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    Étirév 29 mars 07:37

    Le président étasunien F.D. Roosevelt disait : « En politique rien n’arrive par hasard. Chaque fois que survient un événement, on peut être certains qu’il avait été prévu pour se dérouler de cette façon. »
    Dans une lettre datée du 15 août 1871, et connue depuis déjà pas mal de temps par de nombreux et « vilains » complotistes, l’écrivain maçonnique américain, Albert Pike, faisait part au révolutionnaire et patriote italien, Giuseppe Mazzini, d’un plan des « Illuminés de Bavière », ou « Illuminati », qui avaient en vue de conquérir le monde par trois guerres mondiales dans le but d’ériger un gouvernement mondial unique.
    Précisons que, d’après l’ouvrage intitulé « Maçonnerie et sectes secrètes : le côté caché de l’Histoire », cette correspondance se trouve déposée dans les archives de « Temple House », le siège du Rite Écossais de Washington, mais elle est « off limits », c’est-à-dire de consultation interdite. Cependant, et d’après le même ouvrage, cette lettre d’Albert Pike fut exposée une fois à la British Muséum Library de Londres.
    Commençons par remplacer le terme fantaisiste « Illuminati », contenu dans cette correspondance, ou celui d’« Illuminés de Bavière » (il s’agit, d’après René Guénon, d’une organisation pseudo-initiatique qui, au XVIIIème siècle, chercha à s’emparer de la Maçonnerie « Opérative ») par ceux, un peu plus actuels de « mondialistes », « puissances d’argent » ou « oligarchie », et voyons.
    Première guerre mondiale : Elle devait être mise en scène pour que les « Illuminati » aient un contrôle direct sur la Russie des Tsars ; des divergences suscitées entre l’Empire Britannique et l’Empire Allemand, par des agents des « Illuminati », devaient être le « coup d’envoi » de cette guerre. Ainsi, en détruisant le régime Tsariste, les « Illuminati » permettraient l’avènement du communisme.
    En obtenant le contrôle d’un gigantesque territoire à l’Est, ils pourraient y tester à fond leurs théories totalitaires (qui allaient coûter des millions de vies humaines) afin d’en corriger les défauts.
    Les « Illuminati » souhaitaient utiliser la Russie comme la « bête noire » pour leur plan à l’échelle mondiale, c’est-à-dire comme un « outil » au service de la destruction d’autres gouvernements et de l’affaiblissement de la religion : la FAUCILLE, arme tranchante qui égalise, nivelle tout, provoque la mort ; le MARTEAU, devient ici l’objet des puissances d’« En-Bas », l’image du mal et de la force brutale, pour écraser toujours plus ; c’est aussi l’industrie ou la métallurgie qui rappelle les « génies infernaux » armés de marteaux, à l’époque où l’homme commence à travailler les métaux, et qui les faisaient servir à des arts abominables, à des crimes.
    Deuxième guerre mondiale : Elle aurait été créée de toutes pièces en manipulant les divergences d’opinions régnant, cette fois-ci, entre les nationalistes allemands et les sionistes politiquement engagés ; la destruction du nazisme aurait conduit à augmenter le pouvoir du sionisme politique et permettre l’établissement, en Palestine, d’un État souverain d’Israël (devenu depuis une source ininterrompue de conflits, et Jérusalem, « Ville de la Paix », devenue elle-même celle de la guerre permanente).
    Cette seconde guerre mondiale (nouvelle hécatombe en vies humaines, bientôt suivie d’une immigration de masse en Europe qui en effacera progressivement le visage et peut-être l’histoire) aurait également permis à la Russie d’étendre sa zone d’influence, en particulier grâce à la constitution d’une « Internationale Communiste ». De plus, et selon la progression du Plan, en devenant le « pire ennemi » du monde « libre », à l’Ouest, « l’épouvantail Communiste » (URSS), à l’Est, obligerait les peuples Occidentaux (dans une prétendue « Guerre Froide ») à accepter la création d’alliances globalistes supranationales qui n’auraient pas pu voir le jour sans cela, du moins jamais aussi rapidement et surement, telles que l’OTAN et l’ONU (autre versant du sinistre « Projet Manhattan », plus subtil mais tout aussi meurtrier).
