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Les commentaires de poetiste



  • 2 votes
    poetiste 17 mars 2011 12:35

    Répondre à du farfelu génial par du farfelu nul, il vaut mieux se taire. Not enjoy, it’s all folks !



  • 3 votes
    poetiste 17 mars 2011 12:27

    Il y a une pétition à ce sujet qui invite donc à exprimer sa réprobation à de telles lois.
    Qui invite aussi à participer à une résistance, autrement dit à un système immunitaire pour une société en manque de défenses.
    Il y a eu jusqu’ici une hystérésis ou pas de réponse du tout à des agressions prédatrices des lobbies. Mais l’avènement de la réponse dite : "en temps réel" par le NET, apporte une transparence bien propice à la démocratie, à condition de vouloir en user et à bon escient.
    C’est en bas que l’on est le mieux à même de défendre la vie, pas dans les hautes sphères de l’Europe où des influences des multinationales agissent sournoisement.
    Nous avons besoin d’un système immunitaire qui réponde au coup par coup à des agressions de cette sorte, besoin d’une vigilance de tous les instants. C’est ça la participation de demain !
    Commençons de suite ! Après l’indignation : l’action.
    Si la base avait eu un peu plus son mot à dire dans le risque nucléaire, par exemple, on aurait pas assisté à ce désastre au Japon. Il faut donner des limites aux hystériques du profit et aux tyrans de tous poils, c’est d’une conscience planétaire salutaire qu’il s’agit.



  • 2 votes
    poetiste 15 mars 2011 14:48

    Non à la marée noire sous Marine qui veut nous faire croire à une vague bleue Marine. Toutes les démocraties européennes vont vers le populisme, ce qui est un indicateur de dégradation.
    Après Sarkoléon, ce n’est pas comme ça que l’on va redonner du bon sens à la démocratie, c’est la chute, la tentation du vide, le suicide.
    Mais il est vrai que Sarkosy a bien préparé cette descente aux enfers puisqu’il avait emprunté la fourche et les idées de Le Pen, pour gouverner. Preuve est faite que ce n’était pas la bonne solution et on en redemande.Le masochisme, ça se soigne !
    La Marine commence à s’attaquer aux émigrés de Lampedusa, elle commence à s’attaquer à la différence, à tout ce qui peut attiser le racisme. De la répression régression sarkosiste à la puissance quatre.
    Comme son père, elle va prendre en otages les gens de gauche, les obliger à voter à droite ,à moins que ce soit le contraire : des gens de droite qui seront obligés de voter DSK pour éviter la blague sous Marine.
    C’est compliqué la décadence démocratique qui mène au pire.



  • 1 vote
    poetiste 15 mars 2011 09:25

    Don Diego

    A quoi bon ratiociner en voulant convaincre de quoi que ce soit. La foi Chrétienne ne serait rien sans la crucifixion et la résurrection du Christ.
    Or l’Islam est le négationnisme de la crucifixion, donc le négationnisme de la religion chrétienne. Le Coran dit : on a mis un autre à sa place (sur la croix) ??????
    L’Islam est une religion contestation des deux précédentes religions méditerranéennes . C’est plus une politique à caractère religieux qu’une spiritualité universelle d’où le phénomène identitaire exacerbé en cette religion. ( comme avant la séparation de l’église et de l’État, en France).
    La véritable foi est individuelle, elle n’a rien à défendre, pas à idolâtrer son groupe de croyance, elle est laïque : A César ce qui est à César et à Dieu ce qui est à Dieu.
    La révolution pour une démocratie dans des pays arabes et musulmans est le signe d’un grand changement et certainement d’une révision du Coran à plus ou moins long terme.
    A infidèle, infidèle et demi !! Une religion ne se bâtit pas sur la négation des autres et c’est bien là que le bât blesse dans l’Islam.
    Mais de là à dire qu’il n’y a pas une foi sincère chez les musulmans, c’est un pas que je ne franchirai pas, je ne suis pas dans le secret de leur relation personnelle avec Dieu (ou Allah).
    La religion est ce qui distingue mais la foi est ce qui réunit. La foi, c’est l’ésotérisme des pauvres, des humbles, pas celui des intellectuels ou des va-t-en guerre extrémistes.
    Plutôt accepter le mystère que ratiociner sur ce qui est irrationnel et en arriver à des guerres de religions, n’est-ce pas ?



