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poetiste

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    poetiste 26 novembre 2010 11:18

    Vincent Cespedes ne se distingue pas tant que ça dans le paysage social actuel. C’est un jeune homme qui cogite selon la pensée du jour, si vaine soit-elle et qui vend des livres. Si vous le contactez, il vous répondra en faisant la promo de ses bouquins.
    Il invente le mot : "encouplement" car la femme lui fait peur (pas trop s’engager !).
    C’est un personnage médiatique qui attaque Zemmour et l’injurie avec une inélégance indigne d’un philosophe. (Mais quelle philosophie est la sienne ?)
    Il séduit mais détrompe vite. Il n’est pas à la racine de la philosophie mais à la feuille d’automne qui s’envole au vent des pensées rapides et légères, pensées qui contentent plus celui qui les exprime que celui qui les entend.
    Il lui manque un peu de désert, un peu de l’amphore de Diogène. Il ne nous console pas de B.H.L, il est sur ses traces.



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    poetiste 26 novembre 2010 08:54

    O !Grand et sage Popu.Homme empreint d’intelligence de douceur et de délicatesse. Tu préconises une marine dans chaque porc.
    Tu es hanté par les sionistes que tu vois partout. Comme tu as raison de te défendre bec et ongles contre tout ce qui ne
    t’arrive pas à la cheville, qui n’est pas dans ta programmation mentale. Je te rends hommage grand Popu, je m’incline
    devant toi le front parterre. Vive l’anti culture ! Je te vénère, tu es de loin le meilleur. Merci pour tes mots sans haine
    et sans mépris, très respectueux des autres.Avec toi, on sent un avenir radieux. C’est l’ère Popu du populaire !



  • 2 votes
    poetiste 25 novembre 2010 10:43

    Voilà ce que l’on appelle le Coran saignant.
    La méconnaissance de l’histoire chez bon nombre de musulmans est patente.
    Dire que cette religion n’agresse pas les autres depuis l’hégire, c’est avoir des peaux de saucisson sur les yeux(le comble pour un musulman).
    Le Coran est dans le négationnisme de la crucifixion de Jésus donc dans le négationnisme de la chrétienté. Il se permet de contester ce qui fait le fondement de la religion chrétienne.
    Le musulman de base qui nous dit que l’Islam n’est pas expansionniste, eh bien qu’il voie l’histoire et les centaines de guerres menées vers l’occident ; Depuis les Omeyyades aux Abbâssides , puis Fâtimides jusqu’à nos jours, c’est une longue suites de guerres. Abdère Aman est quand même venu jusqu’à Poitiers, les ottomans jusqu’à Vienne. Ali Pacha s’est fait couper la tête à la guerre de Lépante ce qui a arrêté une invasion de l’Europe.
    Oh les mecs ! si on arrêtait ces affrontements à la con ? Ce n’est pas la peine de raviver la haine mais stop à l’expansionnisme moyenâgeux. Nous sommes au troisième millénaire.



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    poetiste 22 novembre 2010 21:56

    L’ego est lent.

    L’ego c’est le moi qui craint la fin du moi, quand il devra payer la note, en quittant ce monde. L’ego est à dimension variable, pouvant se gonfler dangereusement et ce gonflement est contagieux.
    Il y a chez ceux que la nature n’a pas gâtés par les dimensions corporelles, plus de tendances à ce gonflement intempestif. Ainsi Louis 14, Hitler, Bonaparte et j’en passe, étaient petits de taille.
    Mais ces prédisposés à l’ego sans trique ne sont pas les seuls car on leur voue un culte, une adoration qui réveille aussi en nous ce tropisme de l’ego sur dimensionné.
    En criant : "Heil Hitler", les Allemands se son trompés de sauveur, de religion. Les petits ego sont tombés dans la séduction fallacieuse de la puissance du dictateur.
    Il en est de même aujourd’hui, cette recherche du sauveur n’est pas morte. L’Histoire se répètera toujours, les ego désintéressés n’étant pas viables en politique.
    Instinct de conservation, instinct grégaire, ça n’est pas maîtrisable : voilà pourquoi l’ego est sans trique, qu’il continuera à faire des ravages.



  • 2 votes
    poetiste 18 novembre 2010 21:39

    @ elfableo

    Un bout de texte pour développer :

    Tentative d’explication.

