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herve_hum

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  • Premier article le 06/12/2012
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Derniers commentaires




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    herve_hum 24 juillet 2023 09:21

    @charclot

    tous tes commentaires font l’impasse ou le déni du fait que, quel que soit le domaine immatériel comme la poésie ou la culture, la logique qu’on peut y mettre relève toujours du principe de réalité et non de l’imaginaire dès l’instant où on veut la partager avec autrui.

    Ceci parce que la réalité est le lieu commun de tous les imaginaires et cela passe toujours par une logique causale qui s’impose à l’imaginaire de chacun, peu importe qu’elle suive ou non les lois de la physique ou matière, car il s’agit d’une forme donnée qui obéit toujours à la définition du principe quand à ses conditions d’existences (lieu commun de tous les imaginaires), qui est son fond.

    Sans cette condition de soumission à la logique causale définie, il n’y a pas de culture commune qui tienne, cela n’a aucun sens. Il y aurait des cultures propre à chacun avec des concordances et des divergences, sans possibilité d’émergence d’une culture commune, sauf en pratiquant la ségrégation en fonction du niveau de convergence et de divergence et qui consiste à partager une même logique causale définissant la culture  commune. Pour lui donner une réalité humaine.

    Tant que tu ne comprendra pas qu’il s’agit de distinguer deux sens contraires d’une même relation causale entre deux pôles, tu ne pourra pas saisir mon raisonnement.

    C’est à dire, entre le sens de l’imaginaire vers la réalité qui veut que l’imaginaire se soumet à la causalité et le sens de la réalité vers l’imaginaire où c’est la causalité qui obéit à la seule volonté exprimé de l’être sans passer par un moyen, mais qui va directement au but. Donc, où les notions d’espace-temps n’existent pas avec des valeurs fixe, mais variable selon la volonté de l’être et lui seul. Mais dont la conséquence directe est l’impossibilité de communiquer avec un autre être lui même lié à son propre imaginaire.

    Bref, l’imaginaire permet de faire toutes les théories, mais ne permet pas d’en choisir une plus qu’une autre, seule la réalité le permet, car c’est sa raison d’existence !

    Tout ce que j’écris est simple et évident en soi, c’est une forme de tautologie ou Lapalissade, mais est un interdit pour le cogito humain normalement formaté et conditionné au mode de pensée actuel.



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    herve_hum 23 juillet 2023 18:42

    @charclot

    Tu ne réponds pas à la question que je t’ai posé, tu élude !

    Mon commentaire précédent réponds déjà au tiens en disant que chacun possède son propre imaginaire, mais te fais surtout remarquer que la réalité, donc dans la rélaité, c’est le lieu où tous les imaginaires se rencontrent, donc, où certains s’imposent et d’autres se soumettent.pour agir sur la matière, lieu commun par lequel l’existence de tout être vivant dépend et est lui même composé.

    Il n’y a pas qu’une seule forme d’intelligence, mais on est parfois réticents à certaines formes, parce que trop épris de l’une dans son imaginaire. C’est ce qui rend si difficile la communication entre toi et moi.

    Lorsqu’on parle de great reset (sujet de l’article) on traite de questions économiques et de son impact sur les questions sociales.

    Il s’agit là d’une réalité relative à l’organisation commune humaine et où les modèles se confrontent.

    Ici, les imaginaires se confrontent au travers de ce qu’on appelle théorie ou modèle économique, comme le capitalisme ou le communisme ou encore l’anarchisme ou le socialisme et leur dérivés "isotopiques".

    Mais force est de constater qu’il y a confrontation parce que dans la réalité, consistant à obéir à des lois communes pour déterminer ce qui fait force de contrainte de la matière, celui qui fait de son imaginaire la force causale de la réalité au niveau supérieur, induit et domine tous les autres imaginaires en orientant leur propre imaginaire dans un sens où ils sont contraint par la réalité, c’est à dire, la détention de la force de coercition (sauf bien entendu en cas de révolte, voir révolution). Ici, la poésie n’entre pas en jeu, cette dernière peut parler de la réalité, même dans les plus sombres aspects de la nature humaine, mais reste du domaine de l’imaginaire.

    C’est simple, mais compliqué à expliquer !

    Bref, t’a toujours pas répondu à ma question de savoir ce qu’il se passe quand tout le monde prend la réalité obéissant à son imaginaire ?
    .



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    herve_hum 21 juillet 2023 19:27

    @charclot

    Tout d’abord, je vais corriger une faute, il ne s’agit pas "d’un puits sans fond", comme je l’écris, mais d’un puits sans fin et dont le fond est disons l’amour et tous ce que cela génère ou dégénère.

    Ensuite, tu m’écris "Sans imagination pas de logique essayes de creuser un peu"

    Je l’ai creusé à un point que tu ne peut pas imaginer et en fait, ce que j’ai écris était dans l’intention que toi... Tu creuse !

    Par exemple, creuser le sens de " l’imaginaire est le propre de chacun où chaque individu en est le maître absolu, où l’amour perdu revient si on le désire et juste en le désirant, même quand il est mort." qui doit être mis en relation (causale) avec la suite, soit "Au contraire, la logique, qui n’a de sens que dans la réalité et non dans l’imaginaire, lieu de tous les possibles, permet seule de sortir de l’enfer actuel"

    Autrement dit, l’imaginaire de chacun QUI PEUT PORTER SUR LA CAUSALITE ou NON, comme pour un conté de fée, superman ou une théorie scientifique empirique ou spéculative, etc. MAIS sont réduits à la causalité des lois physiques dans la réalité. qui est le lieu COMMUN de tous nos imaginaires.

