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    Étirév 23 novembre 2023 10:00

    Les hommes se battent pour deux motifs : pour conquérir des territoires et pour accaparer l’hégémonie spirituelle du monde.
    La conquête des territoires a détruit l’ancienne division de la Terre partagée jadis en petites Nations ou Matries. Elle a créé l’unification politique des Grands États, c’est-à-dire agrandi la puissance de l’homme (d’un homme), ce qui a été le triomphe de la Force sur le Droit. L’hégémonie spirituelle du monde a été le prétexte des guerres de religion qui ont ensanglanté la Terre.
    La centralisation, c’est-à-dire l’unification masculine est toujours dirigée contre les libertés féminines et contre les progrès de l’Esprit. Aussi, ces tentatives sont toujours suivies de débâcles. C’est ainsi qu’ont disparu les grands empires des Alexandre, des César, des Charlemagne, des Napoléon.
    Aussi, que reste-t-il des conquêtes de Napoléon ?
    Après les désastres matériels, lorsque la vie a repris son équilibre, il est resté un code de lois qui a pour but de justifier le masculinisme, auquel on donne tous les droits et qui, en même temps, humilie la Femme en la montrant comme un être inférieur et dangereux qui a besoin de la protection de l’homme.
    La composition des articles du Code, dit Napoléon, entièrement, confiée à des jurisconsultes, tout imprégnés de l’esprit aride de la loi romaine, est une œuvre qui porte la marque du despotisme, digne d’un tyran qui voyait dans la famille un camp et voulait avant tout l’obéissance. La liberté féminine n’eut pas d’adversaire plus décidé. La femme est privée non seulement de ses droits civils et politiques, mais encore de ses droits naturels : traitée en esclave et assimilée aux criminels, aux escrocs, aux interdits, aux fous, etc. En revanche, les devoirs lui sont généreusement octroyés : obéissance, soumission, résignation, dévouement, esprit de sacrifice ! Toutes vertus d’esclave. Ce Code barbare s’est inspiré des principes du catholicisme ; religion toute de fabrication masculine, dont les femmes sont exclues comme impures. Notons qu’il y avait encore des femmes médecins et professeurs de médecine jusqu’à la Révolution française, et que c’est à Napoléon qu’on doit la masculinisatîon définitive de l’enseignement universitaire. Enfin, les modernes n’auraient jamais connu le Sépher primitif (qui servira à faire le premier Livre de la Bible, la Genèse, qui en sera la caricature) si un homme d’un génie extraordinaire, Antoine Fabre d’Olivet (1767-1825), n’avait entrepris de reconstituer l’hébreu primitif et de refaire la traduction des dix premiers chapitres du Sépher. Fabre d’Olivet fut tout de suite remarqué par Napoléon comme un homme qui pouvait restituer la vérité. Cela lui valut une persécution effroyable (Il dut quitter la France et s’exila en Angleterre), parce qu’on s’apercevait que sa grande science allait permettre de reconstituer le texte primitif de la Bible, caché depuis 3.400 ans, et que les rabbins, qui connaissent les substitutions de sexes qui ont été faites par les prêtres quand ils ont révisé les Écritures, continuaient à dénaturer complètement.
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    Étirév 21 novembre 2023 09:27

