernier moment … et qui ont permis la victoire de Valérie Pécresse dans la dernière ligne droite !
Des électeurs étrangers derrière la victoire de Valérie Pécresse.
Pour se qualifier au second tour du congrès LR, Valérie Pécresse avait devancé Michel Barnier, troisième, de 1 209 voix seulement. Plusieurs centaines de ses électeurs ont été amenés par un rabatteur de la communauté franco-asiatique, qui a aussi mobilisé des étrangers. La candidate de droite s’oppose pourtant au droit de vote des étrangers.
La candidate Valérie Pécresse a pu compter sur le soutien d’électeurs étrangers pour remporter le scrutin interne organisé lors du congrès des Républicains (LR), du 1er au 4 décembre, selon des informations de Mediapart.
Ces électeurs, rameutés par un élu francilien de la communauté franco-asiatique, ont pu adhérer au parti dans la dernière ligne droite de la campagne interne, les statuts de LR n’interdisant pas aux étrangers de participer au vote.
Covid-19 : il y aura une injection tous les cinq mois. Le planning est le suivant :
27 novembre 2021 : pour protéger du variant Delta, injection de la troisième dose pour les Français âgés de 18 ans et plus.
27 avril 2021 : pour protéger du variant Omicron, injection de la quatrième dose pour les Français âgés de 18 ans et plus.
27 septembre 2021 : pour protéger du variant Pi, injection de la cinquième dose pour les Français âgés de 18 ans et plus.
27 février 2022 : pour protéger du variant Rho, injection de la sixième dose pour les Français âgés de 18 ans et plus.
27 juillet 2022 : pour protéger du variant Sigma, injection de la septième dose pour les Français âgés de 18 ans et plus.
27 décembre 2022 : pour protéger du variant Tau, injection de la huitième dose pour les Français âgés de 18 ans et plus.
27 mai 2023 : pour protéger du variant Upsilon, injection de la neuvième dose pour les Français âgés de 18 ans et plus.
27 octobre 2023 : pour protéger du variant Phi, injection de la dixième dose pour les Français âgés de 18 ans et plus.
27 mars 2024 : pour protéger du variant Chi, injection de la onzième dose pour les Français âgés de 18 ans et plus.
27 août 2024 : pour protéger du variant Psi, injection de la douzième dose pour les Français âgés de 18 ans et plus.
27 janvier 2025 : pour protéger du variant Omega, injection de la treizième dose pour les Français âgés de 18 ans et plus.
Fin de l’alphabet grec. Passage à un autre alphabet.
Covid : les industriels des vaccins déstabilisés par le nouveau variant Omicron.
Le nouveau variant Omicron, qualifié de « préoccupant » par l’Organisation mondiale de la santé (OMS), apparu en Afrique du Sud, pourrait tenir en échec les vaccins actuels en raison d’un nombre de mutations record. Pfizer / BioNTech et Moderna s’attaquent au problème.
« On considère que le variant Omicron est un vrai problème. Il est possible que les vaccins soient bien moins efficaces » : le diagnostic de Stéphane Bancel, patron de Moderna est clair, après l’apparition d’un nouveau variant sud-africain du Sars-Cov2 baptisé Omicron, et labellisé par l’Organisation mondiale de la santé (OMS) « variant préoccupant ».
Les vaccins actuels seront insuffisants face à un virus qui n’a plus grand-chose à voir avec celui de Wuhan ayant servi de base à la conception de tous les vaccins actuels.
Ce nouveau variant a, en effet, surpris tous les virologues par l’abondance de ses mutations, huit à dix fois plus nombreuses que celles de ses prédécesseurs, et pour deux tiers, nouvelles ou très rares.
Sur les 50 changements de séquences génétiques identifiés, la protéine Spike en concentre 30, auxquelles s’ajoutent 6 délétions (suppressions) et 3 insertions (ajouts). Rappelons que la protéine Spike est celle qui sert au virus à infecter les cellules. C’est donc elle qui a été choisie comme cible pour tous les vaccins avec comme corollaire une perte d’efficacité inévitable face au nouveau variant Omicron, quelle que soit la technologie utilisée.
