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TchakTchak

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  • Premier article le 26/01/2024
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  • vote
    TchakTchak 11 décembre 2023 21:13

    @yoananda2

    Bah, dieu, chrétien, christianisme, dieu...
    Je n’ai que faire de votre obsession monomaniaque.
    Vous avez besoin de fabriquer en moi un homme de paille alors que j’ai été le premier, dans nos conversations passées à parler de monisme.
    Votre rebellitude adolescente vous passera et vous gagnerez en sagesse.



  • vote
    TchakTchak 11 décembre 2023 15:38

    Pas le temps de regarder les vidéos, désolé.

    Il y a aussi celle-ci d’Anneke Lucas : qui ne se contente de narrer tout le sordide du sujet, mais aussi comment elle a traversé tout ce qu’elle s’est pris pour faire sa résilience.

    https://www.youtube.com/watch?v=MjWtVDrMXMo



  • vote
    TchakTchak 11 décembre 2023 15:21

    @yoananda2

    (Sinon, c’est vous qui me parlez de christianisme à chacun de vos messages, pas moi. Je préfère mettre ça de côté).



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    TchakTchak 11 décembre 2023 15:19

    @yoananda2
    .

    détrompes toi. Les termites sont pire que nous. 

    Les termites vivent en général en sols durs et secs, on a constaté qu’elles aèrent la terre, ce qui est favorable à la végétation.
    Déjà les modifications animales et végétales se sont toujours ajusté dans la propension biologique (en arrière plan physique) à sa néguentropie, à enrichir le système. Le retour des loups au Canada a fait revenir les poissons dans les rivières (je ne sais plus comment, mais c’était une chaîne alimentaire disparue qui est revenue).
    La biologie est aussi résiliente, inventive. Les cyanobactéries se sont répandues partout dans la soupe primordiale, un peu comme une espèce invasive : un truc qui marche, mais qui est aussi sévèrement dissipatif et commençait à pomper tout le carbone de l’atmosphère. Donc crise. Et la biologie a "inventé" des créatures vivantes consommant les déchets des cyanobactéries : l’oxygène. On retrouve la clé de fonctionnement yin yang : créer son contraire. Bon, la planète aurait pu aussi en rester là, le biologie se terminant dans un cul de sac, mais la néguentropie a cette "magie" d’inventer.

    Oui, les créatures vivantes transforment, mais il y a une différence de nature, plus que de degrés avec l’espèce humaine qui ne rejette pas que du bio, mais autrement difficilement plus périssable (plastiques, perturbateurs endocriniens, déchets nucléaires...). Et les transformations humaines sont d’une autre ampleur que celles des autres animaux. C’est aux humains de se poser la question de leur déchets pour recorréler la néguentropie de l’espèce avec celle de la biosphère.  
    .

    La violence est couteuse, tous les animaux l’évitent autant qu’ils le peuvent. On est tous économes.

    Là, on est d’accord et ce n’est pas une question chrétienne, mais humaine en général.
    .

    Je ne souhaite pas la violence, mais ce n’est pas une question d’intelligence ou de sagesse pour la réduire. C’est d’une part une question d’économie comme je le disais, on préfère tous l’éviter si c’est possible. Mais ce n’est pas toujours nous qui décidons si c’est possible.

    C’est quand même une question de philosophie économique : quelle(s) économie(s) est favorable aussi bien aux humains qu’à la biosphère et laquelle ne peut pas tenir ? Qu’est-ce que la valeur en économie : l’argent ? Le bien produit ? Le patrimoine ? Le mode de production ? La plus-value ? Laquelle ? Derrière la question économique, il y a bien des question de philosophie, et paradigmatiques qui sont sous-tendues. 


  • vote
    TchakTchak 11 décembre 2023 14:17

    @yoananda2

    .

    hophophop, attention, il y a une ambiguïté dans les termes ici car en effet l’entropie est associée au désordre mais nous, humains, nous sommes des structures dissipatives, et nous sommes de la criticalité auto-organisée, et donc à la frontière entre l’ordre et le chaos. La néguentropie du vivant n’existe que parce qu’elle crée un flux permanent d’entropie.

    Un corps biologique est une structure dissipative, oui.

    Mais la créature vivante doit y mettre du sien pour faire durer la vie de ce corps biologique : trouver à manger, boire, s’abriter, optimiser avec ses congénères… La créature vivante qui conduit le corps biologique produit sa néguentropie.

    .

    Il n’y a pas de "stabilisation", c’est tout l’inverse, on est un équilibre dynamique. Il n’y aura jamais de stabilisation (en vertu de la nature des structure dissipatives).

