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Les commentaires de Étirév



  • 1 vote
    Étirév 3 novembre 2020 10:22

    « Que cache la « relation spéciale » américano-britannique ? »
    Trouvez le lien qui existe entre Oliver Cromwell et la création de la « FED » en 1913, et vous aurez la réponse.

    Indice : soudaines apparitions de révolutions « pour libérer les peuples »



  • 4 votes
    Étirév 2 novembre 2020 12:51

    Zemmour : « ceux qui décapitent ne sont pas des terroristes mais des djihadistes »
    Le « ver » est depuis longtemps dans le fruit, M. Zemmour, et depuis bien avant l’instauration des foyers SONACOTRA et du droit au regroupement familial.
    Mais ça, en réalité, le « missionné » Zemmour le sait, car au fond, ses lâches diatribes qui sont celles de cette meute idiote, aveugle et le plus souvent veule, cette meute tenue en laisse par LA main de moins en moins occulte qui nuit à la France Eternelle, et devant laquelle Zemmour se prosterne encore pitoyablement aujourd’hui.
    Que sait-il, finalement, de l’HISTOIRE de l’Islam et des Arabes ?
    Que connaît-il de l’Histoire, en général ?
    Sait-il que les mots « hébreu », « arabe » et « Ibère » ont la même racine ?
    S’il le sait, cela prouve que c’est un menteur pathologique et dangereux.



  • vote
    Étirév 24 octobre 2020 10:12

    Socrate : ce nom est pour les hommes un objet de vénération.
    En effet, il a droit à la reconnaissance de ceux qui affectionnent la forme religieuse qui règne depuis 2000 ans, car il en a été le premier auteur. C’est lui qui inventa le Dieu mâle, unique et surnaturel, qui devait jouir d’une si grande faveur pendant tant de siècles.
    Le Dictionnaire de Descubes définit ainsi ce personnage : « Socrate, déclaré le plus sage des hommes par l’oracle d’Apollon, aimait Alcibiade et Archélaüs ; il avait 2 femmes et vivait avec toutes les courtisanes. ».
    C’est donc par ironie qu’on l’appela le sage Socrate. De plus, il était envieux. Tous les hommes de talent de son temps furent l’objet de ses critiques jalouses ; il leur reproche leur manque de foi, lui qui ne croyait à rien.
    Ambitieux politicien, il voulut faire de toute la Grèce un seul royaume et en prendre la domination.
    Socrate ne monta pas une seule fois à la tribune pour discuter les affaires publiques. Il n’est pas connu pour sa vie, mais pour sa mort. Il eut la gloire d’avoir une mort retentissante qui divisa le pays en deux partis.
    Il était né en 469 ou 470. Son père, Sophronisque, était sculpteur (Remarquons que le fils ne porte pas encore le nom de son père.) ; il était de basse extraction par son père, mais de caste plus élevée par sa mère. Son physique était antipathique.
    Si les historiens ont fait une si grande réputation à Socrate (qui n’a pas laissé d’écrits), ce fut pour faire une sorte de réaction contre les grandes femmes de l’époque, les Aspasie, les Thaïs, les Phryné, qui le combattaient et qui occupaient l’attention publique bien plus que les hommes. Ce sont ces historiens qui ont cherché, plus tard, à les avilir, qui ont glorifié Socrate.
    Ses leçons, écoutées avec avidité par les hommes, les flattaient dans leurs mauvais instincts. Chacun d’eux, après l’avoir entendu, se croyait dieu lui-même. Sa parole les ennivrait de cet orgueil masculin qui perd l’homme.
    Socrate fut bien le premier fondateur de la fausse morale qui devait se perpétuer par les religions masculinistes ; c’est lui qui, le premier, prêcha la licence de l’homme, en même temps que la révolte contre la Divinité de la Femme. Il fut traité de blasphémateur contre les Déesses, qu’il appelait des dieux secondaires.
    Les mœurs homosexuelles qu’il affichait, sans aucune pudeur, étaient un scandale public (Voir son discours au Banquet de Platon).
    Les religions masculinistes font remonter à Socrate les dogmes sur lesquels elles s’appuient : la déification de l’homme et la déchéance de la femme.
    Il niait la réalité, c’est-à-dire les lois de l’humanité, et créait un surnaturel qui devait, à travers les religions modernes, arriver jusqu’à nous.
    Au-dessus des Divinités réelles, qu’il laissait dans l’ombre, Socrate mettait un Dieu imaginaire qu’il représentait souverainement grand, voyant tout, entendant tout, présent partout et gouvernant toutes choses. C’était l’homme agrandi, le moi masculin projeté dans l’infini et devenu immense par l’illusion d’un orgueil insensé. Socrate fut un grand orgueilleux et un petit esprit, puisqu’il ne comprenait pas la vraie Nature et lui substituait une chimère. Il fut un des fondateurs du spiritualisme masculin, celui qui avait pour but de mettre l’Esprit en dehors de l’humanité, pour qu’on ne puisse plus dire qu’il est dans la Femme.
    C’est à lui qu’on fait remonter les lieux communs de la philosophie masculine, tels que ceux-ci :
    - « Que celui qui a fait l’homme à l’origine s’est montré miraculeusement intelligent. »
    Voilà le Dieu créateur inventé ; et combien cette erreur a été funeste à ceux qui ont voulu faire prévaloir la véritable histoire de la création naturelle.
    - « Que le consentement de tous les peuples dans cette croyance atteste qu’elle est la Vérité. »
    Erreur manifeste, d’abord parce que, si les peuples avaient toujours eu ces croyances, il n’aurait pas fallu tant de sang versé pour les faire admettre.
    Ensuite, n’avons-nous pas vu depuis 2000 ans que ce sont les plus grandes erreurs qui ont eu le plus de partisans ? Ce système qui consiste à s’appuyer sur le nombre a toujours été employé par ceux qui ont tort ; le nombre, c’est la force, c’est pour cela qu’on l’invoque.
    Quant à sa moralité, elle est connue. Il n’aimait pas sa mère ; cette mère, Phéramète, devait être une femme de valeur car elle exerçait la médecine. A cette époque, c’étaient les femmes qui pratiquaient surtout la médecine et instruisaient les hommes dans leur art. Phéramète était une de ces femmes qui abondaient dans l’antiquité.
    Socrate, s’il était mauvais fils, était aussi mauvais mari, puisqu’il représente sa femme, Xanthippe, comme irascible et lui comme un époux patient.
    L’opinion que nous émettons sur Socrate était certainement celle des gens sensés de son temps, puisque l’intempérance de cette prédication obstinée de tant d’erreurs fatigua les oreilles de ses contemporains. Accusé de détruire la Religion et de corrompre la jeunesse, accusé aussi d’impiété envers les Déesses qu’il tournait en ridicule, il fut condamné à boire la ciguë.
    Il mourut en 401. C’est par les Socratiques de Xénophon et les Socratiques de Platon qu’il fut connu. C’est parce qu’il fut écouté et admiré par ces 2 hommes qu’il a été glorifié.
    C’est parce qu’il a été condamné à mort sur une accusation d’impiété et d’immoralité que ce corrupteur de la jeunesse est devenu le père de la philosophie dans toute l’Europe et la source de toute spéculation depuis 23 siècles.
    La lutte commencée par Socrate va continuer. Platon (429-347) est son élève.