    En parlant de complotisme/comploteurs, rappelons que dans une lettre datée du 15 août 1871, et connue depuis déjà pas mal de temps par de nombreux et « vilains » complotistes, l’écrivain maçonnique américain, Albert Pike, faisait part au révolutionnaire et patriote italien, Giuseppe Mazzini, d’un plan des « Illuminés de Bavière », ou « Illuminati », qui avaient en vue de conquérir le monde par trois guerres mondiales dans le but d’ériger un gouvernement mondial unique.
    Commençons par remplacer le terme fantaisiste « Illuminati » ou celui d’« Illuminés de Bavière » (il s’agit, d’après René Guénon, d’une organisation pseudo-initiatique qui, au XVIIIème siècle, chercha à s’emparer de la Maçonnerie « Opérative ») par ceux, un peu plus actuels de « mondialistes », « puissances d’argent » ou « oligarchie », et voyons.
    La première guerre mondiale devait être mise en scène pour que les « Illuminati » aient un contrôle direct sur la Russie des tsars ; en détruisant le régime tsariste ils permettraient l’avènement du communisme. Aussi, en obtenant le contrôle d’un gigantesque territoire à l’Est, ils pourraient y tester à fond leurs théories totalitaires (qui allaient coûter des millions de vies humaines) afin d’en corriger les défauts ; ils souhaitaient utiliser la Russie comme la « bête noire » pour leur plan à l’échelle mondiale.
    La deuxième guerre mondiale aurait été créée de toutes pièces en manipulant les divergences d’opinions régnant entre les nationalistes allemands et les sionistes politiquement engagés ; la destruction du nazisme aurait conduit à l’accroissement du sionisme et entraîné la création d’un Etat d’Israël en Palestine (devenu depuis une source ininterrompue de conflits et Jérusalem, « Ville de la Paix », devenue elle-même celle de la guerre permanente). Cette seconde guerre mondiale (et nouvelle hécatombe en vies humaines) aurait également permis à la Russie d’étendre sa zone d’influence. Selon la progression du Plan, en devenant le pire ennemi du monde « libre », à l’Ouest, l’épouvantail russe (URSS), à l’Est, obligerait les peuples Occidentaux (dans une prétendue « Guerre Froide ») à accepter la création d’alliances globalistes supranationales (OTAN et ONU par exemple) qui n’auraient pas pu voir le jour sans cela, du moins jamais aussi rapidement et surement. Cette rivalité (de façade) ayant aussi pour but de provoquer un regain de vitalité du commerce (voire du trafic) international des armes et tout ce que cela implique (trafics de drogue, blanchiment d’argent sale, corruption, insécurité généralisée, etc.), et ce pour le plus grand profit des « puissances d’argent » (banquiers internationaux et multinationales dont le fonds de commerce est principalement la PEUR).
    Le plan de la troisième guerre mondiale serait basé sur les divergences d’opinions que les « Illuminati » auraient créées entre les sionistes et les musulmans (réalisant, encore et toujours, ce mécanisme pervers de la « gestion des contraires » si chère aux organisations secrètes globalistes), dont la résultante serait un conflit entre le Sionisme politique (l’Etat d’Israël) et l’Islam (les musulmans du Monde Arabe). Une extension du conflit à l’échelle mondiale serait programmée.
    Une partie de cette Troisième Guerre consisterait également à confronter nihilistes et athées pour provoquer un bouleversement social qui verrait le jour après des affrontements d’une brutalité et d’une bestialité jamais vues. La dévastation serait si considérable que les « élites » en arriveraient à prétendre que seul un Gouvernement Mondial serait en mesure de résoudre les différents problèmes nationaux et internationaux rendant impossible de nouvelles guerres. Les nations exsangues étant, finalement, livrées aux mains des mystificateurs.
    De plus, une fois les grandes religions et l’athéisme réduits à néant, on présenterait à l’humanité survivante (très fortement réduite) la « bonne » et unique « doctrine », faisant ainsi d’une pierre deux coups.
    « Une histoire de fous, racontée par un idiot », aurait peut-être dit Shakespeare.
    Cependant, ce plan, dont l’aboutissement ressemble fort à un « Grand Reset », ne parait pas, aujourd’hui, si extravagant et effarant que ça.
    Il le paraît d’autant moins sachant que la stratégie des mondialistes consiste le plus souvent à créer un problème de façon à, ensuite, apporter la solution préparée d’avance par leurs soins (terrorisme et mesures sécuritaires voire liberticides ; pandémie et contrôles sanitaires : confinement, obligation vaccinale, etc. ; « casus belli » et guerres « contre le terrorisme » ou « pour libérer les peuples » ; crises économiques et instauration de nouveaux systèmes monétaires, etc.).
    Cette stratégie, si elle devait aboutir, déboucherait effectivement sur la création d’un gouvernement mondial régulateur qu’ils contrôleront totalement, et que l’on désigne généralement aujourd’hui du doux nom de « Nouvel Ordre Mondial ».
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    Étirév 17 novembre 2023 07:27

    « La vérité rend libre »
    D’accord, mais comment « atteindre » la Vérité ?
    Début de réponse : Tout d’abord hésitant, puis déterminé à relever le défi, un homme décide d’entreprendre une aventure qui le conduit à quitter son monde ordinaire pour un territoire extraordinaire et mystérieux. Endurant des épreuves multiples, rencontrant des ennemis, mais aussi des alliés, il parvient à atteindre l’endroit le plus périlleux de son voyage, le lieu le plus éloigné de son point de départ, celui où l’objet de sa quête est caché. Alors survient l’épreuve suprême, celle dans laquelle il devra affronter la mort, non celle qui détruit mais celle qui libère.
    Sorti vainqueur de ce combat, il s’empare de sa quête et prend le chemin du retour. Revenu de cette mystérieuse aventure et transformé par l’expérience, cet « ARCHER », « Aventurier de la Vie », devenu un Héros, voire un Héraut, obtient la faculté de conférer des pouvoirs à son prochain, et ainsi d’améliorer le monde. (D’après J. Campbell, Le Héros aux mille et un visages)
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    Étirév 16 novembre 2023 09:09

