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Les commentaires de Étirév



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    Étirév 2 janvier 2021 14:47

    Dans toutes les mythologies primitives, nous retrouvons les luttes de la raison contre le mauvais esprit, de la Femme contre l’homme méchant. Elle est partout représentée par un génie foulant aux pieds un monstre, soit un dragon, soit une hydre à sept têtes, soit une tarasque.
    Les deux principes, dont on fait partout deux frères, sont ici représentés par Epiméthée et Prométhée.
    Prométhée (l’homme) souffre de la domination de ses passions qui lui fait perdre sa liberté et l’enchaîne sur un rocher (la matière). Il est le premier né, comme Caïn, comme Esaü, d’où son nom « Pro-méthée ».
    On cache dans une légende orgueilleuse la chute liée à la génération. On fait de lui un Dieu qui forme les premiers hommes de terre et d’eau et, pour les animer, dérobe le feu du ciel.
    En d’autres termes, le mythe est ainsi exprimé :
    « Prométhée, ayant façonné une statue, l’anima d’un rayon de soleil et pour son châtiment fut attaché au Caucase (dans les langues du nord, « Keush » signifie pur et « Haus » demeure, d’où Caucase, « demeure des hommes purs »). »
    Moralité : C’est parce qu’il a engendré un enfant qu’il est tombé sous le joug des passions.
    Pendant qu’il est attaché sur le mont Caucase, un aigle lui dévore le foie (ou les entrailles) à mesure qu’il renaît, symbole de la mort que l’homme se donne à lui-même, ou plutôt qui lui est donnée par l’organe qui fut symbolisé par une oie, une grue, un aigle (figurant le phallus).
    Sa sœur, Epi-méthée, est « celle qui vient après », mais se met « au-dessus ».
    Pandore (tous les dons de la Nature) séduit Epi-méthée qui s’empresse d’ouvrir le coffret fatal qui contient tous les plaisirs.
    On sait le reste, avec les plaisirs s’échappent immédiatement tous les maux qui se répandent sur la terre. « Auparavant, dit Hésiode, les hommes vivaient exempts de maux, de pénibles travaux, de cruelles maladies qui amènent la vieillesse ; mais, depuis ce jour fatal, mille calamités errent parmi les humains, la terre est remplie de maux, la mer en est remplie, et les adversités de tous genres se plaisent à tourmenter les mortels nuit et jour ».
    L’espérance seule était restée au fond de la boîte.
    De Prométhée à Caïn :
    La Mère primitive a mis au monde des fils et des filles, Kaïn le garçon, Habel la fille.
    Le nom de Caïn était déjà dans l’histoire avant que le Sépher (ancêtre de la Genèse qui en sera la caricature) fût écrit.
    Chez les Iraniens, le mot « Kaï » signifiait le grand, le fort : il se trouve formant le nom de Caï-ou-mors, nom que l’on écrit aussi Kaï-oum-ors. Le plus ancien chef des Perses est Kaïan (de « kaïo », brûler, en grec).
    Cet homme fort se faisait appeler « Roi de la Montagne » ; c’est le premier despote, celui qui va violer le droit des autres et s’imposer par la force.
    Chez les anciens Iraniens, les premiers usurpateurs du pouvoir spirituel de la Déesse* sont appelés « Caïnide » du nom d’un de ces usurpateurs, Caïcaous. Les anciennes histoires en font un impie qui a eu la fantaisie de monter au ciel dans un coffre tiré par 4 de ces oiseaux monstrueux nommés Kerdés, dont les anciens auteurs de l’Orient font mention dans leurs romans ; c’est la fable de Prométhée voulant ravir le feu du ciel, c’est celle d’Icare voulant aussi s’élever jusqu’au Ciel de l’Esprit féminin.
    Donc, Kaïn, c’est l’homme fort voulant usurper les fonctions spirituelles des Déesses.
    En même temps qu’il est l’usurpateur, il est l’emblème de la fureur, de la violence, de la force brutale.
    Chez tous les peuples, Kaïn représente le génie du Mal. C’est le futur Satan, l’éternel ennemi de la Femme et son puissant adversaire.
    Lorsque les Aryens envahirent l’Inde et y portèrent leur esprit de révolte personnifié par Ahriman, deux partis se formèrent : les masculinistes qui prirent le nom de Kourous (dérivé de Kaï) appelés aussi « Kaurava », et les féministes qui étaient les Pândous, également nommés « Pândava ». Ce sont leurs luttes qui sont racontées dans le Mahâbhârata.
    D’après Fabre d’Olivet, l’étymologie hébraïque du nom de Kaïn signifie « celui qui agglomère en lui » (l’égoïste), et aussi « celui qui veut égaler ensemble » (le rival de la femme, son usurpateur).
    Le texte samaritain lui donne la signification du mot régir, déployer la puissance d’un roi ; et, dans une multitude de langues, l’idée de royauté (de l’homme) est venue de la racine Kàn, Kîn ou Kain (King et Khan).
    L’idée de pouvoir sacerdotal donné à l’homme en vient aussi, puisque, chez les Juifs, le prêtre va s’appeler Cahen ou Cohen.
    Kaï uni à Assar a fait César ; uni à Æser, il a fait Kaiser. De Kaï Lovis (Louis), on a fait Clovis. Cyrus s’appelait en réalité Kaï-Kosrou. De Kahi-Kahia on fait cahin-caha pour indiquer ce qui va mal.
    (*Déesse est le nom générique de toutes les femmes supérieures et qui n’indiquait alors que les qualités morales inhérentes au sexe féminin. Pas de surnaturel ; partout les mêmes principes, c’est-à-dire les mêmes commencements, avaient pour base la nature même, encore inviolée.)
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    Étirév 2 janvier 2021 10:02