  • 1 vote
    poetiste 14 mars 2011 21:32

    Une chaise électrique, à cette époque ? Mais ça n’existait pas, me dit mon ami électricien ! C’est ce qui s’appelle péter un plomb ou un câble ou grésiller du trolley, me dit-il encore.
    Là n’est pas la question, lui dis-je, ce sculpteur veut seulement se faire remarquer en s’attaquant à un tabou qui n’en est plus un et son effet est nul.
    Cependant, s’il avait mis Mohamed le Koraïchite sur la chaise électrique, il aurait eu plus de succès et même le privilège de faire l’objet d’une fatwa. Là il aurait fait un tabac car l’identité mimétique est mieux défendue chez les musulmans que chez les chrétiens.
    Il ne voulait pas mettre le Coran au courant, me dit encore en rigolant mon homme de la loi d’ Hom , ça lui aurait demandé trop de courage.
    Ah ! les artistes ne sont plus ce qu’ils étaient ! Triste tableau d’un sculpteur qui sculpte le culte ! Lui dis-je.
    C’est un homme sans capacité qui craint la résistance, me dit aussi mon ami électricien dans le fil de la conversation mais l’ambiance n’est pas vraiment électrique.



  • 1 vote
    poetiste 14 mars 2011 14:30

    Un papillon devait passer par un trou étroit mais n’y parvenait pas. Un homme le vit et l’aida à sortir à l’aide de son canif. Le papillon sortit mais ne put jamais voler car il n’était pas passé par l’épreuve de ce trou.
    Ce qui énerve le Japonais, c’est que l’on calque des projets sur lui et il considère ça comme un manque de délicatesse, un manque de finesse, chez l’occidental.
    Et nos médias d’en rajouter, de dire tout et n’importe quoi pour exploiter l’évènement. Ils ne prennent pas conscience de la grossièreté de leur fonctionnement, du manque de respect de la réalité de l’autre.
    C’est dommage de ne pas prendre en compte, de ne pas se cultiver de la différence. C’est un manque à gagner . Dommage !



  • 4 votes
    poetiste 14 mars 2011 12:11

    @ elmapelki

    Je ne crois pas à votre "esprit simple". Et pour avoir été trahi, je l’ai été certainement plus que d’autres puisque je suis né avant la guerre de 39/45.
    La politique est une longue suite de trahisons de l’homme du fait d’esprits compliqués pouvant enfumer des esprits plus simples et les exploiter.
    Je ne suis ni simple ni compliqué mais j’aime quand on ramène du compliqué au plus simple, simple pris dans le sens de "bon sens" et non de naïveté.
    Marine le Pen attire les naïfs mais certainement pas les gens de bon sens.
    J’ai de vieilles mains mais on n’est pas obligé d’écouter ce qu’elles racontent (expression d’une chanson de Jacques Brel).
    Dans une assemblée,le premier qui parle est souvent le dernier arrivé et les anciens le regardent faire son expérience, c’est à dire d’aller d’erreur en erreur, comme ils l’ont fait eux-mêmes. On ne profite pas assez des erreurs de l’histoire.
    D’où la fatalité de la décadence d’une démocratie. Mais le réveil des consciences, ça tient du miracle ; il ne reste plus qu’à y croire.



  • 16 votes
    poetiste 14 mars 2011 11:24

    Est-ce que c’est l’accent français de BHL qui est le plus marrant ou ce qu’il dit, ce trublion, ce fâcheux qui s’immisce partout où il ne devrait pas être pour cause de se prendre pour un personnage incontournable ?
    Quand on pense qu’il a écrit sur le USA avec un tel accent, en recherchant ses mots, on sait qui il est : : un homme qui s’assied avant qu’on lui offre un siège et qui parle toujours trop tôt.
    BHL a le charisme du moustique. Il vient perturber les conversations sérieuses et ne voit pas à quel point on le voit arriver avec son égo sans trique.
    "Moi-je" BHL est l’imposteur philosophe par excellence si toutefois on peu parler d’excellence dans une imposture qui ne se reconnaît pas.
    C’est un cas et rien que pour ça on pourrait presque être intéressé par le spectacle permanent qu’il nous donne. Un cas de figure pour une mouche du coche.
    Attention à la toile d’araignée, BHL !!! On ne voudrait pas manquer le prochain spectacle, c’est trop marrant pour qui aime l’insolite.



  • 6 votes
    poetiste 14 mars 2011 10:57

    Le pire.

     

    Oh ! Non d’une pipe ! Ca y est ! Marine Le Pen Fait des convertis. Elle a réussi à séduire des esprits simples avec des arguments pourtant pas trop futés.