    Cette rivalité (de façade), inaugurée en août 1945 avec le double crime « atomique » contre l’humanité commis par le gouvernement étasunien (véritable démonstration de force des « Illuminati » destinée à faire de la menace nucléaire l’instrument d’un nouvel ordre du monde fondé sur la terreur), entretenue avec la complicité des soviétiques et leur premier essai atomique au plutonium en août 1949 (qui marque le début d’une nouvelle « course à l’armement »), devait surtout avoir pour but de provoquer un regain de vitalité du commerce (voire du trafic) international des armes, et tout ce que cela implique (trafics de drogue, blanchiment d’argent sale, corruption, instabilité internationale, insécurité généralisée, explosion du marché de la « sécurité intérieur », développement des technologies « Big Brother » axées principalement sur le « contrôle des foules », etc.), et ce pour le plus grand profit des « puissances d’argent » (banquiers internationaux et multinationales) dont le fonds de commerce est principalement la PEUR.
    Remarquons que les deux premières Guerres mondiales viseront principalement les Chrétiens : d’une part, en les faisant s’entretuer avec efficacité par dizaines de millions ; d’autre part, en les atomisant à Hiroshima et Nagasaki, les deux seules villes catholiques du Japon.
    Troisième guerre mondiale : Son plan serait basé sur les divergences d’opinions que les « Illuminati » auraient créées entre les sionistes et les dirigeants du monde islamique (réalisant, encore et toujours, ce mécanisme pervers de la « gestion des contraires » si chère aux organisations secrètes globalistes), dont la résultante serait un conflit entre le Sionisme politique (l’Etat d’Israël) et l’Islam (les musulmans du Monde Arabe) afin qu’ils se détruisent réciproquement. Une extension du conflit à l’échelle mondiale serait programmée (notamment en Europe, en raison des politiques d’immigration successives, et de l’afflux massif et rarement contrôlé, ces dernières années, d’extra-communautaires).
    Une partie de cette Troisième Guerre consisterait également à confronter nihilistes et athées pour provoquer un bouleversement social qui verrait le jour après des affrontements d’une brutalité et d’une bestialité jamais vues. La dévastation serait si considérable que les « élites » en arriveraient à prétendre que seul un Gouvernement Mondial serait en mesure de résoudre les différents problèmes nationaux et internationaux rendant impossible de nouvelles guerres. Les nations exsangues étant, finalement, livrées aux mains des mystificateurs.
    De plus, une fois les grandes religions et l’athéisme réduits à néant, on présenterait à l’humanité survivante (très fortement réduite) et complètement désorientée, mais à la recherche d’un nouvel idéal, la « bonne » et « unique » doctrine, faisant ainsi d’une pierre deux coups.
    « Une histoire de fous, racontée par un idiot », aurait peut-être dit Shakespeare.
    Cependant, ce plan, dont l’aboutissement ressemble fort à un « Grand Reset », ne parait pas, aujourd’hui, si extravagant et effarant que ça.
    Il le paraît d’autant moins sachant que la stratégie des mondialistes consiste le plus souvent à créer un problème de façon à, ensuite, apporter la solution préparée d’avance par leurs soins : Terrorisme et mesures sécuritaires voire liberticides ; Pandémie et contrôles sanitaires : confinement, obligation vaccinale, etc. ; « Casus belli » et guerres « contre le terrorisme » ou « pour libérer les peuples », sans parler des reconstructions privatisées ou du marché de la « sécurité intérieure » extrêmement profitables aux « investisseurs » après les conflits ou les « attentats » ; Crises économiques et instauration de nouveaux systèmes monétaires… de plus en plus profitables qu’à une poignée d’individus au détriment du plus grand nombre ; etc.
    Cette stratégie, si elle devait aboutir, déboucherait effectivement sur la création d’un gouvernement mondial régulateur qu’ils contrôleront totalement, et que l’on désigne généralement aujourd’hui du doux nom de « Nouvel Ordre Mondial ».
