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poetiste

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  • 7 votes
    poetiste 3 octobre 2010 10:09

    Marchands du Temple

     

    Prendre soin de son corps, de sa santé, de son apparence, pourquoi pas ? Mais il n’y a pas de publicités qui proposent de prendre soin des autres, or, pour que toutes les conditions soient réunies d’une amélioration de tous ces paramètres, la notion de lien avec les autres est primordiale.

    La publicité flatte l’égo, elle dit : « vous le valez bien » ou : « prends soin de toi ! ». Il n’y a que de s’adresser à l’ego qui soit finalement et financièrement rentable. Le publiciste n’est pas un philanthrope ; pour le profit, il a perdu toute notion d’intérêt général, de conscience. Le public doit être flatté à coups de publicités martelées sans discontinuité.

    La télévision est complice de cette séduction toxique, abrutissement généralisé, asservissement du consommateur. Complice parce qu’elle vit de cette publicité infantilisante et ne cherche pas à s’en défaire, c’est sa poule aux œufs d’or.

    Le consommateur doit être con, sot et mateur, ne plus réagir, ne pas opter pour des solutions alternatives, plus naturelles, qui lui donneraient un mieux être.

    Ce que l’on appelle démocratie aujourd’hui est un mauvais usage de la liberté qui incite à une création de besoins complètement artificiels qui induit un rapport de force de producteur à acheteur et rien d’autre dans les relations humaines.

    Les marchands sont dans le temple de cette démocratie, ne sont pas chassés, ont banalisé l’exécrable : l’exploitation de l’homme par l’homme.

    Ils ont distrait la plupart des gens de leur devoir de solidarité gratuite, les échanges ne se faisant plus que contre monnaie sonnante et trébuchante. Toute valeur s’efface devant la cupidité et la vénalité institutionnalisées.

    Si la démocratie est malade, elle ne reconnaît pas son mal pour la raison qu’elle ne prend pas un temps de pause dans la ruée vers le profit ; elle est constamment en excès de vitesse et jamais pénalisée. Pas de prévention, le mot n’a plus cours.

    Le système de flux d’argent des plus petits vers les plus gros est entretenu en temps réel en une stratégie financière où le respect du travail ne compte plus mais le gain.

    Quelle vitesse est pénalisée ? Celle de Tartempion qui se fait piéger par un radar : encore de l’argent qui remonte vers les gros pleins de sous, vers les trafiquants d’argent et de devises.

    On vous propose même des cours de trader sur le NET. Tout le monde va s’y mettre et tout le monde sera transformé en machine à sous. Une machine à sous, ça fonctionne mais ça ne vit pas et ça se fout de l’homme, c’est voué à l’échec.

    L’exploitation du dysfonctionnement entérine le dysfonctionnement, le fait s’étendre à toutes les activités de la République. L’exemple le plus significatif est dans la consommation d’anti dépresseurs et de drogues diverses : le climat délétère fait vendre.

    L’exploitation politique de la peur qui engendre le vote sécuritaire comme seul critère de choix est évidemment toxique et là encore, par résignation, on accepte cette pollution, la banalisation de l’exécrable, comme d’admettre qu’il y ait des gens à la rue.

    On ne contrôle plus, on ne prévoit plus, il y a belle lurette que l’on est dépassés par les évènements, anesthésiés par les médias qui se pressent de capter l’information qui induit plus le voyeurisme qu’elle n’est édifiante, concurrence oblige, il faut frapper bas.

    Vivre par le fric, survivre par le fric, le piège à cons fonctionne très bien et n’est pas prêt d’être remplacé par une convivialité qui donnerait aux ressortissants de ce pays le libre arbitre, la dignité qui devrait être la leur.

    L’uniformité nous unit dans un confort mité qui ne donne pas le goût de la liberté, le choix de solutions autres de vivre mieux, plus dignement. Prenons tous une corde et chassons les marchands du Temple de la vie sinon nous sommes voués à mourir étouffés sous le carcan. Le temps est venu de se ressaisir. Stop à la résignation !

    A.C

     



  • 49 votes
    poetiste 3 octobre 2010 09:48

    Amoralité.

     

    Vous cédez à une indulgence coupable Manon. Laurent Ruquier a tout simplement défendu son amie et son business, moment de vérité où l’intérêt l’emporte sur l’honnêteté. Et l’on peut très bien comprendre que Naulleau se soit fâché. Ruquier n’a pas joué le jeu, il a triché : point barre ! Et Naulleau lui a donné une occasion de réfléchir sur la compromission des copains et coquins, principe que l’on dénonce tant actuellement à propos des politiques.

    A.C



  • vote
    poetiste 2 octobre 2010 23:33

    Esbroufe.

