Euh, c’est un sketch , un extrait de film. Je ne crois pas une seule seconde que cela corresponde à une réalité quelconque. Je pense que l’auteur est un farceur qui a pris un extrait de film et qui veut nous le faire passer pour de la réalité. En même temps, avec tous les comédiens qui sont au gouvernement en ce moment, on a du mal à distinguer la réalité de la fiction : des lycéens sont en garde à vue pour une quenelle par contre la racaille elle circule en liberté : c’est la Valls des temps modernes.
Oui je suis d’accord. Son discours sur Dieudonné comme étant l’enfant légitime de Taubira et Désir est ridicule .Déjà, il devrait changer de disque car en 2014, l’aura de SOS racisme est inexistante dans la population .Qui écoute Cindy Leoni ?
Comme vous dîtes, il faut se concentrer sur sa position à l’égard du CRIF et le rapport avec la sortie de Valls. Affaire à suivre en 2014
:) Vous insinuez que cela s’explique oar son appartenance à la communauté Kabyle d’Algérie ?
Plus sérieusement, dans le cas de Zemmour je ne veux pas faire de procès d’intention car globalement sur beaucoup de sujets (Lybie, Syrie, position sur Poutine, critique de BHL) il est plutôt
sur une ligne qui va à l’encontre des intérêts sionistes. Il est même parfois légèrement critique sur le judaîsme en tant que religion .
Donc, je n’ai pas envie de tomber dans le discours il est juif donc il défend sa communauté. En tout cas, pour l’instant je lui accorde le bénéfice du doute. Par contre, dans l’hypothèse où il est sincère dans ses analyses, j’aimerai comprendre comment il peut passer à côté des critiques du CRIF.
Bon, Zemmour montre un peu d’originalité car il n’a pas cotisé : c’est déjà ça. Cela dit, je ne l’entends pas sur le CRIF et là je m’interroge. Que se serait-il passer si une association mulsulmane financée par le Qatar avait fait pression sur Valls pour qu’il interdise une UNE de Charlie Hebdo au motif qu’elle serait un trouble à l’ordre public. J’entends Zemmour très souvent sur le Qatar(et sur d’autre sujets) mais jamais sur le CRIF. Pour l’instant, je ne m’explique pas cette omission.