  • 2 votes
    Étirév 22 octobre 2020 12:36

    Bernard Lazare écrit dans L’Antisémitisme, son histoire et ses causes  : « Il m’a semblé qu’une opinion aussi universelle que l’antisémitisme ne pouvait être le résultat d’une fantaisie et d’un caprice perpétuel, et qu’il devait y avoir à son éclosion et à sa permanence des raisons profondes et sérieuses. »
    Un début de réponse avec René Guénon dans son ouvrage Le Règne de la quantité et les signes des temps, à l’article Les méfaits de la psychanalyse : « Par une étrange incohérence, le maniement d’éléments qui appartiennent incontestablement à l’ordre subtil continue cependant à s’accompagner, chez beaucoup de psychologues, d’une attitude matérialiste. Le cas de Freud lui-même, le fondateur de la « psychanalyse », est tout à fait typique à ce point de vue, car il n’a jamais cessé de se proclamer matérialiste. Une remarque en passant : pourquoi les principaux représentants des tendances nouvelles, comme Einstein en physique, Bergson en philosophie, Freud en psychologie, et bien d’autres encore de moindre importance, sont-ils à peu près tous d’origine juive, sinon parce qu’il y a là quelque chose qui correspond exactement au côté « maléfique » et dissolvant du nomadisme dévié, lequel prédomine inévitablement chez les Juifs détachés de leur Tradition ? »



  • 1 vote
    Étirév 22 octobre 2020 09:23

    Islamisation d’une poignée de fanatiques et d’ignorants par le bas et judaïsation d’une élite détestant le genre humain au sommet du pouvoir... le « cocktail » détonnant servi dans tous les pays occidentaux depuis un certain 11/9.
    Où est donc passée cette France longtemps traditionnelle dans laquelle, jadis, s’étaient développées dans le calme et la sécurité, les Républiques Celtiques ?