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    Étirév 27 mars 07:37

    Il est avéré que la température, plus élevée dans les temps anciens, s’abaisse graduellement.
    Aussi, le mensonge du « réchauffement climatique » est destiné, en partie, à faire croire que les « élites » actuelles et leurs scientifiques dits « sérieux » peuvent apporter tous les progrès, même ceux du climat.
    On observe dans la Nature deux espèces de mouvements : des mouvements « spontanés » et des mouvements « transmis ». Cette seconde cause de mouvement engendre des déplacements qui déterminent la plupart des phénomènes météorologiques en dérangeant la stabilité de l’enveloppe gazeuse de la terre. Nous voyons que c’est cette cause qui détermine la chute des corps à la surface terrestre. Mais cette réaction constante de l’Azote vers la terre, qui lui a pris sa place dans l’espace, n’est pas la seule réaction qu’il exerce. Il tend aussi à se dilater dans une autre direction, c’est-à-dire vers les régions célestes de l’infini. De ce côté il est contenu par l’action dynamique des radiations qui le frappent incessamment. Mais les radiations ne sont ni immuables ni éternelles, elles sont, au contraire, dans un état constant de variabilité. Or, chacun des changements qui surviennent dans leur mode d’action se traduit, dans les profondeurs de notre atmosphère, par un changement d’état de la réaction de l’Azote. L’Azote (appelé « Ether » dans l’antiquité, « Akâsha » chez les Hindous ou « Akéréné » dans la Science de l’A-Vesta) est une substance qui n’est pas seulement dans notre atmosphère, mais au-delà, partout, et dans l’univers entier, sous des états de condensation ou de raréfaction qui dépendent du milieu dans lequel elle s’épand :
    - Si la pression des radiations devient moins forte, l’Azote se dilate dans l’atmosphère ; tous les corps qu’il comprimait se dilatent aussi : c’est la chaleur ;
    - Si la pression devient plus forte, l’Azote augmente sa réaction vers la terre, il comprime plus fortement les corps qui en occupe la surface : c’est le froid ;
    - Si la pression en plus ou en moins est accidentelle, si elle n’intéresse qu’un seul point de l’atmosphère, il en résulte un changement de densité qui, en se propageant aux couches les plus voisines y détermine « un courant ». C’est le vent ;
    - Si un seul faisceau de radiation vient à manquer subitement, c’est un vide subit qui est offert au besoin d’expansion de l’Azote et dans lequel il se précipite en tournoyant : c’est une trombe, une tornade, un cyclone. Le mouvement commencé dans les régions élevées de l’atmosphère se propage de haut en bas. Lorsqu’il atteint la surface terrestre, le bouleversement des éléments atmosphériques, qui en résulte, détermine toutes sortes de ravages.
    Ainsi donc tout ce qui se passe sur la terre à une cause cosmique ; tout dépend de l’action des astres. C’est dans les profondeurs de l’océan céleste qu’il faut aller chercher la cause de la plus légère brise qui souffle autour de nous. La terre y est étrangère. L’esprit de l’homme, perdant de vue l’Univers, s’est confiné dans son petit monde et a voulu y trouver la cause de tout ce qui existe. C’est là une méthode mesquine que la science de l’Univers détruira.
    Terminons cette « Remarque » en rappelant que la lumière blanche engendrée par la radiation solaire, les lumières colorées engendrées par les radiations stellaires et l’azur céleste produit par l’Ozone, forment un ensemble de couleurs que nous voyons plus ou moins pendant le jour. Mais, dans l’hémisphère nocturne on ne voit plus rien, tout s’efface, toutes les couleurs disparaissent et « le noir » forme le fond de notre horizon. Cette couleur noire, qui couvre tout en l’absence des étincelles qui font la lumière, est celle de l’Azote qui remplit l’espace.
