Rédaction | Depuis | Articles publiés | Commentaires postés | Commentaires reçus |
---|---|---|---|---|
L'inscription | 0 | 45 | 0 | |
1 mois | 0 | 0 | 0 | |
5 jours | 0 | 0 | 0 |
@Gollum
Les statistiques interdisent de penser qu’un univers régit par
des variables aussi différentes que la vitesse de la lumière ou l’évolution des
espèces au moyen de la sélection naturelle se reproduise de façon pérenne par
distribution aléatoire. Quand un " événement " : < le monde est
régit par une distribution aléatoire sans contrôle intelligent > a une
probabilité nulle, son " événement contraire " : < il y a une
cause intelligente ( quelle qu’ elle soit) à l’origine du monde et à sa
perpétuation immuable > à une probabilité de pratiquement 100%. Mais ce ne
sont que des mathématiques bien sûr... reste à trouver des outils plus
performants
Il y a bien longtemps que les " religions monothéistes " ont révélé leurs
limites, ne serait-ce que dans le flou énorme et les contradictions autours de
l’autorité et de l’origine des " textes sacrés ". Mais les vraies
" maudites questions éternelles " ( Dostoïevski) demeurent. "
Pourquoi il y a t-il quelque chose plutôt que rien ?". La fameuse "
objection ontologique " de Leibniz."
Il semble avérer que de considérer une éthique fondamentale qui respecte ce qui vit (avec ou sans créateur) ne peut être que positive, aussi bien pour tous que pour soi, ainsi que pour les petites bêtes " . Oui, à condition que cela soit conforme aux lois immuables de l’univers.
Je ne pense pas que l’homme puisse se résoudre à renoncer à
comprendre ( dans un livre publié il y a environ 20 ans, 3 neurologue
américains essayaient de démontrer, de façon plutôt convaincante, que l’homme
est constitué de telle sorte qu’il doit trouver des réponses aux questions
qu’il se pose, sauf à devenir dingue, c’est pratiquement consubstantiel.(
" Pourquoi "Dieu" ne disparaîtra pas ", quand la science
explique la religion. ed Sully. Peut-être que nous ne prenons pas la bonne
méthode. Descartes recommandait pour avancer dans la connaissance de tout
soumettre au doute et de considérer qu’il fallait au préalable s’affranchir de
ce que nous avions appris. De plus, peut-on considérer qu’il y ait des hommes
plus avancés que d’autres dans ce domaine et dont on pourrait s’inspirer.
Pour ma part, en ce moment, je suis de très près les travaux du docteur
Jean-Jacques Charbonnier qui explore, avec tous le sérieux d’un grand scientifique,
ce que nous apprend l’exploration de la conscience quelque soit les surprises
que cela nous réserve, voire les bouleversement de paradigme.Spinoza disait : « J’entends par Dieu un être
absolument infini, c’est-à-dire une substance constituée par une infinité
d’attributs dont chacun exprime une essence éternelle et infinie. »
Dans le cas de la question qui
nous occupe, : < Quelle est la probabilité qu’un « Créateur »
soit à l’origine du monde et responsable de sa pérennité et la probabilité de
son « événement contraire », tout émerge de rien du tout, (c’est à
dire n’émerge pas du tout mais parvient à nos consciences, elles-mêmes
illusoires et sans réalité signifiante ...)> on peut considérer que
l’ensemble des paramètres qui structurent l’univers et identifiés comme
constants sont les éléments de la distribution aléatoire ( dans le cas ou il
n’y a pas de Créateur) ou du mécano utilisés par le Créateur dans le cas d’un
monde organisé par une intelligence supérieure.
Ces éléments sont très nombreux dans l’univers : la vitesse de la lumière,
de toutes les autres ondes ( il y en a
un nombre infini ) visibles et invisibles,
avec toutes leurs caractéristiques précises 10 puissance 23 chiffres
après la virgule et qui sont les éléments indispensables à la structure du
monde.
On va appeler événement A,
l’hypothèse : « Le monde est issu et organisé par une entité
supérieure avec un shéma parfaitement immuable » et l’événement B,
l’hypothèse :< le monde est le produit d’un hasard, d’une distribution
complètement aléatoire et rien ne peut permettre d’en deviner le résultat à
aucun moment>.
Ces deux événements sont contraires,
c’est à dire que l’addition de leurs deux probabilités fait 100 % ou un (
ce qui est la même chose en statistique).
La probabilité qu’un univers se perpétue de façon aussi harmonieuse et immuable
depuis des milliards d’années sans changer quoique ce soit aux constantes qui
le composent par une distribution aléatoire, c’est à dire régit par un hasard
« absolu » est nulle. Trinh Xuan Thuan, un des plus grands
astrophysiciens contemporains compare cette probabilité à celle qu’un archer
avec un arc suffisamment puissant, lance une flèche depuis la Terre et, sans
viser, atteigne une cible de 10cm de côté en plein centre située au fin fond de
notre univers !
Quand la probabilité d’un
événement est nulle, la probabilité de son événement contraire est certaine,
c’est à dire qu’il n’y a aucune raison logique que ce ne soit pas.
Par conséquent, par le calcul mathématique, on démontre que l’existence de
« Dieu » est certaine.
Je trouve curieux qu’on dise que les vibrations, les ondes, ce n’est pas de la matière, c’est du vide, du rien !
Les vibrations sont des conséquences observables d’un fait ( une explosion, une tape dans l’eau, un claquage de langue qui déforme l’air…) qui déforme un milieu, l’air, l’eau ou un milieu beaucoup plus subtile mais dont on peut quand même observer la déformation.
C’est comme la question commune de savoir si la lumière est ondulatoire ou particulaire. C’est comme comparer des carottes et des chaussettes.
@BlueMan
bonjour Blueman,
je pense aussi que la compréhension de ce sujet dépasse largement les capacités de ceux qui pensent " dans le cadre".
Maintenant je ne ferai pas référence aux Evangiles même si je fût fervent catholique et que, grâce à Dieu j’en suis revenu, mais à la physique quantique qui prouve que tout ce qui existe est vibratoire et que nous sommes traversés, " à l’insu de notre plein gré ", par quantité d’ondes qui pourraient tout à fait avoir la capacité de nous influencer et de stimuler les zones d’audition de notre cerveau et de faire résonner des voix en nous.
Ce que nous percevons de l’enchevêtrement des ondes qui constituent le réel dont nous faisons partie est infime et nous pensons cependant pouvoir comprendre… " Vanité des Vanités…"
Effectivement l’interpellation de Socrate est toujours d’actualité mais le débat tourne souvent au dialogue de sourd car, comme disait Descartes :< Le bon sens est au monde la chose la mieux partagée car chacun s’imagine en être suffisamment pourvu >.
Mon père aurait dit lui :< on ne peut pas faire boire un âne qui n’a pas soif>.
Les Grecs mettent en place les moyens d’échapper au désastre auquel les condamne la " Troïka " et certains trouvent cela insupportable ! Je ne crois pas que Tsipras trahira son peuple et qu’il fera tout pour sortir de la situation dramatique dans laquelle des irresponsables associés à des bandits internationaux ( Goldman Sachs et consorts !) ont plongé ces concitoyens.
Agoravox utilise les technologies du logiciel libre : SPIP, Apache, Ubuntu, PHP, MySQL, CKEditor.
Site hébergé par la Fondation Agoravox
Contact / Mentions légales / Cookies et données personnelles / Charte de modération