Franchement, entre une pollution visuelle et une pollution radioactive, si on a pas d’intérêt financier important, faut être le dernier des idiots (pour rester poli) pour hésiter entre l’éolien et le nucléaire qu’on nous a vendu.
Dans l’état actuel des choses, le coût pour dépolluer et démonter les centrales nucléaires sont estimés en milliers de milliards d’euros. En fait, c’est juste pour se donner du courage car en réalité on sait pas vraiment comment faire
Alors l’éolien comparé au nucléaire, c’est du... Vent. Car démonter une éolienne, c’est pas bien compliqué et cela ne défigure le paysage que le temps qu’elle sont en service. Par contre, une centrale nucléaire qui pète comme Fukushima, BlueMan sera mort sans rire.
Et perso, je n’aime pas plus ces éoliennes géantes et les lobbys quels qu’ils soient. D’autant que niveau scandale politico financier, la privatisation des barrages hydrauliques c’est pas mal non plus.
pour le point 1 concernant votre remarque sur Delamarche, d’accord avec vous, c’est simple.
Pour le point 2, je dis bien que techniquement c’est facile, c’est humainement que c’est difficile. Comment en effet faire en sorte que les riches acceptent de ne plus toucher l’usure ? Autrement dit qu’ils aident les pauvres à s’émanciper alors même que leur statut est lié à la servitude des classes moyennes et à l’esclavage des pauvres ? D’autant que cette émancipation aboutirait à la remise en cause de la propriété des moyens de productions. Contraire donc à leur propre intérêt...
Pour votre remarque sur Sapir, c’est l’évidence même ! Seule la révolution peut effectivement résoudre le problème de la dette. Mais comme dit au dessus, celle ci ne peut en aucune manière être limité à la monnaie, mais toucher les moyens de productions. Sinon, c’est remettre les compteurs à zéro pour repartir de plus belle et toujours pour les mêmes gagnants, les propriétaires des moyens de productions. Sauf que la propriété ne repose pas sur une réalité factuelle, mais du rapport de force entre les classes sociales. La seule propriété qui soit une réalité factuelle est celle de la Terre elle même.
Je n’ai pas de méthode, mais un fil conducteur, le principe de responsabilité, dont il me reste à écrire encore deux articles au moins pour rendre clair l’ensemble.
Maintenant permettez que je critique votre affirmation
La base du système capitaliste c’est de VIVRE à CRÉDIT
Non, la base du capitalisme c’est d’exploiter le temps de vie d’autrui à son profit personnel. Posséder 10 000 hectares de terres arables ou 1 milliards d’euros sans personne d’autre que soi même, ne fera pas de vous un capitaliste, mais un prolétaire car vous devrez vous exploiter vous même.
Le capitalisme naît de la propriété privé, donc avec le système monarchique qui permet d’exploiter autrui. Le premier capital est la terre, l’espace. La monnaie vient ensuite, mais n’est que la suite logique du capitalisme terrien. Celui qui vit à crédit n’est pas le capitaliste, mais le prolétaire, car il doit toujours échanger son propre temps de vie au service du noble et ensuite du bourgeois pour survivre.
La monnaie n’a jamais été un moyen d’échanger des biens et services, mais la mesure de la valeur du temps de vie dédié au service d’autrui. Cela parce que comme l’ont si bien analysé Ricardo et Marx, dans un produit, seul coûte le travail humain, tout le reste est gratuit. Mais de ne regarder que le prix des biens permet effectivement d’occulter que ceux ci ne sont que la somme du temps de vie dédié à sa réalisation. Autrement dit, hors mécanisation, un bien ne peut être vendu moins cher qu’en diminuant la valeur du temps de vie de ou des personnes dédiés à sa réalisation. Soit, par une plus grande servitude et esclavage. Résultat, l’ouvrier occidental achetant un produit chinois à bas coût se retrouve favoriser, encourager et complice de la maltraitance des ouvriers chinois de même classe sociale qu’eux. Conséquence de la conséquence précédente, l’ouvrier occidental est un salaud d’exploiteur, un pourri, un putain de capitaliste relativement à l’ouvrier chinois. Conséquence de la conséquence de la conséquence (vous me suivez !?) l’ouvrier occidental donne raison au capitaliste qui vise à le réduire au même rang que l’ouvrier chinois !!! De fait, il se retrouve face à une injonction contradictoire (mais elles sont nombreuses), encourager l’exploitation des ouvriers chinois de même classe que lui, mais refuser que lui même soit exploité de la même manière par les mêmes capitalistes. le problème est humain, non technique.
Question, avez vous lu au moins un seul des articles mis en lien ?
J’entends par "approche psychologique", le fait que la plus grande difficulté pour l’humain en tant qu’espèce, est d’évoluer au niveau de sa conscience collective.
Je l’aborde dans mon dernier article en liant l’espace temps à la monarchie et à la bourgeoisie. Mais j’ai bien conscience qu’il faut développer l’idée et qu’en l’état c’est un peu juste et pour beaucoup apparaît comme difficile à appréhender.
Le reportage du journaliste israélien en fait partie, pour montrer la manipulation des esprits à l’oeuvre dans nos belles médiacraties, mais ce n’est pas à lui que je pensais !
Ma méthode s’appuie donc essentiellement sur le principe de responsabilité. Il me faudra écrire la suite, car l’idée est loin d’être arrivé à son terme...
Comme vous pouvez le constater, j’ai donc bien ne méthode, mais pas de véritable plan pour l’écrire. C’est là mon plus grand défaut !
Pour ce qui est de la méthode, vous en trouverez un aperçu dans cet article les bourses d’activités locales. Elle est bien entendu incomplète et pour l’instant je ne me suis pas attelé à la développer et l’étendre la car dès que l’on dépasse l’échelon local, le système évolue.
Pour l’approche psychologique, vous aurez une aperçue avec le dernier article que j’ai publié.