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Les commentaires de poetiste



  • 2 votes
    poetiste 3 mars 2011 19:11

    Les conseilleurs.

     

    Que faire d’un Hortefeux ou l’art d’accommoder les restes d’une politique. Les exécuteurs de basses œuvres n’ont jamais bonne presse, sont-ils de bon conseil ?

    Conseiller du roi, on va encore avoir droit à un durcissement de la répression régression en guise d’argument électoral.

    Et la fin justifiant les moyens, les manœuvres souterraines pour atteindre une extrême droite qui dispose de sondages confortables, pourraient se mettre en place.

    On quitte d’autant plus difficilement le pouvoir que l’on a servi la cause de son clan de nantis au détriment de l’ensemble des Français.

    Et si on prépare une retraite, en cas d’échec, il restera des places fortes :

    Ainsi, dès le 1er Juillet, le président de Médéric cède sa place pour laisser seul aux commandes du groupe, le président de Malakoff : un certain Guillaume Sarkozy. Ce dernier est loin d’être un inconnu : au Medef de 2000 à 2006, il a aussi été le vice-président de la CNAM de 2004 à 2005. Guillaume Sarkozy, comme son nom l’indique, est le frère de Nicolas. 
    Puisque j’évoque la fratrie Sarkozy, intéressons-nous maintenant au troisième larron : François Sarkozy.Pédiatre de formation, François a abandonné la pratique de la médecine pour se consacrer à l’industrie pharmaceutique (principalement orientée vers la gériatrie) depuis 2001. Ainsi, il siège au conseil de surveillance de Bio Alliance Pharma et est devenu le président d’AEC Partners dont une des missions est le conseil aux fonds d’investissement

    Que va devenir Hortefeux ?

    Qui pourrait être inquiet à son sujet ? Il est en de bonnes mains. Non ! Il ne fera jamais les poubelles.

    Les conseilleurs ne sont pas les payeurs et les conseillers vont se payer…notre tête, une fois de plus, puisqu’il n’y a plus d’indignation. A moins que le fascicule de Stéphane Hessel réveille les consciences mais c’est loin d’être gagné.

    Ça ne sent pas encore la démocratie ces temps-ci, il y a de la nouvelle révolution à faire pour la réhabiliter.

     



  • 3 votes
    poetiste 3 mars 2011 09:31

     

     

    Le Français est « raciste ». Voilà une assertion qui demande moult explications et mises au point.

    Qu’est-ce qu’un Français ? En reste-t-il beaucoup de cette race là dans un pays qui de tous temps a absorbé l’immigration pour un meilleur essor ?

    Il y a dans le monde rural un racisme primitif vis-à-vis des populations africaines, un racisme primaire, obsessionnel qui tient plus de l’instinct grégaire animal que de la raison.

    Il y a un racisme urbain que l’on entretient, qui pousse au ghetto et arrange bien une politique sécuritaire. La compétition électoraliste use bien des ces arguments là, à gauche comme à droite.

    Difficile de dissocier ce qui est de la politique, du social et du racisme. Je fais allusion ici au racisme qui s’ignore. Il me semble avoir vu des personnes faisant le tape-cul (la manche sur le trottoir) et d’autres passer sans les voir.

    Le racisme est multiforme ; il est l’horreur de la différence et d’une remise en question personnelle car, si on y réfléchit bien : l’autre a toujours quelque chose de positif à nous apporter. Le racisme est statique dans des idées bien arrêtées.

    La victime du racisme induit aussi le racisme faisant profit du rôle de victime pour se protéger et plus encore.

    Il y a exploitation du racisme tous azimuts en une société qui manque cruellement de liens, de confiance en elle-même. Et l’injustice sociale ne peut donc qu’exacerber le racisme, cette indifférence à la vie de l’autre.

    Il y a le racisme des convictions religieuses aussi quand l’autre est « l’infidèle », celui qui n’a pas rejoint la certitude arbitraire du premier.

    Bref ! Le racisme est une imbécillité qui se nourrit de préjugés et que celui qui croit en être complètement dépourvu jette la première pierre au premier primate mammifère omnivore raciste qu’il rencontrera, homme comme lui.

    Le racisme est d’autant plus idiot qu’il n’y a qu’une race d’hommes et que ce sont les hommes qui se donnent une autre identité que celle-là pour pouvoir trouver matière au racisme. La guerre n’a jamais de bon sens, elle n’a que des prétextes.

