’’La Camorra ou Bella Società Riformata, Società dell’Umirtà, Onorata Società ou encore mafia napolitaine, est une organisation mafieuseitalienneclanique implantée essentiellement à Naples et en Campanie.
À la différence des autres organisations mafieuses italiennes, elle se
caractérise par ses origines urbaines et son absence de hiérarchie.’’
Et je vous signale que je n’ai pas demandé à son auteur le retrait d’un post parce qu’il ne me convenait pas mais parce qu’il était contraire à la loi, et Je n’ai pas utilisé le très anonyme ’’signaler un abus’’.
Je persiste et
signe : Woody Allen n’a pas été condamné, que ça vous plaise ou
non.
L’attitude du procureur est grotesque. Soit les
accusations contre Woody Allen sont crédibles, soit elles ne le sont
pas. Un article US décrit clairement la situation :
<<Mr.
Allen was accused of sexually abusing his daughter last August at Ms.
Farrow’s house in Bridgewater, Conn. Six months ago, a team of
investigators at Yale-New Haven Hospital concluded that no sexual
abuse had taken place but said both Mr. Allen and Ms. Farrow had
disturbed relations with Dylan.Ms. Alter had discounted the report,
saying it was incomplete and inaccurate. Mr. Maco said he had
requested the hospital study, which described Dylan as a dreamy child
who "had difficulty distinguishing fantasy from
reality.">>
Ce week-end, le jury du Festival de Venise remettrait
son Grand Prix au film J’accuse,
récit de l’affaire Dreyfus par le cinéaste franco-polonais
Roman Polanski. Ce dernier n’était toutefois pas présent
à la Mostra pour recevoir son trophée, puisque toujours sous le
coup d’un mandat d’arrêt international émis il y a plus de
quarante ans après que le réalisateur ait été accusé de viol par
Samantha Jane Geimer, âgée de 13 ans au moment des faits.
Depuis, l’affaire n’a cessé de connaître des
rebondissements. En 1993, la jeune femme attaque en justice le
cinéaste ; Polanski est alors condamné à dédommager la jeune
femme de 500 000 dollars et de se soumettre à une clause de
confidentialité. Vingt-six ans plus tard en 2009, le réalisateur
était assigné à résidence à Gstaad pendant plusieurs mois avant
que la justice suisse ne décide finalement de ne pas
l’extrader vers l’Amérique. A sa libération, Polanski
et Samatha Geimer ont alors entamé une correspondance après que le
cinéaste ait adressé à sa victime une lettre d’excuses.
For all those who insult, degrade and use me, who
tweet about my statutory rape as if it is porn, excited to use vulgar
words, excited by your hatred. Congratulations to
Roman. I am
sorry for us both that the level of self serving corruption in the LA
Courts seems never ending https://t.co/SmH0KoOBA5
Dans les heures qui ont suivi le triomphe de Polanski à la
Mostra de Venise, Samantha Jane Geimer a donc publié un message
demandant aux détracteurs du cinéaste d’arrêter de parler en son
nom, "s’excusant" même auprès de ce dernier que "la
corruption qui règne au sein de la cour de justice de Los Angeles"
soit toujours d’actualité.
Rappelons qu’en marge du mouvement plusieurs Me Too, plusieurs
autres femmes ont également accusé Roman Polanski
d’agression sexuelle.
Vous avez écrit :’’Le juif lambda est le
premier à payer les pots cassés par cette "clique" dont
la composition est transversale aux clivages religieux...’’
J’ai écrit : ’’Concernant la ’’communauté juive’’,
vos insinuations sont puantes, à moins que vous ne
précisiez que la clique dont vous parlez n’est pas représentative
de cette communauté, mais cherche à l’instrumentaliser.’’