La règle est simple pour ces élites autoproclamées : si le vote du peuple va dans le sens des élites autoproclamées, alors on appelle ça « démocratie », mais si le vote du peuple va à l’encontre des desiderata de ces mêmes élites autoproclamées, alors on appelle ça « dictature de la majorité ».
En gros, toute cette racaille politicienne est démocrate à condition que cette démocratie soit « encadrée » et que le peuple ne puisse jamais s’autodéterminer.
Contradiction de haïr le pays mais d’y vivre, contradiction d’accepter une nationalité qui n’est pas la leur et ne peut pas l’être, contradiction d’arborer le drapeau algérien à certaines occasions (si leur Algérie était si belle, que foutent-ils en France ?), contradiction de semer zizanie quasi systématique à toute réunion autochtone qui se voulait festive, contradiction d’essayer de nier à toutes forces l’existence des Européens de souche, contradiction de se reconnaître entre eux immédiatement (« je suis allé au bled, pas un seul Français dans l’avion), bref toutes les contradictions liées au déracinement.
Et comment en serait-il autrement puisque ce mode de relation simplement polie tranche avec l’ordure quotidienne due à la présence massive de ces déracinés qui souffrent de vivre dans la contradiction permanente ?
Il suffit que le niveau de conversation soit un peu élevé, ou soit simplement policé, avec vouvoiement aristocratique (d’ailleurs même ceux qui défendent nos valeurs mais dont les origines sont « là-bas », et l’avouent un peu misérablement sur ces fils, pratiquent le tutoiement qui sent bon la racaille, c’est à cela qu’on les reconnaît : la racaille tutoie, la racaille n’a toujours pas compris que, même sur Internet, c’est strictement impossible), il suffit donc que le niveau de conversation soit un peu élevé, soit simplement policé, avec vouvoiement aristocratique, pour qu’on évoque très vite les très fameuses « chances pour la France ».