    Maintenant, si chaque imaginaire commande dans la réalité, que se passe t’il donc ?

    Voilà, tu m’as conseillé de creuser, c’est ce que j’ai creusé bien plus profond, là, tu es à la première couche et j’attends de voir ta réponse pour savoir s’il y a lieu de voir la seconde couche !

    Bon, nous parlons toujours d’un grand reset, mais pas celui de l’article, quoique cela induit des conséquences directes sur cette même grande réinitialisation.



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    herve_hum 21 juillet 2023 14:55

    @charclot

    J’ai très bien compris ce que tu écris et l’humain en a rempli des bibliothèques entières et continu d’en remplir chaque jour qui passe et je t’ai déjà dit que je ne parle pas de cela, car c’est un puits sans fond.

    J’écris qu’une passion cela s’éteint si on la transforme en amour qu’on pleure, sans cela, elle se transforme toujours en haine et violence. Mais l’inverse est aussi possible, un amour qu’on pleure peut se transformer en haine et violence lorsqu’on ne supporte pas le départ de l’autre et ce, malgré non pas tant la logique, mais la réalité que l’on accepte pas et où son imaginaire s’impose. Aussi, tu peux noircir des pages et des livres et des bibliothèque, tout sera toujours réduit à cet état de fait, l’absence de l’autre que tu compense par l’écris qui sera une forme de thérapie et de logique pour décharger toute la force émotionnelle de la déchirure.

    La logique repose sur des éléments de bases simples, mais qui deviennent très vite complexe et hyper complexe. Ici, je reste sur les éléments de bases.

    Et non, on ne peut pas toujours regagner un amour perdu et ceux qui le croient sont ceux là même qui finissent par la haine et la violence. Ce que tu peux toujours faire, c’est essayer, essayer encore, sans jamais être certain du résultat, car si tu en es convaincu, c’est que tu considère l’autre comme ton objet, ta "chose" qui doit fatalement finir par venir ou revenir à toi, tel que ton imaginaire le désire.

    Ici, il te manque à comprendre quelque chose d’essentiel, l’imaginaire est le propre de chacun où chaque individu en est le maître absolu, où l’amour perdu revient si on le désire et juste en le désirant, même quand il est mort. Par contre, la réalité est le socle commun de tous les imaginaires et de fait, implique que ce soit la logique CAUSALE seule qui commande en fin de compte et elle seule car si tu veux t’imposer à la logique, c’est que tu réduit tout le champ de la réalité à ton seul imaginaire. Et c’est de cette impossibilité d’imposer son propre imaginaire à celui d’autrui dans la réalité que naît toute la violence et haine de l’autre. POUR LE FAIRE ADVENIR.

    Autrement dit, le monde est un enfer parce que certaines personnes veulent imposer leur propre désir, passion, amour selon leur propre perception du monde aux autres et donc, réduisent leur propre vie à ce que leur seul imaginaire veut. Cela s’appelle la dictature, le totalitarisme ? le capitaliste dominant la collectivité, fondé sur les pulsions humaines de ceux qui ont les capacité à les imposer aux autres.

    Au contraire, la logique, qui n’a de sens que dans la réalité et non dans l’imaginaire, lieu de tous les possibles, permet seule de sortir de l’enfer actuel, car non, l’humanité malgré les apparences de rationalité que laisse croire la technique, n’obéit pas à la logique causale, mais prétend s’imposer à elle, alors que c’est fondamentalement impossible dans l’Univers physique, sauf dans l’imaginaire.

    Sans t’en rendre compte, tu raisonne ici comme un pur capitaliste, alors que je raisonne comme un panarchiste ou pour toi, anarchiste.

    Et pour finir, non, je n’ai aucune condescendance vis à vis de toi, seulement de l’agacement, là aussi comme toi envers moi.

    Si j’avais de la condescendance, mon commentaire aurait tourné court il y a longtemps !



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    herve_hum 21 juillet 2023 09:17

    @charclot

    Je ne doute pas qu’il y ait moult possibilités pour se protéger ou protéger l’autre mais je sais qu’il est des amours impossibles à restreindre et que dont seul le temps calme la douleur..

    Manifestement, tu est incapable de comprendre ce que j’écris sur la différence entre l’amour et la passion.

    Libre à toi de confondre les deux, mais chez moi, l’amour ne peut pas consister à considérer l’autre comme sa propriété ou sa chose et pour qui il est impossible de supporter le départ de l’autre. Ce qui pour toi est de l’amour est pour moi de la passion et qui ne peut se restreindre autrement qu’en acceptant que l’autre puisse choisir d’aller voir ailleurs. On appelle cela "prendre sur soi" et peu importe alors ta souffrance, ce qui m’importe ici, c’est que tu ne la reporte pas sur autrui comme on peut le voir trop souvent avec l’éconduit qui assassine l’autre plutôt que d’accepter de le ou la voir partir. Car si la personne ne peut pas se défaire de son attachement, soit elle se suicide, soit elle tue l’autre, voir les deux.

    Bref, la logique ne peut pas rompre la passion qui nie toute raison et en aucune manière j’écris le contraire, c’est toi et toi seul qui l’écrit. J’écris seulement que la seule manière d’y arriver, c’est d’inverser le sens de l’attachement, donc, qui ne supprime en aucune manière le principe de l’attachement.

    Au vu de nos échange, non, je ne souhaite pas poursuivre la discussion sur d’autres sujets.

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