     



  • 19 votes
    poetiste 3 mars 2011 07:47

    Dieudonné est un excellent humoriste mais quand il parle de religion , il est doublement humoriste à dire n’importe quoi de préférence.
    Il faut prendre l’humour, très drôle et laisser le drôle à ses élucubrations surréalistes en matière de politique et de religion.
    Il est clair qu’il règle un compte avec les sionistes et revendique un droit à l’attention censé être dû aux martyrs. Il va jusqu’au bout pour ça, rien ne l’arrête.
    Plus pathétique que dangereux l’humoriste qui compte sur l’Islam pour défendre les hommes à la peau de couleur noire. Il fait parler de lui, c’est aussi une bonne gâche.
    On a envie de lui dire : mon grand, on t’aime bien comme tu es, n’en rajoute pas. Mais chacun son métier : reste humoriste où tu excelles.
    Bien dommage cette divagation qui voudrait cohabiter avec l’humour. Le sérieux ne lui va pas du tout. Que ses proches le lui disent !



  • 1 vote
    poetiste 2 mars 2011 09:17

    Madame trente cinq heures passe au trente sixième dessous. Elle s’enfonce, elle se noie, elle crie au secours.
    Le syndrome de l’autoritarisme propre aux enseignants avait imposé les 35 heures sans nuances sans aménagements en se substituant aux luttes syndicales.
    Et voilà maintenant le lapsus lingae qui révèle encore un acte manqué, autre histoire de "flou".
    Le vague à l’âme socialiste et les luttes intestines pour le pouvoir au sein de ce parti déconnecté de la base, tout cela ne nous séduit pas vraiment.
    L’esprit fonctionnaire est aux antipodes de l’esprit révolutionnaire qui nous rendrait la dignité.
    La vague socialiste appartient à l’amer ; elle nous déçoit. Pas seulement à cause d’un lapsus qu’il soit lingae ou calami. Calamités, les dissensions au sein de ce parti censé représenter l’espoir du petit peuple.
    Trop de caviar chez les socialistes et c’est nous, les petits, les sans grade, qui avons mal au ventre de n’être plus représentés, plus écoutés, plus considérés.



  • 1 vote
    poetiste 1er mars 2011 18:05

    Contradiction.

    Xavier Beauvois a fait un beau film qui a marqué pas mal de gens. Je ne sais pas si vous avez remarqué : personne ne parle à la sortie du film.

    Inutile de s’attarder sur la santé de la poule si l’œuf pondu est hautement comestible.

    Bon pour le film, minable pour son élocution et ses pensées : voici Xavier Beauvois. Il est le seul à ne pas s’être tu à la sortie du film et c’est bien dommage.

    Ses propos sont en contradiction avec son œuvre. Il y a eu des précédents avec Elia Kazan : à l’Est d’Eden, un beau film mais le comportement du personnage, ses délations sont connues.

    Moralité : le film ne reflète pas toujours la mentalité du metteur en scène. Restons objectifs : c’est un film qui interroge, très profond.

    Ne refusons pas de manger l’œuf sous prétexte que la poule est moche.



  • 1 vote
    poetiste 1er mars 2011 08:52

    A la soupe !

     

    Circulez, il n’y a rien à voir, nous dit François Fillon. Il n’y a pas d’affaire Alliot Marie.

    L’église a longtemps caché la pédophilie de certains prêtres, bien minoritaires, il est vrai. Elle a réagi, elle a fait amende honorable, elle s’améliore.

    Les politiques aux commandes de notre belle France voudraient que leurs dysfonctionnements passent inaperçus voire qu’ils soient banalisés.

    Décidément, nous vivons au temps de l’image de marque que l’on croit pouvoir réhabiliter avec quelques proclamations devant les médias.

    Quand on n’est pas à la hauteur d’une mission, on a comme ça une propension à se dédouaner d’une incurie avec quelque parole lapidaire.

    Et ça marche, tant il est vrai que l’attention générale est plus portée vers les paroles que vers les actes qui eux, sont tenus secrets, ne concernant que des intérêts particuliers.

    On demande des comptes aux dirigeants en une Tunisie qui s’indigne de leurs privilèges outrés. En France : circulez, il n’y a rien à voir ! Curieuse conception de la démocratie.

