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herve_hum

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  • Premier article le 06/12/2012
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    herve_hum 17 juillet 2023 16:44

    @wendigo

    La compréhension est réciproque !

    est ce que je fais une trop grande généralité ? Disons que c’est dû à la définition que je donne de la connerie par rapport à la votre.

    Une personne qui ne pense pas par elle même ne se remet elle jamais en question ? Si on s’en tient à la règle, on peut l’affirmer, mais il y a toujours des exceptions.

    Toutefois, je considère que la connerie ne doit pas être confondue avec la naîveté ou la faiblesse d’esprit, dès lors où la personne en as conscience et fait preuve d’humilité, celle de savoir ne pas être capable d’avoir une opinion réfléchie et devoir s’en remettre à autrui.

    Le con, conscient ou pas de se faire manipuler, il continuera à fanfaronner coûte que coûte.



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    herve_hum 17 juillet 2023 15:49

    @fake new gauchiste

    Là encore, l’expérience de Milgram est fondamentalement une absurdité consistant à prouver que le fil à couper le beurre, ben, ça coupe bien le beurre. Ceci, parce que cette expérience est sans cesse répété au quotidien partout dans le monde et depuis le néolithique.

    En effet, le principe d’obéissance à l’autorité est établie depuis l’avènement de la division du travail, c’est à dire, que la conscience de ses actes peut être mise en silence dès lors où elle laisse place à une autre conscience dont on considère qu’elle assume alors les conséquences des actes ordonnés. C’est le cas dans l’expérience, le sujet demande confirmation et attend donc que l’animateur insiste suffisamment pour pouvoir affirmer ensuite que c’est lui qui porte la responsabilité finale de l’acte. Car le sujet n’est pas l’autorité, mais celui qui doit obéir.

    Dans le cas de Milgram, on aurait pu penser qu’il y aurait une plus forte résistance en raison du fait qu’il s’agit d’une expérience et non d’un situation réelle, mais en réalité, les sujets de l’expérience ont été pris dans une forme d’injonction contradictoire, c’est à dire, entre la réalité d’une action et son impossibilité sociale, c’est à dire, risquer d’exécuter une personne dans une expérience médicale, hors condamnation à mort suite à un verdict d’un tribunal reconnu par la société. Autrement dit, certains ont forcément douté de la réalité du choc électrique aux voltages affichées et ont poursuivie l’expérience parce que c’était dans le contrat. C’est ce que doutait Milgram lui même.

    Mais dans une situation réelle, le % de désobéissance ne saurait être supérieur à 1/1000, sans cela, la 1ere guerre mondiale aurait été stoppée au bout d’un an (voir n’aurait pas eut lieu) et ce, de part et d’autres de la frontière. Car s’il y a eut refus d’aller se faire tuer sur le champ de bataille (car il faut sans doute plus de soumission pour aller se faire tuer que pour exécuter un autre), la conséquence a été le peloton d’exécution et où les bourreaux, eux même soldats, fusillaient leur compagnons d’infortune, mais commençaient eux même à résister et menaçaient de désobéir. En vérité, le but de la 1ère et 2ème guerre mondiale a été d’éliminer le plus de citoyens prolétaires qui menaçaient le système bourgeois en leur présentant un ennemi qui la veille encore était leur amis et alliés pour les revendications sociales. En ce sens, la guerre est l’antre de la soumission volontaire totale et le nationalisme le mot magique pour obtenir la soumission quasi absolue et de mettre au placard sa propre conscience (laquelle n’est ni bonne, ni mauvaise en soi).

    En réalité et vérité, la condition de la soumission volontaire repose sur deux fondements qui peuvent êtres convergents ou divergents, c’est à dire, la non responsabilité de l’acte car obéissant à l’ordre de celui qui prend la responsabilité et/ou, d’une menace extérieure nécessitant un chef auquel il faut se soumettre volontairement et dont ce dernier affirmera qu’il est là pour assurer la survie de la communauté et non de l’exploiter à son profit.



