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thepouet

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  • 3 votes
    thepouet 26 juin 2013 06:18

    Je simplifie, :

    Gauche gauche droite puis

    gauche droite droite

    puis on reprend.

    Ca va, ça va on a compris, et on est d’accord. OK.

    Ensuite ?

    On reprend la souveraineté, nous quittons l’Euro, OK .

    Ensuite ?

    On continue comme avant, chez nous ?

     

    Puis-je simplifier, à mon tour, sans passer par des 2 puissance n ?

     

    Il y a les monétaristes

    Et il y a ceux qui se réclament de l’économie physique.

    Point barre

     

     

    Je ne connais pas de « isme » pour les désigner, mais excepté le mouvement de Larouche et Cheminade, je ne vois pas où cette question est centrale ?

    Ni chez NDA, ni MLP, ni Asselineau, ni JLM etc.

     

     

     

    Donc, comme dit l’ami FA, je simplifie : ( enfin j’aimerais mais bon je développe … ^^ )

     

    D’un côté, il y a l’économie physique, celle dont la problématique est « d’améliorer le potentiel de densité démographique relative » ( Leibniz ), autrement dit d’améliorer les conditions d’accueil des générations suivantes. ( Donc pas exactement le monde selon la City et Wall Street , entendre la priorité n’est pas le profit ou l’argent )

     

    Une réponse toujours plus juste aux questions d’infrastructures, d’énergie, de système social est, dans cette conception, prioritaire sur celle de rentabilité, usure pardon financement et autres paradigmes monétaristes, lesquels « oublient » de placer l’humain au centre.

     

    Dans cette conception on peut presque affirmer que l’argent est un accessoire, c’est l’huile autour de votre mécanique, mais ce n’est, à l’exact opposé des conceptions monétaristes, en aucun cas le but, la raison finale, ce n’est que la substance irriguant une économie qui pour une fois n’usurpe pas son nom : l’économie réelle.

     

    Si, d’un coup de baguette magique, l’économie « officielle » se déclarait être au service du peuple et de l’accueil des générations suivantes, la même fée imposerait nécessairement un plateau de jeu dans lequel les projets ( et la pensée ? ) à long terme ne seraient plus bridés par ces principes de jeux qui veulent que l’argent aspire l’argent et non irrigue une économie limitée à servir de prétexte au tripot ou de bête à dépecer. (donc taux change fixe notamment en complément de qui émet la monnaie )

     

     

     

     

    De l’autre côté, le monétarisme, le système actuel, en faillite qui plus est, ce qui ne semble pas préoccuper tant que ça F. Asselineau, ( ???) et cette question est liée une fois de plus à la conception de ce qu’est l’argent, ou plus exactement à ce qu’on aimerait qu’il soit. Normalement c’est un droit régalien, l’état fabrique point barre ( art 1-8 de la constitution américaine, constitution systématiquement violée par l’empire depuis 200 ans et plus encore par la FED 1913 …)

    Comment se fait-il que MR Asselineau, qui veut ramener la souveraineté au peuple, oublie régulièrement de parler des armes contre ce monétarisme qui va nous tuer ? ( j’exagère à peine, projetez à + 25 ans… )

     

    Les armes, c’est le Glass Steagall d’abord, (séparation bancaire) la sortie de l’Europe n’est qu’un accompagnement, pas l’action elle même qui castrera l’oligarchie et son argent fictif, qu’elle a réussi à refiler aux nations. Argent fictif, toxique, illégitime mais au nom duquel les sauces grecques, chypriotes, espagnoles, allemande nous serons bientôt imposées.

     

    Par tout cela, je ne vois pas le très monétaristo-compatible Asselineau être très gêné.

    Or comment se défaire du joug de l’Oligarchie dans une dangereuse situation de crise autrement que la solution appliquée dans des conditions similaires : Roosevelt en 1933

    Ah merde, c’est vrai, FA n’aime pas l’Amérique.

    Bon je corrige : Ne touchez pas à la finance ! Faites comme fait ici Asselineau avec Cheminade lorsqu’il parle de l’élection présidentielle 2012 : ignorez la question de la finance ! On n’a pas que ça à faire hein, on a un combat à mener contre le système nous hein !

     

    Diviser pour régner ?

     

    Le sympathisant lambda pour FA suggère volontiers ou souhaite un rapprochement entre résistants contre l’UMPS.

     

    C’est légitime, mais sur quelles idées communes, quels paradigmes économiques ?

    Quel diagnostique poser sur la situation, les banques en faillite ou pas ? Etc.

