Ægidius REX

Ce qu’il faut voir, c’est que la prise de conscience est désormais généralisée, que la résistance s’organise, il est quasiment impossible que deux Européens de souche se rencontrent par hasard n’importe où et discutent, pour que, sans qu’il n’y ait volonté aucune d’invoquer particulièrement ceci ou cela, tout simplement parce qu’ils n’y pensent pas, on en arrive très vite et tout à fait spontanément à évoquer, d’une manière ou d’une autre, les très fameuses « chances pour la France ».

Le problème de l’Occident, si c’est un problème, c’est qu’il fait confiance à son génie et pense collectivement qu’il pourra toujours s’en sortir quoi qu’il arrive.

D’où ses très molles réactions et son enclin aux procédures (e.g. en Suisse).

Les extracontinentaux supputent que leur jubilation a des limites certaines mais ne connaissent pas encore les moyens qui seront adoptés quand il y aura prise en compte des problèmes liés à l’immigration.

Bien à vous.

Amusante au passage cette réflexion de Monsieur K disant que c’était là « le risque d’une votation populaire » : sous-entendu, en France, on ne risque pas d’organiser un tel référendum car il est hors de question de laisser le peuple se déterminer.

En gros, « nous sommes des démocrates à condition bien entendu qu’il n’y ait de démocratie directe nulle part ».

Bien à vous.

« Que son récit soit vrai ou pas importe peu »,oh ! que c’est joli ! Merci Monsieur, on appréciera votre sens de la vérité.

Seulement, quand c’est un Blanc qui se fait tabasser de façon certaine, car la scène est filmée par la surveillance vidéo, l’agressé ne porte pas plainte pour ne pas « stigmatiser » les très fameuses « chances pour la France » (et de fait, c’était aussi un élève de Science-Po, il aurait mis à mal sa carrière par cet acte politiquement incorrect).

Mais quand c’est une « chance pour la France » qui prétend, sans preuve aucune, avoir été maltraité par la police, là, il y a lieu de se poser la question d’une plainte ,et un buzz Internet s’en ensuit.

Soyez assez honnête pour conclure qu’il y a bien là, et systématiquement, « deux poids, deux mesures ».

Vous savez bien que depuis des décennies, si un Blanc se fait agresser par une « chance pour la France », aucun journal n’en parle car on considère que c’est faire le jeu du FN alors que la réciproque provoque systématiquement un tollé.

Minorité agressée : buzz.

Minorité agresseur : silence radio.

Bien à vous.

Je trouve qu’il a un joli visage pour quelqu’un qui a été gazé deux fois et tabassé.

Au nom de quoi devrions-nous croire son récit ?

Son hésitation à porter plainte n’est-elle pas connexe à la possibilité d’un mensonge ou d’une grossière exagération ?

Si ç’avait été un Français de base, l’information n’aurait jamais été reprise.

Mais une « chance pour la France », là oui.

Plus personne n’est dupe du sens unique.

Bien à vous.