Mais s’agissant de mettre au point un vaccin adapté à ce nouveau variant, la technologie à base d’ARN dispose d’un net avantage , celui de la rapidité. Pfizer et Moderna ont d’ailleurs été les seuls à s’exprimer pour l’instant.
« Pfizer et BioNTech se sont préparés il y a plusieurs mois à ajuster leur vaccin en moins de six semaines et à livrer les premières doses en 100 jours » si un variant s’avérait résistant, n’a pas hésité à affirmer un porte-parole du géant américain.
Une affirmation contestée par un concurrent : « développer un nouveau vaccin efficace en cent jours, c’est juste impossible car il faut étudier la manière dont vont se comporter les nouveaux anticorps qu’on va susciter ».
Chez Moderna, pourtant habituellement très optimiste, on est plus prudent. La société estime, dans un communiqué, qu’il lui faudra 60 à 90 jours pour mettre au point un prototype, spécifique du variant Omicron, susceptible d’entrer en test chez l’homme. « Nous avons commencé dès le 24 novembre », précise Stéphane Bancel.
En attendant, il faut faire avec les moyens du bord. Un tiers des mutations d’Omicron étaient déjà présentes sur les variants Alpha, Beta, Gamma ou Delta. Moderna va donc tester les versions de son vaccin mRNA 1273 développées comme rappels, face à l’apparition de ces variants que la société avait finalement renoncé à pousser plus loin.
Il s’agit de deux versions multivalentes mélangeant, pour le 1273.211 les ARNm du virus de Wuhan et du variant Beta et, pour le 1273.213, ceux des variants Beta et Delta. « Ce sera rapide car on a déjà les données cliniques à soumettre aux agences réglementaires » explique Stéphane Bancel.
D’ici là, Moderna propose d’augmenter le dosage du vaccin actuel pour la troisième injection. Il avait été divisé par deux en raison de son fort dosage.
En fait, toute la question est de savoir si le variant Omicron peut supplanter le Delta, actuellement hégémonique en Europe et, si c’est le cas, combien de temps cela prendra. C’est le délai au bout duquel on aura impérativement besoin d’un nouveau vaccin bien adapté.
Covid : les industriels des vaccins déstabilisés par le nouveau variant Omicron.
Le nouveau variant Omicron, qualifié de « préoccupant » par l’Organisation mondiale de la santé (OMS), apparu en Afrique du Sud, pourrait tenir en échec les vaccins actuels en raison d’un nombre de mutations record. Pfizer / BioNTech et Moderna s’attaquent au problème.
« On considère que le variant Omicron est un vrai problème. Il est possible que les vaccins soient bien moins efficaces » : le diagnostic de Stéphane Bancel, patron de Moderna est clair, après l’apparition d’un nouveau variant sud-africain du Sars-Cov2 baptisé Omicron, et labellisé par l’Organisation mondiale de la santé (OMS) « variant préoccupant ».
Les vaccins actuels seront insuffisants face à un virus qui n’a plus grand-chose à voir avec celui de Wuhan ayant servi de base à la conception de tous les vaccins actuels.
Ce nouveau variant a, en effet, surpris tous les virologues par l’abondance de ses mutations, huit à dix fois plus nombreuses que celles de ses prédécesseurs, et pour deux tiers, nouvelles ou très rares.
Sur les 50 changements de séquences génétiques identifiés, la protéine Spike en concentre 30, auxquelles s’ajoutent 6 délétions (suppressions) et 3 insertions (ajouts). Rappelons que la protéine Spike est celle qui sert au virus à infecter les cellules. C’est donc elle qui a été choisie comme cible pour tous les vaccins avec comme corollaire une perte d’efficacité inévitable face au nouveau variant Omicron, quelle que soit la technologie utilisée.