    Y’a du boulot pour se comprendre, avant même de tomber d’accord ! …



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    thepouet 20 juin 2013 03:21

    Exact Hieronymus, tu « ne cherches pas à taper sur S&P ou à flinguer Cheminade »

     

     Je souhaiterais ajouter « chercher à obtenir des brevets d’anti-facisme », c’est pas le but et c’est le cadet de leur soucis à mon avis ! Cela n’intéresse ni S&P ni le mouvement de papy Larouche … qui déjà il y a 40 ans ouvrait les yeux à qui acceptait d’entendre ! ( et on avait quel âge en 1973 hein hein ? smiley )

     

    Simplement, n’établissons pas nécessairement de rapport de cause à effet, constatons des choses, ne tirons aucune conclusion qui nous diviserait tous stupidement, en revanche, constatons à chaque fois que possible, le, on dira le CV, des acteurs de ce fascisme financier rampant.

     

    En passant :  Ultra-libéralisation, libre échange ( libre …^^ y’a pas moins libre, sauf à moyens égaux ! ), fascisme et nazisme, eh bien je me demande si au fond tout cela n’est pas qu’une question de degré ? On pousse le curseur, mais l’axe est le même.

     

    Bon Dieu, les Bilderberg, le WWF (fer de lance idéologique du fascisme vert, vaste sujet), les Milton Friedman ou même Keynes concédant que son machin marche mieux au sein d’un système un petit peu autoritaire, toutes ces étonnantes émanations britanniques ont, de l’une à l’autre, plein de « compatibilités » et bien des gens en commun, non ? Oh pas tous avec le nazisme. Pas tous, enfin si en fait,  avec la doctrine du libre échange à outrance et du monétarisme. Pas tous en partageant des conceptions malthusiennes de l’humanité ou des opinions tranchés sur l’eugénisme. TOUS en revanche ont en commun de refuser de partir d’un paradigme économique consistant à accroître un mieux vivre en commun d’une génération à l’autre. Concept qui implique de tirer le fil dans toutes les dimensions qui s’imposent devant une si gigantesque question.

    Tous ont en commun de refuser … quel mot employer, en un seul mot, don’t exist !!

    Ce n’est pas si évident de défendre des idées qui ne sont pas représentées en un mot un seul !

     

    Par exemple le capitalisme, on sait ou croit savoir ce que c’est. Idem pour le communisme, l’écologisme, etc., on sait ou croit savoir, ce que c’est.

    Ben le Larouchisme, ou le Cheminadisme, mais on va quand même pas appeler ça comme ça, ben non, il n’ y a pas de nom, à part dire de revenir à une économie physique authentique, la seule par définition, à viser le bien commun, à en faire sa préoccupation, celle de laquelle on ne voit pas qu’on s’écarte dangereusement.

    .

    C’est pourtant en mesurant l’écart entre, d’une part, ce qui consiste en une économie physique dédiée autant qu’elle le peut à un mieux vivre global, et d’autre part ce qui est sous nos yeux, de fait, qu’on voit jusqu’à quel point on se rapproche du fascisme, car il faut appeler un chat un chat. Ce qui est sous nos yeux, c’est une gigantesque machine, limite maffieuse, dont ni la nature ni la fonction ni l’esprit si j’ose dire ne serviront à éviter l’enfer, et qui pourtant ont le sort des nations  entre leurs mains. Voilà : la mesure de la distance entre ces deux notions, un peu floues, pardon, donne un état des lieux fort peu brillant.



  • 3 votes
    thepouet 23 mai 2013 04:59

    Pour la bataille visant à atteindre une séparation totale des activités bancaires, préalable incontournable à une ré-appropriation de notre futur, c’est là


    L’économie physique a commencé à décliner en réalité dans les années 70, peu après le décrochage de la parité or-dollar ... Ca ne s’est pas trop vu car dans le PIB, la part des services a lentement et régulièrement grignoté sur celle de la production, masquant une réduction effective de production par habitant.
     25 années plus tard, nous nous réveillons et nous rendons compte qu’une économie au service du peuple, ce n’est pas seulement acheter-revendre plus cher et basta. Le fantastique libre échange est libre surtout pour les puissantes multinationales et autres capitaux apatrides, réalisant à l’occasion des ravages économiques présentés comme la faute à pas de chance …

     

     


    Libre échange, monétarisme, dérégulation, financiarisation à outrance, titrisation, argent toxique, paradis fiscaux, tous ces machins là, même quand ça marche, ce n’est pas cela in fine qui fait vivre plus dignement un peuple, ni ne prépare le pot au feu. Quand on aura abattu le dernier arbre, on se rendra compte que l’argent ne se mange pas, pas plus que tous ces machins là, dont aucun ne contient en lui la moindre notion renvoyant à un mieux vivre en commun, cela aurait pu !