  • 1 vote
    herve_hum 17 juillet 2023 14:01

    @charclot

    je ne suis pas ton ennemis et si tu es honnête, tu devra admettre que je n’affirme rien qui ne soit pas argumenté. Bref, ne commence pas à faire du sophisme pour ne pas devoir répondre, car pour l’instant, tes longs commentaires ne répondent pas aux miens, ils éludent !

    Un miracle est un évènement dont la science actuelle ne peut pas donner d’explication rationnelle selon son mode de pensé utilisé. Or, c’est le cas pour les quelques 70 guérisons non expliquées de Lourdes et pour le phénomène solaire et météorologique survenue au moment de l’apparition de la supposée vierge à Fatima. Ce sont des faits avérés et les nier ne changera rien, sauf que pour imposer cette négation tu n’as qu’une seule option, la violence. Ce que tu fais malgré tous tes efforts pour la réduire, car parler de "caca" et d’hypocrite me concernant portant sur le sujet en débat en est la preuve. Car comment peux tu expliquer que le délire collectif ait aussi touché pleinement les journalistes communistes ou anarchistes présent sur le lieu et devant reconnaître la même chose que les croyants ? Sont ils eux même "hypocrite" pour avoir rapporté ce qu’ils ont eux même observé ? Et si pour toi ils auraient dû dire le contraire, que vaut alors le principe anarchique de sincérité ?

    Tu fais l’amalgame entre la religion et les cléricaux. La religion est une question de croyance personnelle qui met chaque croyant face à son Dieu, tandis que le clérical se veut l’intermédiaire pour, au passage, prélever l’impôt et manipuler le croyant sincère afin d’assurer l’impôt et si possible de l’augmenter autant que faire se peut. Sachant que partant du singe (dont parle fakenew) jusqu’à l’humain, c’est l’impôt qui est la preuve de tout pouvoir de domination réel, sans celui-ci, il n’y a pas de pouvoir qui tienne !

    Aujourd’hui, l’oligarchie financière et immobilière fait la preuve de son pouvoir de domination par l’impôt qu’elle peut prélever, car tout profit ou dividende ou intérêt financier (même le livret A) est un impôt prélevé sur le travail d’autrui et la preuve de sa domination sur la société dont les politiciens sont devenues de simples commis. Ici, la confusion consistant à faire croire au petit épargnant ou propriétaire de sa résidence qu’il défend les mêmes intérêts que les ultra riches, de telle sorte qu’un fakenw ou autre Le Glaude peut être un petit épargnant et défendre le système qui permet de l’exploiter aussi facilement et tirer sur ceux qui défendent ses intérêts.

    La politique actuelle étant celle du piège à loup, consistant à enduire de sang un couteau bien aiguisé, afin qu’il se coupe la langue et continue de lécher le couteau qui se nourrit de son propre sang. Et cela fonctionne très bien avec les pauvres d’esprits qui dans l’exemple des rats, seraient ceux qui se font exploiter ou laissé pour compte.



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    herve_hum 17 juillet 2023 13:38

    @fake new gauchiste

    que ce soit en prison , dans un accident de bateau echoue sur une ile deserte , ou dans un pensionat pour mome , a chaque fois le meme schemas apparait .

    Non, c’est factuellement faux, c’est la combinaison de deux éléments qui décideront des rapports entre les individus. Les conditions environnementales d’une part et la personnalité des individus en présence. C’est ce que révèle toutes les observations et expériences faites avec les grands singes. La seule constante étant qu’il s’établira toujours l’édification de règles et de là une hiérarchie. Mais que ces règles et hiérarchie se fondent plus ou moins sur une base éthique ou morale dépend des valeurs éthiques et morales ou encore empathique des individus en présence et de leur capacité à les imposer. Autrement dit, si le plus fort a des valeurs éthiques et l’équité comme base, alors, il imposera ce principe, par contre, si ce dernier est un voleur, exploiteur, alors il imposera aussi son mode de prédation envers ses congénères, du moins, tant que les conditions environnementales le lui permette ou que les autres ne s’associent pas pour soit le remettre à une place inférieure, soit pour l’exclure du groupe. Chose qui peut arriver dans l’autre sens, c’est à dire, où des moins forts se coalisent pour imposer leur prédation et renverser le plus fort avec des valeurs d’équités. Mais il est un fait que de manière disons logique, ce soit le ou les plus agressifs qui finissent pas s’imposer et que pour les empêcher d’imposer leur tyrannie, il faut que les autres s’unissent sur une base éthique de réciprocité et d’équité et que cela ne peut fonctionner qu’à l’intérieur du groupe.