  • vote
    Étirév 20 octobre 2020 12:37

    Aujourd’hui, on est éventuellement en droit de se demander si la plupart des individus pensent ?
    En effet, un individu pense t-il lorsqu’il vous déclare, le plus sérieusement du monde, qu’une information est « certainement exacte » parce qu’elle lui a été transmise par son appareil de télévision, sa radio, ou qu’il en a, lui, lu l’énoncé dans un journal, une revue ou un livre, ou sur une affiche, peu importe où pourvu que ce soit quelque part en caractères d’imprimerie ?
    NON ! Ils ne « pensent » pas plus que ne le fait une platine vinyle dont le saphir suit fidèlement les spires gravées sur un disque. Changez le disque, et la machine changera de langage, ou de musique. De même, changez les émissions de la télévision et de radio, que des millions de familles suivent et écoutent tous les jours de l’oreille et des yeux, payez la presse pour qu’elle imprime une autre propagande, et encouragez la publication d’autres revues et d’autres livres, et en trois mois vous changerez les réactions d’un peuple, de tous les peuples, aux mêmes événements, aux mêmes personnalités politiques ou littéraires, aux mêmes idées.
    Et si cela ne suffit pas, on y mèle quelque attentat bien choquant, afin que les éventuelles brebis égarées mais apeurées, rejoignent fidèlement le troupeau bêlant.
    Penser s’avère un exercice de liberté et de désobéissance. Les dieux de l’Olympe froncent le sourcil, ils vont perdre leurs privilèges et leur pouvoir si les mortels deviennent intelligents. Après eux et comme eux, tous les tyrans, les inquisiteurs, les fanatiques réprimeront le savoir, brûleront les livres ou tueront les intellectuels parce que ceux-ci sont fauteurs de liberté.
    Le pouvoir politique et aussi religieux se fonde volontiers sur l’ignorance du peuple et s’accroît d’autant que les esprits sont faibles, les gens incultes.
    Le lent processus d’abrutissement des masses depuis la naissance de la Société de consommation :
    C’est aujourd’hui un fait que depuis plus d’un demi siecle, la population du globe s’est considérablement accrue. En conséquence, les occupations qui étaient dîtes traditionnelles (les travaux de la terre, les divers artisanats) n’ont plus suffi à absorber les innombrables énergies disponibles.
    Aussi, l’issue allait en être le chômage et la famine, à moins que l’on n’installe partout des industries mécanisées, c’est-à-dire qu’on ne fasse, de l’immense majorité des populations dont le nombre ne cessait (et ne cesse encore) d’augmenter, des « prolétaires », qu’on ne l’arrache à ses traditions, partout où elle en avait conservé quelqu’une, et qu’on ne l’enfourne dans des usines et ne la force à s’appliquer à des travaux qui, par leur nature même, (parce qu’ils sont mécaniques) ne pouvaient être intéressants.
    La production montera alors en flèche. Il faudra écouler et vendre ce qui aura été fabriqué. Il sera, pour cela, nécessaire de persuader les gens d’acheter ce dont ils n’ont nul besoin et nulle envie, de leur faire croire qu’ils en ont besoin et de leur en inculquer à tout prix le désir. Ce sera la tâche de la publicité. Les gens se laisseront prendre à cette tromperie car ils sont déjà trop nombreux pour être moyennement intelligents.
    Il leur faudra de l’argent pour acquérir ce dont ils n’ont pas besoin, mais dont on les a persuadés qu’ils ont envie. Pour en gagner vite, afin de le dépenser tout de suite, ils accepteront de faire des travaux ennuyeux, des travaux dans lesquels il n’entre aucune part de création, et que, dans une société moins nombreuse, à la vie plus lente, personne ne voudrait faire.
    Malgré un « intérim » longtemps occupé par une main d’œuvre « éxotique » et très bon marché, qui plus tard et par l’entremise de décisions (idéologiques ?) favorables à un rapprochement familial, se trouvera définitivement mélée à la population autochtone (ayant déjà vécu 2 ou 3 « métissages » européens) qui, finalement, acceptera ces travaux ennuyeux, parce que la technique et la propagande auront fait d’eux un magma humain : une multitude de plus en plus uniforme, ou plutôt informe, dans laquelle l’individu existe, en fait, de moins en moins, tout en s’imaginant avoir de plus en plus de « droits », et en aspirant à plus en plus de jouissances achetables ; une caricature de l’unité organique des vieilles sociétés hiérarchisées, où l’individu ne se croyait rien, mais vivait sainement et utilement, à sa place, comme une cellule d’un corps fort et florissant.
    Actuellement, une des clefs du mécontentement dans la vie quotidienne, et spécialement dans la vie professionnelle, est à chercher dans les deux notions de multitude et de hâte.
    Rappelons cependant que c’est principalement l’absence de Vérité qui crée le malaise général dont souffrent les sociétés modernes. Aussi, croire que telle ou telle réforme dans le gouvernement peut changer la vie de l’homme serait une étrange illusion ; on peut lui donner des progrès matériels, des réformes économiques avantageuses aux masses, on n’atteindra pas les profondeurs de sa vie psychique.
    Or, ce sont les souffrances morales qui rendent l’existence amère.



  • 8 votes
    Étirév 19 octobre 2020 09:50

    M’est d’avis que toutes ces manœuvres, assez grossières du reste, et répétées quotidiennement par tous les fourbes alliés de ce gouvernement et de sa mauvaise gestion sciemment mis en œuvre, consistent, au mépris de l’intelligence de tout un peuple, dans le déclenchement d’une immense explosion de colère, justifiant, à l’instar de toutes les initiatives prises post 11/9 par le gouvernement « Bush », en l’application de toute une armada de décisions arbitraires (surement déjà rédigées, imprimées et prètes à l’emploi  un peu comme pour le covid), et la mise en place irrémédiable d’un état policier qui jusque-là ne disait pas son nom.
    Malheureusement pour toutes ces marionnettes gouvernementales et la main qui les manipule, le peuple de France, par on ne sait quel mystère et obéissant à des lois inconnues, refuse obstinément d’aller dans cette mauvaise direction et donner cette opportunité à ce ramassis de dégénérés.
    Apparemment, s’il y a bien eu un arrêt dans le mouvement des Gilets Jaunes, son, Esprit, lui, et pour le plus grand malheur du « côté obscur », ne s’est jamais éteint... depuis les Cathares, et même avant eux.



