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    Étirév 23 juin 2023 09:44

    Dans « La Genèse du réel », Bernard de Montréal écrit qu’« Il n’est pas surprenant que l’homme moderne, malgré sa science, soit plus moyenâgeux que l’homme du passé. Comme les dieux n’ont pas été remplacés par sa réalité moderne, l’homme est sans source et sans identité, limité à sa vie matérielle et la mort qui l’achève. »
    Cependant il ajoute que « L’humain plus évolué se dissociera, le temps venu, des idéologies globales et recouvrera son identité. ».
    Le Dieu du macrocosme et le « Dieu » du microcosme.



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    Étirév 23 juin 2023 08:35

    L’histoire de Silvio Berlusconi est bien moins importante (pour l’humanité) que celles d’Arduina et de La Voluspa.
    Arduina est la grande Déesse celtique qui donna son nom à une région de la Gaule-Belgique : la forêt des Ardennes, formant la région nord de Médiomatrice.
    Nous lisons dans l’ouvrage « Origine celtique » de Théophile Cailleux : « Arduenna, surnom de Diane, régnait sur une vaste forêt des Gaulois, les Ardennes, qui gardèrent son nom. Dans les environs du Hélion (la Meuse), la Déesse Arduina avait une chapelle où ses affiliés lui apportaient leur tribut. Sa statue retrouvée nous la montre entre une biche et un chien. Chez les Eburons (pays de Liège), elle était la patronne des chasseurs. »
    Ailleurs, le même auteur dit aussi : « Diana représente souvent les trois fleuves (Meuse, Escaut, Rhin), ce qui la fait appeler Hithye, c’est-à-dire Déesse du Hélion. »
    Donc, c’est Arduina qui est Diane.
    D’autre part, les Bouddhistes ont dans la pagode de Jikadzé (Petit Tibet) sept statues qui toutes s’appellent « Erdeni » (traduction de Arduina).
    Mais elle a bien d’autres surnoms.
    Nous savons maintenant que c’est cette Déesse qui est l’auteur de l’A-vesta, le livre sacré des anciens iraniens, qui la nomme Ardui-Souria-Anaïta.
    « Souria » est un titre qui indique la souveraineté. Il nous reste à chercher la signification du nom d’« Anaïta ».
    Mais, d’abord, un mot sur la localité qui semble avoir été le foyer principal d’où cette lumière a jailli.
    Liège, dont le nom ancien est Lüttich, a été appelée la Ville ardente. Ce surnom semble indiquer qu’elle fut le berceau à Arduina. Rappelons que de Lüttich on a fait Lutèce, devenu Paris.
    « Anaïta » est un surnom qu’il faut écrire en deux mots : Ana-ita. ce dernier vocable étant un diminutif.
    « Ana » signifie ancien ; « Ahne », en langue teutone.
    Ce nom a la même signification que le mot « Edda » qui signifie aïeule.
    Ce n’est pas seulement l’aïeule au point de vue de l’ascendance, c’est la lumière ancienne, la science primitive.
    Le mot « Ary-ana » signifie « Terre d’Ana » (rapprochons « ary » de « aretz », terre en hébreu). Ceci nous fait comprendre que l’opposition des sexes, qui est le fond de l’A-Vesta, est représentée par « Ary-man », la Terre de l’homme, l’obscurité, tandis que « Ary-ana », la Terre ancienne des Déesses, c’est le jour, la lumière.
    (...)
    Nous connaissons la science primitive des Celtes par un poème intitulé la Voluspa, nom qui signifie : Celle qui voit l’universalité des choses.
    Dans l’Edda, l’idée de chute et de rédemption est très longuement développée. La chute, c’est l’orgueil divin (masculin) s’arrogeant d’exorbitants attributs, ceux de la Déesse, et voulant se placer sur une cime inaccessible à l’homme voulant dominer la Fatalité, c’est-à-dire la loi qui régit les sexes et sur laquelle s’appuie le règne des Fatæ (Déesses).
    Le mythe dit : « Les dieux ne pouvaient user légitimement de l’or et furent maudits dès qu’ils se le furent approprié. » On a compris, sans doute, que l’or est un symbole, puisqu’il régit les attributs sexuels. Les dieux, ayant profané l’or sacré, furent maudits, ils moururent ; telle est la faute, la chute. Mais la résurrection viendra quand l’or sera restitué aux Ondines. La femme seule peut sauver l’homme et lui restituer la science (ceci est le sujet de la Tétralogie de Wagner) ; ce qui est or dans un sexe devient plomb vil dans l’autre sexe. C’est sur ce symbolisme incompris qu’on a édifié l’alchimie de la transmutation des métaux.
    L’Edda contient une histoire cosmogonique ; ce qui en reste se trouve maintenant intercalé dans l’Edda Islandorum.
    L’Edda est un poème composé de deux livres, l’un en vers, l’autre en prose (Edda Islandorum, Hæmiæ, 1665). C’est tout ce qui reste d’authentique touchant le culte des anciens druides, dit-on. Ce livre a été écrit pour les glorifier. La première partie date du XIème siècle et est attribuée à un poète islandais. Il fut découvert en 1643. Il chante les exploits des dieux mâles, Odin, Thor, Balder.
    Le nom de ce poème inspire quelques réflexions : pourquoi Is-landorum ?
    « Is » est la divinité primitive chez les Celtes, « land » (terre), « terre des Déesses ».
    Nous retrouvons la racine Is dans « Is-is », « Isthar », « Istacar », « Is-ra-el », « Isa-ac », « Ish-wara », « AIsha ». Dans les langues Scandinaves, « Is » devient « As » (l’un absolu).
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    Étirév 22 juin 2023 09:41