    « Qu’est-ce qui pousse notre cerveau à fonctionner régulièrement à l’inverse du bon sens ? »
    Notre être intime est composé de deux vies individuelles ; l’une qui préside aux fonctions de relations extérieures, ou sociale, par l’intermédiaire du système nerveux encéphalo-rachidien ; l’autre qui préside aux relations sexuelles par l’intermédiaire du grand sympathique.
    Le premier système est double et insexué, sensitif et moteur, action et pensée. Le second est impair et sexué, sensitif et sanguin, mâle ou femelle.
    C’est ainsi que l’élément sensitif étant celui qui entretient les fonctions intellectuelles et en même temps les fonctions génératrices chez l’homme, il établit une balance, chez lui, entre les deux ordres de facultés nourries par cet élément. L’homme qui exerce son esprit exerce peu sa puissance génitale, celui qui donne beaucoup à la sexualité ne donne presque rien à l’intellectualité.
    La valeur intellectuelle des hommes dépend donc de la façon dont ils exercent leurs facultés sensitives ; ils peuvent les exercer dans la vie cérébrale et les faire servir aux fonctions de relations extérieures : ce sont, alors, des hommes « sensitifs », des hommes élevés dans l’ordre moral et doués d’une intelligence active ; ils peuvent les exercer dans la vie sexuelle, et alors leur intelligence décroit. La sensibilité qui diminue en eux laisse une liberté trop grande à l’élément moteur, qui alors se traduit par des actions brusques, violentes, non coordonnées, parce que l’intelligence qui devrait les guider fait défaut. C’est aussi la domination primant la raison.
    Il ne faut donc pas confondre l’action avec l’intelligence, puisque ces deux facultés s’exercent inversement : une vie remplie de mouvements n’est jamais une vie intellectuelle, et la force musculaire est toujours en raison inverse de la force morale.
    Nous n’avançons rien de nouveau en disant que l’acte sexuel est le chemin qui conduit l’homme à l’abrutissement.
    Léonard de Vinci n’a t’il pas dit : « Qui ne réfrène la volupté s’abaisse au rang de la brute. »
    Or, qu’est-ce que l’abrutissement ?
    C’est l’état physiologique et psychique qui rapproche l’homme de l’animal, c’est-à-dire la diminution de ses facultés sensitives et l’augmentation de ses facultés motrices.
    L’instinct, en effet, c’est l’abandon de soi-même aux impulsions de la Nature. Or, depuis le moment où les sexes se séparent, le mâle est poussé par le besoin qu’il ressent d’éliminer l’élément sensitif, à s’enfoncer dans une voie décroissante qui lui donne des caractères physiques qui le rapprochent de l’animal, de l’Anthropoïde. C’est alors qu’il affirme que le singe est son ancêtre, pour justifier cette ressemblance, alors que les hommes ne sont pas plus les fils des singes qu’ils ne sont le vieil Adam des théologiens fait de toutes pièces par un Dieu inconnu.
    Si nous suivons l’évolution sexuelle de l’homme depuis l’enfance, nous voyons que c’est dans la période qui précède l’adolescence que l’esprit prend son plus grand développement ; la multitude d’idées que l’enfant acquiert, en quelques années, demande un travail cérébral qui dépasse de beaucoup l’effort que l’homme adulte pourrait faire.
    Quel est celui qui ne se souvient d’avoir traversé, dans son enfance, cette période de grande lucidité, pendant laquelle il observait la Nature, il cherchait la cause des phénomènes qui se produisaient autour de lui et essayait de résoudre les grands problèmes de la philosophie naturelle ?
    Quelle est la mère qui n’a constaté, chez son enfant, cette grande curiosité de la Nature qui se révèle par d’incessant pourquoi ?
    Suivons-le et voyons-le arriver à l’âge ingrat de la première jeunesse. Ce n’est plus la Nature qui va le préoccuper, c’est la femme. Ses facultés intellectuelles sont amoindries, mais ses sens sont développés ; il a perdu le jugement droit de l’enfant, mais il va le remplacer par l’imagination ; en même temps il acquiert une audace qui lui tient lieu de logique.
    Enfin, allons jusqu’aux derniers degrés de cette évolution.
    Considérons les individus dont la sexualité a complètement éteint l’intellectualité : c’est la dégénérescence.
    Enfin on sait que les hommes qui ont donné leur vie aux travaux de l’esprit et qui, par conséquent, ne se sont pas livrés, aussi librement que d’autres, à la satisfaction de l’instinct sexuel, sont ceux qui ont vécu le plus longtemps.
    M. Büchner dit : « Le nombre des vieillards est incomparablement plus grand parmi les savants. » En même temps nous pourrions montrer que les hommes vicieux ont, toujours, les apparences de la vieillesse avant l’âge.
    Être (con) ou ne pas l’être...



