• AgoraVox sur Twitter
  • RSS
  • Agoravox TV Mobile

Heptistika

Heptistika

"Mon ennemi est un con, il pense que c’est moi l’ennemi alors que c’est lui l’ennemi !"
 
“If you're not careful, the newspapers will have you hating the people who are being oppressed, and loving the people who are doing the oppressing.” - Malcom X
 
" No society wants you to become wise : it is against the investment of all societies. If people are wise they cannot be exploited. If they are intelligent they cannot be subjugated, they cannot be forced in a mechanical life, to live like robots. They will assert their individuality. They will have the fragrance of rebellion around them. They will like to live in freedom. Freedom comes with wisdom, intrinsically. They are inseparable, and no society wants people to be free. The communist society, the fascist society, the capitalist society, the Hindu, the Mohammedan, the Christian — no society — would like people to use their own intelligence because the moment they start using their intelligence they become dangerous — dangerous to the establishment, dangerous to the people who are in power, dangerous to the ‘haves’ ; dangerous to all kinds of oppression, exploitation, suppression ; dangerous to the churches, dangerous to the states, dangerous to the nations. In fact, a wise man is afire, alive, aflame. But he cannot sell his life, he cannot serve them. He would like rather to die than to be enslaved. ” - Osho

Tableau de bord

  • Premier article le 07/03/2015
  • Modérateur depuis le 01/06/2018
Rédaction Depuis Articles publiés Commentaires postés Commentaires reçus
L'inscription 7 1112 132
1 mois 0 0 0
5 jours 0 0 0
Modération Depuis Articles modérés Positivement Négativement
L'inscription 4 4 0
1 mois 0 0 0
5 jours 0 0 0

Ses articles classés par : nombre de visites










Derniers commentaires




  • 1 vote
    Heptistika Heptistika 14 juillet 2013 14:20
    Si je ne m’abuse, les prestataires de service s’apparentent à de la sous-traitance même dans le service publique, du moment que cela entre dans le budget, cela ne pose pas de soucis tant que le travail est fait.

    On s’accorde semble-t’il tous sur le fait que la maintenance de l’infrastructure soit la clé de voûte du problème. Que ce soit par manque de financement ou au niveau managérial reste à démontrer, sans doute un peu des deux.

    Dans le second cas, un remaniement hiérarchique suffirait à arranger bien des choses. dans le premier cas, il faudrait un investissement massif qui ne sera sans doute pas rentable au sens corporate du terme, donc quel organisme privé peut se permettre à l’heure actuel d’investir ainsi, sans gage de retour sur investissement ?


  • vote
    Heptistika Heptistika 14 juillet 2013 10:00

    (Mince je me suis gouré de bloc de commentaire...)


    Bonne synthèse sur laquelle beaucoup seront d’accord. Certains commentaires tels que ceux de Wesson ou de henocconeh ajoutent selon moi des dimension intéressantes, celles de prendre en compte la vétusté existante de certains pans du réseau ainsi que la privatisation déjà existante de fractions de l’organisation, reste à comprendre comment tout cela est lié, ce qui n’est pas de l’ordre de l’idéologie, mais bien du factuel.


    "- cela signifie qu’il n’y a pas monopole, ce à quoi je ne souscris pas"
    Très juste, Il faut prendre en considération que dans la mesure où le privé viendrait à faire défaut dans le maintien du service, les seuls perdants seront les usagers qui ne peuvent alors se tourner que difficilement vers d’autres structures, et ainsi perturber la bonne marche de l’économie, car la majorité des usagers sont des travailleurs. Cet état de fait s’est déjà produit sur le réseau anglais à la suite d’une privatisation massive comme le dis bien Wesson.