    A faire copain coquin avec des dictatures et proposer « notre » démocratie en exemple, voire l’imposer par la force, voilà où ça nous mène : on devient fuyant, on s’esquive, on ment.

    Indignons-nous ! Résistons ! Dans la jungle, les prédateurs ont toujours raison mais en politique, on peut demander d’autres valeurs, plus morales, plus respectueuses de l’homme, à gauche comme à droite.

    François Fillon dit, grosso modo : laissez-nous faire notre soupe entre nous. Exigeons un droit de regard sur la qualité de cette soupe insipide car tous les Français la consomment et ça ne les arrange pas.

     

     



  • 12 votes
    poetiste 25 février 2011 07:36

    Je ne suis ni juif, ni arabe, ni religieux. Si quelqu’un profère des menaces contre moi, de quoi va-t-il être taxé ?
    On ne saura le mettre dans aucune case particulière de racisme.
    Je ne peux donc jouer avec aucun particularisme pour pouvoir me plaindre et en tirer des avantages.
    Va-t-il falloir que je me donne une étiquette pour avoir droit à l’attention et prétendre au martyre ?
    Voilà bien le paradoxe médiatique : Tous les moyens sont bons pour faire parler de soi, autrement dit : faire parler pour ne rien dire d’intéressant.
    Décollons nos étiquettes identitaires et on parlera de choses sérieuses. Les médias non interactifs ne nous enfumeront plus avec leurs vanités.
    Ce n’est pas comme ça qu’on défend de bonnes valeurs démocratiques et que l’on puisse s’intéresser à ce qui se passe d’autrement plus important au niveau politique, en France et en Afrique.



  • 1 vote
    poetiste 23 février 2011 19:58

    Crainte du fou.

    La paranoïa du pouvoir est une maladie endémique de la nature humaine Et le cas de Kadhafi est particulièrement symptomatique, quasi caricatural.

    Que serait l’histoire sans ce goût exacerbé du pouvoir chez certains individus, prêts à toutes les intrigues pour se donner un rôle important vis-à-vis des autres. Le « tyran » finit par être « repoussant » en la désescalade qui l’entraîne dans l’abjection de cette maladie.

    Kadhafi est un grand malade dans un monde malade. Il va mettre tous les mercenaires à sa disposition ; il a les moyens de les payer.

    Ceci nous amène à réfléchir sur les compromissions des Etats et la recherche de profit sans état d’âme qui est la règle en la mondialisation. Argent égale pouvoir.

    Alors, que se passe-t-il dans ce cas ? Une richesse va changer de mains, c’est tout. La stratégie des pays riches n’est pas basée sur autre chose que l’équilibre des richesses, donc des pouvoirs.

    Rien à voir avec la Tunisie, révolution à l’instigation des classes instruites, initiées conscientes de l’exploitation qu’elles subissaient.

    Le pire ennemi du tyran, c’est l’enseignement et la culture. Ce qui le conforte, c’est l’obscurantisme. C’est un truisme mais quand même bon de le rappeler.

    Le NET est un instrument révolutionnaire et on peut souhaiter qu’il le reste, qu’il résiste aux censures diverses des pays liberticides.

    La technologie a été dans un premier temps au service des politiques et des médias par des informations unilatérales à prendre ou à laisser. Ce n’est plus le cas aujourd’hui, l’information est interactive. La collusion des médias avec le pouvoir est dénoncée.

    Ce qui se passe en ces pays d’Afrique jusque dans la péninsule arabique, c’est le signe de grands chambardements, de grands changements.

    Le feu est mis, il faut l’entretenir car l’ennemi commun à tous les humains et à la démocratie est bien cette maladie honteuse : la paranoïa du pouvoir, cette illusion qui tue.

    Pensons à la Libye. Kadhafi, pour la répression de son peuple n’a aucun alibi. Mais pas d’hypocrisie, il y a des petits tyranneaux à remettre en question partout dans le monde.

    Le pouvoir n’a jamais été la responsabilité et n’a jamais fait un homme. On espère que tout sera fait pour cesser le carnage, pour arrêter ce malade et ses fils avec qui il a partagé le pouvoir, sa folie.

     

     



  • 1 vote
    poetiste 23 février 2011 14:59

    Démocratie ?

