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Les commentaires de JL



  • 2 votes
    JL 3 avril 2018 08:44

    Les mathématiques dans la vie courante, ça sert au moins à deux choses : aiguiser le raisonnement, à affuter le sens des grandeurs mesurables.



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    JL 22 mars 2018 18:31
    Vous avez dit pensée magique ?"Lettres sur les fantômes" par Spinoza

    http://lewebpedagogique.com/philo-bac/lectures/lettres-sur-les-fantomes-spinoza/



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    JL 18 mars 2018 23:42
    altruisme ou égoïsme ?

    Les deux mon neveu !



  • 1 vote
    JL 18 mars 2018 11:12
    altruisme ou égoïsme ?

     

     Question idiote : faut-il marcher du pied gauche ou du pied droit ?



  • 1 vote
    JL 10 mars 2018 08:11

    Bonjour,
     
    le minimum de respect pour les visiteurs serait il me semble, d’indiquer la durée de la vidéo.
     
    Et la moindre des choses si on n’est pas doué pour l’écriture, serait d’écrire une phrase ou deux pour dire de quoi ça parle quand le titre n’est pas suffisant.



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    JL 3 mars 2018 10:22

    Merci Sophie Li
     pour cette vidéo dont les 5 premières minutes devraient intéresser tous ceux qui sont sensibilisés par les remous autour de l’héritage de Johnny ou par celui qu’était Johnny Hallyday.
     
     Dans la seconde partie, Onfray parle surtout de lui-même, et on a le sentiment qu’il fait son testament.
     
     Dans la troisième partie, il se livre à des considérations générales respectables sur le principe de l’héritage en général, notamment sur le fait que le Fisc se rend la part du lion. Quand il dit qu’il trouverait ça juste si cet argent servait à améliorer le sort des pauvres, on a envie de lui suggérer de le faire d’ores et déjà lui-même de son vivant.
     
     



  • 1 vote
    JL 1er mars 2018 19:38

    @V_Parlier
     

    ’’Le gars se suicidera ailleurs, qu’est-ce que ça change ?’

     

    On parlait du retard des trains, non ?

     

     ’’ Et si ce sont des types qui font exprès de bloquer les trains, quand ils les verront arriver sans ralentir ils dégageront vite fait.’’

     

    Vous mettriez votre vie en danger pour le plaisir d’emmerder des centaines de personnes, vous ? Pfff !



  • 1 vote
    JL 1er mars 2018 16:32

    @Joe Chip
     

     si, cela existe ailleurs, notamment en GB ; mais les trains continuent de rouler : profits privés obligent, les actionnaires ne veulent rien savoir. C’est ça que vous voulez ?

     



  • 1 vote
    JL 1er mars 2018 10:14

    Précisions deux à trois millions d’usagers affectés par ces retards. .



  • 2 votes
    JL 1er mars 2018 10:12

    Pourquoi les trains sont toujours en retard ?
     
    Sur le réseau SNCF francilien, un « accident de personne » se produit tous les deux à trois jours.
    http://www.leparisien.fr/info-paris-ile-de-france-oise/transports/accidents-de-personnes-ces-conducteurs-sncf-ont-tape-ils-racontent-07-11-2017-7378458.php

    « Suite à un accident de personne, le trafic est totalement interrompu ». Ce message, est entendu par les usagers des transports en commun tous les deux à trois jours sur les lignes RER et Transilien. Ils sont, chaque année, deux à trois millions à être affectés par ces accidents qui sont dans l’essentiel des cas, des suicides.
     



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    JL 9 février 2018 13:02

    Macron préfère acheter 300 véhicules militaires pour protéger nos entreprises extérieures plutôt que 3 véhicules de travaux publics pour protéger l’activité intérieure.



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    JL 6 février 2018 14:54

    Le lien entre l’ancien Régime et notre dette est intéressant et mérite qu’on s’y attarde : il me paraît clair que cette répulsion vis-à-vis de la planche à billets, si elle est récente pour les Allemands, remonte à l’Ancien Régime en France et affecte plus particulièrement les nantis. Le Roi étant de la même classe sociale que les riches qui lui prêtaient, il ne pouvait pas recourir à un procédé inflationniste qui aurait trahi sa base.
     