Mais s’agissant de mettre au point un vaccin adapté à ce nouveau variant, la technologie à base d’ARN dispose d’un net avantage , celui de la rapidité. Pfizer et Moderna ont d’ailleurs été les seuls à s’exprimer pour l’instant.
« Pfizer et BioNTech se sont préparés il y a plusieurs mois à ajuster leur vaccin en moins de six semaines et à livrer les premières doses en 100 jours » si un variant s’avérait résistant, n’a pas hésité à affirmer un porte-parole du géant américain.
Une affirmation contestée par un concurrent : « développer un nouveau vaccin efficace en cent jours, c’est juste impossible car il faut étudier la manière dont vont se comporter les nouveaux anticorps qu’on va susciter ».
Chez Moderna, pourtant habituellement très optimiste, on est plus prudent. La société estime, dans un communiqué, qu’il lui faudra 60 à 90 jours pour mettre au point un prototype, spécifique du variant Omicron, susceptible d’entrer en test chez l’homme. « Nous avons commencé dès le 24 novembre », précise Stéphane Bancel.
En attendant, il faut faire avec les moyens du bord. Un tiers des mutations d’Omicron étaient déjà présentes sur les variants Alpha, Beta, Gamma ou Delta. Moderna va donc tester les versions de son vaccin mRNA 1273 développées comme rappels, face à l’apparition de ces variants que la société avait finalement renoncé à pousser plus loin.
Il s’agit de deux versions multivalentes mélangeant, pour le 1273.211 les ARNm du virus de Wuhan et du variant Beta et, pour le 1273.213, ceux des variants Beta et Delta. « Ce sera rapide car on a déjà les données cliniques à soumettre aux agences réglementaires » explique Stéphane Bancel.
D’ici là, Moderna propose d’augmenter le dosage du vaccin actuel pour la troisième injection. Il avait été divisé par deux en raison de son fort dosage.
En fait, toute la question est de savoir si le variant Omicron peut supplanter le Delta, actuellement hégémonique en Europe et, si c’est le cas, combien de temps cela prendra. C’est le délai au bout duquel on aura impérativement besoin d’un nouveau vaccin bien adapté.
Covid : les industriels des vaccins déstabilisés par le nouveau variant Omicron.
Le nouveau variant Omicron, qualifié de « préoccupant » par l’Organisation mondiale de la santé (OMS), apparu en Afrique du Sud, pourrait tenir en échec les vaccins actuels en raison d’un nombre de mutations record. Pfizer / BioNTech et Moderna s’attaquent au problème.
« On considère que le variant Omicron est un vrai problème. Il est possible que les vaccins soient bien moins efficaces » : le diagnostic de Stéphane Bancel, patron de Moderna est clair, après l’apparition d’un nouveau variant sud-africain du Sars-Cov2 baptisé Omicron, et labellisé par l’Organisation mondiale de la santé (OMS) « variant préoccupant ».
Les vaccins actuels seront insuffisants face à un virus qui n’a plus grand-chose à voir avec celui de Wuhan ayant servi de base à la conception de tous les vaccins actuels.
Ce nouveau variant a, en effet, surpris tous les virologues par l’abondance de ses mutations, huit à dix fois plus nombreuses que celles de ses prédécesseurs, et pour deux tiers, nouvelles ou très rares.
Sur les 50 changements de séquences génétiques identifiés, la protéine Spike en concentre 30, auxquelles s’ajoutent 6 délétions (suppressions) et 3 insertions (ajouts). Rappelons que la protéine Spike est celle qui sert au virus à infecter les cellules. C’est donc elle qui a été choisie comme cible pour tous les vaccins avec comme corollaire une perte d’efficacité inévitable face au nouveau variant Omicron, quelle que soit la technologie utilisée.
Mais s’agissant de mettre au point un vaccin adapté à ce nouveau variant, la technologie à base d’ARN dispose d’un net avantage , celui de la rapidité. Pfizer et Moderna ont d’ailleurs été les seuls à s’exprimer pour l’instant.