    On a beau entendre la voix de la sagesse d’un Badinter, on ne l’entend pas au sens de comprendre et c’est bien là ce qui est effrayant.

    C’est donc plus par bêtise, simplisme et ignorance que des gens votent  pour le pire. La démocratie se perd comme ça, on retourne aux vomissures d’une politique extrémiste.

    Ce n’est pas la vague bleue Marine mais la blague noire sous Marine : ne pas confondre !

    Ils n’entendent pas ceux qui ont déjà vécu le tragique de l’histoire, ceux qui sont nés dans le confort, la consommation et les distractions d’un goût souvent douteux.

    Quand on entend des arguments comme ça pour la Marine, on se demande si la décadence d’une démocratie n’est pas une fatalité, c’est affligeant.

    Et Badinter a raison de fustiger les socialistes qui ont laissé leur responsabilité, qui, encore une fois ne sont pas pour rien dans ce désordre des valeurs.

    Voter Marine, c’est s’inoculer le cancer pour soigner une grippe.

     



  • 1 vote
    poetiste 12 mars 2011 00:15

    Pour les prières dans la rue, je suggère de laisser une allée de 1 mètre pour laisser passer au moins les piétons. Mais plus sérieusement :
    La religion est ostentatoire, mimétique et tribale mais la foi est personnelle et courageuse, elle n’a pas besoin de se conforter par le nombre.
    Quand on fait d’une conviction religieuse un parti politique, on est déjà entré dans la guerre de religions.
    Donc la laïcité est la solution à une neutralité républicaine. Cependant, il n’est pas exclus que deux pays laïques entrent en guerre.
    Alors ? Où est le hic ? C’est que même sans religion, on peut exacerber l’instinct grégaire qui mène à la guerre.
    Moralité : religieux ou pas, l’homme n’est pas maître de ses instincts ni de la réflexion qui pourrait les corriger.
    Ni l’Islam, ni le parti de Mélenchon ne sont universels si l’homme et lui seul n’est pas au centre des préoccupations.
    Se servir d’une religion ou d’un parti pour entrer en politique et en guerre, c’est du pareil au même, c’est un blasphème à la foi .
    Conclusion : Tu aimeras ton prochain comme toi-même : loi de Moïse, valable pour les trois intentions religieuses méditerranéennes. En enfer ceux qui ne suivent pas ce juste commandement ! Ouste !



  • 3 votes
    poetiste 11 mars 2011 23:30

    Laissés pour compte.

     

    Il arrive que l’on parle d’une personne morte à la rue.

    En réalité, ce sont des dizaines de personnes, des centaines tous les ans et cela n’intéresse pas les médias, ni les politiques, ni les syndicats, ni personne puisque le problème est toujours là et qu’il s’accroît.

    1987 : J’ai travaillé 6 ans auprès de ces personnes. Oui, oui ! La crise cardiaque, je connais : la chemise découpée, la piqûre d’adrénaline, les « fers à repasser » qui vous font bondir la cage thoracique. Et l’abandon : pas moyen de redonner vie à cette personne.

    J’aurais volontiers quitté cet emploi en disant : mission accomplie, si l’exclusion avait été résolue en France.

    23 ans et pas de changement. La société riche fabrique toujours de l’exclusion et les facultés d’indignation et de partage ne sont toujours pas au rendez-vous.

    On a greffé des emplois sur cette exclusion comme si on voulait l’entretenir éternellement et la banaliser. Je n’ai fait que de l’assistance aux mourants.

    Et d’autres comme dans le « collectif des morts de la rue » (voir sur leur site), qui donne une sépulture décente à ceux qui meurent à la rue.

    Il semblerait que, paradoxalement, la démocratie ne rime pas avec solidarité et c’est bien là le signe d’une décadence ;

    J’ai vu les dernières secondes de 47 personnes de la rue. Voulez-vous que je parle « d’identité nationale » ?

     

     

     

     



  • 2 votes
    poetiste 11 mars 2011 19:51

    Question de non choix.

    Il faut vraiment être désespéré pour en arriver à voter pour une République sous Marine. Un peu comme les kamikazes qui se foutent en l’air avec une ceinture de bombes et se prennent pour des martyrs.

    On cherche toujours la solution ailleurs quand il y a solution, mais quand elle n’est pas, on fonce vers le pire, la politique qui récupère les valeurs oubliées par des partis dont l’incurie n’est plus à démontrer, à gauche comme à droite.

