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Enfin :

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Il y a quelque chose à faire pour déterminer clairement qui sont les gens qui "n’entendent pas la raison" et les procédés qu’ils utilisent le plus couramment.

La critique des femmes est interdite sur AGV, j’ai posté des articles reprenant la phrase de Lacan :

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 "Les femmes sont folles, mais pas toute, c’est-à-dire pas complètement. Passé les bornes il n’y a plus de limite"

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Articles refusés, et JC Lavau, le spécialiste du féminazisme se plaint aussi d’être censuré.

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Lacan dit quand même que les femmes sont folles, et que la nature de la femme, s’il existant une nature de la femme, serait la psychose.

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Bref, tout ça pose la légitimité du droit de vote des femmes, si autrefois il fallait payer des impôts pour pouvoir voter, c’était pour éviter que des gens sans compétence politique ne votent.

Or là on voit que le domaine de prédilection des femmes c’est le coeur, mais ce n’est pas la raison, elles ne sont généralement pas compétentes politiquement.

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80% des femmes ne dépassent pas le niveau ménagère, peut-être 3% ou 4% des femmes sont intelligentes, capable de la même forme d’intelligence que les hommes.

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Tout ceci pose la question de savoir pourquoi on a accordé le droit de vote aux femmes, en 1944.

Et si avec l’élection du président à la majorité, les oligarques s’étant emparé de tous les moyens de communication pour influencer l’opinion publique, s’il est juste de le conserver.

Il y a aussi deux autres problèmes qui sont abordés :

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Pourquoi c’est toujours une tata Monique qui interromps un tonton André, pour défendre la doxa, le politiquement correct ?

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Ou par exemple un sondage Louis Harris paru dans le journal Rivarol en 2002, qui disait que 28% des hommes avait voté JMLP au 2eme tour, et seulement 4% des femmes.

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Pourquoi les femmes suivent-elles la doxa : l’opinion des journalistes ?.

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A quoi s’ajoute le fait que les femmes ne veulent écouter QUE leur coeur ; et refuse d’écouter leur raison.

C’est la solution de facilité, qui leur permet d’être bien dans leurs baskets, d’avoir toujours bonne conscience, en faisant n’importe quoi ; On le voit bien avec cette histoire de Migrant ; il suffit que les journalistes disent : mais alors on va les laisser se noyer en mer ? Mais que fait-on pour tous ces gens qui fuient la guerre, qui fuit la misère ? Qui sont persécutés dans leur pays ? Pour qu’aussitôt elles soient d’’accord pour les accueillir et peu importe leur nombre, peu importe les conséquences.