« Pfizer et BioNTech se sont préparés il y a plusieurs mois à ajuster leur vaccin en moins de six semaines et à livrer les premières doses en 100 jours » si un variant s’avérait résistant, n’a pas hésité à affirmer un porte-parole du géant américain.
Une affirmation contestée par un concurrent : « développer un nouveau vaccin efficace en cent jours, c’est juste impossible car il faut étudier la manière dont vont se comporter les nouveaux anticorps qu’on va susciter ».
Chez Moderna, pourtant habituellement très optimiste, on est plus prudent. La société estime, dans un communiqué, qu’il lui faudra 60 à 90 jours pour mettre au point un prototype, spécifique du variant Omicron, susceptible d’entrer en test chez l’homme. « Nous avons commencé dès le 24 novembre », précise Stéphane Bancel.
En attendant, il faut faire avec les moyens du bord. Un tiers des mutations d’Omicron étaient déjà présentes sur les variants Alpha, Beta, Gamma ou Delta. Moderna va donc tester les versions de son vaccin mRNA 1273 développées comme rappels, face à l’apparition de ces variants que la société avait finalement renoncé à pousser plus loin.
Il s’agit de deux versions multivalentes mélangeant, pour le 1273.211 les ARNm du virus de Wuhan et du variant Beta et, pour le 1273.213, ceux des variants Beta et Delta. « Ce sera rapide car on a déjà les données cliniques à soumettre aux agences réglementaires » explique Stéphane Bancel.
D’ici là, Moderna propose d’augmenter le dosage du vaccin actuel pour la troisième injection. Il avait été divisé par deux en raison de son fort dosage.
En fait, toute la question est de savoir si le variant Omicron peut supplanter le Delta, actuellement hégémonique en Europe et, si c’est le cas, combien de temps cela prendra. C’est le délai au bout duquel on aura impérativement besoin d’un nouveau vaccin bien adapté.
Covid : les industriels des vaccins déstabilisés par le nouveau variant Omicron.
Le nouveau variant Omicron, qualifié de « préoccupant » par l’Organisation mondiale de la santé (OMS), apparu en Afrique du Sud, pourrait tenir en échec les vaccins actuels en raison d’un nombre de mutations record. Pfizer / BioNTech et Moderna s’attaquent au problème.
« On considère que le variant Omicron est un vrai problème. Il est possible que les vaccins soient bien moins efficaces » : le diagnostic de Stéphane Bancel, patron de Moderna est clair, après l’apparition d’un nouveau variant sud-africain du Sars-Cov2 baptisé Omicron, et labellisé par l’Organisation mondiale de la santé (OMS) « variant préoccupant ».
Les vaccins actuels seront insuffisants face à un virus qui n’a plus grand-chose à voir avec celui de Wuhan ayant servi de base à la conception de tous les vaccins actuels.
Ce nouveau variant a, en effet, surpris tous les virologues par l’abondance de ses mutations, huit à dix fois plus nombreuses que celles de ses prédécesseurs, et pour deux tiers, nouvelles ou très rares.
Sur les 50 changements de séquences génétiques identifiés, la protéine Spike en concentre 30, auxquelles s’ajoutent 6 délétions (suppressions) et 3 insertions (ajouts). Rappelons que la protéine Spike est celle qui sert au virus à infecter les cellules. C’est donc elle qui a été choisie comme cible pour tous les vaccins avec comme corollaire une perte d’efficacité inévitable face au nouveau variant Omicron, quelle que soit la technologie utilisée.
Mais s’agissant de mettre au point un vaccin adapté à ce nouveau variant, la technologie à base d’ARN dispose d’un net avantage , celui de la rapidité. Pfizer et Moderna ont d’ailleurs été les seuls à s’exprimer pour l’instant.