    On retrouve donc quasiment toujours un ou des leaders coopérant ou en confrontation face auxquels les autres devront se situer. Et de la qualité de ce leadership dépendra la survie du groupe. Mais la nécessité d’avoir un ou des leaders existe que face à une menace extérieure, voir une menace intérieure dont on prétend la nécessité de l’extérioriser, donc, de la chasser à l’extérieur. Par contre, il est établie que dans une société d’abondance et sans ennemis extérieur déclaré, la nécessité du chef s’étiole et même n’a plus lieu d’exister. Mais elle subsistera toujours de manière relative, c’est à dire, sur la base d’entrainement pour la réalisation d’objectifs non primaires.

    Pour finir, tu fait l’impasse sur un élément fondamental propre à l’humain, le fait qu’il condense en lui même toutes les natures et comportements observables dans le monde animal. Ceci est un fait de ses capacités cognitives supérieures et qui le place à une échelle causale supérieure (ou inférieure selon le point de vue) et le distingue des autres animaux comme le singe.



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    herve_hum 17 juillet 2023 11:48

    @charclot

    Contester les faits parce qu’ils vous dérangent n’a qu’une seule conséquence, ruiner votre discours et donner à penser en votre propre dogmatisme avec toute la violence que cela implique pour l’imposer et réduire au silence tous ceux qui s’y opposent.

    Car les miracles de Lourdes sont des faits, tout comme ce qui est arrivé à Fatima et dont ceux qui étaient venus là pour dénoncer l’escroquerie ont été obligés de reconnaître les faits.

    Par contre, admettre un fait n’implique pas une seule explication, reste sujet à interprétation. Par exemple, je peux très bien affirmer que ce miracle est le fait de Satan pour tromper les humains ou d’extra terrestres utilisant nos propres croyances pour faire passer un message. Toutefois, ce n’est pas ce que je crois en fonction de la logique suivi, mais je vais pas en parler ici.

    Quand vous écrivez "une volonté d’implication populaire et collective pour constituer un socle d’action et de réflexion solide au niveau local et par extension au niveau de l’ensemble de la collectivité.

    ", dites moi concrètement comment vous faites ? Si vous ne le savez pas, alors, cela n’a aucune valeur réelle !
     
    Car le hic, c’est de savoir comment on passe du niveau local au régional et du régional au global. En effet, mettez donc des communautés restreintes (ayant comme but que de subvenir à leurs besoins primaires) les unes face aux autres et je vous garantie que vous aurez beaucoup plus de risque d’obtenir la compétition entre les unes et les autres plutôt que la coopération. En réalité, ce sont les conditions environnementales qui décideront pour savoir qui de l’esprit de compétition ou de coopération s’imposera. Autrement dit, un danger commun impose la coopération, sans cela, la compétition finira par s’imposer, sauf pour les communautés ayant établies entre elles des lois à respecter, donc, coopérant pour faire respecter ces lois et en compétition pour le reste. A ce sujet le meilleur exemple est la constitution iroquoise, si vous ne connaissez pas, une simple recherche sur internet suffit.

    Ce que je peux vous affirmer sur la base de la logique causale, maître de la réalité, c’est que la coopération est toujours une relation d’intériorité, alors que la compétition est toujours une relation d’extériorité. Quelle soit ponctuelle ou non. Autrement dit, pour que la coopération domine au niveau global, il faut déterminer une relation d’intériorité à ce même niveau, donc, l’universalité de la condition humaine, donc, de la citoyenneté, donc, de la mondialisation au dessus de la nation. Fondé sur le principe de stratification, qui veut que la dernière couche s’appuie sur toutes les couches précédentes et non pas les détruises. Principe actif de la nation française par exemple, qui s’appuie sur les cultures régionales et locales et unies via une culture nationale reconnue par les citoyens à toutes les échelles.

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