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    Étirév 26 décembre 2020 04:08

    La démocratie est une illusion et l’outil principal de la manipulation des masses.
    Si l’on définit la « démocratie » comme le gouvernement du peuple par lui-même, c’est là une véritable impossibilité, une chose qui ne peut pas même avoir une simple existence de fait, pas plus à notre époque qu’à n’importe quelle autre. Il ne faut pas se laisser duper par les mots.
    En effet, il est contradictoire d’admettre que les mêmes hommes puissent être à la fois gouvernants et gouvernés, parce qu’un même être ne peut être « en acte » et « en puissance » en même temps et sous le même rapport. Il y a là une relation qui suppose nécessairement deux termes en présence : il ne pourrait y avoir de gouvernés s’il n’y avait aussi des gouvernants. Mais la grande habileté des dirigeants, dans le monde moderne, est de faire croire au peuple qu’il se gouverne lui-même, et le peuple se laisse persuader d’autant plus volontiers qu’il en est flatté et que d’ailleurs il est incapable de réfléchir assez pour voir ce qu’il y a là d’impossible. C’est pour créer cette illusion qu’on a inventé le « suffrage universel » : c’est l’opinion de la majorité qui est supposée faire la loi ; mais ce dont on ne s’aperçoit pas, c’est que l’opinion est quelque chose que l’on peut très facilement diriger et modifier ; on peut toujours, à l’aide de suggestions appropriées (matraquage de sondages, attentats, épidémie, etc.), y provoquer des courants allant dans tel ou tel sens déterminé.
    C’est pour cela qu’on a pu dire que l’opinion, c’est l’erreur du plus grand nombre.
    « Ce n’est pas le nombre qui compte, dit Gandhi, mais la qualité... Je ne conçois pas le nombre, ajoute-t-il, comme une force nécessaire dans une cause juste. » Et René Guénon de confirmer : « L’avis de la majorité ne peut être que l’expression de l’incompétence. »
    Ceci permet de comprendre pourquoi le pouvoir politique se fonde volontiers sur l’ignorance du peuple et s’accroît d’autant que les esprits sont faibles, les gens incultes.
    Il nous faut encore insister sur une conséquence immédiate de l’idée « démocratique » qui est la négation de l’élite entendue dans sa seule acception légitime. Ce n’est pas pour rien que « démocratie » s’oppose à « aristocratie », ce dernier mot désignant précisément, du moins lorsqu’il est pris dans son sens étymologique, le pouvoir de l’élite. Celle-ci, par définition, ne peut être que le petit nombre, et son pouvoir, son autorité plutôt, qui ne vient que de sa supériorité intellectuelle, n’a rien de commun avec la force numérique sur laquelle repose la « démocratie », dont le caractère essentiel est de sacrifier la minorité à la majorité, et aussi, par là même, la qualité à la quantité, donc l’élite à la masse. Ainsi, le rôle directeur d’une véritable élite et son existence même, car elle joue forcément ce rôle dès lors qu’elle existe, sont radicalement incompatibles avec la « démocratie », qui est intimement liée à la conception « égalitaire », c’est-à-dire à la négation de toute hiérarchie : le fond même de l’idée « démocratique » c’est qu’un individu quelconque en vaut un autre, parce qu’ils sont égaux numériquement, et bien qu’ils ne puissent jamais l’être que numériquement. Une élite véritable ne peut être qu’intellectuelle, et c’est pourquoi la « démocratie » ne peut s’instaurer que là où la pure