  • vote
    Étirév 16 octobre 2020 05:48

    Toutes les questions qui agitent l’esprit humain depuis longtemps, se heurtent à des mystères qu’aucune science jusqu’ici n’avait pu expliquer : c’est que l’ordre dans les opérations intellectuelles est ce qui manque le plus. On constate des faits, mais on ne sait pas les classer. C’est ce classement qui est la science suprême, la Mathèse qui, seule, donne des résultats certains. C’est en remontant aux origines qu’on comprend les phénomènes actuels et leur devenir.
    Or, qu’a été à l’origine l’homme qui pense ?
    Il a été l’Homme-enfant.
    Mais qu’est-ce que l’Homme-enfant ?
    Est-ce le primate ou le sauvage, que le darwinisme (et même le néodarwinisme) met avant l’homme qu’on appelle civilisé ?
    Oh ! que non. Ceux qui mettent la brutalité finale au début sont des imposteurs qui renversent l’histoire.
    Les premiers hommes qui resplendissaient de la pureté morale de l’Enfant, de sa naïveté, de sa droiture, de son exquise sensibilité, ne sont pas plus les fils des singes qu’ils ne sont le vieil Adam des théologiens fait de toutes pièces par un Dieu inconnu.
    Extrait :
    Des paléontologistes, poussés par une sorte d’intuition vague, ont voulu trouver l’Homme à une époque plus reculée que celle où son squelette a été rencontré. On a cherché à prouver sa présence dans le Miocène, la sous-période médiane de l’époque tertiaire.
    Charles Lyell, John Lubbock et d’autres ont étudié cette question, cherchant l’homme tout en constatant l’absence de restes humains.
    Or, on envisageait mal la question, en supposant que l’homme est un être qui fut soumis dès l’origine aux conditions de vie et de mort des êtres actuels.
    La vie primitive a la longueur extrême de la vie végétale ; la vie intermédiaire a encore une intensité prodigieuse qui permet au Primitif de franchir une période sans être interrompu dans son évolution par la mort, et d’arriver ainsi à la période suivante.
    C’est ainsi que la plupart des Enfants-humains du Pliocène arrivèrent à l’aurore de la période quaternaire sans avoir rencontré la mort.
    Les antédiluviens vivaient l’âge des cèdres, dira-t-on.
    Quant à ceux qui mouraient, soit par accident, soit par suite de cataclysmes quelconques, c’est dans les tourbières que se trouvent leurs restes agglutinés.
    Il faut se rappeler que le squelette ne se conserve intégralement que quand il est complètement ossifié et que, dans la période d’enfance, le squelette est encore cartilagineux, l’ossification n’est pas achevée. Or les tissus cartilagineux subissent la destruction organique et ne se retrouvent pas sous forme de squelettes entiers, mais forment des masses de matières organiques agglutinées, et c’est ce conglomérat qui forme les tourbières. Dans ces amas, les restes des animaux jeunes comme l’humanité se trouvent mêlés à ceux des enfants-humains, les primitifs fauves, entre autres, qui n’ont pas pu être un danger pour l’homme, puisqu’ils étaient eux-mêmes dans leur première enfance à cette époque.
    NOS VÉRITABLES ORIGINES



  • 5 votes
    Étirév 15 octobre 2020 12:27

    La mascarade continue !

    Au pire, la « justice » en punira certain(e)s comme elle a « durement » puni Cahuzac, le « fusible » et Super Ministre antifraude qui fraude et qui blanchi, qui aujourd’hui, avec son simple « fil à la patte » coule des jours heureux dans sa retraite, parmi les siens.

    Pour l’humble travailleur qui exerce son droit de désobéissance civile, c’est 135 € « cash » et la matraque de la police devenue politique s’il se plaint. Sur un salaire de smicard, c’est pas le même ratio financier que sur celui du voyou Cahuzac qui lui, en plus, sera à nouveau éligible en 2021, à l’issue de sa « dure » condamnation.

    La démocratie c’est bien, mais pas pour le peuple qui croit sincèrement être gouverné par lui-même, ce qui est faux.

    Malheureusement, la majorité des individus constituant le peuple est incapable de réfléchir assez pour voir ce qu’il y a là d’impossible.



  • 2 votes
    Étirév 15 octobre 2020 10:14

    « Ces féministes qui "détestent les hommes" blancs  »

    Le terme générique c’est « idiotes » ou « idiots » pour la gent masculine, car la bêtise n’a pas de sexe.

    Mais il y a aussi des idiots utiles, ceux qui passent leur temps à diviser les uns contre les autres. Le font-ils sciemment ou pas ?

    Là est la question.



  • vote
    Étirév 15 octobre 2020 09:39

    « L’homme est un loup pour ses semblables », POURQUOI Hobbes a pu dire cela des hommes ?

    Chez le jeune homme, les changements qui surviennent par suite de son entrée dans la vie sexuelle sont tout différents.

    En perdant les caractères de l’enfance, il enlaidit, devient velu, sa force musculaire augmente ; la bête humaine s’introduit en lui, lentement (brutalement, brusquement, quelquefois, chez les descendants des anciennes races qui se précipitent dans l’évolution et en récapitulent les phases en peu de temps), elle le transforme, imprime sur son visage sa lourde empreinte bestiale, l’intimide, l’effraie.... il voudrait la fuir, se sauver de lui-même pour ne pas vivre avec cet hôte gênant, il a honte de cet état nouveau. C’est chez lui que naît la pudeur, c’est lui qui voudrait se cacher. Car c’est chez lui qu’il y a pour passer de l’enfance à l’adolescence une révolution mentale, une crise intellectuelle et morale, une conversion accompagnée d’un changement du regard.

    L’apparition de la barbe lui fait perdre sa beauté enfantine, sa voix devient grave et sourde, ces changements le troublent profondément. Il devient timide en face de la Femme et cherche à dissimuler ses caractères sexuels. C’est lui qui invente le vêtement, et nous verrons chez certains peuples primitifs les hommes se voiler la partie inférieure du visage pour cacher la barbe naissante.

    Si nous cherchons quels changements se produisent dans son caractère à la suite de ces modifications physiques, nous constatons que le jeune garçon subit les premières atteintes de la perversion quand il devient homme.