    Mais de ces valeurs moralisatrices, que va faire la Marine ? D’abord, des promesses, à peu près les mêmes que celles énoncées en 2007. Le peuple est corvéable et manipulable à merci, il gobe tout.

    Passer d’un gouvernement médiocre à un gouvernement obscurantiste, ce n’est pas ce que l’on nomme un progrès, c’est passer de Charybde en Scylla.

    Comme en 2002, on va devoir voter contre ce « pire » soutenu par les frustrés de la République qui ne se réveillent qu’au moment du vote.

    Et l’histoire tourne en boucle à force de ne s’attaquer qu’aux conséquences des dysfonctionnements, jamais aux causes.

    Plus de morts sur les routes, en début d’année : et Allez !! On remet mille radars. La politique répression régression a encore frappé.

    La Marine ne pourra qu’accentuer ce principe policier de gouvernement. Quand on pense que Sarkosy avait repris à son compte les paroles de Jean Paul 2 : n’ayez plus peur, on conçoit la contradiction en son comportement.

    La peur est très mauvaise conseillère, elle nous fait foncer dans la gueule du loup. Pas deux fois, mes chers concitoyens, pas deux fois ! Sortez de ce déterminisme ! Sortez du désespoir : Allez piquer les fesses des politiques de tous poils.

    Quand on va au râtelier des grandes surfaces, on sait ce que l’on va acheter. Ne pas se gourer de liste en 2012 car il y a des produits vraiment pas bio.

     

     

     



  • 2 votes
    poetiste 10 mars 2011 16:31

    @Madoff

    Audrey Pulvar prend des risques mais elle n’ira pas si loin que Dieudonné ; elle ne se mettra pas dans des situations qui pourraient être mal interprétées. Elle a le courage de parler des laissés pour compte, ce qui n’est pas le cas des socialistes, c’est déjà ça.
    On espère qu’elle va éduquer son beau jeune premier de compagnon au véritable socialisme mais ce serait une sorte de miracle si un socialiste pouvait comprendre la responsabilité qu’il a dans la gabegie présente, d’avoir lâché le peuple pour des ambitions personnelles.
    A noter que le mariage effectif du spectacle télévisé et de la politique n’est pas forcément de bon augure, la collusion entre les deux n’étant plus à démontrer.
    Le plus gros risque pour elle, ce serait qu’elle se fonde dans un socialisme qui n’en a plus que le nom, qui ne partage plus depuis longtemps.
    L’élitisme, toujours l’élitisme : plus difficile à s’arracher de ça que de l’éthylisme ! Dans notre monde de fric, le confort ne travaille pas pour les plus démunis.
    On s’impatiente de beaux actes après de belles paroles. Il est cependant vrai que certains particularismes s’approprient l’exclusivité du martyre et cette pression commence à nous casser les pieds. Les gens qui souffrent vraiment ont plus de pudeur que ça.
    Il y a de plus en plus de pauvres en France, n’est-ce pas là du racisme concret de les laisser galérer de restos du cœur en secours catholique ?
    Notre gouvernement se serait-il laissé aller à une forme de racisme en privant de travail cette partie de la population ?
    A quand la grève générale pour que plus personne ne dorme à la rue ? L’anti racisme, c’est une cohésion à retrouver par les actes plus que par les paroles.
    Indignons-nous et agissons ! Prenons des risques !



  • 3 votes
    poetiste 10 mars 2011 12:09

    Tout à fait d’accord Erca
    La femme n’est pas d’un particularisme communautaire et ne saurait être dissociée de l’humanité ou visée séparément de l’homme car les deux en arrivent même à ne faire qu’un dans l’intimité (au moins physiquement mais ne dénigrons pas le couple).
    Comparaison n’est pas raison : respectons la particularité de chacun sans classifier et créer des genres artificieux et artificiels.
    Zemmour ; on dirait qu’il prie quand il parle. Mais non ! Il jubile. En défonçant des portes ouvertes, il en profite pour donner quelques coups aux femmes qui défendent leurs droits ? C’est un sournois qui passe la brosse avant de livrer ses coups insidieusement misogynes.
    Zemmour, quand il parle, fait toujours l’éloge de zemmour, tellement il a le sentiment de parler juste. Il rit de ce qu’il vient de dire, d’un rire d’enfant. Il serait touchant s’il n’était pas si inquiétant et proche de l’extrême droite.



