méditocrate

A l’insu de mon plein grès... !!! 

Je n’ai pas d’autre solution que de sortir du système économiquement en place. Baisser les cotisations ne changerait pas grand chose, il faudrait compenser les salaires pour que les citoyens cotisent de toute façon de leur côté et l’expérience montre que le pot commun est moins coûteux et plus efficace. L’administration est incontournable dans tout système complexe même si elle doit rester au service de... et non asservir. Par contre la finance est devenue parasitaire avec un contrôle démesuré. Une solution c’est d’arrêter de jouer dans sa cours et de se faire tondre pour recréer son propre environment à côté.

@mmbbb Je ne fais pas d’attaque, je vous fais remarquer que vous commentez un sujet que vous n’avez pas pris la peine d’étudier. Et ce, pour faire passer une forme de manie très courante ici du déclinisme français, 1) vous ne faites que vous plaindre hors on ne peut avancer que lorsqu’on a admis une situation pour la dépasser. 2) vous vous focalisez sur des causes typiques de la doctrine libérale, trop d’état donc trop de règles et trop de taxes, c’est plus possible de travailler en France. Hors ça serait trop long à développer mais cette doctrine, et c’est tout son objectif, évacue toute lecture et critique sociale politique dans la question non plus de quelle société nous voulons construire, pour laisser penser que seul une efficacité maximale des échanges et du commerce serait le chemin du salut. Tout le monde sait aujourd’hui que le jeu est truqué, la concurrence n’est ni libre ni non faussée et que sauf à accepter les salaires du Vietnam les usines ne reviendront pas en France... Donc on a bien un problème avec la dérégulation générale qui ne profite qu’aux multinationales bénéficiant à la fois de la compétition fiscale et salariale entre états. Pour le moment je ne vois que deux possibilités pour continuer à vivre dignement et en relative liberté, soit re-réguler en coopération et non en compétition façon charte de la Havane mais ça demande l’assentiment de tous donc je ne vous fais un dessin, sauf catastrophe mondiale aucune chance. Soit se réorganiser en groupes locaux d’autogestion façon Lip et demerdez-vous avec votre économie financière... ce que sont en train de penser des types comme Onfray et d’autres qui ont compris la corruption du système décisionnaire. Si vous en voyez d’autres... PS : vous comparez dans la hi-fi du marché de haute couture qui est forcément un marché de niche avec du prêt-à-porter, ça n’a pas de sens de vouloir le prix des uns avec le volume des autres, à priori et pourtant je pense que si nos très bon ingénieurs travaillaient sur l’objectif de faire du sur mesure pour tout et pour tous ce serait un facteur de progrès considérable pour la société. Imaginez le médicament personnalisé à vos facteurs biologiques propres, le tissage 3D de vos vêtements en fonction de vos mensurations, besoins thermiques, etc...

@mmbbb

Vous êtes mignon comme tout avec votre pensée à la truelle. Comme votre maître Gave, on croirait un dictaphone, la même arrogance pompeuse, les petites histoires pour appuyer ses propos mais qui ne démontre jamais rien... J’espère qu’un jour vous aurez une pensée autonome. Mais faudra travailler les fondamentaux pour ça, pas juste répéter la doxa libérale du maître  Commencez par écrire Lip correctement pour montrer que vous maîtrisez un peu le sujet. Sachez ensuite que cette société était précurseur en électronique avec une première montre en 56 puis produit la première Quartz française (on fait pire comme société qui stagne). Que le patron ouvre son capital en 1967 à une filiale appartenant au futur groupe swatch qu’il fallait selon vous imiter, qu’il est débarqué en 1970 par ce groupe et que la boîte ferme en 1973. Bref à peu près tout le contraire de votre analyse aveugle mais tellement certaine de cette histoire. Bon après vous aimez la hi-fi, vous pouvez pas être complètement mauvais malgré votre besoin de caricaturer et diminuer vos contradicteurs pour vous affirmer... 

@mmbbb  ? vous devriez quand même commencer par vous renseigner sur un sujet avant d’en parler comme si vous le maîtrisiez (c’est vrais que c’est le fond de commerce de l’escroc Gave qui a l’air d’être une de vos références...)