    NB : Le Fonds pour l’Environnement Mondial (FEM) est l’un des mécanismes clés dans le cadre du financement de la future monnaie mondiale que les élites bancaires globalistes contrôleront, et qui débouchera, par la force des choses, sur un gouvernement mondial ploutocratique désigné du doux nom de « Nouvel Ordre Mondial ».
    Le FEM, « validé » par le biais des Nations Unies en 1992, lors de la conférence sur l’environnement et le développement, plus connue sous le nom de « Sommet de Rio », est une organisation financière indépendante gérant le système de financement destiné, soi-disant, à mener des actions pour la préservation de l’environnement, dans le cadre du « développement durable ». Il accorde, entre autres, des subsides au projet lié à la lutte contre les effets du pseudo réchauffement climatique.
    Précisons que, à l’origine, le FEM est issu du « 4ème Congrès Mondial des Terres Sauvages » (4th World Wilderness Congress) organisé en 1987 par la Banque Rothschild, et le Baron Edmond de Rothschild lui-même. Quelque 1 500 banquiers et dirigeants parmi les plus puissants du monde ont assisté à ce congrès qui était présidé par l’homme politique, membre de la haute finance canadienne et agent de « N. M. Rothschild & Sons » à Londres, Maurice Strong (1929-2015). Co-fondateur du WWF, ancien Secrétaire général de la Conférence des Nations unies sur l’environnement et co-directeur de l’Aspen Institute, Maurice Strong était aussi membre fondateur du GIEC (créé en 1988) et de l’« Earth Council », dont il deviendra le Directeur. Créé en 1992, au Costa Rica, pour coordonner la réalisation des programmes de l’« Agenda 21 », l’« Earth Council » a aussi comme membre fondateur Klaus Schwab, accessoirement « Monsieur Great Reset », mais surtout fondateur et actuel président du « World Economic Forum », les Symposiums annuels qui depuis 1971 réunissent à Davos, en Suisse, les hommes du « Big Business ».
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    Étirév 19 mars 06:48

    Conseils que des cardinaux donnèrent au Pape Jules III lors de son élection en 1550, quelques années après l’invention de l’imprimerie qui permit une diffusion massive de la Bible auprès du peuple (Source : Feuille Bibliothèque Nationale 1089. Vol II ; P.641-650 - Référence Fond Latin N° 12558. Année 1550) :
    « La lecture de l’Evangile ne doit être permise que le moins possible surtout en langue moderne et dans le pays soumis à votre autorité. Le très peu qui est lu généralement à la messe devrait suffire et il faudrait défendre à quiconque d’en lire plus. Tant que le peuple se contentera de ce peu, vos intérêts prospéreront, mais dès l’instant qu’on voudra en lire plus, vos intérêts commenceront à en souffrir. Voilà le livre qui, plus qu’aucun autre, provoquera contre nous les rébellions, les tempêtes qui ont risqué de nous perdre. En effet, quiconque examine diligemment l’enseignement de la Bible et le compare à ce qui se passe dans nos églises trouvera bien vite les contradictions, et verra que nos enseignements s’écartent souvent de celui de la Bible et, plus souvent encore, s’opposent à celle-ci. Si le peuple se rend compte de ceci, il nous provoquera jusqu’à ce que tout soit révélé et alors nous deviendrons l’objet de la dérision et de la haine universelle. Il est donc nécessaire que la Bible soit enlevée et dérobée des mains du peuple avec zèle, toutefois sans provoquer de tumulte. »
    Sans la référence sus-indiquée ainsi que l’article consacré à l’Histoire des hébreux, on pourrait presque reprocher à ce texte de n’être qu’un vulgaire « copié-collé » extrait directement des « Protocoles des Sages de Sion »... À moins qu’il ne s’agisse du « Monita secreta » de l’Ordre des Jésuites.