intellectualité n’existe plus, ce qui est effectivement le cas du monde moderne. Seulement, comme l’égalité est impossible en fait, et comme on ne peut supprimer pratiquement toute différence entre les hommes, en dépit de tous les efforts de nivellement, on en arrive, par un curieux illogisme, à inventer de fausses élites, d’ailleurs multiples, qui prétendent se substituer à la seule élite réelle. Remarquons en passant que ces fausses élites sont basées sur la considération de supériorités quelconques, éminemment relatives et contingentes, et toujours d’ordre purement matériel. On peut s’en apercevoir aisément en remarquant que la distinction sociale qui compte le plus, dans le présent état de choses, est celle qui se fonde sur la fortune, c’est-à-dire sur une supériorité tout extérieure et d’ordre exclusivement quantitatif, la seule en somme qui soit conciliable avec la « démocratie », parce qu’elle procède du même point de vue.
    NB : Après 1789, la France est passée d’une monarchie qui avait pour contre-pouvoirs tous les corps intermédiaires, à une oligarchie financière dénuée de tout contre-pouvoirs, le tout sous le vocable trompeur de démocratie. La démocratie est le vêtement dont se pare le pouvoir sous le prétexte qu’existe une représentation populaire. Mais cette représentation est, dans les faits, c’est-à-dire concrètement, catégorielle et non pas populaire parce que contrôlée par des partis politiques sous influence des puissances d’argent.
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  • 1 vote
    Étirév 22 décembre 2020 11:43

    Rappelons que la guerre de Sécession n’a réglé aucun des problèmes américains et surtout pas la question noire (on peut aisément s’en apercevoir encore actuellement). Aussi, nous aurions tort de réduire ce conflit Nord-Sud à une lutte simpliste, c’est-à-dire entre adversaires et partisans de l’esclavage, ainsi que les « vainqueurs » tentent, par tous les moyens de nous le faire croire depuis des années. Rappelons simplement que l’étendard de la Confédération, le Stars and Bars, comportait treize étoiles représentant chacun des douze états du Sud, la treizième correspondait à la nation indienne constituée par la totalité des tribus qui, en quelque sorte, étaient venues chercher refuge auprès des «  affreux esclavagistes » du Sud, afin d’échapper au génocide des « généreux libérateurs » Nordistes.

    Les indiens d’Amérique, bien avant certains, avaient compris que les « Yankees » représentaient avant tout et par-dessus tout, une civilisation mercantile basée sur le profit à n’importe quel prix : la civilisation « rapace » de l’aigle pygargue, devenu depuis l’emblème national des USA.

    Faisons remarquer que le sigle du Dollar n’est pas un « D » mais un « S » ; ce « S » est barré de deux traits verticaux : n’y aurait-il pas là une allusion à peine voilée aux colonnes du fameux Temple de « S », celui du veau d’or, et à ses non moins fameux «  marchands » ?

    Quelques années plus tôt, à propos des « Barons » et de la défaite des Templiers, avant les « révolutions  » du XVIIème siècle :

    Au 14ème siècle, on fit emprisonner le même jour tous les banquiers du royaume.

    Cette mesure fut exécutée avec une ponctualité surprenante par tous les baillis, auxquels Philippe le Bel fit parvenir des plis cachetés que chacun d’eux devait ouvrir le 13 octobre 1307, le jour de la fête de saint Edouard, patron du roi d’Angleterre.