  • 1 vote
    poetiste 10 mars 2011 11:39

    Stupidité banalisée.

    La France se hâte de rigoler nerveusement des facéties d’amuseurs publics douteux qui font dans l’imitation simiesque ou qui évoquent ce qu’ils ont dessous leur ceinture. L’humour n’échappe pas à la médiocrité ambiante, à la décadence.

    Et, complices de cette décadence irrévocable, canal plus, cercle de fumistes qui parlent de « poubelle du net ». Les médias à émissions unilatérales sont à l’agonie, rattrapés par quelque chose de plus « NET » qu’eux : l’interactivité, le respect de l’opinion des autres.

    Logiques avec eux-mêmes, ces médias défendent leur salaire et leur camelote mais c’est de bonne guerre si ils trouvent des amateurs de médiocre archi millésimé, prêts à applaudir sur ordre.

    Bigard : une affiche avec dessus, un slip. J’imagine un étranger visitant Paris ce qu’il doit penser de l’image de la France. Il n’est pas étonnant que ce gus ait été choisi par Sarkosy pour une visite au Vatican. Le gouvernement guignol en déplacement !

    C’est difficile d’accorder crédit à un gus capable de proférer de telles vulgarités mais il a le droit d’avoir un avis sur la question du 11 Septembre.

    La question est de discerner ce qu’il reste d’intelligent et de raisonnable dans le bordel métaphysique en lequel nous glissons depuis 50 ans, de retrouver ses billes dans le fatras des informations étouffantes et aliénantes, le rythme martelant de la pub.

    La complaisance à cette décadence est au niveau de ce qu’elle rapporte à ceux qui en font profession. Le grand malheur, c’est qu’ils ont des clients.

    Et on voudrait parler d’identité nationale ? Pressons-nous d’en rire encore si on n’a pas épuisé tous les rires idiots.

    Résultat : qui se frotte les mains : La Marine qui, elle, ne se saborde pas, pour le coup. Les cigales se sont métamorphosées en cafards : plus t’es dans le spectacle plus tu gagnes des ronds.

    Alors la Marine va séduire les fourmis ouvrières au chômage qui voteront pour elle, en feront leur reine. Maman, c’est quoi une démocratie ? C’est une manière de gouvernement appelé à sombrer dans la bêtise et à soutenir des dictatures.

    Quand est-ce qu’on relève le niveau ?

     

     

     



  • 5 votes
    poetiste 5 mars 2011 22:13

    Tiens, tiens ! Selon Attali les musulmans, avec leur chef de guerre Abd al-Rahman, tué par Charles Martel, seraient venus bien avant 732 et peut-être avant l’Hégire, avant 622, au train où il y va, alors que l’Islam n’existait pas.
    Donc Clovis n’aurait pas été baptisé en 496 ? Il va falloir que je révise mon histoire de France ou que je pense que Attali divague ?
    Eh bien j’opte pour la deuxième proposition : Attali débloque.
    Comment peut-on dire aussi doctement de telles inepties ?
    Il faudra penser à lui donner son cachet avant l’ interview la prochaine fois.



  • 2 votes
    poetiste 5 mars 2011 08:23

    La croissance zéro n’est pas une fin en soi mais un choix de vie dans un monde de dingues qui savent qu’ils vont contre un mur et y courent.
    Il existe des oasis de vie en lesquelles ont vit modestement mais pleinement, des lieux où le temps que l’on prend permet la réflexion sur les dangers de la course au profit pour le profit, cette compétition internationale suicidaire.
    Des personnes résistent à cette vague folle qui exacerbe les égoïsmes et restreint la responsabilité. Il faut croire que leur choix de vie est révolutionnaire car le gouvernement français ne trouve pas mieux que de promulguer la loi loppsi 2 pour leur barrer la route.
    Ainsi, vous n’avez même pas le droit de construire une cabane ou une yourte sur votre propre terrain pour vous loger ou loger un plus démuni que vous.
    Sur délation d’un maire ; le préfet peut détruire cette habitation sous 48 heure sans passer par un procès en justice. A noter que selon cette loi liberticide, l’édile local qui ne dénonce pas est frappé d’une amende.
    Voilà à quoi jouent les politiques plutôt que de régler le problème du chômage et celui du logement : on détruit toute idée qui vient de la base : la base est dangereuse pour ces nantis à la conscience réduite.
    Rien n’est jamais foutu. Il n’est jamais trop tard ! Quand les lois deviennent irréfléchies et scélérates, on est en droit de s’indigner et d’agir.
    25000 personnes l’autre jour, à Villeneuve de Berg pour résister à l’exploitation des schistes, très polluante.
    Cliquer sur : "la grenouille qui chauffe", un texte qui n’a jamais été autant d’actualité.
    Et demander aux politiques d’abroger cette loi loppsi 2 qui plombe toute solution alternative, étouffe les idées originales dans l’œuf.
    Ah ! Ils y tiennent à leurs prérogatives, à gauche comme à droite, ceux qui ratiocinent à la télé dans une collusion politico-médiatique !
    Il n’est pas trop tard, le réveil est en train de sonner.