« Pfizer et BioNTech se sont préparés il y a plusieurs mois à ajuster leur vaccin en moins de six semaines et à livrer les premières doses en 100 jours » si un variant s’avérait résistant, n’a pas hésité à affirmer un porte-parole du géant américain.
Une affirmation contestée par un concurrent : « développer un nouveau vaccin efficace en cent jours, c’est juste impossible car il faut étudier la manière dont vont se comporter les nouveaux anticorps qu’on va susciter ».
Chez Moderna, pourtant habituellement très optimiste, on est plus prudent. La société estime, dans un communiqué, qu’il lui faudra 60 à 90 jours pour mettre au point un prototype, spécifique du variant Omicron, susceptible d’entrer en test chez l’homme. « Nous avons commencé dès le 24 novembre », précise Stéphane Bancel.
En attendant, il faut faire avec les moyens du bord. Un tiers des mutations d’Omicron étaient déjà présentes sur les variants Alpha, Beta, Gamma ou Delta. Moderna va donc tester les versions de son vaccin mRNA 1273 développées comme rappels, face à l’apparition de ces variants que la société avait finalement renoncé à pousser plus loin.
Il s’agit de deux versions multivalentes mélangeant, pour le 1273.211 les ARNm du virus de Wuhan et du variant Beta et, pour le 1273.213, ceux des variants Beta et Delta. « Ce sera rapide car on a déjà les données cliniques à soumettre aux agences réglementaires » explique Stéphane Bancel.
D’ici là, Moderna propose d’augmenter le dosage du vaccin actuel pour la troisième injection. Il avait été divisé par deux en raison de son fort dosage.
En fait, toute la question est de savoir si le variant Omicron peut supplanter le Delta, actuellement hégémonique en Europe et, si c’est le cas, combien de temps cela prendra. C’est le délai au bout duquel on aura impérativement besoin d’un nouveau vaccin bien adapté.
Covid-19 : le variant Omicron vient d’arriver aux Pays-Bas.
61 passagers en provenance d’Afrique du Sud, où circule le variant Omicron, ont été testés positifs à leur arrivée à Amsterdam. Les résultats vont être analysés pour déterminer s’il s’agit du variant Omicron, déjà présent sur le sol européen avec un premier cas en Belgique.
En attendant, les passagers ont été placés en quarantaine dans un hôtel proche de l’aéroport d’Amsterdam-Schipol.
Covid-19 : le variant Omicron vient d’arriver aux Pays-Bas.
61 passagers en provenance d’Afrique du Sud, où circule le variant Omicron, ont été testés positifs à leur arrivée à Amsterdam. Les résultats vont être analysés pour déterminer s’il s’agit du variant Omicron, déjà présent sur le sol européen avec un premier cas en Belgique.
En attendant, les passagers ont été placés en quarantaine dans un hôtel proche de l’aéroport d’Amsterdam-Schipol.
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En attendant, les passagers ont été placés en quarantaine dans un hôtel proche de l’aéroport d’Amsterdam-Schipol.
Covid-19 : le nouveau variant « préoccupant » baptisé Omicron par l’OMS.
19 heures. Le variant B.1.1.529 du Covid-19 classé « préoccupant » par l’OMS est baptisé Omicron.
18h10. Les Vingt-Sept pays membres de l’Union Européenne s’accordent pour fermer leurs frontières aux voyageurs en provenance d’Afrique australe. Cette décision a été annoncé à l’instant par la Présidence slovène de l’Union européenne. Plus tôt dans la journée, la présidente de la Commission européenne, Ursula Von der Leyen, avait émis la même recommandation.
17h36. Le nouveau variant du Covid-19 sème la panique sur les marchés du pétrole. Les prix du pétrole étaient en chute libre vendredi, plongeant de 10% par rapport à la clôture de la veille, emportés par le risque que fait peser sur la demande d’or noir le nouveau variant du Covid-19 détecté en Afrique du Sud. Sur les marchés financiers, les bourses du monde entier se sont effondrées aujourd’hui. La bourse de Paris a chuté de 4,75 %.
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