Frida

@Soulmanfred

J’aurais dû y penser pour ceux qui ne lisent pas anglais, merci pour le lien.

On vien bien qu’il n’a plus la même assurance, mais il garde une attitude arrogante. Au lieu de répondre tout simplement, il pose des questions, il inverse les rôles.

C’est quand même curieux cet engouement pour les pays où l’islam est une religion d’Etat et la dictature une norme.

C’est un rigolo ce type !

Le décor bien posé, bibliothèque, un ton doctoral et pédagogique...

Mais malheureusement, il suinte le "démago" ; il répète le mot "liberté" comme un mantras. 
C’est cela, il faut chasser des despotes et des truands sanguinaires, et les remplacer par des escrocs estampillés utlralibéralistes. 

D’abord, les chiffres sont fantaisistes. 
Ensuite, il nous parle de l’armada de la bureaucratie. Soit, et la Chine ? elle a bien réussi elle, comment il l’explique. Elle a bien une armada de fonctionnaires, la corromption y également et pourtant, il y a quelque chose qui fait que son modèle la propulse à la deuxième place comme puissance économique, chercher l’erreur.
Par ailleurs, ce n’est pas le nombre de fonctionnaires, mais la corruption encouragée par les poltiques. La réglémentation est un moyen dissuasif et de surveillance de la poplation plus qu’un outil de développement. Il faut savoir analyser et non pas réciter des cours d’économie pour étudiants de deug. Ici en France, allez vendre sur un espace public (domaine public) ou sur un marché, sans autorisaiton et vous allez voir ce que c’est la liberté. Et les USA ont aussi une armada de législations pour limiter la liberté économique quand cela va à l’encontre de l’intérêt de leurs agents économiques, et le Japon ? Il parle comme la Commission européenne, quand elle récite son mantras de la concurrence libre et non faussée. Un monde économique aseptisé.

Il dit "qu’une large partie des problèmes des pays de l’Afrique vient du socialisme". Je vous réponds foutaise. Comment pouvez-vous soutenir cela, tout en gardant votre sérieux ? Ne trouvez-vous pas que le socialisme est antinomique d’un régime dictatorial ? En effet, la dictature est le règne de la force, de l’impunité, de la corruption de l’injustice, ce n’est même pas une bureaucratie comme vous semblez parfois le dire. Vous mélanger comme les concepts et vous en tirez une conclusion sur mesure pour répondre à votre propagande ultralibérale. C’est bien un Zèbre.
 

Il y a également le cas de Salomé Zourabichvili, mais dans un sens contraire, c’est-à-dire qu’elle n’avait pas la nationalité géorgienne, mais elle voulait absolument y faire une carrière politique.
http://www.colisee.org/article.php?id_article=1060
Quant à la double nationalité, ce n’est pas souvent un choix. En effet, suite à la naturalisation, ou naissance de parents étrangers, la personne porte de fait la double nationalité. Rares les pays qui autorisent (un droit) à leurs ressortissants d’abandonner leur nationalité d’orgine. Ceux qui l’autorisent, cela suppose des démarches à n’en pas finir, donc les gens ne le font pas pour éviter les tracasseries administratives.
Ce qui est plus discutable, ce n’est pas les gens qui se trouvent avec un héritage tout récent, avec des parents encore étrangers par rapport au pays de leur enfant lequel est national, mais ceux qui ont vécu en France depuis plusieurs générations, ils gardent étonnamment un lien plus qu’imaginaire ou romantique envers un Etat, auquel ils sont dévoués et prêts, pour des convictions religieuses ou nationalistes, à ne voir en la France qu’un outil pour le défende.
Par ailleurs, même si on n’est pas pour Marine Lepen et son parti, la candidature d’Eva Joly, dans ce contexte de globalisation financière, renforce l’idée qu’il n’y a pas de différences, ni de spécificités culturelles. 
Même si le programme est important et que l’intégrité est primordiale, la personne doit en principe "symbolisée" son pays. On a bien vu ce que cela a donné en votant pour un type qui n’a pas de culture, il est made "finance international".
Le même problème a été soulevé pour la candidature de Sonia Gandhi. Beaucoup de pays continuent d’attacher de l’importance à s’identifier en leur représentants politiques.

C’est toujours utile d’entendre une analyse différente du monologue que l’on entend à longueur de journée.