    NB : « Les défenseurs de l’historicité de Jésus doivent considérer sérieusement l’importance de leur position… Ils courent le risque de soutenir les titres historiques d’une personnalité qui peut se trouver entièrement différente de celle qu’ils imaginaient lorsqu’ils prirent sa défense. » (Albert Schweitzer)
    Origines et Histoire du Christianisme



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    Étirév 15 mars 14:45

    Ex-clinique psychiatrique créée en 1920 et financée par la « Rockefeller Foundation », le « Tavistock Institute » de Londres, qui changea son nom en 1947 en « Tavistock Institute of Human Relations », fut une véritable agence de guerre psychologique du service de renseignements extérieurs du Royaume-Uni, sous la direction de John Rawlings Rees (signalons au passage que J.R. Rees, qui était psychiatre, eut pour étudiant Henry Kissinger). C’est le « Tavistock Institute » qui, dans les années 60, en collaboration avec « l’Intelligence Service » (les services secrets anglais), et grâce aux larges subventions de la Fondation Ford, du Centre Britannique d’Etudes sur l’Environnement, du Ministère de la Défense britannique, de l’Université de Harvard et du Conseil des Recherches en Sciences Sociales de Grande Bretagne, pilota l’expérience de la diffusion et de l’emploi de la drogue, surtout de la drogue produite artificiellement (LSD), dans le cadre de ce phénomène socialement déstabilisant, qui fut appelé « contre-culture ».
    Profitons-en pour rappeler que le diéthylamide de l’acide lysergique, ou LSD, a été mis au point en 1943 par le chimiste Albert Hoffman qui travaillait alors pour la Société « Sandoz AG », maison pharmaceutique suisse, propriété des banquiers Warburg de Londres. La Société « Sandoz AG » a été absorbée en 1995 par la « Swiss Bank Corporation », la plus grande banque suisse dirigée par le banquier Georges Blum. La « Swiss Bank Corporation », aussi connue sous son nom français, la Société de banque suisse (SBS), a fusionné avec l’Union de banques suisses en 1998 pour former l’un des premiers établissements financiers mondiaux : UBS.
    Profitons-en également pour dire que c’est en 1898, en Allemagne, dans les laboratoires Bayer, que fut mise au point l’héroïne (après la seconde guerre mondiale, une partie du cartel pharmaceutique d’IG Farben, qui se trouvait au centre de la machine de guerre d’Adolf Hitler, va revenir à Bayer). L’héroïne est un dérivé du pavot duquel provient l’opium, qui produit également la morphine ; le terme « morphine » tient son nom de Morphée, la divinité grecque qui dispense le « sommeil » aux mortels, c’est-à-dire, dans le cas présent, qui va rendre « amorphe » principalement la jeunesse, afin qu’elle ne puisse manifester sa vigueur et son potentiel. De toutes les substances tirées de l’opium, l’héroïne est celle qui entraîne la plus forte dépendance. Le nom « héroïne » provient du mot « héroïque » du fait que ses inventeurs étaient considérés comme des héros aux yeux des « puissances infernales », autrement dit des « puissances d’argent » qui mènent le monde, en raison du pouvoir immense de manipulation et de destruction dont elles allaient nouvellement bénéficier. Depuis longtemps, et plus que toute autre solution, le recours aux Stupéfiants (y compris les antidépresseurs et autres médicaments psychotropes, poisons « légitimes » du lobby pharmaceutique) est l’arme privilégiée des « meneurs occultes » pour saper les Sociétés et accroître leur mainmise sur le pouvoir.