    Depardieu joue les misanthropes parce qu’il ne doit pas s’aimer lui-même ; il compense en provoquant. Ah ! Que de grossièretés pour cacher des lacunes et la culpabilisation dans sa vie ! Le cinéma fait faire du cinéma pas seulement dans les films quand il donne la grosse tête. Je n’ai pas vu de film de lui mais il doit être bon dans des rôles de mauvais garçon. Jouer la comédie dans le cadre de la comédie humaine, il y a de quoi péter les plombs. Un peu de compassion pour cet homme qui cache si bien sa fragilité svp. Allez venez, Milord ! La vie donne toutes les chances pour les reprendre après, dit la chanson. Comprenez pourquoi il juge et injurie. Il doit y avoir quelque chose qu’il n’a pas compris. On dit que c’est un bon acteur, ça doit être vrai. Le public adule les acteurs et les broie aussi quand il n’a plus la reconnaissance des applaudissements qu’il a prodigués. L’amour entre le public et l’acteur est comme un feu de Bengale, enivrant un instant et laissant l’acteur dans une solitude bien dure parfois. Le dernier rôle que l’on joue sur terre n’est drôle pour personne et quand même, Sacha Guitry a eu pour dernière parole : « il ne faut pas que je loupe mon entrée ». J’ai vu des films de cet acteur. Classe le mec !

    A.C



  • 12 votes
    poetiste 19 septembre 2010 21:48

    Évidemment que c’est de l’humour ce "cancer du colon", c’est que le gus qui promet ça parle des ex colons que sont les Français, d’où l’expression : après le colon, les luttes intestines.
    Ah ! On rigole bien sur agora vox .
    Voilà que l’on y jette des sorts maintenant, c’est un abus qu’on donne aux sorts. Il retarde de 622 ans le gus qui profère ces menaces.
    On aurait tort de dramatiser les gesticulations de ces vibrions aux croyances surannées ; une guerre éventuelle ne dépend pas d’eux, ils n’ont pas conscience de leur insignifiance.
    Attention, il y en avait un qui voulait en découdre avec l’occident, il s’est retrouvé la tête au bout d’une pique ; il s’appelait Ali Pacha et il avait une autre envergure.
    La haine a toujours un effet boomerang et se retourne tôt ou tard contre l’envoyeur, tard en ce qui concerne l’écho long. Voilà un peu d’humour dans la gué-guerre verbale.
    A.C



  • 3 votes
    poetiste 18 septembre 2010 22:34

    Trop lapidaires.

     

    Pour ce qui est de la lapidation, je rappelle ce que disait Jésus aux hommes venus lapider lâchement la femme : que celui qui n’a jamais péché lui jette la première pierre. Les hommes qui venaient de prendre conscience qu’ils étaient certainement plus vils que la femme, étaient repartis la queue entre les jambes, si j’ose dire.

    Ainsi, Jésus mettait fin à cette pratique barbare.

    Il n’est pas étonnant que l’Islam ait repris cette pratique, que l’Islam ait plagié l’Evangile : « Mohamed le Koraïchite inspiré par l’ange Gabriel, comme la Vierge ». La fatwa, durcissement de l’admonestation faite à celui qui s’égare de la foi. Dans les Evangiles, si le gus ne se repent pas, on le laisse à ses péchés, on ne le zigouille pas.

    On peut regretter que l’Islam ne se soit pas plus inspiré du christianisme et de ce qu’il demande comme sincérité et courage individuel, plutôt que de lancer ses troupes contre les « infidèles » en un expansionnisme non dissimulé.

    L’instinct grégaire commande et impose l’adoration du groupe tribal religieux plutôt que la foi individuelle, personnelle et courageuse et entraine à la guerre dite « sainte ». Cette perversion a existé chez les catholiques et n’est pas morte non plus.

    Quelle estime peut avoir un croyant pour un dieu qui commanderait la destruction de ses créatures ?

    Mais voilà ! L’Islam nie la crucifixion(Le coran dit qu’on a mis une autre à sa place), voilà pourquoi la notion du martyre peut être quelque peu dévoyée.

    L’Islam est à l’origine une doctrine politique expansionniste qui s’est donnée le caractère d’une religion. Mais c’est la foi qui sauve, pas la religion.

    Alors, quand Hani Ramadan dit que son « Allah » veut la destruction des Juifs, il prend ses désirs pour réalité divine. Il est bien excité cet énergumène !

    Les musulmans modérés, intelligents, ne peuvent suivre de tels mauvais guides. Il confond le Diable et le bon Dieu le gus ! On n’est pas sorti de l’auberge avec de fausses spiritualités aussi déstructurées que celle-là.

    Heureusement, il y a des musulmans pour la paix et ils sont la majorité silencieuse, trop silencieuse peut-être. Le « Allah » qu’ils prient ne veut la mort de personne et ces musulmans là sont des hommes de bonne volonté, tout simplement.

    Quand on est en paix et dans l’amour, on prie secrètement le même Dieu ou Allah et pas besoin même de prononcer ces noms.

    Si des hommes n’ont pas foi en un Dieu d’amour, ils feraient mieux de ne pas avoir de religion du tout.

    A.C

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