extrait 1 « ANALYSE – Des chercheurs, des universitaires, des statisticiens et
quelques journalistes essayent d’alerter la population sur la
« mortalité vaccinale », c’est-à-dire sur les morts provoquées par la
vaccination COVID, qui se chiffrent déjà en milliers de personnes et qui
est aussi accompagnée de centaines de milliers d’effets secondaires
graves dans le monde. Ces personnes qui alertent, trop peu nombreuses si
on considère la gravité de la situation, sont victimes de censure et
les États ainsi que les firmes pharmaceutiques, par la bouche des
médias, nient ou ignorent ces chiffres alors même que ces données sont officielles et accessibles si on fait l’effort de les rechercher (CDC-VAERS, Eudravigilance) et on estime que ces remontées ne représentent qu’environ 10% de la réalité.
»
Extrait 2 :
« ... c’est précisément en se liant à ACE2 que la protéine spike du virus
SARS-CoV2 produit une part significative de l’inflammation que l’on
observe dans le COVID ! Et qui peut conduire au fameux « orage de
cytokines », à la pneumonie et au syndrome de détresse respiratoire
aiguë potentiel (ARDS) avec coagulation et enfin à la mort.
Et c’est cette même protéine spike que l’on demande aux vaccins ARNm
et ADN de produire en grande quantité (incontrôlée) dans notre
organisme ! Avec la même affinité pour le récepteur ACE2, donc capable
de déclencher les mêmes processus inflammatoires que la spike du virus,
ceci étant bien connu dans la littérature scientifique depuis dix ans au
moins et donc aussi par les fabricants de vaccins. »
Le Dr Charles Hoffe, qui pratique dans la communauté de Lytton, en
Colombie-Britannique, déclare : « J’ai 62% de D-dimères élevés chez les
vaccinés, ce qui signifie que les caillots sanguins ne sont pas rares.
Seuls les gros caillots sont rares. Les vaisseaux sont endommagés de
façon définitive, ce qui peut provoquer une extrême fragilité cardiaque
irrémédiable »