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poetiste

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  • 6 votes
    poetiste 17 décembre 2010 22:21

    Desproges avait une manière moins directe de dire cette chose. Il annonçait sur scène : je suis un nanti, je suis un nanti, un nanti juif.
    Et ça passait très bien, on était moins tendus qu’aujourd’hui.
    Nous ne sommes pas censés prendre au premier degré les paroles d’un humoriste et qui se sent morveux, qu’il se mouche.
    Dieudonné est le plus talentueux humoriste parce qu’il ose déranger.
    Des humoristes qui se contentent d’imiter les autres, on en trouve dans les cours d’école. Personnellement,ça ne me branche pas.
    L’humour sans extrémisme des mots, c’est de la flagornerie, du cirage de godasses, du business. Et n’est-ce pas la transgression du tabou qui suscite le rire ?
    La dramatisation de ce que dit Dieudonné vient bien d’une recrudescence de tabous qui est la conséquence d’un communautarisme exacerbé.
    Les "tragediente" sont aussi des "comédiente", les deux, mon général.



  • vote
    poetiste 16 décembre 2010 19:22

    Peuple naïf ou conscient ?

    Marine Le Pen a un réel talent d’orateur, elle n’a pas négligé les cours de diction, les intonations qu’il faut mettre sur les syllabes pour être plus convaincante. Le soldat est formé, au point pour les présidentielles.

    Elle a repris les mises en garde de Jacques Attali à son compte, elle les a rencontrées ; c’est fou comme le monde est petit !

    Quand certaines vérités glissent à l’extrême droite : attention ! Elles ne sont qu’une parure électorale. Elles sont évidemment amputées d’un certain bon sens : revenir à la monnaie nationale, qui peut croire ça après un tel engagement européen ?

    Écoutez bien le discours ; elle dit ce que vous voulez entendre car elle voit bien l’incurie des gouvernements qui se sont succédés, de gauche ou de droite.

    Elle voudrait reprendre au gouvernement Sarkosy les voix que celui-ci à substituées au front national pour se faire élire. Je te vole, tu me voles, c’est l’alternance droite, extrême droite.

    La gauche est faible, pas assez sociale ; il y a là aussi des niches à prendre pour l’extrême droite. Marine va stimuler la politique du pire.

    Elle a bien appris sa leçon ; on lui donnera une bonne note pour son discours. La séduction est bien peaufinée, les arrières pensées sont en cache.

    Elle nous fait le coup du sauveur qui va tout arranger, c’est très gaullien. Elle mange à tous les râteliers pour arriver à ses fins et à ses faims.

    Il existe une bonne et une mauvaise séduction. La bonne parle d’effort à faire, la mauvaise vous montre le paradis hypothétique, la poudre aux yeux.

    Il faut arrêter de rêver, arrêter de se laisser manipuler. La ruse est pourtant grosse. On ne va tout de même pas retomber dans le cas Jospin et voir les socialistes voter à droite pour barrer la route à Marine Le Pen.

    Les socialistes ont-ils encore le temps de débrouiller l’écheveau de leurs dissensions, eux qui ont confondu lutte sociale et lutte électorale depuis si longtemps ?

    Certes, la politique française est consternante mais ce n’est pas une raison pour se laisser avoir par des discours stéréotypés.

    Dans les pays en crise, cette tentation d’aller à l’extrême s’est déjà vue dans l’histoire. Il y a plusieurs types de sirènes, celles qui attirent en promettant le meilleur et celles qui demandent que vous participiez à votre destin.

    Où est la bonne, où est la mauvaise séduction ?

     

     



  • 1 vote
    poetiste 14 décembre 2010 08:25

    La police qui voudrait s’affranchir de la justice, ça devait arriver avec ce gouvernement liberticide.
    La répression régression s’est intaillée et se durcit.
    Ils ne connaissent que ça les bougres !
    Et la loi Loppsi 2 qui, non seulement ne vient pas en aide à ceux qui cherchent à se loger mais veut éliminer le problème en interdisant les habitations précaires.
    Zont trouvé la solution, les drôles, pour éradiquer la pauvreté qui les gène et dont ils sont responsables ; ils éliminent les pauvres.
    Un mort par jour recensé à la rue par le "collectif des morts de la rue". Et les médias se sont soulagés en indiquant que deux sdf étaient morts cet hiver.
    Oyez, braves gens : opposez-vous à la loi loppsi 2, signez la pétition avant que notre démocratie agonise.
    La liberté égalité fraternité, ça ne se défend pas en donnant carte blanche, en se faisant représenter par un politique, ça se défend au jour le jour car nos enfants attendent un avenir
    un peu plus cohérent ayant un peu plus de sens que ce que nous vivons actuellement.
    Merci pour eux.



