@ezechiel
Si je comprends bien c’est aussi déshonorant de participer au rassemblement de l’UOIF - d’y être inviter en tant que conférencier - que d’aller au dîner du CRIF !
Ca me va.
Dans le cas contraire, votre commentaire n’est qu’une tentative d’amalgame destiné à brouiller le message de mon post qui rappelle qu’il y a bien quelque chose de pourri sous le ciel d’Israël car il semblerait bien que ce soient les voyous qui dictent sa conduite.
Pascal Boniface insulté et bousculé à l’aéroport de Tel-Aviv,dans l’indifférence générale ! Décidément, il y a bien quelque chose de pourri sous le ciel israélien et plus grand-chose à sauver non plus.
Ici en France, pas un commentaire, aucune prise de parole individuelle, pas un mot pour dénoncer cette agression délibérée : seul un compte-rendu dans le pure style d’une dépêche de l’AFP est privilégié : ni dénonciation, ni solidarité, ni compassion.
Là, force est de constater qu’il ne s’agit plus simplement d’un "deux-poids-deux-mensures" d’un cynisme consommé mais bien plutôt d’un désir punitif qui a pour arme "le silence" ; un silence qui en dit long : "Boniface ne méritait pas mieux !" Voilà ce qui nous est hurlé ! Punition que l’on réserve à tous ceux qui disent la vérité à propos de ce qu’il nous faut bien nous résoudre à appeler "Israël en France" - sionisme et chantage à l’antisémitisme -, de Dieudonné en 2003 (ceux qui ont cru pouvoir en réchapper en restant indifférent au sort de cet humoriste dans les mois qui ont suivi son sketch sur France 3, en seront pour leurs frais !), à Pascal Boniface en 2018, sans oublier ces milliers d’anonymes dont les carrières ont été brisées : universitaires, hommes et femmes politiques, journalistes et artistes. La France n’a plus rien à envier au maccarthysme des années 50 (aux USA) : après la chasse aux communistes, la chasse à tous ceux qui refusent de se taire à propos de cet "Israël en France" et de ses officines (CRIF, UEJF) est ouverte.
Tous les amoureux de la liberté d’opinion doivent se faire entendre sans hésiter et sans tarder.
Un bon journaliste c’est un journaliste au chômage ou bien un journaliste à la tête de son propre média au service d’une information honnête, avisée et qui se fait l’écho de tout ce qui est pensé sur un sujet donné : ce qu’on appelle "un journalisme de toutes les intelligences et opinions".
On appellera de nos voeux une presse qui nous présentera tout ce qui se pense sur un sujet en particulier et pas simplement ce que la rédaction du journal souhaite donner à penser à ses lecteurs.
Car à bien y réfléchir, les journaux indépendants financièrement ou pas (après tout, le groupe médias Lagardère est lui aussi financièrement indépendant), sont libres de tout sauf de l’opinion de ceux qui les dirigent, lesquels sont à l’origine de tous les choix éditoriaux qui sont faits. Or, des choix éditoriaux n’ont jamais fait avancer l’information quelle qu’elle soit sur quelque sujet que ce soit car, si un journal peut être libre, il ne l’est sûrement pas de sa propre propagande – choix par avance biaisé donc parce qu’en faveur d’une information aux couleurs du drapeau de la rédaction du journal.
L’avenir n’est pas à « une information libre » qui n’est qu’un slogan… non, l’avenir est bien à toute l’information disponible sur un sujet donné ; une information qui, à un instant T, reprendrait toutes les analyses produites. Et cet avenir-là, qu’on le veuille ou non, souhaitable ou pas, c’est Internet et son temps réel qui l’a déjà sculptée et rendue quasiment inévitable.
@Hieronymus
C’est précisément ce que j’écris à propos de Lacroix Riz : qu’on ne pourrait pas lui faire confiance à propos de l’histoire du PCF et de la Révolution russe. D’où ma conclusion : nous avons besoin de l’amnésie de tous les historiens car il n’y a plus tête en l’air qu’un historien ; et l’Histoire c’est la guerre.
Au fond, tout au fond, Zemmour c’est la continuation de la guerre d’Algérie par d’autres moyens.
Zemmour n’est autre que le fils de ses parents et d’une seule histoire : la leur - colonialisme, Algérie française, guerre, OAS, expatriation, ressentiment ad vitam æternam ; histoire qu’il a faite sienne.
Zemmour qui n’a de cesse de régler les comptes de ses ascendants sans jamais les solder, contre les Peuples colonisés, aujourd’hui "indépendants", et leurs descendants français ou non.
Et c’est sans doute là son drame le plus intime : Zemmour n’aura finalement rien choisi pour lui-même et de lui-même ; il n’aura fait que subir une histoire traumatique : celle de ses origines.
Et si Zemmour n’était in fine qu’un petit machiste méditerranéen mal dégrossi (bien que malingre) qui n’a jamais vraiment quitté son bled (et ce bien qu’il n’y soit jamais né ni allé !) ni les jupes de sa mère dont il n’a de cesse de louer le dévouement, dans sa cuisine dès 6H le matin toute sa vie durant, devant ses fourneaux jusque tard le soir, pour le grand bonheur d’Eric Zemmour enfant, et le plus grand malheur de tout ce dont on est en droit d’attendre d’un être humain : intelligence, générosité, compassion et courage.