    Quand nous l’observons dans la société des autres enfants, dans la vie de collège, par exemple, nous le voyons déjà occupé à faire souffrir ses petits camarades comme plus tard, dans la société, il cherchera à vexer, à duper ses semblables. Un autre garçon est pour lui un petit ennemi d’abord, le premier sentiment qu’il éprouve en le voyant est mauvais, il lui témoigne de la défiance, de la haine, il ne s’adoucit que s’il peut en faire le complice de ses gamineries, de ses turpitudes, de ses vices naissants. Si c’est un être faible, il se montre déjà lâche vis-à-vis de lui, il a une férocité native qui demande une proie, l’antagonisme, l’opposition semblent être, chez l’être mâle, un mouvement spontané.

    Ce sentiment apparaît avec ses premières manifestations sexuelles.

    Il devient destructeur, il mutile les plantes, tue les insectes, torture s’il le peut les animaux ; ses jeux sont cruels, il tue les mouches en attendant qu’il puisse tuer de grands animaux, qu’il puisse tuer des hommes ; il martyrise des papillons, des hannetons, tous les insectes, et ainsi s’habitue peu à peu à la souffrance des autres, et y prend plaisir. Les plus forts d’entre les garçons torturent les plus faibles, ceux qui sont doux et inoffensifs, et ils appellent cela un jeu.

    On dirait qu’il veut se venger sur l’univers tout entier des conditions physiologiques et psychiques qui s’imposent à lui. Le jeune adolescent prend en haine le genre humain, qu’il considère comme un témoin de sa déchéance. Il cherche la solitude parce qu’il lui semble que, parmi les autres, il va se trouver humilié.

    La misogynie naît aussi en lui, à ce moment, et la première femme sur laquelle tombe sa haine de sexe, c’est souvent sa mère ; il ne veut plus l’embrasser, il la craint et la fuit.

    Le fameux mot de Hobbes est l’expression de la vérité : « L’homme est un loup pour ses semblables  ».

    Si nous suivons l’enfant jusqu’à l’adolescent, si nous observons attentivement les phases de la crise qu’il traverse, nous voyons que l’amour physique qui s’est révélé à lui, qui l’a séduit, dominé, a fait en lui son œuvre bestiale. Pendant qu’il se travaille en silence, il devient sombre, misanthrope, en même temps paresseux, malpropre, la coordination des idées l’abandonne, il devient incohérent dans sa conduite comme dans son esprit, il voit faux, ce qui l’amène à mentir. Mais il devient fort, c’est-à-dire brutal, il aime le pugilat, et ses relations avec les autres garçons de son âge sont surtout des luttes.

    Cependant, faisons remarquer qu’il y a deux espèces de misanthropie. A côté de celui qui s’isole par haine des hommes qu’il croit supérieurs à lui, il y a celui qui s’isole dans la grandeur du génie, dans l’élévation de l’esprit, celui qui se sent mal à l’aise dans une société indigne de lui et cherche la solitude pour fuir le contact du vice ou de la bêtise humaine. Gardons-nous bien de confondre ces deux genres de misanthropie qui sont l’opposé l’un de l’autre.

    La misanthropie du vice n’existe réellement que chez l’adolescent ; elle se perd vite dans les sociétés où l’abaissement moral est général.

    Quand les hommes dégradés se trouvent nombreux, ils ne se cachent plus, le nombre leur sert d’excuse ; ils se soutiennent mutuellement, et loin de cacher leur déchéance dans la solitude ils affirment leurs vices et s’en font des vertus.