    Cela doit nous interroger sur la volonté et l’insistance qu’émettent certaines élites au sujet de la dépénalisation de l’usage personnel des stupéfiants, sous prétexte, entre autres, de combattre la toxicomanie. L’exemple des Pays-Bas est là pour nous convaincre de l’inefficacité de la solution proposée. La tolérance de la législation néerlandaise à l’endroit des drogués et le laxisme des autorités espagnoles et italiennes dans le même sens a eu pour résultat une augmentation de la toxicomanie dans les pays concernés, mais aussi une recrudescence du trafic de la drogue en Europe. Derrière ces immenses tragédies se profile un lobby qui semble disposer de moyens colossaux, qui est présent dans tous les pays et qui vise, à travers l’activisme de ses médias complices, ainsi que de ses « experts » et autres marionnettes politiciennes, à modifier la législation en obtenant la dépénalisation des drogues dites « légères », les substances dérivées du cannabis comme la marijuana et le haschisch, et en en minimisant les effets, passage indispensable à créer les futurs consommateurs de drogues « lourdes ». On répand ainsi la conviction qu’une loi doive et puisse seulement réglementer le « droit » des personnes, en particulier des jeunes, à essayer la « légère » ivresse narcotique de ces substances, bien différente, on tend à le souligner, par une fausse symétrie, de celle des drogues « lourdes », qui engendrent des altérations dramatiques du comportement, accompagnées de graves violations de l’ordre public. Une approche réellement scientifique démontre au contraire que le jeune qui s’approche occasionnellement des drogues même « légères » est exposé à devenir très vite consommateur habituel de drogues aussi bien lourdes que légères, entraînant des malaises très graves et progressifs, tels que par exemple la réactivation d’états latents de schizophrénie ou des atteintes plus ou moins étendues aux facultés cérébrales. De plus, dans son livre posthume (Le Pouvoir de la drogue dans la politique mondiale) publié en 1990, Yann Moncomble (1953-1990) reconstruisait les parcours de la drogue, les scandales, les artifices mystérieux et ingénieux par lesquels l’argent sale, tiré de la vente de la drogue est recyclé avec des transferts en temps réel dans des dizaines de banques, pour être transformé en armes pour le terrorisme international ou bien en investissements lucratifs à travers des sociétés domiciliées dans des paradis fiscaux.
    Extrait du chapitre intitulé « Cuba, plaque tournante de la drogue au service du communisme », tiré du même ouvrage :
    En effet, « il est possible d’affirmer qu’il existe une stratégie soviétique (dont Cuba est l’un des axes) en matière de drogue, écrivait Brian Crozier (L’Express, 19-25 décembre 1986). Celle-ci ne se limite pas à tirer profit d’un marché dont la croissance est monstrueuse. Elle représente une arme de guerre au service des objectifs politiques du Kremlin. » (Brian Crozier : Ancien éditorialiste à The Economist et à la B.B.C., collaborateur à la National Review de New York, éminent spécialiste des relations internationales, auteur de trois grandes biographies, sur de Gaulle, Franco et Tchang Kaï-chek, il s’est surtout intéressé à la stratégie politico-militaire de l’URSS). Le point important, toutefois, est l’emploi délibéré et systématique des stupéfiants pour miner les sociétés occidentales. Ce fait a été constaté conjointement par un remarquable spécialiste américain, le Dr Joseph D. Douglas (ingénieur et analyste politique, qui fréquentait depuis de longues années les services secrets), et par une équipe internationale dirigée par Brian Crozier.
    Dès la fin des années 1940, pendant la dernière phase de la guerre civile en Chine, Mao Tsé-toung et ses camarades décidèrent que le trafic des stupéfiants devait faire partie de leur stratégie de destruction de la bourgeoisie. Dans un premier temps, ils concentrèrent leurs objectifs sur les Etats-Unis et le Japon. Vers la fin de 1950, Mao intervint dans la guerre de Corée. Chinois et Nord-Coréens alimentèrent les troupes américaines en opium et en héroïne. Ces opérations furent décrites avec forces détails par des agents secrets du Trésor américain et par les services de renseignements militaires. Par la suite, des transfuges chinois les authentifièrent. En mars 1971, China News, quotidien du soir en langue anglaise de Taipeh, remarquait que la consommation des narcotiques parmi les jeunes des Etats-Unis, de Grande-Bretagne et d’Europe, augmentait de façon inquiétante. Nous n’avons aucune preuve de collusion entre les Chinois et les Soviétiques dans ce domaine », écrit Brian Crozier. Cependant, il est certain que les Soviétiques avec l’aide des Nord-Coréens et des Tchèques menèrent une enquête minutieuse sur la tactique et l’équipement des forces des Etats-Unis en Corée…
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    Étirév 7 mars 07:26

    Risque ? Coincidence ? Fake news ? Conspiracy ?