    On est d’accord que l’environnement est toujours dynamique, changeant, reste que la voie (du milieu…) demeure la néguentropie, restabiliser son existence quand la donne change.

    .

    Les bombes, c’est précisément cela : de la création d’entropie. Comme je l’ai dit, la néguentropie des structure dissipatives que nous sommes ne peut se maintenir loin de l’équilibre thermodynamique qu’en créant beaucoup d’entropie. Les bombes sont cette entropie (les bombes, le CO2, etc...)

    Toute violence menace son existence. Après, il y a la violence externe (foudre, prédateur qui nous court après), ou accidentelle (chute d’un arbre, blessure…) la violence au sein d’une groupe (pour avoir la femelle, la meilleure pitance, le meilleur coin). Et aussi le violence biologique : chercher des proies.

    .

    Pour pouvoir construire un hopital, nous devons transformer le monde et créer beaucoup de déchets de toutes sortes. C’est comme ça et pas autrement.

    Tout ce qu’on fait sur terre à un coût, pollue.

    On peut réduire les coûts, utiliser du biodégradable, recycler… La science peut aider...

    .

    D’abord, cette histoire de cerveau reptilien est un mythe.

    Oui, bon, ok : le tronc cérébral qui reste le premier cerveau essentiels aux fonctions métaboliques pour interagir avec l’environnement.

    .

    Il n’y a pas de milieu "artificiel" non plus. Tout milieu est artificiel.

    Si on mettait un humain en slip et qu’on le lâchait en plein milieu de la forêt amazonienne, pas sûr qu’il survivrait, ou alors avec plein de boutons qui grattent, des blessures, des maladies, une sévère diminution de son espérance vie… Un singe, oui, il serait heureux. Un maori, il sait faire. Les humains en général ne vivent plus dans le monde naturel : ils vivent en environnement construit, fabriqué, aménagé, culturel, artificiel. Au point que les humains qui ont terraformé la planète, pas les autres animaux qui sont restés dans le milieu naturel (qu’on leur a laissé...).

    .

    L’atmosphère n’est PAS à l’équilibre chimique, c’est un milieu fabriqué par la vie elle-même, comme nous nous fabriquons nos villes.

    C’est la biosphère, le vivant qui a colonisé la terre, l’eau, l’air. L’ensemble, hors humains, est homéostatique, écosystémique. Les autres planètes, en effet, n’ont pas de biosphère. L’existence biologique tend vers la néguentropie, même si à l’intérieur le fonctionnement est à la destruction et à la régénération.

    .

    Et justement, mon cher, sans aucunement vouloir me montrer insultant, tout ce que tu dis dans notre échange est précisément imprégné de cette vision chrétienne déformée du monde.

    A mon tour, mon cher, je sais que vous n’êtes pas un fragile non plus, votre fixation sur le christianisme ressemble à une crise d’adolescence.

    Si dans un car, ou un café des gens commencent à se battre, la propension est d’intervenir pour arrêter cette violence : pas besoin d’être christiano-humaniste pour ça (sauf s’ils ont des flingues, alors on décampe). Le propension des humains n’est pas de se battre entre eux, mais de coexister afin d’en tirer meilleure néguentropie individuelle et collective. Vous n’allez pas prendre un couteau de cuisine, aller chez le voisin, pour l’éventrer, pousser un cri de T-Rex et dire « la violence, c’est la vie ». Oui, c’est un fait, mais pas une philosophie. La philosophie, c’est comment l’éviter quand on peut. On vit mieux en paix qu’en guerre :oui, dit comme ça, c’est nuche, mais l’inverse est faux, ils vous le diront en Ukraine, à Gaza, au Yemen, au Congo.

    .

    Non, c’est encore faux. En fait, la mort est réservée aux créatures sexuées, mais il y a plein d’organismes (pas tous microbiens) qui sont immortel.

    Oui, bon, le blob, un ver dont j’ai oublié le nom, la question des cellules totipotentes... Mais c’est anecdotique et on est des êtres sexués.

    .

    La néguentropie, c’est la coopération, mais aussi la compétition, à différentes échelles. C’est l’équilibre dynamique entre les deux modes. Il faut les 2. La seule coopération finirait par nous tuer.

    Vous connaissez l’optimum de Pareto : il y a la compétition saine, qui améliore et celle qui détruit. C’est comme la violence, si on précise de quoi on parle quand on parle de compétition, on y voit plus clair, y compris ses angles aveugles et on améliore la néguentropie.

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