  • 2 votes
    Étirév 14 octobre 2020 10:35

    « On veut nous anéantir... »
    QUI, COMMENT ?
    Commençons d’abord par dire que les USA et ses alliés ne sont plus depuis le début du XXème siècle (au bas mot) gouvernés par ce qu’on appelle un phénomène politique, qui représente l’intérêt commun, mais par un cartel d’entreprises dirigé par les principales banques globales d’investissement qui ont leur quartier général, depuis Oliver Cromwell, à la City de Londres. Précisons à ce propos que la Réserve fédérale américaine, la « FED », est née, en 1913, des menées des banquiers globalistes, dont le noyau dur se trouvait à Londres ; menées auxquels les intérêts Rothschild, notamment via le banquier Warburg, n’étaient pas étrangers.
    Le véritable pouvoir aujourd’hui n’est pas à rechercher dans l’apparence des arcanes politiques, il se cache derrière l’anonymat des capitaux et dans les paradis fiscaux.
    Le véritable pouvoir auxquelles sont soumises les populations, maintenues dans la naïveté et l’inconscience, est économique : il appartient aux principaux détenteurs de capitaux de la planète ; lesquels ont tant et si bien œuvré depuis des centaines d’années qu’ils sont devenus propriétaires directs et/ou indirects de la majeure partie des actifs tangibles de ce monde.
    Il faut bien comprendre que, depuis le XVIIIème siècle, les principaux banquiers sont étroitement interconnectés entre eux et ont des intérêts communs et liés. Rappelons à toutes fin utiles qu’après 1789 la France est passée d’une monarchie qui avait pour contre-pouvoirs tous les corps intermédiaires, à une oligarchie financière dénuée de tout contre-pouvoirs.
    Les activités de ces banquiers sont structurellement internationales, leurs intérêts pouvant être qualifiés d’apatrides, ou plus exactement de supranationaux, en ce sens qu’ils n’ont aucun rapport avec un quelconque « intérêt national » au sens culturel et géographique du terme « national ».
    En réalité, les Etats occidentaux n’existent plus car ils ont été privatisés lorsque le contrôle de leurs monnaies est tombé dans les mains des banquiers privés, ce qui explique, en Europe, l’apparition des institutions européennes, qui ne sont que la formalisation politique (traités de Maastricht et Lisbonne) de cette capture des règles d’organisation des peuples par des intérêts privés.
    Tant que le destin des monnaies restera l’apanage des banquiers mondialisés, et continuera en conséquence à échapper aux peuples qu’elles contraignent, nous assisterons à la continuation de la mise sous tutelle financière, économique, juridique et politique de ces derniers. Pour ceux qui l’auraient oublié, cette vérité a été directement précisée par l’un des fondateurs de l’oligarchie financière : « Donnez-moi le contrôle de la monnaie d’une nation et je n’aurai pas à m’occuper de ceux qui font les lois » (M. A. Rothschild).
    Ce qui explique que la France, ou plutôt que les autorités en charge de la France n’ont, d’évidence, aucune politique, et encore moins de politique socialiste, dans le sens « social » du terme, mais sont en revanche parmi les principaux fers de lance de l’agenda globaliste, et relaient avec zèle, voire même anticipent, l’agenda mondialiste consistant à appauvrir matériellement, physiquement et moralement la plus grande masse des gens peuplant la planète au profit de quelques usurpateurs, véritables escrocs économiques qui ont, aujourd’hui, pris l’ascendant sur les pouvoirs politiques des États.
    Parlons un peu de la Franc-Maçonnerie maintenant.
    La Franc-Maçonnerie est d’origine hébraïque, tous les mots de passe sont des vocables hébreux, ses légendes sont tirées de l’histoire du peuple d’Israël.
    Cependant, Joseph de Maistre, dans « Mémoire au duc de Brunswick » (1782), dit ceci : « Tout annonce que la Franc-Maçonnerie vulgaire est une branche détachée et peut-être corrompue d’une tige ancienne et respectable ».
    C’est bien ainsi qu’il faut envisager la question, précise René Guénon : on a trop souvent le tort de ne penser qu’à la Maçonnerie moderne, sans réfléchir que celle-ci est simplement le produit d’une déviation. Les premiers responsables de cette déviation, à ce qu’il semble, ce sont les pasteurs protestants, Anderson et Desaguliers, qui rédigèrent les Constitutions de la Grande Loge d’Angleterre, publiées en 1723, et qui firent disparaître tous les anciens documents sur lesquels ils purent mettre la main, pour qu’on ne s’aperçût pas des innovations qu’ils introduisaient, et aussi parce que ces documents contenaient des formules qu’ils estimaient fort gênante. Ce travail de déformation, les protestants l’avaient préparé en mettant à profit les quinze années qui s’écoulèrent entre la mort de Christophe Wren, dernier Grand-Maître de la Maçonnerie ancienne (1702), et la fondation de la nouvelle Grande Loge d’Angleterre (1717). Néanmoins, ils laissèrent subsister le symbolisme, sans se douter que celui-ci, pour quiconque le comprenait, témoignait contre eux aussi éloquemment que les textes écrits, qu’ils n’étaient d’ailleurs pas parvenus à détruire tous. Voilà, très brièvement résumé, ce que devraient savoir tous ceux qui veulent combattre efficacement les tendances de la Maçonnerie actuelle, bien qu’il y a eu ultérieurement une autre déviation dans les pays latins, celle-ci dans un sens antireligieux, mais c’est sur la « protestantisation » de la Maçonnerie anglo-saxonne qu’il convient d’insister en premier lieu.
    Dans la Franc-Maçonnerie moderne, nous trouvons égalment l’existence d’une « Maçonnerie mixte », ou « Co-Masonry », comme elle est appelée dans les pays de langue anglaise, qui représente tout simplement une tentative de transporter, dans le domaine initiatique lui-même qui devrait encore plus que tout autre en être exempt, la conception « égalitaire » qui, se refusant à voir les différences de nature qui existent entre les êtres, en arrive à attribuer aux femmes un rôle proprement masculin, et qui est d’ailleurs manifestement à la racine de tout le « féminisme » contemporain.
    La « civilisation » moderne est le résultat direct de la mentalité des peuples anglo-saxons, et par conséquent René Guénon dit : « Surtout, nous ne saurions trop mettre en garde contre toutes les contrefaçons anglo-saxonnes, allemandes ou slaves, qui ne représentent que des idées tout occidentales et modernes, masquées sous des vocables orientaux détournés de leur sens.
    On comprend peut-être un peu mieux Jehanne d’Arc lorsqu’elle voulait : « bouter les Anglais hors de France ».
    Finissons avec une autre Femme d’importance, mais plus contemporaine celle-là, c’est Valérie Bugault qui nous rappelle que :
    « Le retour de l’occident à la civilisation passe par l’abandon de l’actuelle « Société de l’avoir » pour rendre à la « Société de l’être », parfaitement incarnée par la tradition culturelle française aujourd’hui malheureusement abandonnée, la prééminence qu’elle n’aurait jamais dû perdre. »



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    Étirév 10 octobre 2020 10:26