    Le président étasunien F.D. Roosevelt disait : « En politique rien n’arrive par hasard. Chaque fois que survient un événement, on peut être certains qu’il avait été prévu pour se dérouler de cette façon. »
    Dans une lettre datée du 15 août 1871, et connue depuis déjà pas mal de temps par de nombreux et « vilains » complotistes, l’écrivain maçonnique américain, Albert Pike, faisait part au révolutionnaire et patriote italien, Giuseppe Mazzini, d’un plan des « Illuminés de Bavière », ou « Illuminati », qui avaient en vue de conquérir le monde par trois guerres mondiales dans le but d’ériger un gouvernement mondial unique.
    Précisons que, d’après l’ouvrage intitulé « Maçonnerie et sectes secrètes : le côté caché de l’Histoire », cette correspondance se trouve déposée dans les archives de « Temple House », le siège du Rite Écossais de Washington, mais elle est « off limits », c’est-à-dire de consultation interdite. Cependant, et d’après le même ouvrage, cette lettre d’Albert Pike fut exposée une fois à la British Muséum Library de Londres.
    Commençons par remplacer le terme fantaisiste « Illuminati », contenu dans cette correspondance, ou celui d’« Illuminés de Bavière » (il s’agit, d’après René Guénon, d’une organisation pseudo-initiatique qui, au XVIIIème siècle, chercha à s’emparer de la Maçonnerie « Opérative ») par ceux, un peu plus actuels de « mondialistes », « puissances d’argent » ou « oligarchie », et voyons.
    Première guerre mondiale : Elle devait être mise en scène pour que les « Illuminati » aient un contrôle direct sur la Russie des Tsars ; des divergences suscitées entre l’Empire Britannique et l’Empire Allemand, par des agents des « Illuminati », devaient être le « coup d’envoi » de cette guerre. Ainsi, en détruisant le régime Tsariste, les « Illuminati » permettraient l’avènement du communisme.
    En obtenant le contrôle d’un gigantesque territoire à l’Est, ils pourraient y tester à fond leurs théories totalitaires (qui allaient coûter des millions de vies humaines) afin d’en corriger les défauts.
    Les « Illuminati » souhaitaient utiliser la Russie comme la « bête noire » pour leur plan à l’échelle mondiale, c’est-à-dire comme un « outil » au service de la destruction d’autres gouvernements et de l’affaiblissement de la religion : la FAUCILLE, arme tranchante qui égalise, nivelle tout, provoque la mort ; le MARTEAU, devient ici l’objet des puissances d’« En-Bas », l’image du mal et de la force brutale, pour écraser toujours plus ; c’est aussi l’industrie ou la métallurgie qui rappelle les « génies infernaux » armés de marteaux, à l’époque où l’homme commence à travailler les métaux, et qui les faisaient servir à des arts abominables, à des crimes.
    Deuxième guerre mondiale : Elle aurait été créée de toutes pièces en manipulant les divergences d’opinions régnant, cette fois-ci, entre les nationalistes allemands et les sionistes politiquement engagés ; la destruction du nazisme aurait conduit à augmenter le pouvoir du sionisme politique et permettre l’établissement, en Palestine, d’un État souverain d’Israël (devenu depuis une source ininterrompue de conflits, et Jérusalem, « Ville de la Paix », devenue elle-même celle de la guerre permanente).
    Cette seconde guerre mondiale (nouvelle hécatombe en vies humaines, bientôt suivie d’une immigration de masse en Europe qui en effacera progressivement le visage et peut-être l’histoire) aurait également permis à la Russie d’étendre sa zone d’influence, en particulier grâce à la constitution d’une « Internationale Communiste ». De plus, et selon la progression du Plan, en devenant le « pire ennemi » du monde « libre », à l’Ouest, « l’épouvantail Communiste » (URSS), à l’Est, obligerait les peuples Occidentaux (dans une prétendue « Guerre Froide ») à accepter la création d’alliances globalistes supranationales qui n’auraient pas pu voir le jour sans cela, du moins jamais aussi rapidement et surement, telles que l’OTAN et l’ONU (autre versant du sinistre « Projet Manhattan », plus subtil mais tout aussi meurtrier).
