ce qui garanti la culture d’un pays, à l’intérieur, c’est la volonté de la faire vivre et vis à vis de l’extérieur, c’est la reconnaissance mutuelle des nations dans leurs frontières d’une part et un échange économique coopératif, constructif d’autre part.
Après, si vous n’êtes pas d’accord avec ce que vous dites, c’est à vous de vous arranger avec les personnes qui habitent votre cerveau.
ce qui garanti la culture d’un pays, à l’intérieur, c’est la volonté de la faire vivre et vis à vis de l’extérieur, c’est la reconnaissance mutuelle des nations dans leurs frontières d’une part et un échange économique coopératif, constructif d’autre part.
Relisez bien ce que vous avez vous-même écrit, car vous expliquez le principe historique du nationalisme, depuis les traités de Westphalie, jusqu’aux 193 nations qui couvrent la planète aujourd’hui.
Si le principe de reconnaissance mutuelle des nations, aux frontières intangibles est reconnu (à moins d’un nouveau tracé convenu entre les 2 nations concernées), sacralisé et défendu, alors il n’y a plus de guerres entre pays. Le peuple qui y vit dedans, à lui de décider s’il y a une race ou plusieurs une ethnie ou plusieurs, s’il y a une ou des religions, ou pas du tout, si c’est multiculturel ou pas. C’est au peuple chez lui de décider l’existence qui lui convient le mieux, en gérant ses conflits, en évitant les conditions d’une guerre civile.
Si vous connaissez meilleur cadre que la nation pour apaiser les relations externes et internes, favorable à l’existence des populations civiles : dites le nous. Si Hitler avait suivi le principe du nationalisme, il n’aurait pas conquis le continent européen. Il n’était donc pas nationaliste, comme on nous appris l’école, mais impérialiste. C’est le bug qu’on a mis dans nos têtes.
Un monde sans nations, c’est 8 milliards d’individus sur la planète, sans cadre organisationnel. Soit c’est la loi de la jungle, soit c’est une organisation mondiale qui gère politiquement et économiquement la population mondiale. Exactement ce qui se prépare avec Davos, Bill Gates et BlackRock & Cie. Ce n’était pas possible avant, car aurait nécessité des administrations bien trop lourdes. C’est possible aujourd’hui avec le numérique. Avec une gouvernance mondiale de 8 milliards d’humains, seule une organisation en top-down est possible. Les dirigeants du monde ont tout pouvoir de décision.