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  • 1 vote
    bebol bebol 23 novembre 2010 20:45

    Je ne sais pas si elle n’est qu’une potiche sans cervelle, j’ai simplement souvenir d’une confrontation entre elle-même et F. Lefevbre et souvenir qu’elle avait un mal fou à lui opposer quoi que ce soit de solide, de costaud qui aurait, au moins, pu le faire un tant soit peu trembloter de la lèvre pendant quelques petites secondes. Ce qui me fit dire, évidemment, qu’elle n’avait que peu de conviction ou, à tout le moins, pas suffisamment pour se sentir la force de soulever des montagnes.



  • 7 votes
    bebol bebol 17 novembre 2010 19:45

    Quelle terrible humanité que celle qui, à chaque fois, cherche à se débarasser de ces hommes si rares qui ont vraiment le désir profondément ancré en eux d’aider, de soutenir, de développer leur pays, donner force et dignité à leur peuple, enrichir les siens par les biens mais aussi par l’esprit...
     
    Sankara était un grand homme, très grand... Voilà pourquoi il a fallu qu’ils se débarrassent de lui de la sorte : le soleil brûlant qu’il était ne pouvoir seoir à ces cloportes qui, malheureusement, étaient et sont toujours aussi nombreux qu’ils sont forts et impitoyables.



  • 5 votes
    bebol bebol 15 novembre 2010 20:28

    Et ce service d’ordre est d’autant plus étonnant de la part de cet homme se prétendant "du peuple, pour et par le peuple". Le voilà au milieu du peuple et il s’en méfie au point d’avoir un certain nombre de chiens de garde autour de lui. C’est pitoyable.
     
    Quant à la question sur Bilderberg, je suis un peu comme vous : elle est, à tout le moins incongrue, déplacée et peut-être Besancenot ne se voyait pas discourir à ce sujet à ce moment-là... Peut-être encore moins du fait que Krivine n’était pas à ses côtés pour lui souffler quoi dire.
     
    Dieu sait que sur le plan économique, je me sens très proche de l’anticapitalisme, mais il n’en reste pas moins que voilà un personnage du monde politique qui ne m’inspire aucune confiance.



  • 2 votes
    bebol bebol 12 novembre 2010 19:05

    La dictature que nous subissons en France ? Parleriez-vous de Sarkozy, ce président élu ? Parleriez-vous de ce président qui emprunte les mêmes chemins de l’agressivité verbale dans les débats télévisuels qui, me semble-t-il, ne sont pas des terrains d’affrontement entre deux armées mais des possibilités pour le téléspectateur de prendre mesure des diverses pensées s’animant en France ?
     
    Parleriez-vous, donc, de Sarkozy qui oeuvre, lui, en ce moment-même à la destruction de notre société, de nos liens sociaux et culturels ? Ou bien d’un Gollnish dont l’action politique, jusqu’à aujourd’hui, se limite à très très peu de choses ?

     Ah non, il semble bien que vous parliez de Gollnish... Et non de Sarkozy.
     
    Assumer mes idées de merde ? Si vous m’aviez lu, vous auriez compris que ni le F.N ni les idées de Gollnish me conviennent, que Mélenchon n’a pas encore perdu totalement mon soutien (personnage dont j’ai lu le dernier bouquin, par ailleurs).
     
    Mais pour cela, oui, il faut éviter de penser que l’on vit chez les bisounours (ce que vous faites très joliment) et comprendre clairement ce que dit l’autre plutôt que persister aveuglément et continument dans la défense de ses propres idées sans jamais prendre la peine de prendre mesure de celles d’autrui et l’effet qu’elles peuvent avoir sur des citoyens qui ne méritent certainement pas l’opprobre et la haine.



  • 8 votes
    bebol bebol 12 novembre 2010 13:18

    J’ai écouté le "dialogue" entre Mélenchon et Gollnish avec plus d’intérêt que les quelques mots d’un Cohn-Bendit dont on se demande véritablement ce qui le conduit en ce qui concerne la politique en France.
     
    Et je dois dire que les manières de Mélenchon face à Gollnish sont, dans cette vidéo, profondément malsaines : il le coupe, l’empêche de dire son mot (comme Peillon, d’ailleurs), en arrive à des familiarités bien déplacées ("mon gars"), et se drape -bien petitement à mes yeux- de sa belle tenue de l’universaliste plein d’âme et d’amour pour tous... sauf le F.N. évidemment ("à faire interdire", bien sûr).
     
    Je n’ai rien pour Gollnish particulièrement, ni le F.N. mais il reste évidemment que l’homme a une tenue et une politesse envers les autres dont ces derniers devraient bien prendre exemple, au lieu de la jouer constamment entre l’insulte, la vulgarité, la provocation, l’indignation feinte, la petite moraline et, de fait, l’intolérance la plus crasse.
     
    Mélenchon m’intéresse de moins en moins et mes doutes à son sujet prennent la forme de plus en plus certaine du dépit, de la déception aussi. Un pion au service du P.S. se fait-il de plus en plus l’image... Malheureusement.

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