    "Je veux dire par la que l’on ne peut pas éternellement excuser le manque totale de qualité des services délivrés par la SNCF en nous faisant miroiter l’enfer libéral anglo-saxon !!! Et si les moyens financiers ne sont pas étrangers à la résolution d’un tel problème, il me semble obscène, de nos jours, de demander ces moyens à l’État qui croule chaque jour davantage !"
    Tout-à-fait, cependant, si l’on en croit henocconeh, qui semble connaître assez bien le sujet de l’intérieur, soutien que ces soucis sont probablement le fruit d’un long processus, d’une politique de "laisser-aller" qui ne mets finalement assez peu en cause, jusqu’à preuve du contraire, les employés de terrain du réseau (qui seraient les premières victimes en cas de privatisation car susceptibles d’être virés), mais plutôt les hautes sphères de la hiérarchie en charge du dossier (comme toujours j’ai envie de dire, mais l’on va m’accuser de faire trop d’idéologie lol).


  • vote
    Heptistika Heptistika 14 juillet 2013 09:04

    Je me dois de plussoyer, bien qu’ayant déjà émis quelques réserves jugées trop idéologiques (peut-être à raison) à l’endroit de ce projet, le fond mérite somme toute que l’on se penche dessus.



  • vote
    Heptistika Heptistika 14 juillet 2013 07:08

    Si vous aviez regardé mon lien, vous auriez su d’où je venais, chez moi les services, fussent-’ils "non-publiques" selon votre définition ne sont pas démantelés et vendus aux vautours à la va-vite pour la seule raison qu’un Jean Robin se sent investit du devoir de faire son petit buzz. C’est pourquoi les citoyens sont globalement satisfaits de leur trains, de leur Hôpitaux et de tout le reste.

    Je dois certes éviter de faire des amalgames foireux et m’en excuse car les français ont aussi moult qualités, mais vous admettrez que les grèves à répétitions, les gueulantes perpétuelles et la grande propension des managers à se morpher en "petit chef" irascible et arrogant dès l’obtention d’un poste à "pouvoir" est une spécificité française que peu vous envient, et j’en sais quelque chose, pour avoir bossé avec des frontaliers plusieurs années. 
    Les employés de la SNCF (entre autre) seraient sans doute moins enclins à faire la grève si les conditions de travail étaient aussi prestigieuses et incroyables que vous le laissez supposer.

    Je vous donne mon accord de principe pour une privatisation monopolistique, qui est en soi effectivement pas une idée des plus mauvaise si un secteur fonctionne mal, mais dans ce cas, je vous renverrai aux propos de Iloyd henreid un peu plus haut, qui ne souffrent encore d’aucun contre-argument acceptable, ni de votre part, ni de celle de de micnet, malgré sa réponse plus bas.

    « Si une société privée se montre capable A LA FOIS de remplir une mission de service public tout en se ’faisant du fric’ à côté », justement, il n’y a pas de problème. Le problème c’est qu’en général et ainsi que je l’expliquais, le "fric" demeure LA priorité du privé, les considérations de qualité et de sécurité étant secondaires. Libre à vous d’appeler ça de l’idéologie, mais c’est un fait — que d’ailleurs j’estimais être "normal et compréhensible", ce qui ne serait pas le discours d’un idéologue —, et j’ai bien envie de vous renvoyer la question : connaissez-vous des entrepreneurs privés prêts à essuyer des pertes personnelles pour sauvegarder la qualité du service rendu au public ?


  • 3 votes
    Heptistika Heptistika 14 juillet 2013 06:02

    "Donc je ne crois pas que l’humanité puisse survivre sans travail"


    Personne a dit le contraire, la question est de différentier l’emploi du travail, car tout le monde travail depuis la nuit des temps, mais à l’heure actuelle, l’emploi est un chantage au travail qui profite de manière très exclusive aux plus nantis qui profitent de tout, tous et à tous les niveaux.

    Actuellement, sur 8h de travail d’un emploi, au moins 7h30 est consacré uniquement à faire fructifier directement ou indirectement le capital des rentiers, donc autant dire que si les gens bossaient 10 fois moins, y aurait juste moins de goldenboys à Wall street et la fermeture de quelques concessionnaires Ferrari.
Voir tous ses commentaires (20 par page)


Publicité

Articles les plus lus de cet auteur

  1. Julie Graziani = Conformisme bien-pensant ?

Publicité


Palmarès

Publicité