L’Etat n’est pas la "société". C’est une approche totalitariste que de fusionner peuple et état.
Qui parle de fusionner peuple et état ?
L’état est un outil, un instrument tandis que le peuple est l’ensemble des sujets qui l’utilises pour vivre en société. Fusionner état/objet et peuple/sujet consiste à vouloir réduire le peuple à l’état d’objet et élever ceux qui s’en distingues au niveau de souverain. Vous vous dites libéraux et défendez le principe de souveraineté d’une minorité sur la grande majorité au principe de défendre la liberté des premiers contre celle des autres. La liberté individuelle est attaché à l’individu et interdit l’exploitation d’autrui et ne reconnaît que l’association. Un salarié n’est pas un associé, c’est un outil aux mains du propriétaire des moyens de production. Le vrai libéralisme abolit le salariat et le prolétariat pour instaurer la coopération et l’association.
Vous vous dites libertarien ? Nous nous disons libertiens....
Le raisonnement, c’est de dire que le travail n’est pas un droit mais un devoir vis à vis d’autrui, de la société dans laquelle on vit.
Ce qui est un droit, c’est d’en recevoir une juste récompense, c’est à dire selon son mérite personnel.
Le travail étant définit comme une obligation, une contrainte et non un choix libre, ce dernier commence quand la partie devoir est accomplit. Vivre en société est un compromis, une association dans le but d’augmenter sa sécurité matérielle. Une fois cet objectif primaire atteint, nous entrons alors dans le libre choix de ses activités et moyens de consommations, qui sont selon son temps de vie dédiés à cet objet.
La théorie libérale qui consiste à dire que c’est de pouvoir faire n’importe quoi, c’est le chaos et l’absence de règles communes. Cela veut bien dire que l’assistanat est une hérésie, contraire à l’idéal de vie en société, mais est entretenu volontairement par les tenant de ce que l’on appelle le néo libéralisme, pour la simple raison de défense de la propriété des moyens de productions et de leur financement. En d’autres termes, l’assistanat est une conséquence directe de la propriété (qui par définition est toujours privative).
Etc...
Ah, j’oubliai, l’intérêt général est la somme des utilités particulières et certainement pas la somme des intérêts particuliers, car alors cela signifie simplement que l’intérêt général n’existe pas et par conséquence ne reste que le chaos généralisé.
"Car le fait de parler du libéralisme comme la liberté donnée à chacun
de faire comme il veut, et bien, c’est exactement le principe
démocratique qui veut s’appuyer sur le consensus éclairé et donc
transparent de chaque individu participant et partageant la vie sociale
et le travail social, pour en retirer une récompense sociale.