    La France n’existe plus en tant qu’Etat souverain.
    Le véritable pouvoir auxquelles sont soumises les populations, maintenues dans la naïveté et l’inconscience, est économique : il appartient aux principaux détenteurs de capitaux de la planète ; lesquels ont tant et si bien œuvré depuis des centaines d’années qu’ils sont devenus propriétaires directs et/ou indirects de la majeure partie des actifs tangibles de ce monde. En effet, les USA et ses alliès (et donc la France) ne sont plus depuis le début du XXème siècle, au bas mot, gouvernés par ce qu’on appelle un phénomène politique, qui représente l’intérêt commun, mais par un cartel d’entreprises dirigé par les principales banques globales d’investissement qui ont leur quartier général, depuis Oliver Cromwell, à la City de Londres. En réalité, les Etats occidentaux n’existent plus car ils ont été privatisés lorsque le contrôle de leurs monnaies est tombé dans les mains des banquiers privés, ce qui explique, en Europe, l’apparition des institutions européennes, qui ne sont que la formalisation politique (traités de Maastricht et Lisbonne) de cette capture des règles d’organisation des peuples par des intérêts privés.
    Aussi, le véritable pouvoir aujourd’hui n’est pas à rechercher dans l’apparence des arcanes politiques, il se cache derrière l’anonymat des capitaux et dans les paradis fiscaux.
    Tant que le destin des monnaies restera l’apanage des banquiers mondialisés, et continuera en conséquence à échapper aux peuples qu’elles contraignent, nous assisterons à la continuation de la mise sous tutelle financière, économique, juridique et politique de ces derniers.
    Pour ceux qui l’auraient oublié, cette vérité a été directement précisée par l’un des fondateurs de l’oligarchie financière : « Donnez-moi le contrôle de la monnaie d’une nation et je n’aurai pas à m’occuper de ceux qui font les lois ».
    Si l’on retourne aux fondamentaux, il apparaît en effet que la monnaie, et son pendant qu’est la dette, conjuguée au principe de l’entreprise anonyme qu’elle a juridiquement autorisé à se mettre en place, sont les armes du servage d’aujourd’hui au même titre que l’épée et la lance étaient celles du servage d’hier.

    Aussi, ça n’est pas en remontant « la semaine dernière » dans l’Histoire qu’on pourra apporter des éclaircissements sur les vraies raisons de la dissolution des Etats, c’est-à-dire le désordre, et sur l’origine de l’erreur sociale, c’est-à-dire de l’injustice, et encore moins y apporter des solutions.

    FAITS ET TEMPS OUBLIÉS



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    Étirév 7 octobre 2020 13:27

    Tous les jeunes moines, enfermés dans les couvents à l’âge où les passions s’éveillent, jetaient vers la Femme le cri d’amour, et c’est la Vierge, en face d’eux, qui recueillait leurs hommages. C’est Elle qui abaissait sur eux son regard tendre, Elle qui leur tendait les bras, Elle en qui ils voyaient « la Maîtresse ». Debout sur l’autel, en sa robe de pierre, elle leur semblait frémissante de vie, et suffisait, dans leur solitude monastique, pour éveiller en eux l’idée séduisante de l’Éternel féminin.



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    Étirév 7 octobre 2020 10:08

    « Des lacs souterrains sur Mars ? »
    Comment pourrait-on avoir la moindre idée à ce sujet, alors qu’à propos de la Terre la science officielle enseigne encore à tort (ou sciemment ?) que « Le centre de la Terre est chaud, liquide, composé, notamment, de fer en fusion... ».
    Or, il est impossible de concevoir une masse en fusion concentrée au centre de la terre et brûlant sans air, puisque cette masse serait, partout, entourée par la couche de granit qui forme les terrains primitifs. Ensuite, il est absolument contraire aux lois physiques de supposer un foyer incandescent exerçant une action attractive en vertu de laquelle les corps seraient attirés vers son centre, alors que l’on sait qu’un foyer de combustion exerce, toujours, au contraire, une action rayonnante, c’est-à-dire répulsive. Enfin, on ne concevrait pas la formation d’une croûte solide autour de ce foyer incandescent et pendant son rayonnement. Jamais pareil fait ne s’est produit nulle part.
    Pour résumer la connaissance actuelle par cette citation : « Il n’y a d’immuable et d’invariable que la Vérité, qui est l’expression des lois de la Nature. Quand ces lois sont violées, il ne reste plus que l’imagination des hommes qui engendre l’erreur sous des formes multiples. »
    COSMOGONIE



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    Étirév 2 octobre 2020 16:48

    « Le niveau de l’école en France est catastrophique » : Les lapalissades des éternels hypocrites du système.

    « Médiapart », l’organe d’infos pseudo-subversif, est passé maitre dans l’art de faire de l’inertie, et ses révélations n’ont comme unique conséquence, de faire monter le niveau de colère des gens en même temps que celui de ses bénéfices.

    Pour revenir aux propos de Zemmour, rappelons ce que disaient déjà en 1983, Isabelle Stal et Françoise Thom, dans un article intitulé « L’école des barbares » :

    « L’école a cessé de remplir sa fonction principale, qui est de structurer l’intelligence et l’expression des élèves. Elle est devenue paradoxalement un système de désinstruction. À l’école primaire on n’apprend plus à lire ni à écrire : les deux tiers des élèves ne le savent plus. Cela s’inscrit dans un relativisme généralisé des valeurs morales, des cultures, des religions et des manières de s’exprimer, aucune manière de vivre n’étant jugée supérieure à une autre. On a cassé tous les repères normatifs. On a supprimé l’histoire chronologique. Une démarche analogue a été effectuée pour saper l’enseignement de la langue et de la littérature. Globalement, on fait des élèves des barbares qui ne parlent et ne comprennent qu’un seul idiome, celui de la télévision. Une formation sacrifiée au nom d’un utilitarisme à courte vue qui empêche d’accéder aux idées générales. Il n’y a pas un élève sur cent qui soit capable de bâtir une phrase complexe. Une attitude qui va jusqu’à bannir toute discipline ; tout ce qui est contrainte est jugé comme un mal. L’exemple le plus illustre de cet état d’esprit est le ministre actuel, Jack Lang, le ministre du tag et du rap. C’est comme ça qu’on ramène les enfants à l’animalité. »
    Comme dit Hayao Miyazaki : Nous sommes arrivés à un moment de l’histoire où nous devons d’urgence redéfinir le sens de la civilisation.