    Il est assez curieux de constater qu’une aspiration à la démocratie émerge dans les pays d’Afrique du Nord quand notre vieille démocratie est en train de faire un grand retour en arrière en concentrant le pouvoir sur une seule personne.

    La réaction de Alliot Marie à propos de la Tunisie n’était pas celle d’une représentante d’une démocratie. On parle de bourde, d’erreur, alors qu’elle était dans la parfaite ligne du gouvernement actuel.

    Notre petit roi, à vouloir prendre en charge toute la politique étrangère sans prendre l’avis des diplomates, est plus responsable que Alliot Marie, de cette bévue. Il corrige en remplaçant le fusible par un autre.

    Autre contraste : Des manifestants musulmans à Paris, brandissent des slogans contre la laïcité et pour le port du voile, ce qui est contraire à toute démarche démocratique.

    Démocratie dans un pays musulman, c’est un peu la quadrature du cercle. Il faudrait l’âme et la culture d’un Ata Turc pour imposer la laïcité et paradoxalement, par la force de l’armée.

    Nous ne montrons pas un bon exemple de démocratie quand politiques et médias présentent Ségolène Royal comme une fantaisiste alors qu’elle prône la participation, peut-être notre seule planche de salut. Seulement voilà, pour participer, il convient d’avoir le courage et la foi de le faire, ne pas être assisté et plaignant.

    Si l’aspiration à la démocratie en ces pays méditerranéens pouvait nous faire améliorer la nôtre avant qu’elle ne se délite complètement, ce serait une très bonne chose.

    Si les joutes électorales stupides qui n’intéressent que les dirigeants des partis, avides de se montrer et prétendants au pouvoir, pouvaient enfin cesser, on pourrait passer du goût du pouvoir à un réel goût pour la responsabilité citoyenne.

    Ils ont la foi des néophytes ces pays qui s’indignent et se révoltent. Vont-ils finir comme nous en une démocratie tyrannie éclatée et désabusée ?

    La révolution qui nous manque, c’est un peu comme de faire durer un couple avec de petites attentions ; faute de le faire nous allons au divorce. Les petites intentions pour la démocratie âgée, c’est de la respecter, de s’indigner de ses travers et surtout de participer.

    Elle est en danger : le populisme d’extrême droite pointe de nouveau sa politique du pire. Allons-nous devoir choisir Sarkosy contre Marine Le Pen au deuxième tour en 2012 ?

    L’électeur devra-t-il toujours être floué du fait de l’inconséquence de nos politiciens ? Voilà une affaire à suivre qui nous laisse l’impression que nous ne contrôlons pas grand-chose.

    Se laisser endormir par les médias, les jeux télévisés, la consommation, la politique sécuritaire, c’est être esclave volontaire. La démocratie mérite mieux que ça, la France aussi.

    Il est assez curieux de constater le fait que le libre-arbitre ait été traité par Saint Augustin, né et mort en ce pays qu’on appelle aujourd’hui l’Algérie.

    Le libre arbitre de la volonté, c’est sans doute pour beaucoup, à réapprendre, chez nous.

     

     



  • 4 votes
    poetiste 23 février 2011 10:04

    Dérive

    Le machisme va bon train en notre douce France quand on assimile le fait d’avoir des testicules au courage, alors que les femmes, en certaines circonstances dramatiques se révèlent bien souvent plus courageuses que les coqs qui parlent de « couilles’, quand justement le coq en a de très petites.

    Ce n’est ne pas tant la vulgarité de tout ramener à ses parties génitales qui est qui est machiste mais de se planquer derrière, sous la ceinture, quand on n’a pas de cervelle, qu’on n’est pas sûr de soi.

    Je me fais jury de l’injure et de la vulgarité et je les condamne toutes les deux : ça gâche le niveau sur agoravox. On ne cache pas comme ça sa sensibilité derrière des choses inesthétiques, c’est masculin au sens le plus stupide.

    Voilà, Messieurs : réservez le sexe pour les bonnes choses où vous êtes attendus attentifs et performants mais ne le mettez pas à toutes les sauces, ce qui tendrait à montrer que vous n’en êtes pas à la hauteur.

    Clara Morgane estime à juste titre Dieudonné : c’est un comique de talent, n’en demandons pas plus. De plus, le côté "X", ce sont les mateurs qui l’entretiennent. Comment dit-on déjà ? Ah ! Oui ! Les cons sots mateurs.