    Petites étincelles éphémères dans l’immuabilité des choses, les hommes ont toujours tenté de comprendre le mystère de la création. Comprendre, étymologiquement voulant exprimer : « prendre avec », on peut mesurer l’incroyable gageure d’une telle prétention. Le mammifère primate omnivore au temps imparti n’a aucun pouvoir de création primaire ; il ne sort rien de rien. Tout ce qu’il découvre est dans le préétabli ; il a les outils pour une utilisation à son avantage de la nature et la transformer dans le même sens. Tout ce qu’il découvre est don et ce don, il se l’accapare ; il va jusqu’à breveter la génétique, la vie. Cependant, tous les hommes ne sont pas ingrats car certains savent s’émerveiller de ce qu’ils découvrent et dire merci. Tous ne sont pas comme ces enfants mal élevés qui vous arrachent des mains un cadeau que vous leur offrez. Le singe nu a en lui au plus profond de ses gènes, le plus tenace des tropismes : la cupidité reliée au goût du pouvoir. Ce n’est pas un cochon qui sommeille en l’homme, c’est bien plus inquiétant, c’est un tyrannosaure ; les atrocités de l’histoire nous le prouvent mille fois. Le tyrannosaure, bien enfoui quelque part dans le cerveau archaïque, du côté du bulbe céphalorachidien, a des raisons impératives que notre raison ignore ou préfère ignorer. Quand le tropisme d’asservir ses semblables le prend, l’homme entre dans un processus paranoïaque qui conduit à la tyrannie accompagnée d’un complexe de persécution. Le pouvoir pour le pouvoir n’est pas la responsabilité mais se pare volontiers de cette vertu. De lui-même, le tyran séduit ; il séduit les tyranneaux qui sommeillent en chacun de nous et beaucoup se reconnaîtront en lui. La « mayonnaise » de la dictature ne peut prendre que si un certain nombre de séides, tyrans secondaires, peuvent lui apporter une garde rapprochée. Ces admirateurs inconditionnels sont soumis mais pas exempts d’avoir la tentation de déboulonner le maître. Celui-ci s’efforcera de canaliser la violence vers des cibles précises qui pourront être approuvées par ses admirateurs. La paranoïa du pouvoir peut alors s’étendre à tout un peuple par un phénomène « maître esclave » en lequel chacun peut laisser libre cours aux pulsions de son tyrannosaure personnel. Comme le feu ou comme une pandémie ; le phénomène s’étend. On peut prendre l’Allemagne des années trente comme exemple de cette tendance mortifère. Les tyrans de tous poils dont le pouvoir est basé sur la violence, se mesurent, apportent une réflexivité et une exacerbation de celle-ci. Le peuple n’est rien dans ces luttes ; il a capitulé d’une capitulation lente et sournoise motivée par la peur. Pouvoir et peur sont de la même famille, deux facettes du tyrannosaure, deux aspects de l’instinct de conservation strictement animal. Le pouvoir absolu est le fantasme d’un être au temps imparti et éphémère, ceci est un paradoxe. Le tyran passe de l’idolâtrie de sa personne au renversement de son piédestal un jour ou l’autre dans l’histoire. Le tyran fait feu de tout bois, fait un outil de toute croyance pour asseoir son pouvoir et en premier lieu du mythe, de la légende fondatrice d’une civilisation. Si le concept de dieu lui est associé son pouvoir prendra un caractère sacré, il sera censé être représentant du mystère ; son pouvoir n’en sera que renforcé. Ainsi se commettent les pires atrocités au nom d’un dieu subjectif dans tous les esprits. La relation entre la peur et l’inconnu n’est pas à démontrer, elle hante toutes les superstitions, toutes les religions. Au niveau d’une croyance, deux peuples peuvent s’affronter et basculer dans la guerre mais c’est surtout une conjonction de milliers de tyrannosaures qui se réveillent, soit par le goût de la violence, soit par la peur, la soumission au commandement. On voudrait donner une vertu à la guerre quand elle n’est que fatalité de la nature humaine. On rappelle souvent l’absurdité de la guerre mais elle n’est pas absurde puisqu’elle a une raison à partir des hommes et que ce sont les comportements d’icelui qui sont absurdes du fait qu’ils sont méconnus des intéressés eux-mêmes. A croire que le cortex n’est pas encore suffisamment développé pour prendre le relais du cerveau reptilien et le conduire à des actes positifs pour tous. Ce que l’on appelle l’égoïsme est le commencement de la tyrannie des profondeurs.

    A.C

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