  • 3 votes
    poetiste 4 mars 2011 17:32

     

     

     

     

    Pantomime

    •  

     

    L’humanité pouvait bien devenir adulte

    Toutes les conditions s’offraient en ce temps là

    Paradoxalement, elle restait inculte

    Ses instincts primitifs regagnaient çà et là.

    •  

    Des hommes politiques, en de basses intrigues

    Ne s’imaginaient pas n’être que des pantins

    Cernés par les tropismes de postes que l’on brigue

    Ils répondaient en fait à leurs plus bas instincts.

    •  

    Ils s’imposaient au nom d’un peuple en esclavage

    Au vent électoral, ils étaient ballottés

    Jeu aveugle et binaire leur renvoyant l’image

    La pauvreté morale de leur avidité.

    •  

    Dans cette conjoncture, les électeurs spoliés

    Ne trouvaient pas un homme à mettre en juste place

    Ils étaient face aux urnes pieds et poings liés

    Éprouvant leur mérite aussi dans cette glace.

    •  

    Alors la société s’effondrait sur elle-même

    Sentait la vanité d’opter pour un élu

    Comment lui faire confiance et lui dire qu’on l’aime

    Si un jour de son sein des hommes sont exclus ?

    •  

    L’histoire ne dit pas ce qui est advenu

    Après la régression des hommes de ce temps

    Jouer les faux prophètes serait mal venu

    Mais nous pouvons prier, il en est encore temps.

    •  

    Prier pour recevoir des hommes responsables

    Au service des autres dans le détachement

    Chassons l’infantilisme et les châteaux de sable

    L’illusion du pouvoir, de nous tout ce qui ment.

    •  

    L’humanité pouvait bien devenir adulte

    Trouver son harmonie, s’accorder ce temps là

    Paradoxalement, elle restait inculte

    N’entendait plus la vie qui lui donnait le « la ».

     



  • vote
    poetiste 4 mars 2011 09:51

    @ le journaldepersonne

    Tiens ! Ça correspond bien à ce que je pensais de Zemmour : un cœur artificiel et un faux cul, c’est bien vu.
    Il manque des écrits de cette verve sur agoravox qui remplaceraient avec bonheur les écrits succincts de personnages qui injurient sans cesse. Sans doute les "faibles" décrits dans ce texte, qui se défoulent anonymement.
    Bravo madame qui avez écrit ça : je vous aime !



  • 6 votes
    poetiste 3 mars 2011 22:22

    Zemmour a parlé devant une assemblée qui a voté la loi liberticide et scélérate : loppsi 2 et a32 ter, loi contre les plus démunis qui tentent des solutions alternatives au manque chronique de logements.
    Des personnes qui veulent que soit reconnu leur désir de vivre autrement, qui ne veulent plus être empêchées de penser autrement. Il devait manquer au pouvoir des nantis qui ont voté la loi loppsi 2 la satisfaction de penser qu’on peut réduire encore à l’impuissance les plus pauvres et que ça leur donnerait pleine conscience de leurs prérogatives.
    Les riches politiques créent la pauvreté pour se rassurer qu’elle existe bien par rapport à eux,ça doit les faire jouir.
    Et Zemmour a parlé à ce monde là. Devant Douillet aussi qui montre un train de vie et des super bagnoles, qui en change. Les pièces jaunes seraient donc transmutées en or !
    Moralité : Zemmour a rejoint sa famille, une famille qu’il ne critiquera pas ; il est chez lui et c’est là le meilleur argument qui tendrait à prouver qu’il n’est pas innocent.
    Parler des trafiquants de banlieue sans faire mention du trafic des lois scélérates et du trafic des pièces jaunes, c’est pécher par omission.
    Applaudissez, dealers en col blanc ! On ne parlera pas des prévarications en haut lieu, là où vous êtes le mieux cachés, en toute impunité.