C’est amusant de faire de quelque chose de normal, découvrir, voire s’installer dans un autre pays, le syndrome d’une soi-disant faillite du pays d’origine.
Des Français s’installent à l’étranger : et alors ?
L’auteur oublie toujours de préciser que n’importe qui peut faire un jour partie desdits « privilégiés » : il suffit de passer un concours.
Et oui, cette fameuse caste est ouverte à tou(te)s !
Et j’aime à rappeler qu’en tant qu’employé d’une banque privée, vous participez par vos différents frais bancaires à payer mon salaire, mon intéressement, ma participation, ainsi que toutes les prestation de mon CE (chèques-vacances, locations préférentielles, etc.). Et à celui qui pense qu’il peut échapper à une banque, qu’il m’explique comment ?
Pour démystifier la coïncidence des proportions, il faut déjà se poser le bonne question.
Pourquoi insister sur les mesures en mètres ? Alors que s’agissant de rapport de distances entre elles, l’unité n’a aucune importante A/B=C, que A et B soient exprimées en mètres, miles, coudées, pieds ou que sais-je !
Quant à l’omniprésence de Pi et du nombre d’or, la réponse est dans le documentaire lui-même : les égyptiens ont très bien pu prendre effectivement pour étalon de mesure la distance que « l’informateur » nous montre lui-même : pas besoin de connaitre Pi ou le nombre d’or pour le faire : il suffit juste de savoir tracer un cercle. Ensuite, puisqu’utilisé comme étalon, alors nécessairement Pi et le nombre d’or se retrouvent partout dans la pyramide !
Autre jeu : mesurez vous sous toutes les coutures : bras, avant-bras, jambes, tronc, circonférence de la tête, du cou, de la taille, etc. Rapportez les les une autres aux autres (avec des différences, des racines carrées ou je ne sais quoi d’autre), et vous tomberez rapidement sur une valeur approchée de Pi, e, c, etc. Quand on cherche, on trouve !
Au fait, si l’on rapporte la base de la pyramide à sa diagonale, on trouve la racine carrée de 2 : incroyable ! Les égyptiens n’avaient pourtant pas de calculatrice !