    En revanche, le recours à la planche à billet par un État démocratique est la hantise des riches d’aujourd’hui en ce qu’il constitue une redistribution parfois nécessaire pour éviter précisément de nouveaux désordres liés à de trop grandes injustices et trop de sacrifices demandés aux populations.
     
    La parade toute récente que les riches ont trouvée pour contourner cette menace inflationniste a été de déposséder l’État démocratique de la possibilité de recourir à cette possibilité : avec ce droit de créer eux-mêmes la monnaie, ils possèdent le poison et l’antidote, l’arme et la carapace. Et l’État démocratique est ruiné dans les deux sens du terme : dans son pouvoir régulateur et dans ses caisses.
     
    Les "premiers de cordée" ont la chose et son contraire, les "sherpas "ont la double peine.
     
    Il faut dire et redire que, dans ce qui permet la plus-value réalisée par les entreprises, il y a l’utilisation de l’infrastructure dont elles profitent et qu’elles ne paient pas autrement que par les prélèvements. Imaginez vous une entreprise dans le désert, devant elle même créer ces infrastructures, gérer le capital humain qu’elle emploie, de la naissance à la mort. Faites les comptes !
     
    Le pillage du Trésor public organisé par les vautours capitalistes est favorisé par les politiques félons qui empruntent sans compter pour alimenter cette curée obscène et criminelle. Comble dans l’ordure, cercle vicieux de chez vicieux, ils prennent prétexte de l’endettement des États qu’ils ont provoqué, pour ruiner toute velléité de protection sociale et de politique à long terme.
     
    Après avoir pourri la moitié de l’État par la redistribution à l’envers dénoncée déjà en son temps par Michel Rocard, gabegie qui mène au chaos, ils ont entrepris d’en jeter la partie saine, à savoir la redistribution porteuse de progrès. Mais ceux-là n’ont que faire de la France et des Français.



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    JL 6 février 2018 14:44

    « ... nous vivons une de ces époques historiques de surendettement généralisé – et passons sur le fait que ce surendettement de tous les agents (ménages, institutions financières, États) est le produit même du néolibéralisme… – : les ménages se surendettent sous l’effet de la compression salariale ; les banques se surendettent pour tirer, par « effet de levier », le meilleur parti des opportunités de profit de la déréglementation financière ; les États se surendettent par abandon de recettes fiscales sous le dogme de la réduction des impôts (pour les plus riches).
     
    « De cet énorme stock de dette, il va bien falloir se débarrasser. Or la chose ne peut se faire que selon deux options : soit en préservant les droits des créanciers – l’austérité jusqu’à l’acquittement du dernier sou –, soit en allégeant le fardeau des débiteurs – par l’inflation ou le défaut. Nous vivons à l’évidence en une époque qui a choisi de tout accorder aux créanciers. Que pour leur donner satisfaction il faille mettre des populations entières à genoux, la chose leur est indifférente.
     
    « C’est à cette époque qu’il faut mettre un terme. Changer d’époque suppose en premier lieu d’affirmer le droit des « débiteurs » à vivre dignement contre celui des créanciers à l’exaction sans limite. Seuls les fétichistes du droit des créanciers pourront s’insurger qu’on y attente, en tout cas qu’on lui en oppose un autre, pas moins légitime, et même beaucoup plus si l’on se souvient des origines de la dette. Où le parti pris acharné des créanciers nous conduit, nous ne le savons maintenant que trop.
     
    « L’alternative est donc simplissime : ou bien nous poursuivons dans cette voie, par ailleurs exposée à la perspective d’un échec macroéconomique très probable, ou bien nous choisissons le parti inverse, celui des corps sociaux. …
     
    « Il faut avoir soit l’idéologie monétariste, soit l’insuffisance conceptuelle, chevillées au corps pour soutenir qu’une banque centrale puisse faire faillite, et même doive être recapitalisée, thèse parfaitement inepte qui témoigne d’une incompréhension profonde de ce qu’est vraiment cette institution, absolument dérogatoire du droit économique commun.
     