     

     

    J’aurais aimé dans cet entretien intéressant entendre quelque chose sur l’analyse des paradigmes économiques qui nous ont mené là ...
    En effet, nos économistes sont-ils si bêtes, si aveugles ? Ne voient-ils sincèrement pas à quel point leurs très monétaristes paradigmes sont si éloignés de l’économie physique qu’ils vont laisser les peuples en crever ? N’ont-ils jamais lu ni Larouche, ni Cheminade ? Qui, eux, nous fournissent depuis 20 ans déjà une analyse qui heureusement commence ici et là à être reprise. Bon, devant l’évidence …

    Bref jusqu’à quel point peut-on circonscrire des questions au champ économique sans déborder sur le champ politique ?

    Le politique a le droit mais aussi le devoir d’exiger de l’économie d’offrir le meilleur monde possible à ses enfants.

    Un truc encore :  accepter d’intégrer que ce monde, cette méga-organisation économique fonctionne selon les règles d’un empire, c’est comme ajouter des épices à un bon plat ou c’est comme dire 1, ce n’est plus 1 mais (1,i ) et hop, s’ouvre tout un univers de nombres complexes, permettant des analyses plus incisives.

    J’aime bien Berruyer mais il reste trop gentil avec un système qu’il ne nomme pas. C’est pas F Hollande, certes. Mais, aucune inquiétude, la city survivra doucettement à un tel « activiste » !



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    thepouet 17 mai 2013 17:11

    Eh ben ! Bientôt les pastilles de polonium serviront à parier sur les assurances vie !

    Voilà ce qui arrive quand on accepte que tout aie un prix, y compris la vie et la santé.

    L’eau de pluie, les légumes du jardin, l’air bientôt, en bourse ?

    Ca me rappelle le très libéral programme NICE de Tony Blair, duquel était largement inspirée la réforme de santé d’Obama en 2009, que les média nous ont vendue comme une grande mesure égalitaire patiti patata. Et on voit les profits au privé, des coupes drastiques dans les dépenses de santé, ceci en accordant prioritairement la survie aux éléments « rentables » ou pourvu d’une grosse carte bleue. Pour cette pikouze de chimio à 1000 $, veuillez repasser après votre cancer, ou revendez votre assurance vie si vous voulez celle-ci garder !

    A-t-on songé déjà que ce genre d’horreur, et bien d’autres seraient taries à la source … dans un monde sans la City, ( CAD sans le SYSTEME de la city : un nouveau Bretton Woods et au préalable, un bon vieux Glass Steagall Act, ce coup de hache impliquant la mise en faillite de l’argent spéculatif des produits dérivés,),

    Oh ça se masturbe beaucoup en évoquant la recherche de la cause des causes, mais telle un Chomsky aussi intelligent qu’inopérant ou inoffensif, pourquoi une si digne investigation ne tombe-t-elle jamais sur cette idée simple, claire, lumineuse qui est d’isoler les activités bancaire selon qu’elle relève du casino ou de la vie réelle. Pourquoi cette juste recherche « oublie »-t-elle de passer à la guerre, sauf lorsqu’il s’agit de surfer sur les effets d’annonce, où là, on retrouve tout le monde ?

    Sur FR3, tout en parlant copieusement de séparation bancaire pendant 1h, ils ont réussi la prouesse de ne pas citer celui qui appelle à cette séparation, sans relâche depuis 4 ans, au début dans le désert. Qui a reconnu Cheminade, dont le combat consiste justement à nous alerter contre le genre de dérive décrites dans ce film, et plus encore contre le système qui les génère.



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    thepouet 22 avril 2013 18:20

    Non non, je me suis mal exprimé, pardon !
    Oui, bien sûr S I H affirme que dajjal, sera incarné par une personne humaine, au temps du dajjal où un jour = un jour. ( Qui a lu R. Steiner y trouvera éventuellement des analogies Dajjal - Ahriman, cet esprit du faux, du mensonge et de la froideur )
    J’ai commis une 2e erreur, en plus de celle d’expression, que chacun aura corrigée, j’espère :
    dajjal = sionisme et non dajjal = juif !
    Par rapport à la problématique de ces deux vidéos de S&P, ce n’est pas très important, il faut bien se le dire.
    Ce que m’intéresse, c’est de constater des convergences entre des approches entièrement différentes.
    Si un paradigme est faux ou frauduleux ( cette escroquerie du système monétaire depuis 1971, post Bretton Woods ), sa fausseté sera dévoilée tant par un examen sous l’angle économique (Larouche ) que par une approche religieuse ( SIH ).
    Après tout, ces approches sont toutes deux inspirées par la recherche d’un avenir meilleur pour l’humanité. Que les polémiques sur tel ou tel désaccord ne servent pas à perdre de vue le fond du problème !
    Bref, mettons fin à ces absurdité afin de réintégrer plus de justesse dans ce système de riba :
    vite Glass Steagall, le reste n’est que poudre aux yeux, illusion de résistance, ou résistance impuissante. Tel pour l’eau, nous voulons un réseau d’argent potable, et l’autre réseau, celui de l’argent sale, toxique, spéculatif n’a pas à être renfloué quand il connait des problèmes.

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