  • vote
    poetiste 13 décembre 2010 09:26

    Les mimétismes.

    Notre président a attiré à lui tout ceux qui, dans le parti socialiste, étaient des hommes à tendance de droite qui n’avaient pas eu la chance d’avoir acquis une place à droite.

    Et notre président n’a pas eu à choisir longtemps tant il est vrai que de se dire de gauche ferait presque rire dans la position de DSK.

    Et notre brave Hollande qui a déjà déposé sa candidature ; il ne croit tout de même pas être élu ! Une candidature contre qui avec si peu de moyens et si peu d’envergure.

    Le sourire de DSK traduit une ambition qui se dévoile. Peu d’hommes résistent à la tentation de la présidence de la France. On a vu là, l’orgueil flatté.

    Si cette présidence était autre chose qu’une espèce de gloire, d’ambition de pouvoir mais une charge de responsabilité écrasante, il y aurait moins de candidats.

    Dans les associations, on ne se bouscule pas pour la présidence, que je sache !

    Si les médias déploient le tapis rouge sous les pieds DSK, c’est qu’ils ont reconnu qu’ils pourraient continuer de bien vivre sous son régime.

    Lamy et DSK, deux belles réussites sociales, l’un auprès des lobbies pharmaceutiques et l’autre au FMI. Le socialisme ouvre toutes les voies, tous les arrivismes.

    La machine à confondre la droite et la gauche fonctionne depuis un certain temps, c’est aussi la machine à polluer les convictions, les valeurs humaines, les corps et les âmes..

    L’important n’est plus la rose quand son parfum s’est affadi à ce point. Jacques Lang, lui, avait loupé son entrée à droite.

    On aura en 2011, le gouvernement que l’on aura mérité du fait de notre manque d’exigence à réclamer des politiques une véritable justice sociale. De gauche ou de droite, on aura une politique de droite au plus mauvais sens du terme, c’est la tendance, comme on dit.

    Quand on vit de la gabegie, on n’a pas envie qu’elle cesse, parlez en aux médias.



  • 2 votes
    poetiste 12 décembre 2010 23:17

    Hâbleur

    L’homme qui affirme sa judaïcité veut rabattre le caquet des gaulois. Il fustige la patrie en commettant la confusion entre le nationalisme et l’identité nationale, culturelle.

    Voilà un pseudo philosophe qui, à force de s’écouter parler finit par dire n’importe quoi. Il m’indispose ce bellâtre qui se mêle de tout et de rien, juste pour faire un spectacle qui n’en est pas un. La machine à penser a un processus aléatoire dans son programme.

    Il pointe une caméra sur Massoud et une autre caméra, avec une mitrailleuse dedans, pointe définitivement Massoud, un vrai poète. On a eu un beau reportage du guerrier romantique, mais à quel prix pour lui.

    A moins paraître, ce personnage médiatique pourrait peut-être retrouver du bon sens. L’appellation : « philosophe » n’est pas contrôlée ; tout au plus pourrions-nous lui décerner celle de bavard incorrigible, de « m’as-tu vu » bien intégré dans une société en représentation.

    Il fait le coup de poing quand il se fait entarter ; est-ce la sagesse propre à la philosophie ça ?

    Se montrer, se montrer, et on finit par croire que cela peut tenir lieu de valeur humaine. C’est une entreprise de déstabilisation du téléspectateur dont notre homme ne semble pas avoir conscience, mais il est vrai qu’il n’est pas le seul dans ce cas.

    Dans le Nord, on a un dicton : grand dis-je : petit fais-je. Quelques bons points, cependant pour la défense de Ayan Irsin Ali et quelques autres mais le bavardage incontrôlé gâche tout à l’écran. Question de grosse tête, sans doute, grosse comme l’amphore de Diogène, mais sans Diogène dedans. Pseudo philosophe vous dis je.

     

     

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