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    poetiste 21 février 2011 22:26

    Gazatouslesétages

    Ce n’est pas faux ce que tu dis : politique draconienne et agressive de l’Allemagne, stabilité en Suède etc..
    Mais nous sommes dans la vague du libéralisme économique européen qui suit le mouvement mondial. Reste à savoir si nous avons la force et la détermination de nous en détacher.
    Je suis plus pessimiste que toi pour cette éventualité. Il est évident que la faisabilité d’une séparation d’avec l’euro est difficilement appréciable.
    Disons que ça reste au niveau des convictions de ce fait.
    Peut-être à cause des politiques bien peu efficientes à gauche comme à droite qui ont plus une conscience de parti qu’une conscience nationale.
    Et à cause de cela la France risque fort de devenir le jardin d’agrément pour riches milliardaires de la planète. Ouelbecque n’a pas tort quand il énonce ça.
    Je ne demande qu’à être optimiste, que la France rayonne, qu’elle soit autonome mais ça ressemble plus au passé qu’à aujourd’hui.
    On reste dans l’expectative. On a un pied dedans et un pied dehors, pas la volonté d’un choix.
    Qui me rendra optimiste à ce sujet ? Pour le reste, je le suis et ne voudrais déprimer personne. L’identité française est riche de savoir-faire. Le système "D" va peut-être revenir à la surface et nous bricoler une voie originale.



  • 1 vote
    poetiste 21 février 2011 21:29

    Pas mal ta réponse
    Je sors le calumet de la paix.



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    poetiste 21 février 2011 17:59

    barre de rire : l’imbécibilité, c’est ton néologisme mais l’imbécillité c’est autre chose. Alors comme ça, les femmes t’aiment bien. Mais est-ce qu’il y a une femme qui t’aime ? Tout est là.
    Tu fais bien de te vanter car, à ce que tu écris, on ne distingue pas le super champion que tu crois être. Oui, vante-toi car au constat de la réalité, tu pourrais tomber dans une déprime profonde.
    Je voudrais te voir face à Zemmour : il te ferait prendre brutalement conscience de ta médiocrité.
    Car écrire sur un forum pour y déverser sa bile, c’est l’exutoire des faibles.
    Tu ne recevras jamais une insulte de moi, je te laisse cette délicatesse.
    Ceci dit, je ne te méprise pas : à chacun son niveau.



  • vote
    poetiste 21 février 2011 13:08

    C’est gentil ce que tu dis ffi

    Je reconnais en toi un homme de paix. Cependant, nous devons aussi avoir une fermeté quand il s’agit de discerner la vérité historique, surtout si la croyance se fait hystérique.
    Vouloir convaincre, c’est aussi vouloir vaincre. Il n’y a de guerre que de religions ou de dogmes menées au profit de quelques uns.
     Les hommes de foi, chrétiens, bouddhistes ou musulmans, ne peuvent se rejoindre que sur ce plan de la foi. Mais la foi n’est pas un mouvement de groupe, elle est personnelle. C’est la "religion" qui relie une certaine catégorie d’hommes qui voudrait rallier tous les autres à sa cause. Une religion prosélyte ne peut prétendre à l’universalité.
    La parabole des aveugles fait bien comprendre cela.
    Quand on aime l’homme, on se fout des préceptes de toutes les religions, ils deviennent accessoires. Charles de Foucault aimait les hommes qui l’entouraient, des musulmans arabes, mais il n’en a converti aucun.
    C’est ça le message de l’universalité ; mettre l’homme au premier plan avec surtout son libre arbitre, sans contrainte religieuse, mais ce n’est pas gagné.



  • 4 votes
    poetiste 21 février 2011 12:33

    Barre de rire
    Quand on a des peaux de saucisson devant les yeux, on ne voit que des peaux de saucisson partout.
    La délicatesse t’est interdite à jamais. Tu méprises les femmes : rien d’étonnant. Je pense que tu n’as jamais écouté une femme.
    Tu ressembles à Zemmour, en ce sens.
    Barre de rire, t’en as pas marre de rire ? Le rire gras n’est pas l’humour, tu le prouves.
    C’est pas des gus comme toi que je rencontre habituellement mais là, sur le net, on prend ce qui vient. Tu ne fais pas partie du meilleur dans le meilleur et le pire, hélas pour toi .
    Si tu pouvais t’en rendre compte, tu serais sauvé, tu serais un homme.
    Mais il y a du chemin à faire !!!



