L’article n’est pas toujours honnête, mais la critique non plus.
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Climatefeedback :
Par exemple, Wrightstone affirme que “ les écosystèmes de notre planète sont en plein essor et que l’humanité profite ” de l’augmentation du CO2 et la température, qui contredit les preuves scientifiques actuelles. Alors que certains écosystèmes sont impactés positivement,
Wrightstone a raison dans l’absolu et le GIEC l’a écrit : le couvert végétal augmente dans le monde. Les médias ne le disent jamais. Mais Wrightstone ne dit pas que c’est contrasté entre les zones au delà des tropiques et subtropicale d’une part et par la concurrence entre les apports de carbone de l’atmosphère et l’ardeur de la chaleur solaire d’autre part. Donc non, ce n’est pas l’ensemble de l’humanité qui en profite.
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climatefeedback
Wrightstone induit également les lecteurs en erreur sur les impacts du CO atmosphérique2 et la température mondiale en prétendant que CO2 les niveaux et les températures étaient beaucoup plus élevés il y a 600 millions d’années qu’ils ne le sont aujourd’hui pour affirmer que la Terre est “ CO2 appauvri ”.
Heu, ben, ce n’est pas ce que lis dans l’article de Wrightstone
Les données à plus long terme révèlent de multiples périodes de réchauffement depuis la fin de la dernière grande période glaciaire il y a 10 000 ans, chacune plus chaude qu’aujourd’hui. Il existe une forte corrélation entre l’augmentation et la baisse de la température et le flux et le reflux des civilisations. Au cours des trois dernières périodes chaudes remontant à 6 000 ans jusqu’à l’avènement des premières grandes civilisations, l’humanité a prospéré et de grands empires ont surgi.
???
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Une autre affirmation trompeuse de Wrightstone est que les décès liés aux conditions météorologiques extrêmes ont diminué de plus de 98% au cours des 100 dernières années, citant une étude d’Antonio Gasparrini et de ses collègues, publiée en 2015. Comme Gasparrini, professeur de biostatistique et d’épidémiologie à la London School of Hygiene and Tropical Medicine, l’explique ci-dessous, il s’agit de décès liés au froid, qui ne compensent pas l’augmentation des décès liés à la chaleur attendue en raison du réchauffement climatique futur[ 5,6 ].
À l’échelle mondiale, les principales causes de mortalité liée aux conditions météorologiques entre 1981 et 2020 sont la sécheresse, les cyclones tropicaux, les vagues de chaleur et les inondations. Lorsqu’elle est normalisée par la population, la plupart ne présentent aucune tendance significative ou à la baisse dans le temps, comme décrit dans un précédent Revue de rétroaction climatique[ 7 ]. De plus, les réductions des décès liés aux conditions météorologiques extrêmes ne sont pas principalement attribuables à l’augmentation du CO2 niveaux ou températures mondiales, comme le sous-entend l’article, mais plutôt des améliorations dans la gestion des urgences[ 8 ].
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Bon, là, ça dépend des indicateurs que l’on choisit.
Wrightstone
Contrairement aux reportages sensationnels des médias, les décès liés aux conditions météorologiques extrêmes aux États-Unis ont diminué de plus de 98% au cours des 100 dernières années. Vingt fois plus de personnes meurent du froid que de la chaleur, selon un examen mondial de 74 millions de décès liés à la température par le Dr. Antonio Gasparrini et une équipe de médecins. Le réchauffement climatique sauve des vies.
Ok : un confiant du narratif sur le réchauffement climatique a intérêt a prendre des données indiquant que la chaleur tue, et un méfiant, d’autres données pour dire que le froid tue.
L’un des graphiques les plus célèbres de Pierre Chaillot est celui montrant dans différents pays d’Europe, avant Covid, que les pics passés de mortalités sont absolument simultanés. La première cause de mortalité en hiver en Europe sont les vagues de froid, avant les épidémies de grippes.
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Bref, comme moi je n’ai pas d’opinion tranchée sur le réchauffement climatique, ça me permet de picorer à droite à gauche et de constater en tout cas que l’explication carbone est au minimum largement insuffisante, et possiblement bidon.
La nôtre
se réduisant au travail sans usage personnel de ses productions, au 100% consumérisme,
à la distraction et en guise de spiritualité, s’il faut respecter les méfaits
des religions de livres qui ne sont plus rien de l’immanence des peuples. Et en substitution, la religion du one world,
one hioumane, one economy, one culture, all in ingliche.
Vous voulez
dire que les races sont continentales ?
Oui, ça se recoupe. Je vois les races comme des marqueurs de fond, un peu comme si on
jetait une nappe d’huile qui se fissure en taches contractées : les
ethnies.
Il y a les
races noire, jaune et blanche. Les Japonais se considèrent comme les vrais
blancs et regardent les Caucasiens comme des roses, peu importe, je m’en fous.
Et les variétés à l’intérieur des races sont nombreuses et très contrastées. Je
devrais dire plutôt « étaient nombreuses », car la révolution
industrielle a délavé tout ça, avec les cultures qui s’entrechoquent,
justement. Il faut ajouter les rouges, à peau bistre : les Amérindiens. Ce
sont en fait des asiatiques passée par le détroit de Bering quand il formait
encore un pont, il y a 30000 ans. Là aussi, grande variété d’ethnies, quand je
vois ça, ça me fait délirer.
Malheureusement,
ils ont été génocidés par les blancs et colons installés en Amérique du Sud.
Quand je
parle de nouvelle race (ou sous-espèce…), je pensais par exemple aux
Austronésiens (océaniens). Ce sont des Han du littoral Sud Chinois qui sont
partis s’installer à Taiwan pour y faire société, des petits secs qui ont
commencé à se tatouer. Ils ont fait évoluer leurs bateaux, en deux coques,
catamaran, trimaran, créé la voile quadrangulaire à livarde et depuis l’île,
ils sont partis s’installer dans tout le Pacifique (pourtant autrement plus grand que l’Atlantique). En tout cas les historiens
en sont là. Comme cette race a fait des sociétés insulaires, les ethnies ont
été plus faciles à "fabriquer" et sont encore bien apparentes. Cela
a fait des costauds de grandes tailles Polynésiens, Micronésiens, à la peau
cuivrée par le Soleil, et des trapus pour les Mélanésiens (peut-être mélangés au Dénisovien), pour les trois
grands blocs à variétés d’ethnies. Plus loin, ils ont été en Malaisie, mélangés
avec des Indiens, à Madagascar, mélangés avec des Africains et encore des
Indiens.
Moi je
trouve ça fabuleux toutes ces grandes races qui ont disséminé tant d’ethnies,
de morphologies et de cultures. C’est l’histoire humaine qui devrait être
racontée dans toutes les écoles primaires, avec pleins d’images : comment se
fabrique un peuple ? Qu’est-ce peut être une culture ? Mais voilà,
ça me fait une mèche sur le front et une petite moustache sous le nez. D’autre part, la révolution industrielle est
née en Europe et aux Etats-Unis, ce sont donc les blancs qui s’y sont collés pour
la répandre dans le monde et tout le monde l’a voulue, avec pertes et profits.
Est-ce que les blancs sont pires que les noirs ou les jaunes ? Bien malin
celui qui peut répondre.
Il faut lire
Tristes Tropiques pour comprendre pourquoi Levy Strauss avait le cafard.