    « Celui qui a été bien guidé, dit le Coran (XVII. 17), l’a été uniquement vers lui-même, et celui qui s’est égaré, s’est égaré uniquement loin de lui. »
    Une légende hindoue narre que dans des temps immémoriaux, tous les hommes étaient dieux. Evidemment, ils usèrent et abusèrent de leur pouvoir. Brahma voyait la situation lui échapper, s’il laissait faire. Il décida d’ôter ce pouvoir divin et de le dissimuler en un endroit où l’homme serait bien en peine de le découvrir. Où trouver cette cachette ? Tous les dieux furent convoqués à un conseil pour résoudre la question. « Enterrons la divinité de l’homme dans la terre », proposa l’un d’eux. « Non ! répondit le maître des dieux, il fera des fouilles et la déterrera. ». Un autre pensa à l’insondable profondeur des océans. « Non ! dit encore Brahma, il viendra un temps où les explorations sous-marines conduiront à la remontée à la surface de ce précieux don. »
    À court d’imagination, les dieux se sentaient impuissants et désemparés. « Nous ne savons que proposer. » L’homme semblait plus inventif qu’eux ! Brahma eut alors un trait de génie : « nous la cacherons au plus profond de lui-même, car c’est bien le seul endroit où il n’aura certainement pas l’idée de pousser ses investigations. »
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    Étirév 20 juin 2023 08:19

    « Faut-il prôner la loi du plus fort ? »
    Il est des gens naïfs qui croient que l’histoire est le récit exact des faits du passé. Ils semblent ignorer que le monde est, depuis longtemps, régi par le mensonge et que le désordre de la société actuelle en est la conséquence.
    A toutes les époques, il y a eu des partis qui, voulant s’emparer d’un pouvoir auquel ils n’avaient pas droit, ont appuyé leurs prétentions sur une idée, un système, une théorie religieuse ou sociale, qu’ils ont propagée par violence, par fraude ou par ruse.
    Depuis plus de 2 500 ans, c’est la force brutale qui assure, à l’homme, une position à laquelle il n’avait pas de droits naturels.