Quant à l’utilisation du terme « féminicide »(un quasi concept aujourd’hui) à propos de l’affaire Daval et à tout propos en ce qui concerne les « crimes passionnels » dont les victimes sont des femmes, telle que « Alexia Daval est morte parce qu’elle était une femme ! » -, c’est sûr.... toute l’histoire judiciaire des "crimes passionnels" et ceux qui l’accompagnent (avocats, psychiatres, procureurs, juges d’instruction, historiens) doivent hurler à la bêtise à la lecture d’une telle affirmation digne d’un discours militant, le pire des discours ; discours aveugle et mensonger. Les crimes "conjugaux" prennent pour cibles les femmes car 99% des unions sont hétérosexuelles et dans cette union, l’homme est généralement le plus fort d’un point de vue physique. Bien évidemment, il en va tout autrement lorsqu’il est question de crimes commis par un tueur en série qui prend pour cibles les femmes et seulement celles-ci.
@Hijack ...
Il est vrai que la justice se trompe rarement lorsqu’elle commet une erreur : elle cible le plus souvent les classes populaires ; des foyers sans moyens financiers et relationnels ( pas de réseau d’influence) pour faire face et se défendre ; puis, dans un de ces foyers, celle ou celui en particulier le moins instruit, le moins articulé, le plus fragile psychiquement. C’est une constante dans les erreurs judiciaires les plus préjudiciables : des années de prison à tort.
Tiens ! Fillon a le droit à la théorie du complot et BFM-TV de nous en exposer le comment et le pourquoi.
@Hijack ...
"Les affaires Dills et Daval n’ont rien en commun "
@Yakaa
Et les miens aussi ..... d’où ma correction.
@Hijack ...
"On sent fout de savoir dans quelles conditions les aveux de Jonathann Daval ont-ils été obtenus"
Faut croire qu’il y a deux catégories de journalistes dans le fait-divers : ceux qui se font les porte-parole des enquêtes et des instructions - parole policière et judiciaire - et ceux que l’on retrouve bien des années plus tard au moment de la libération du coupable maintenant innocent parce qu’ils y ont contribué.
@albert123
Très juste....
Moix et Angot sont invités à participer aussi...
Pour prolonger
https://www.agoravox.fr/tribune-libre/article/gerard-miller-a-la-direction-de-le-198881
Les plus futés auront très vite compris que ce voyage en Afrique n’est pas destiné à une audience africaine mais bien française ; on notera au passage que les interventions de Macron, amplement relayées par les médias, sont destinées à flatter le parti-pris d’un électorat qui s’étend du centre-gauche à l’extrême droite ; aussi, ce voyage, c’est encore Macron qui ratisse large et qui ne cesse de ratisser très large ; un Macron en campagne, condamné à l’anecdote et à la démagogie dans un franc-parler qui, là encore, flatte toutes les ignorances, tous les préjugés et autres partis-pris. Après les "fainéants", les faiseurs de bordel, les "gens qui ne sont rien"... c’est le tour de l’Afrique et des Africains mais.......vus de l’Europe ; aucune terre ne doit échapper au laboureur qu’est Macron ; rien ne sera laissé en jachère ; c’est d’un cynisme d’une efficacité redoutable digne d’un opportunisme rarement égalé ; mais c’est aussi et surtout dégueulasse car c’est le refus la perfectibilité de l’être humain ; on mise sur un homme stupide et borné, content de l’être, pour mieux servir les intérêts d’une domination : La Fontaine n’a jamais eu autant raison :" Tout flatteur vit aux dépens de celui qui l’écoute". Les imbéciles paieront cher, très cher, cette complaisance de Macron à leur égard.
C’est sûr ! Rien n’est plus politique que Dieudonné le métis qui porte en lui l’assurance du maître et la révolte de l’opprimé - un métissage qui est une force ! Dieudonné, son public, ses détracteurs et tout ce qu’un gouvernement est capable de mettre en oeuvre pour tenter de le faire taire hurlent à la politique. Même le silence de ceux qui ne pipent mot, terrés et terrorisés à l’idée de rendre justice à son immense talent, hurle politique, hurle à la politique.
Tout est éminemment politique sur le phénomène Dieudonné. Et c’est là que toutes les forces coalisées se rejoignent et œuvrent et tirent dans le même sens, tous tenus d’obtempérer - Dieudonné ne s’exprimera pas, il ne doit pas être entendu ! - jusqu’au ridicule et la honte, l’épuisement pour d’autres.
Un Dieudonné Spartacus du rire, là où l’humoriste, ainsi nommé, cesse d’être un esclave et ce faisant, libère tous les autres humoristes de la malédiction d’un humour tiroir-caisse, un humour de flagorneur, et pour voie de conséquence, un humour affligeant comme tout ce qui rabaisse l’homme à ce qu’il croit savoir de lui-même, qui n’est le plus souvent que ce qu’on a daigné lui enseigner ou bien ce qu’on a souhaité lui faire espérer de lui-même et des autres.
