@Éric Guéguen Vous n’êtes pas ans savoir que pour la mère il faut un père, que pour le yin il faut le yang, que la terre a besoin d’être fécondé par le ciel.
Avec la nation seule vous n’arriverez à rien si vous n’y ajouté pas une verticalité.
Pour votre deuxième question je pense vous y avoir répondu en vous disant "vous feriez mieux de vous assumer comme chrétien et de défendre votre église".
@Éric Guéguen On sent bien chez vous le désir de réintroduire de la virilité dans l’acte citoyen, ainsi vous faites appel à la nation. Seulement la nation n’a rien de virile : c’est la mère, celle qui nous materne. C’est elle qui prodigue l’assistanat que vous conspuez.
Au moins les allemands y joignaient les oriflammes et une mythologie guerrière. La nation seule ne vous servira a rien. Pas d’axe, pas de verticalité, pas de direction, pas de transcendance.
La nation et son corolaire l’état nation, est une invention de la révolution française, celle qui fit tomber l’ancien régime dont l’église.
Sa fin a été annoncée en 1943 par un soldat allemand de l’hôtel Majestic dans un petit ouvrage s’intitulant "la Paix".
Vous feriez mieux de vous assumer catholique et de défendre votre église plutôt que d’essayer de sauver ce qui causa sa perte.
Je dis moi que le christianisme est pervers. Pourquoi ? parce qu’il idéalise l’homme.
Et que cette idéalisation de l’homme a pour corolaire la diabolisation de l’autre.
C’est cette diabolisation de l’autre qui produit l’intolérance à l’égard de l’hérétique.
Nous sommes le bien donc vous êtes le mal, donc nous devons nous détruire. C’est le raisonnement d’Augustin.
Le Coran dit autre chose "Concourrez pour le bien, Nous vous départagerons de vos disputes".
Ce qui veut dire que chacun est appelé vers le bien, indépendamment de ses croyances, et c’est Dieu qui jugera, dans le temps eschatologique, de celui qui a le mieux réussi.