  • 2 votes
    Étirév 16 juin 2023 13:17

    « Macron : traître à la France  »
    Comme beaucoup (voire la quasi intégralité) de ses prédécesseurs, collaborateurs ou homologues, Emmanuel Macron est un « Young Leader ».
    Les programmes « Young Leaders » de la « French-American Foundation », de la « France China Foundation » ou bien les « Young Global Leaders » du Forum Economique Mondial de Klaus Schwab, « Mr Grand reset », sont des programmes de formation des agents de l’oligarchie mondialiste : autrement dit, une formation de traitre (conscient ou pas) à sa Nation.
    Rappelons que le co-fondateur de la « French-American Foundation » est Valery Giscard d’Estaing, à qui on doit aussi, entre autres, la réforme majeure dans le domaine de l’immigration : la mise en place du « regroupement familial », ainsi que la loi du 3 janvier 1973 qui modifie les statuts de la Banque de France et donne le coup d’envoi d’une dette qui n’aura de cesse d’augmenter exponentiellement et, ainsi, de vampiriser toutes les richesses nationales produites.
    Favorisant le cours des choses et agissant dans les divers partis politiques, le jeu des « Young Leaders » au niveau des politiques intérieures nationales, en plus du « diviser pour régner », est :
    À « gauche » on met tout en œuvre pour détruire la famille, l’éducation, l’ordre, en un mot la structure portante d’une société traditionnelle, au nom d’un laïcisme libéral, égalitaire et pacifiste ;
    À « droite », on s’efforce de détruire la petite industrie, l’artisanat, les petites entreprises agricoles, le petit commerce au nom de l’accroissement de la richesse dans la société, du libre-échange, du libéralisme économique ;
    Le « centre » s’emploient à détruire et à effacer dans le cœur du peuple, au nom de l’Humanité, des Droits de l’Homme, de l’écologie et de l’amitié entre les peuples, l’idée et la signification du mot même de Nation, le tout, soutenu par une publicité tapageuse favorisant la transition vers une société multiethnique et multiraciale, voire asexuée, afin d’éradiquer, en Occident, tout ce qui reste d’attachement à la religion, aux traditions qui ont fleuri autour d’elle, aux racines culturelles et historiques d’un peuple.

    Ainsi, nous assistons, périodiquement, à l’« humaine comédie » des élections où le citoyen « souverain », « libre » et « indépendant », vote et s’agite pour la gauche, la droite ou le centre, alors qu’en réalité il baigne à son insu dans les idées massifiantes de cosmopolitisme et dans l’indifférence pour toutes les valeurs, poison qu’il absorbe en doses toujours plus grandes jusqu’à l’engourdissement de son esprit ; pauvre pantin qui se déplace dans le cercle tracé préalablement par des meneurs occultes, avec tout ce que cela comporte, et dont témoigne tragiquement la quotidienneté européenne et même mondiale.
    Voici, ci-dessous, une liste non exhaustive de quelques « Young Leaders » français, d’hier et d’aujourd’hui :
    French-American Foundation : François Hollande, Alain Juppé, Jacques Toubon, Marisol Touraine, Pierre Moscovici, Emmanuel Macron, Édouard Philippe, Najat Vallaud-Belkacem, Cédric Villani, Delphine O, Christine Ockrent, Nicolas Dupont-Aignan, Laurent Wauquiez, Fleur Pellerin, Arnaud Montebourg (et Stéphane Israël son ancien directeur de cabinet devenu PDG d’Arianespace), Laurent Joffrin, Matthieu Pigasse, Denis Olivennes, Anne Lauvergeon, Alain Minc, Nathalie Kosciusko-Morizet, François Léotard, Amélie de Montchalin, Valérie Pécresse, le Lieutenant-Colonel de l’Armée de Terre Erwin Bruder (il a été nommé chevalier de la légion d’honneur à 31 ans).
    France China Foundation : Olivier Véran, Edouard Philippe et Sibyle Veil, PDG de Radio France depuis 2018, et camarade de promotion d’Emmanuel Macron à l’ENA.
    Young Global Leaders du Forum Economique Mondial de Klaus Schwab : Gabriel Attal, Emmanuel Macron, Amélie de Montchalin, Marlène Schiappa et Caroline Malcolm, conseillère auprès du directeur du Centre de politique et d’administration fiscales de l’OCDE.
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