Dieudonné bel et bien le plus grand satiriste-activiste français depuis DADA, les surréalistes, Alphonse Allais, Jarry... et plus tôt, bien plus tôt : Molière : pour prolonger - http://litteratureetecriture.20minutes-blogs.fr/archive/2017/09/25/dieudonne-le-phenomene-938850.html
Nabe s’est mal remis de l’échec de sa tentative en 2001 de rallier à lui tous ceux qui, en France, s’étaient réjouis des événements du 11 Septembre - il souhaitait cibler en priorité… les Français de culture arabo-musulmane -, avec la publication de l’ouvrage "Une lueur d’espoir" – comprenez : espoir pour les Nations arabes suite à ces événements -, qui fait l’éloge de Ben Laden, ange exterminateur et vengeur d’une Amérique dont il n’y a plus rien à sauver.
Nabe commettra une erreur : il refusera de questionner la version des événements de ce mois de Septembre 2001. Comment le pouvait-il quand on connaît ses motivations réelles ? A ses yeux, ces événements devaient être l’œuvre de Ben-Laden seul. Or, les « Arabes de France » ont voulu le beurre et l’argent du beurre : un « Ben Laden tout puissant » et la dénonciation des opérations sous fausses bannières, ou faux drapeaux, de l’Etat profond américain (CIA et NSA) ; Thierry Meyssan, lui, l’a fait ; il parlera d’imposture à propos de la version US des événements du 11 Septembre (vidéo ICI), et c’est lui qui « raflera la mise » ; Soral et Dieudonné aussi après Houellebecq en ce qui concerne la reconnaissance littéraire et toutes les facéties des médias qui vont avec.
Dépité, Nabe tentera de se faire oublier ; et il aura au moins réussi ça ! Après un ouvrage sur DSK jugé "ingérable" par les médias... très vite, Nabe est allé cuver son échec comme on cuve un mauvais vin ; il est retourné à la peinture… ou bien plutôt… au dessin, coloriste pas dépourvu de talent
Pour poursuivre : .http://litteratureetecriture.20minutes-blogs.fr/archive/2016/01/02/marc-edouard-nabe-un-regard-sur-ses-annees-2000-924995.html
Les raisons avancées par Nabe pour son attaque frontale contre Soral et Dieudonné ( leur complotisme) ne pèsent pas en comparaison des attaques dont ces deux protagonistes font l’objet par le Système depuis dix ans ; pour cette raison, la démarche de Nabe chez Taddéi servait admirablement les détracteurs de ces deux activistes ; l’attaque de Nabe apportait de l’eau à leur moulin, sans l’ombre d’un doute ; le fait que Nabe n’en ait tiré aucun profit ne change rien à l’affaire : Nabe a joué avec le système pour contribuer à discréditer et diaboliser Dieudonné et Soral (antisémitisme - et nouvelle charge portée par Nabe : complotisme )tout en se sabordant une deuxième fois : mais ça, Nabe en a l’habitude puisqu’il est son pire ennemi. D’autant plus que la thèse d’un Dieudonné et d’un Soral complotistes est faible, très faible et difficilement soutenable. La guerre faite à Soral et à Dieudonné concerne principalement le fait qu’il ait "dit la vérité " quant à l’influence du sionisme sur la France : politique étrangère, contrôle de la parole dans les médias, pouvoir d’intervention sur les affaires culturelles et le financement artistique ; influence à propos de la question palestinienne ; culpabilisation et diabolisation de tout soutien des populations françaises d’origine arabo-musulmane en majorité, en faveur de la cause palestinienne ; leur dénonciation à tous les deux de la LICRA, de l’UEJF et du CRIF comme officines israéliennes, est la principale raison de leur persécution.
Nabe ne peut pas l’avoir ignoré. Nabe, dans le déni, fait donc preuve d’une mauvaise foi consommée, mâtinée sans doute aussi d’une gêne proche de la honte (et le remords ?) ; le déni, seule sortie de secours pour Nabe contre les attaques qui lui ont été adressées par la "dissidence" après sa prestation télévisée.
Dans les faits, Chez Taddéï, Nabe a bel et bien cherché à retrouver le chemin des médias et à faire le buzz sur le dos d’un Soral et d’un Dieudonné car Nabe n’a jamais assumé ses choix et leurs conséquences : le bannissement des médias main-stream d’autant plus que ce sont eux qu’ils l’ont fait (dans les années 70) ; ces mêmes médias ; et c’est là toute sa faiblesse contrairement à Soral et Dieudonné qu’internet à sauver de la menace de l’oubli tout en se donnant les moyens d’y parvenir. Nabe, hélas pour lui, n’a rien mis en œuvre à la suite de son bannissement. Il souffre de cet isolement, c’est sûr ! Enfant du showbusiness, rien n’est pire pour lui que ce silence, cette indifférence de la scène médiatique à son égard.
Son attaque contre Soral et Dieudonné, c’est indéniablement une attaque contre leur succès car force est de reconnaître Dieudonné et Soral n’ont jamais été aussi présents que depuis qu’ils sont absents.
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