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    Étirév 15 juin 2023 09:20

    Les étoiles dans leur course combattent pour l’homme juste.
    (« Chinoiserie »)



  • 3 votes
    Étirév 7 juin 2023 16:52

    Il était une fois la dette
    Depuis longtemps, s’est développé, dans l’ombre, un acteur géopolitique nouveau, anonyme, de nature privé, et de type nomade, donc géographiquement délimités, que nous appellerons « puissances d’argent » que Peter Scott Dale, nomment « État profond », c’est-à-dire celui qui te « la met profond » (désolé pour la grossierté) ; terme à rapprocher néanmoins d’un ancien culte renversé, cause des mauvaises mœurs qui, déjà, à l’époque, régnaient partout, et allaient prospérer...
    Comprendre ce phénomène nouveau (géopolitique pas l’autre !) dans son ampleur, permet de percevoir que ce nouvel acteur géopolitique a, in fine, un seul ennemi mortel : la présence d’États au sens politique du terme, c’est-à-dire d’États souverains. Ainsi, dans le contexte d’un rapport de force et de puissance, les États sont, par construction, les pires ennemis des « puissances d’argent ».
    À ce propos, rappelons que dans un entretien accordé à la revue « Entreprise » (ancêtre de la revue « L’Expansion »), et publié en juillet 1970, Edmond de Rothschild, déclarait : « Le verrou qui doit sauter à présent, c’est la nation ! » (n°775 du 18/07/1970, p.64)
    3 ans plus tard : Arrivé au pouvoir suprême en 1969, après la démission de Charles de Gaulle, Georges Pompidou, ex-employé de la banque Rothschild comme Emmanuel Macron (on constate que le véritable pouvoir n’a guère évolué en 50 ans, ce qui, en définitive, est la seule chose réellement stable dans ce pays), pond la loi du 3 janvier 1973, également appelée « loi Pompidou-Giscard » ou encore « loi Pompidou-Giscard-Rothschild » (reprise, systématisée et aggravée depuis par l’article 123 du TFUE, Traité sur le Fonctionnement de l’Union Européenne), qui modifie les statuts de la Banque de France et donne le coup d’envoi d’une dette qui n’aura de cesse d’augmenter exponentiellement et, ainsi, de vampiriser toutes les richesses nationales produites. Aussi, depuis 1974, plus aucun budget de l’état n’a été à l’équilibre.
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  • 2 votes
    Étirév 7 juin 2023 14:19

    Comme disait Philippe Bouvard : « la Rancune est une maladie qui ne pardonne pas. »



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    Étirév 6 juin 2023 08:53

    « Il faut que l’homme soit extrêmement intelligent pour être à peu près bon. La clef de tous les malheurs des peuples, c’est leur stupidité. Toutes les explications politiques ou économiques ne sont que des ornements littéraires autour de cette stupidité foncière, à peu près incurable et qui ne s’est pas sensiblement amendée depuis les temps historiques. L’humanité ne semble pas menée par la raison, ni même par le sentiment, mais par des forces étrangères et inconnues. Peut-être subit-elle l’influence de certains climats cosmiques, de certaines zones éthériques qu’elle traverse au cours de son voyage dans l’espace et le temps ? Elle n’a en propre que sa stupidité collective qui l’empêche toujours de suivre les avertissements de ceux qui, instinctivement ou intelligemment, entrevoient où ces forces la mènent. » (M. Maeterlinck)



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    Étirév 1er juin 2023 16:23

    J. Evola : Il faut distinguer entre nationalité et nationalisme. Le Moyen Age connut des nationalités, non des nationalismes. La nationalité est une donnée naturelle, qui circonscrit un certain groupe de qualités élémentaires communes, de qualités qui se maintiennent autant dans la différenciation que dans la participation hiérarchique, auxquelles elles ne s’opposent en aucune manière. C’est ainsi qu’au Moyen Age les nationalités s’articulaient en castes, en corps et en ordres ; mais bien que le type du guerrier, du noble, du marchand ou de l’artisan, fût conforme aux caractéristiques de chaque nation, ces organisations représentaient en même temps des unités plus vastes, internationales. D’où la possibilité, pour les membres d’une même caste appartenant à des nations différentes, de se comprendre peut-être mieux que ne le pouvaient, dans certains cas, les membres de deux castes différentes à l’intérieur d’une même nation. Le nationalisme moderne représente le contraire de cette conception. Il se fonde sur une unité qui n’est pas naturelle, mais artificielle et centralisatrice, et dont on éprouva toujours plus le besoin, au fur et à mesure que le sens naturel et sain de la nationalité se perdit et que toute tradition véritable et toute articulation qualitative étant détruite, les individus s’approchèrent de l’état de pure quantité, de simple masse. C’est sur cette masse qu’agit le nationalisme, au moyen de mythes et de suggestions propres à galvaniser, à réveiller des instincts élémentaires, à la flatter par des perspectives chimériques, de privilèges et de puissance. Quelles que soient ses prétentions à se référer à une race ou à une autre, la substance du nationalisme moderne n’est pas un « ethnos », mais un « demos », et son prototype demeure le prototype plébéien suscité par la Révolution française.

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