    Le Jésuisme est un legs de l’Empire romain.
    C’est pourquoi il ne faut pas confondre le « Christianisme Johannite », qui est un mouvement de rénovation sociale, grandiose, extraordinaire, d’une haute portée, qui brilla sur le monde pendant deux ou trois siècles, et le « Catholicisme Jésuiste », qui triompha sous Constantin au Concile de Nicée (en 325), et qui en est la caricature grotesque avec laquelle des faussaires voulurent dominer le monde (et le souhaitent encore aujourd’hui, cachés derrière un autre masque).
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    Étirév 10 novembre 2023 14:41

    « Comment nous avons basculé dans le totalitarisme ? »
    Réponse : Précisons pour commencer que dans la plupart des pays du monde, l’État actuel est « l’État profond », c’est-à-dire une réelle ploutocratie cachée derrière une démocratie, véritable coquille vide.
    Concrètement, en Europe tout du moins, cette substitution s’est opérée au moment des Révolutions du XVIIIe siècle, par l’instauration, partout sur le continent, à la mode anglaise, du parlementarisme dit représentatif organisé autour des partis politiques.
    Dans sa « Note sur la suppression générale des partis politiques », la philosophe Simone Weil (pas l’autre) écrit que « C’est d’une part l’héritage de la « Terreur », d’autre part l’influence de l’exemple anglais, qui installa les partis dans la vie publique européenne. »
    Elle nous fait subtilement remarquer que : « Même dans les écoles, on ne sait plus stimuler autrement la pensée des enfants qu’en les invitant à « prendre parti », pour ou contre. (…) Presque partout, et même pour des problèmes purement techniques, l’opération de « prendre parti », de « prendre position », « pour ou contre » s’est substituée à l’obligation de la pensée. C’est là une lèpre qui a pris origine dans les milieux politiques et s’est étendue à travers tout le pays presque à la totalité de la pensée. Il est douteux qu’on puisse remédier à cette lèpre qui nous tue sans commencer par la suppression des partis politiques. »
    « Les partis, dit Simone Weil, sont des organismes publiquement, officiellement constitués de manière à tuer dans les âmes le sens de la vérité et de la justice. »
    Dans « Media Control : The Spectacular Achievements of Propaganda », Noam Chomsky explique que dans la société démocratique les citoyens sont divisés en deux grandes classes : l’étroite classe spécialisée (appelée Superclasse mondiale ou Hyperclasse), celle à qui revient la gestion des affaires générales, et les autres, c’est-à-dire la grande majorité de la population, que Walter Lippmann désignait par l’expression de « troupeau sauvage ». Noam Chomsky souligne que le « troupeau » n’est consulté qu’en période électorale pour entretenir chez les « moutons » l’impression de vivre en démocratie et non pas dans un état totalitaire. Une fois que la classe spécialisée est élue, le « troupeau » redevient spectateur, et même, il reste stupide, obéissant et passif, et on le traite à nouveau comme un gamin de trois ans, irresponsable par définition et incapable de connaître ce qui est bon pour lui.
    René Guénon va même plus loin et dit, et explique (dans « La crise du monde moderne »), que la « démocratie », que l’on définit comme le gouvernement du peuple par lui-même, est là une véritable impossibilité, une chose qui ne peut pas même avoir une simple existence de fait, pas plus à notre époque qu’à n’importe quelle autre, mais que la grande habileté des dirigeants, dans le monde moderne, est de faire croire au peuple qu’il se gouverne lui-même ; et le peuple se laisse persuader d’autant plus volontiers qu’il en est flatté et que d’ailleurs il est incapable de réfléchir assez pour voir ce qu’il y a là d’impossible. C’est pour créer cette illusion, dit-il, qu’on a inventé le « suffrage universel ».
    On comprend, alors, pourquoi le pouvoir politique se fonde volontiers sur l’ignorance du peuple et s’accroît d’autant que les esprits sont faibles, les gens incultes.
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