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    Étirév 2 octobre 2020 11:02

    La « mode », invention essentiellement moderne, n’est d’ailleurs pas, dans sa vraie signification, une chose entièrement dénuée d’importance : elle représente le changement incessant et sans but, en contraste avec la stabilité et l’ordre qui règnent (règnaient) dans les civilisations traditionnelles.



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    Étirév 30 septembre 2020 13:05

    Le monde occidental, depuis des temps qui remontent encore plus loin que le début de l’époque dite historique, et quelles qu’aient été les formes traditionnelles qui l’organisaient, avait d’une façon générale toujours entretenu avec l’Orient des rapports normaux, proprement traditionnels, reposant sur un accord fondamental de principes de civilisation.
    Tel était encore le cas au du moyen âge.
    Ces rapports ont été rompus par l’Occident, lorsque, entre autres faits caractéristiques de ce changement de direction, l’Ordre du Temple, qui était l’instrument principal de ce contact au moyen âge chrétien, fut détruit.
    Rappelons qu’un des griefs qui était fait aux Templiers, était précisément d’avoir entretenu des relations secrètes avec l’Islam, relations de la nature desquelles on se faisait d’ailleurs une idée inexacte, car elles étaient essentiellement initiatiques et intellectuelles.
    Depuis la destruction de l’ordre du Temple, le monde s’est divisé entre Conservateurs et Progressistes.
    L’affaire des Progressistes est de continuer à commettre des erreurs. L’affaire des Conservateurs est d’éviter que les erreurs ne soient corrigées.

    Plus est claire et nette la vision du passé et plus le présent s’éclaire.
    LES TEMPLIERS



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    Étirév 28 septembre 2020 14:44

    La lutte du Bien et du Mal, c’est-à-dire de l’Esprit dans la femme et de la Force dans l’homme, dure depuis la jeunesse de l’humanité.
    Depuis plusieurs milliers d’années le monde lutte, l’humanité souffre, le Mal règne et grandit, le Bien est vaincu et s’affaiblit ; le Droit est sacrifié à la Force.
    Mais cet état de choses ne doit pas toujours durer. La progression dans le mal a un terme fatal ; le terme même de la vie, puisque l’invasion du mal, dans l’homme, détruit peu à peu son existence ; l’invasion du mal dans les sociétés détruit peu à peu les sociétés : par la guerre, par le meurtre, par le suicide, par l’assassinat, par la misère, par la stérilité voulue de la femme.
    Il faut donc que le Mal ait un terme ou, sinon, que l’humanité disparaisse.
    Ce terme c’est la Rédemption.
    C’est le renversement de la marche actuelle des choses.
    C’est le triomphe de l’Esprit sur la Force, ramenant l’humanité dans la voie du Bien, la voie de l’Evolution progressive.
    Ce grand événement qui doit, tout d’un coup, renverser l’œuvre de destruction du passé, a été prévu et annoncé depuis longtemps. C’est ce redressement, dont parle René Guénon, ce « renversement des pôles » qui doit s’opérer lorsque « le point le plus bas aura été atteint » ; « et c’est là, pourrait-on dire en se référant au sens cosmologique du symbolisme biblique, la revanche finale d’Abel sur Caïn. »
    C’est la force brutale qui a assuré, à l’homme, une position à laquelle il n’avait pas de droits naturels. En agissant ainsi, il violait les lois psychiques et les lois morales, qui en sont la conséquence, il violait le droit.
    Mais comme tous les hommes ne sont pas aussi avancés dans l’évolution du mal, comme l’héritage naturel que chacun apporte en naissant lui remet dans l’esprit un germe de vérité, il s’est trouvé, dans tous les temps, des hommes meilleurs que les autres qui ont eu une sorte de honte de cette injustice, qui l’ont comprise, et même, qui ont protesté, quoique cette injustice était établie à leur profit. Tout ce qui restait de droiture, de logique, dans leur esprit, clamait contre cette façon de renverser les choses, leur conscience se révoltait à l’idée d’écraser, dans la femme, ce qu’il y avait de meilleur en eux. Ce sont ces hommes-là qui élevaient la voix pour défendre le droit des femmes. Mais, jetant les yeux autour d’eux et ne rencontrant, partout, que des femmes privées de toute culture sérieuse, et livrées à toutes les futilités du luxe, on comprend qu’ils n’aient pas encore reconnu, dans la femme, la Prêtresse et l’Éducatrice de l’avenir. Ils ont demandé, seulement, que la femme soit considérée comme l’égale de l’homme.
    L’homme s’étant fait une supériorité factice par l’instruction, était arrivé à se croire véritablement supérieur à la femme. Cette opinion que l’homme avait de lui-même prouvait, cependant, son ignorance, car, s’il avait été en possession de la vraie science il aurait compris qu’elle était sa place dans la Nature.



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    Étirév 28 septembre 2020 11:38

    Jacqueline Kelen : « La forêt. Sans doute eût-il fallu commencer par là le voyage. Comme la femme qui abrite en son ventre puis met au monde l’enfant, la forêt demeure gardienne des germes de vie. Toutes deux sont des matrices qui permettent à l’homme de naître et aussi de renaître. La forêt est non seulement un réservoir de vies sauvages mais un lieu propice aux initiations, à la retraite des méditants. Elle ouvre l’esprit de même qu’elle protège le corps des intempéries et le nourrit de baies et de racines. »