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Qirotatif

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  • Premier article le 28/03/2018
  • Modérateur depuis le 22/05/2018
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Derniers commentaires




  • 3 votes
    Qirotatif Qirotatif 27 octobre 2018 13:45

    @Norman Bates
    "ou comment mélanger générosité et retour sur investissement..."

    Jacquot, qui s’y connaît en placements, parle d’"altruisme intéressé". 



  • 1 vote
    Qirotatif Qirotatif 27 octobre 2018 13:42

    "Pour en revenir à cette implication des gens en politique, à ces belles idées de démocratie directe, d’initiatives populaires, je crains qu’elles ne soient plus envisageables à notre époque (ou alors très localement) tant le progressisme, via l’éducation, via les médias, via les discours, etc. ont éloigné de leur nature une très large majorité d’individus"

    L’autre aspect qu’EG n’aborde pas (peut-être dans les questions...), c’est le fait que le capital social s’est considérablement dégradé. Ce n’est plus simplement une question matérielle mais un pb de sentiment d’appartenance à une communauté nationale. Il y a désormais plusieurs peuples sur un même territoire en France et naturellement les gens ne se sentent solidaires qu’à la faveur d’événements sportifs (et encore... la victoire des bleus de 2018 n’a pas du tout été la même que celle de 98 dans sa réception par le public) ou locaux. Dans les villages cette solidarité existe (cas de l’Aude... qu’il suffit de comparer avec le cas de Saint-Martin... d’un côté de l’entraide, de l’autre des pillages) parce que ce sont les mêmes familles depuis longtemps. Ailleurs ce ne sont plus que des peuples qui se côtoient mais n’ont plus rien en commun, ni culture, ni valeurs et parfois même plus la langue. Dés lors, inconsciemment, s’engager pour des étrangers paraît inepte à moins que ce ne soit pour défendre ses propres intérêts ou ceux de sa communauté.



  • 1 vote
    Qirotatif Qirotatif 27 octobre 2018 13:21

    Ceci pour expliquer (et non pas justifier) qu’il n’est pas du tout surprenant que certains politicards parlent du peuple* avec mépris : "les sans-dents", "le peuple au sang pourri", "les réfractaires", ceux qui n’ont qu’à gratter "pour se payer un costard" ou encore "traverser la rue pour trouver un travail".

    * dont ils ne font pas partie... eux, ce sont des cadres sup, des employés de puissances qui les dépassent, certes, mais qui sont suffisamment gratifiés pour pouvoir se considérer hors peuple : l’exemple flagrant de cela est Sarko : Quand il a quitté ses fonctions il a déclaré "Maintenant je vais faire du fric"... une manière de dire que, désormais, lui aussi voulait devenir l’employeur, un égal de ceux qui emploient les Macron et cie. Une manière de dire que "les dorures de l’Elysée c’est bien gentil mais je préfère être le proprio plutôt qu’un simple locataire en CDD"



  • vote
    Qirotatif Qirotatif 27 octobre 2018 13:07

    La question de l’échelle est centrale. EG nous dit qu’il faudrait abandonner le syst de vote et que les gens s’impliquent en politique mais je vois deux objections :

     
    1/ Justement la question d’échelle : Dans un village les gens SONT impliqués. Ce sont des amateurs qui gèrent les questions politiques et à qq rares exceptions dans le village (le Maire par exemple qui, pour vivre, a besoin de cumuler des fonctions... autrement il travaille à côté ou bien alors, le cas très fréquent, il est à la retraite). A l’échelle d’une ville, les problématiques sont plus complexes : voirie, sécurité, transports, politique du logement, éducation... tout est plus complexe et nécessite des professionnels. A l’échelle de la nation, la complexification devient telle qu’il ne peut plus exister des amateurs. 

    2/ La plupart des gens veulent être dirigés. C’est une réalité humaine, un fonctionnement presque "normal" qui fait qu’il y a peu de chefs et bcp de gens qui suivent. Le chef récolte les honneurs mais également assume (en principe) les responsabilités. Quand on observe des groupes humains, par exemple en entreprise, en réalité très peu de personnes (5%) veulent prendre des responsabilités. Il est bien plus confortable de laisser un autre faire et juger (sans connaître ses contraintes) son travail. La féminisation des esprits, à travers le commérage, le jugement permanent, la critique d’autant plus acerbe qu’elle vient de gens qui en font le moins possible, est devenue courante. La raison pour laquelle les petits projets, les start-up fonctionnent est souvent lié au fait qu’en équipe réduite, ce genre de mentalité se remarque. Dans des plus grands ensembles cette mentalité peut se diluer. Cela se remarque bcp dans le syndicalisme où l’on retrouve bien souvent les plus grands branleurs de la boîte. 

    Il faut avoir pas mal de recul pour ne pas sombrer dans le jugement et le mépris de ses subordonnés mais j’ai vu pas mal de mes collègues responsables, directeurs de service et autres parler des équipes comme du "bétail"...
    Pour en revenir à cette implication des gens en politique, à ces belles idées de démocratie directe, d’initiatives populaires, je crains qu’elles ne soient plus envisageables à notre époque (ou alors très localement) tant le progressisme, via l’éducation, via les médias, via les discours, etc. ont éloigné de leur nature une très large majorité d’individus. 


  • 1 vote
    Qirotatif Qirotatif 27 octobre 2018 09:49

    Détruire une forêt pour... une base de loisir. Voilà... tout est dit. 

    Les arbres seront vraissemblablement sacrifiés pour que les gens aient un endroit pour amuser leur marmaille. Au lieu de les balader en forêt, ils les baladeront sur des aires de jeu et au passage, bétonneurs et élus prendront leur billet. Dans qq années, les mêmes qui ont souhaité la base de loisir se plaindront que leurs gosses sont allergiques, asthmatiques et autres pathologies respiratoires. 
     
    29 ha c’est à la fois très peu (par chez nous, le coût d’une telle surface correspond au prix d’un F2 de 35 m² à Romainville : en gros pour 1 m² à Romainville, on a 1 ha de forêt, un rapport de 1 à 10 000...) et à la fois important pour les obsédés du béton. L’IDF est devenue hideuse au fil des décennies. Même les endroits préservés ont désormais droits à leurs programmes de logements sociaux mais on ne les y reprendra plus... z’ont bien retiendu la leçon : désormais ce sont des petits immeubles, des petites maisons mitoyennes à l’architecture disneylandesque, généralement des constructions merdiques qui vieillissent très mal dans lesquelles nos élus recasent quelques familles avec "jeunes à problème". Nombre de localités d’IDF qui étaient autrefois tranquilles goûtent désormais aux joies de cet urbanisme sans âme. 
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