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jjwaDal

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    jjwaDal 21 février 2020 16:42

    Il faut se souvenir que le programme électronucléaire français a été "torché" dans les années 1970/1980 pour répondre à une demande urgente de l’Etat. Qu’on ait su faire en 7/8 ans ce qu’on ne sait plus faire en 10 ans, 40 ans plus tard, montre les prises de risque qu’on s’est autorisé pour la filière, à l’époque. Il faudrait relire les "Sciences & Vie" de l’époque pour voir tous les écueils (fissures d’origine sur chaudières ou sur circuits de refroidissement au montage, pièces ne répondant pas aux spécifications mais jugées aptes à l’installation, etc) pour mesurer la chance relative que nous avons eu. Si nous n’avons pas eu de catastrophe, c’est probablement que le programme entier était sous la supervision d’un producteur électrique national, aux moyens financiers vastes et soutenu par une élite de techniciens et ingénieurs qui avaient un intérêt bien compris à ce que ça marche.
    Nous allons donc apprendre à démanteler une centrale de ce type, mieux quantifier les coûts réels et les procédures et aborder le sujet du stockage en zone de confinement des déchets à longue vie. Il se trouve que le nucléaire n’a bouclé son cycle, nulle part. Une étude récente montrait encore que pour les déchets les plus actifs, les solutions qu’on pensaient bonnes, ne le sont pas.
    Si on ne la remplace par par un EPR, il n’est pas tard encore de renouer de bonnes relations avec les Russes pour disposer de leur gaz. Cela permettra aux moulins à vent de tourner quand ils veulent et aux écolos de voir grimper nos émissions de CO2 dans un pays moins nucléarisé.



  • 2 votes
    jjwaDal 23 novembre 2019 20:03

    Faut-il encore rappeler que police, justice et armée doivent leur existence à la nécessité impérieuse de préserver l’ordre établis. Par qui ? Par ceux qui ont mené l’économie au bord de l’infarctus en 2007, par ceux ayant déclenchées toutes les guerres (pour défendre leurs intérêts, non ceux des peuples), par ceux qui musèlent les médias de grande information pour empêcher toute prise de conscience, en bref, par une infime minorité de la population qui a l’audace de se déclarer une élite et d’"oeuvrer en faveur du bien commun".
    Quand il a fallu obliger une fraction de la population à porter une étoile jaune, ce n’est pas le peuple en général qui a promulgué les lois, pas lui qui a veillé au port de ce signe distinctif, pas lui qui a parqué les juifs dans des camps pour qu’ils aillent prendre l’air en Allemagne.
    Ce qui fait le pouvoir des psychopathes, c’est leur capacité à utiliser les capacités des structures sociales qu’ils ont mises en place pour faire faire le sale travail par des gens du peuple qui doivent gagner leur vie en passant sous les fourches caudines du salariat et son principe de subordination , qui est assimilé souvent à de la soumission.
    On n’a rien à découvrir en 2019. Les mêmes structures sociales engendrent les mêmes résultats, sous Vichy comme sous Tartempion.



  • 1 vote
    jjwaDal 23 octobre 2019 19:04

    Rien de nouveau dans ce qu’il dit : on est dans la situation d’un troupeau de vaches laitières, convaincues que la seule vie possible est celle qui leur est imposée et que le débat démocratique se limite dans son périmètre à débattre des modalités et horaires de la traite.
    D’où le spectacle chatoyant de souris s’acharnant à mettre des chats à leur tête, qui, devinez quoi, font des politiques en faveur des chats et non des souris...
    Lordon l’a décliné sous toutes les formes : "Dans le cadre tel qu’il existe, il n’existe aucune alternative à ce que nous connaissons". Donc, peu importe le nom du successeur du gérant actuel de la boutique. S’il envisage la sortie du cadre il est mis à mort par tous les moyens existants (les grands médias et la finance déjà) et s’il ne l’envisage pas il peut participer au combat de coq, pour déterminer, non la politique qui sera suivie après la présidentielle, mais juste le nom du nouveau gérant.
    Je prédis que nous ne seront même pas un souvenir, quand la majorité des citoyens aura atteint un degré de malaise la poussant à prendre la pilule rouge de Néo (matrix) et descendre dans le terrier à la poursuite du lapin blanc.



  • 1 vote
    jjwaDal 2 novembre 2018 08:23

    @Login
    Faites-nous profiter de votre génie au lieu de nous toiser du sommet de votre taupinière. On est là pour apprendre de ceux qui savent (du moins, moi).



  • 2 votes
    jjwaDal 1er novembre 2018 22:45

    @hase
    Comme dans "Planète Interdite" le monstre est loin et gros en apparence. Il a la force de nos pulsions consuméristes, la puissance de notre inculture générale, de nos croyances religieuses dans le divin marché, la compétition de tous contre tous, du plus fort qui gagne. On a quitté une jungle pour en fabriquer une autre, quitté des formes de barbaries pour en inventer d’autres. Ce monde n’est pas devenu comme il est sans nous, il ne changera pas sans nous.
    On est face à une barbarie jamais vu à une telle échelle et il faudrait baisser les bras ? Des gens ont risqué dans le passé la torture et la mise à mort sommaire pour des idées et nous devrions sans connaître ces menaces nous laisser acculer au nihilisme et à la dépression ?
    Il y eu des "justes" au coeur de l’Allemagne nazie et eux leur peau était en jeu au quotidien. Nous nous pouvons nous exprimer, échanger, bichonner les passereaux et les abeilles, préserver un bout de savoir et de biodiversité, nous cultiver, acquérir un peu de recul sur nos limites et réapprendre la gentillesse.
    Ce qui m’excite le plus est d’apporter ma goutte d’eau quotidienne contre l’incendie. Les colibris sont têtus, "no passaran". smiley

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