    « Créatrice souveraine et ex nihilo de la base monétaire – la forme supérieure de la monnaie – adossée à son pouvoir entièrement symbolique de faire accepter son signe, la banque centrale peut faire des pertes comptables mais sans aucune incidence au regard de sa propre économie institutionnelle puisqu’elle peut tout simplement monétiser ses pertes et s’auto-recapitaliser par création monétaire.
     
    « Bien sûr il en résulte une augmentation de la masse monétaire puisque les dettes correspondantes, annulées, ne passeront pas par le moment de destruction monétaire de leur remboursement. Et alors ? Contrairement à ce que croient les illuminés du monétarisme, la création monétaire, même très importante, n’est nullement vouée à dégénérer par essence en inflation …
     
    « C’est le propre de la domination que le désastre est le plus souvent la meilleure chance des dominés. La fenêtre de ce désastre bancaire-là, à l’inverse de celle de 2008, il ne faudra pas la manquer. Une fois de plus il faut rappeler les effrayés à la conséquence. En situation de surendettement historique, il n’y a de choix qu’entre l’ajustement structurel au service des créanciers et une forme ou une autre de leur ruine. A chacun de choisir son camp et de dire clairement pour laquelle des deux options il penche.
     
    « A tous ceux qui n’auront pas pris le parti des rentiers mais que la perspective de la convulsion continue d’inquiéter, il faut redire qu’on n’a jamais vu un ordre de domination, a fortiori quand il est aussi puissant que le néolibéralisme, « rendre les clés » de son mouvement spontané. C’est dans le monde des rêves social-démocrates qu’on se plait à imaginer des gentils puissants, qui d’eux-mêmes trouveraient les voies de la décence et de l’auto-limitation.
     
    « Sauf hypothèse de sainteté, on ne voit pas bien par quel improbable mouvement de l’âme les dominants pourraient consentir de leur propre gré à la transformation d’un monde qui leur fait la vie si belle et auquel tous leurs intérêts, patrimoniaux aussi bien qu’existentiels, ont intimement partie liée. Au prix sans doute d’attrister le Parti de la Concorde Universelle, il faut donc rappeler qu’un ordre de domination ne cède que renversé de vive force. »(Lordon : « En sortir » LMD, 26/9/12)



  • 9 votes
    JL 30 janvier 2018 12:02

    Cette personne, madame Stéphanie Gibaud mérite la légion d’honneur et devrait se voir proposer un emploi dans la fonction publique à la mesure de ses compétences.



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    JL 28 janvier 2018 09:50

    Qui a dit que le "En même temps", ça marchait plus ?
     



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    JL 20 janvier 2018 11:22

    «  Le biais d’agentivité consiste à penser que derrière le cours des choses se trouve nécessairement une intention cachée. »



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    JL 20 janvier 2018 11:20

    La pornographie c’est la sexualité des autres, le complotisme est leur esprit critique.



  • 4 votes
    JL 15 janvier 2018 19:53

    un signal radio toutes les 5 secondes, ça fait 17280 signaux par jour.
     
     Si le signal dure 0.28 ms, ça fait en tout 5 secondes par jour.



  • 3 votes
    JL 15 janvier 2018 18:26

    Boumediène à l’ONU dénonçant l’ordre économique mondial (1974)

     

    "L’ordre mondial sous lequel nous vivons aujourd’hui est un système désuet du point de vue de la majorité de l’humanité, tout comme le système colonial qui en est issu.
    Un système qui croît par une dynamique qui se fait sans arrêt par l’appauvrissement des pauvres et l’enrichissement des riches et constitue un obstacle au développement du tiers-monde.
    Il est temps de poser ces problématiques pour que chacun prenne ses responsabilités devant les problèmes de pauvreté et de malheur de notre monde.
    La question du développement et du partage de la richesse qui est posé depuis un quart de siècle, cela est devenu la priorité des priorités du monde qu’il faut traiter sans plus attendre.
    "
     
    Rien de nouveau sous le soleil, donc : les problèmes sont toujours les mêmes.
     Non, pas tout à fait : la priorité des priorités selon les maîtres du monde occidental, c’est le "réchauffement climatique", la prédominance du bouton de Donald sur celui de Kim, et accessoirement la chasse aux porcs.



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    JL 7 janvier 2018 13:59

    c’est un vieil enregistrement, ça, non ?