    Cette rivalité (de façade), inaugurée en août 1945 avec le double crime « atomique » contre l’humanité commis par le gouvernement étasunien (véritable démonstration de force des « Illuminati » destinée à faire de la menace nucléaire l’instrument d’un nouvel ordre du monde fondé sur la terreur), entretenue avec la complicité des soviétiques et leur premier essai atomique au plutonium en août 1949 (qui marque le début d’une nouvelle « course à l’armement »), devait surtout avoir pour but de provoquer un regain de vitalité du commerce (voire du trafic) international des armes, et tout ce que cela implique (trafics de drogue, blanchiment d’argent sale, corruption, instabilité internationale, insécurité généralisée, explosion du marché de la « sécurité intérieur », développement des technologies « Big Brother » axées principalement sur le « contrôle des foules », etc.), et ce pour le plus grand profit des « puissances d’argent » (banquiers internationaux et multinationales) dont le fonds de commerce est principalement la PEUR.
    Remarquons que les deux premières Guerres mondiales viseront principalement les Chrétiens : d’une part, en les faisant s’entretuer avec efficacité par dizaines de millions ; d’autre part, en les atomisant à Hiroshima et Nagasaki, les deux seules villes catholiques du Japon.
    Troisième guerre mondiale : Son plan serait basé sur les divergences d’opinions que les « Illuminati » auraient créées entre les sionistes et les dirigeants du monde islamique (réalisant, encore et toujours, ce mécanisme pervers de la « gestion des contraires » si chère aux organisations secrètes globalistes), dont la résultante serait un conflit entre le Sionisme politique (l’Etat d’Israël) et l’Islam (les musulmans du Monde Arabe) afin qu’ils se détruisent réciproquement. Une extension du conflit à l’échelle mondiale serait programmée (notamment en Europe, en raison des politiques d’immigration successives, et de l’afflux massif et rarement contrôlé, ces dernières années, d’extra-communautaires).
    Une partie de cette Troisième Guerre consisterait également à confronter nihilistes et athées pour provoquer un bouleversement social qui verrait le jour après des affrontements d’une brutalité et d’une bestialité jamais vues. La dévastation serait si considérable que les « élites » en arriveraient à prétendre que seul un Gouvernement Mondial serait en mesure de résoudre les différents problèmes nationaux et internationaux rendant impossible de nouvelles guerres. Les nations exsangues étant, finalement, livrées aux mains des mystificateurs.
    De plus, une fois les grandes religions et l’athéisme réduits à néant, on présenterait à l’humanité survivante (très fortement réduite) et complètement désorientée, mais à la recherche d’un nouvel idéal, la « bonne » et « unique » doctrine, faisant ainsi d’une pierre deux coups.
    « Une histoire de fous, racontée par un idiot », aurait peut-être dit Shakespeare.
    Cependant, ce plan, dont l’aboutissement ressemble fort à un « Grand Reset », ne parait pas, aujourd’hui, si extravagant et effarant que ça.
    Il le paraît d’autant moins sachant que la stratégie des mondialistes consiste le plus souvent à créer un problème de façon à, ensuite, apporter la solution préparée d’avance par leurs soins : Terrorisme et mesures sécuritaires voire liberticides ; Pandémie et contrôles sanitaires : confinement, obligation vaccinale, etc. ; « Casus belli » et guerres « contre le terrorisme » ou « pour libérer les peuples », sans parler des reconstructions privatisées ou du marché de la « sécurité intérieure » extrêmement profitables aux « investisseurs » après les conflits ou les « attentats » ; Crises économiques et instauration de nouveaux systèmes monétaires… de plus en plus profitables qu’à une poignée d’individus au détriment du plus grand nombre ; etc.
    Cette stratégie, si elle devait aboutir, déboucherait effectivement sur la création d’un gouvernement mondial régulateur qu’ils contrôleront totalement, et que l’on désigne généralement aujourd’hui du doux nom de « Nouvel Ordre Mondial ».
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