  • 9 votes
    poetiste 21 février 2011 10:16

    En conclusion , entre deux merdes , Zemmour mériterait un brin de considération

    La vulgarité est-elle bien utile ? Ce qui sort de ta bouche doit normalement sortir par un autre orifice.
    Un "brin de considération" !!! Allez, relève encore le menton, la prétention stupide n’a pas de limites, tu peux en rajouter.



  • 8 votes
    poetiste 21 février 2011 10:07

    Décidément, Zemmour a un problème avec les femmes et là, il n’est pas "irénique". (C’est son mot). Il n’a pas compris qu’il y avait une différence irrévocable entre l’homme et la femme.
    Et comme archétype(c’est son mot) d’incompréhension, il nous en montre un exemple flagrant.
    La dialectique Zemmour est un rouleau compresseur qui ne fait pas dans la dentelle, qui ne s’attarde pas aux détails qui révèlent l’essentiel. Bref, Zemmour n’est pas un interlocuteur pour une femme. Déjà, avec Lady Gaga, il n’avait rien compris à sa popularité.
    Imaginons Zemmour président de la République ; il nous ferait regretter Sarkosy. Question égotisme, il peut aussi recevoir un prix.
    Ne lui faisons pas un procès, il est un spectacle à lui tout seul, c’est le but de la manip. C’est de la télé, c’est du cinéma, c’est un jeu virtuel, c’est du jeu (mais pas du pain).
    Les bouffons du peuple servent le roi en anesthésiant le peuple et le roi a les mains libres.
    Ne pas oublier ce détail important.
    Les femmes savent voir le détail qui dit l’essentiel, c’est une autre approche de la réalité et Zemmour reste Zemmour. Allez chercher le tire bouchon !



  • 1 vote
    poetiste 20 février 2011 23:21

    Je ne vais pas passer ma vie en commentaire d’agoravox à justifier une foi,
    Dixit ; Ben Salem
    Eh bien moi, je te dis que ce n’est pas la foi que tu défends mais ton groupe, ton particularisme religieux, ta croyance.
    Car des hommes de foi , il y en a partout et si tu avais conscience de la différence entre foi et religion, tu n’avancerais pas des arguments qui ne sont que de ton particularisme religieux.
    Mais ça, c’est peut-être trop difficile à comprendre, surtout quand on a décidé de ne pas vouloir comprendre.
    Si j’étais musulman, je me poserais la question de savoir pourquoi je défends une identité particulière religieuse plus qu’une identité d’homme et pourquoi je défends si âprement cette identité là.
    Quand on est comme ça sur la défensive c’est que la certitude que l’on se donne est plus pour se rassurer que pour voir la condition humaine en face.
    L’homme de parti non plus, n’a pas de doute de sa conviction politique et se rassemble avec ceux qui lui ressemblent.
    A méditer !



  • vote
    poetiste 20 février 2011 22:58

    @ ffi
    C’est bien dommage de se trouver devant une croyance comme un tatouage de l’âme. Quand la programmation est indélébile, l’interlocuteur n’entend rien, il est sourd. Je te trouve très conciliant.
    Sourate cinq, verset 85 :
    Tu reconnaîtras que ceux qui nourrissent la haine la plus violente contre les fidèles sont les juifs et les idolâtres etc...
    Qui est censé dire ça dans le Coran ? Arès, le dieu de la guerre ? Et ça a été écrit à peu près 120 ans après l’hégire.
    Tu as raison, les paroles de haine sont indéfendables au sein d’une croyance qui se prétendrait universelle. Ce ne sont pas là des paroles d’amour préconisées par Moïse dans les tables de la Loi : "tu aimeras les autres comme toi-même".
    Quand la contradiction est à ce point et qu’elle est défendue, on se trouve devant Ramadan, autant le laisser parler tout seul.



  • vote
    poetiste 20 février 2011 20:18

    Classemoyenne
    Tu as bien peu de moyens
    Je suis obligé de te dire que tu es à côté de la plaque sur toute la ligne. Est-ce que tu as déjà fait une vérification de ton QI ? Est-ce que ça vaut le coup de le faire ?
    A ce stade là, ça craint ! Toi pas comprendre grand chose !
    Alors, moi quitter débat avec toi. OK ?
    Ciao bambino !