tobor

@pegase
Au contraire, ce serait beaucoup plus spectaculaire de voir cette plume s’écraser direct au sol !

@apero
C’est exact, tu as raison, bien vu, je n’ai jamais vu de match de foot.
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Si tu parles d’un gars qui s’agite devant un écran de retransmission vidéo, ici ils font mine d’être devant un vitrage super balaise, du verre qui laisse observer l’expérience de visu. Leur attitude et les reflets dans la vitre le signifie. Comme il a dit que ce serait "comme dans l’espace", ils nous ont fait l’apesanteur en bonus.
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Nous sommes tout-à-fait aptes à ressentir la pesanteur via nos muscles. On n’estime pas son enfoncement dans le sol pour évaluer le poids d’une pomme.
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Il y a des procédés pour obtenir du 0-G, comme la chute libre.
Si ça marchait dans une chambre-à-vide, le problème serait résolu et ce serait l’attraction n°1 à la kermesse. Ce n’est pas le cas.
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S’il n’y avait rien pour retenir notre masse il n’y aurait aucune raison de tomber dans cette direction. On ne supprime pas la pesanteur en enlevant la chaise, au contraire. Il faudrait supprimer le lieu de l’expérience selon ce que tu décris.
Je ne vois toujours pas ce que vient faire l’apesanteur dans cette expérience (?) ni quelle est la vraie vitesse de chute de cette foutue plume dans le vide (car une plume qui tombe à la vitesse d’un boulet est une chose assez rare...)

.La première vidéo pose problème :
D’abords, malgré les atours scientifiques, il nous dit que cet "environnement" recréé les conditions de l’espace, or pour ce fait, il faudrait aussi supprimer la gravité, ce qui exclurait l’expérience (pas de chute ?).
Ça ne se passera donc pas "comme dans l’espace", c’est un mensonge !
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Ensuite, en fin de chute, notre jeune guide pointe du doigt "Look ! exactly in the same time !" et à l’arrière plan, la chute se déroule au ralenti. Le mouvement du doigt qui pointe vers la scène n’est lui pas ralenti. Or, il n’y a pas de raison que les objets tombent au ralenti ! La pesanteur restant semblable à elle même, moins le frottement de l’air, rend au contraire la chute plus rapide.
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Un soucis scientifique (même en pleine vulgarisation) aurait présenté l’entièreté de la chute en temps réel, puis des ralentis et moments de camaraderie comme bon leur semble. Ici on est devant un montage sensationnaliste qui ne prouve rien !

Quelle sombre ordure ! ... de ceux qui méritaient un lynchage sur la place publique.
Au lieu de ça, il est mort de sa propre mort sans même avoir été traîné dans la boue. Pire, il n’est aux yeux des médias de masse, même pas encore aujourd’hui rangé parmi les pires engeances de l’humanité !
Il garde une reconnaissance scientifique, un institut et son "courant de pensée" est en pleine marche de plus en plus glorieuse et fière reléguant ses détractaires au rang de puritain/es et réacs.
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Depuis, en une lente évolution, la confusion entre "liberté" et "perversion" devient totale.

@Hijack ...
Je n’ai pas plus de raison d’infirmer l’existence de "Dieu" que d’autres de vouloir la prouver. Le fait est qu’il s’agit de "croyance" à ne pas confondre avec le "savoir" et que par là, autant on peut s’y conformer spirituellement et dans ses pratiques pour s’y trouver un équilibre, autant la confrontation idéologique qui en découle avec d’autres croyance est source de tensions et de conflits.
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Pour ce qui est de la "perfection de la nature" qui ne pourrait qu’être l’œuvre d’un "ingénieur absolu", il faut garder à l’esprit que la vie n’a eu cesse de s’adapter à ce monde. La perfection qu’on y trouve n’est pas l’objet d’une nature qui trouve à répondre à chaque besoin vital, transcendantal ou esthétique de l’homme mais bien celle d’une créature qui s’est constituée face à ce qui était disponible en visant au maximum l’adéquation.
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En d’autres termes :
Pour un poisson, le soleil n’est pas rond, sa forme diffuse varie en fonction des remous à la surface. C’est ce que lui offre sa perception de plus lumineux, nourrissant les végétaux pour leur photosynthèse. Peu importe le type d’image qui arrive à leur rétine, elle sera celle de la perfection, le signe de la présence de "ce qu’il faut", ce à quoi on s’est adapté pour en être là où on en est..