    On a voulu voir, dans le procès des Templiers, une question économique et sociale, laissant au second plan la question d’hérésie. Mais nous croyons que le vrai motif fut justement celui auquel on donnait le moins d’importance, et c’est cette diplomatie qui donna à ce procès un caractère mystérieux.

    Les Templiers cherchaient à asseoir leur domination sur l’administration de la fortune des grands. C’était très adroit ; ainsi seulement ils auraient pu prendre la direction du monde.

    Le pouvoir des Templiers contrebalançait celui de Rome, ils avaient avec eux des rois et des puissants. Les Templiers cherchaient à centraliser, dans le Temple de Londres, les annates (taxe ou redevance que devaient payer au pape les titulaires de bénéfices conférés en consistoire, lorsqu’ils recevaient leurs bulles). Ils auraient aussi centralisé les encaisses métalliques qui constituaient la richesse mobilière de la France ; s’ils avaient atteint ce but, la puissance de Rome aurait été remplacée par celle de Londres, et le Catholicisme aurait sombré devant le Johannisme.

    Ce furent les hauts barons anglais qui firent échouer ce projet.

    L’origine des barons d’Angleterre doit être rappelée.

    Quand, en 1066, Guillaume le Conquérant amena avec lui du continent des aventuriers et des mercenaires, il y eut, parmi ses compagnons, des gens pratiques et rusés qui, pour spolier les biens des Saxons d’une façon qui semblait leur donner un caractère d’honnêteté, demandèrent simplement à épouser une Saxonne ; ainsi ils prenaient possession de la femme et des châteaux.

    C’est l’escroquerie au mariage ; leurs enfants légitimes par ces mariages se virent possesseurs du sol, et dès lors ces nouveaux barons rendirent inaliénable, dans leurs familles, la propriété de ces biens fonciers.

    L’origine de ces barons nous les montre donc comme des gens peu scrupuleux, ne voyant dans la femme qu’un moyen d’arriver à leurs fins, instituant des privilèges monstrueux, c’est-à-dire des gens qui étaient en tout l’opposé des Templiers, qui gardaient le principe de la Justice, de l’honnêteté et du respect de la Femme. Il devait donc y avoir lutte entre eux.

    Ces barons, qui étaient des aventuriers dans leur pays, établirent en Angleterre le régime masculiniste, c’est-à-dire l’asservissement de la femme par le mariage, qui laissait à l’homme l’administration de ses biens et tous ses droits.

    Les Templiers fournirent de l’argent à Jean sans Terre pour lutter contre ses barons.



  • 12 votes
    Étirév 18 décembre 2020 15:59

    « Revenu universel : la bonne idée pour relancer l’économie ? »
    Au commencement on détruit l’éducation nationale puis on occupe, l’humanité, 7/7, 24/24, avec des divertissements d’une stupidité sidérante. L’ignorance aidant, on lui fait croire qu’ARTE c’est intelligent.
    Ensuite, après avoir progressivement augmenté le chômage, on le fait exploser.
    Dans le même temps on créé une société anxiogène dans laquelle on entretien une peur permanente de tout : santé, vie chère, précarité, attentat, guerre, etc.
    Une fois les masses fragilisées et parquées dans cet enclos psychologique, dans un premier temps on les rassure en leur proposant de raser gratis : le revenu universel.
    On commence donc à parler du revenu universel qui réjouira rapidement les éternels assistés, les feignasses, et les « fragiles ».
    Viendront éventuellement après, les propositions d’une banque universelle, d’une entreprise universelle, etc. Et finalement d’un homme universel, l’homme-machine, LE ROBOT. L’homme robot pourra continuer à dépenser son revenu universel en C........ dans l’entreprise de M.... qui l’emploie.
    En résumé, ne vous faites aucune illusion : aucune bonne idée ne viendra plus du système politique qui est en place et de ceux qui en ont la charge .
    Aujourd’hui, les seules bonnes idées ne peuvent et ne doivent venir uniquement de nous.



  • 1 vote
    Étirév 16 décembre 2020 13:05

    La lumière n’a pas de vitesse.
    La vitesse de propagation que l’on attribue à la lumière est celle du courant électrique qui l’engendre ; c’est lui qui parcourt l’espace qui sépare les astres incandescents des astres obscurs. Ce n’est pas l’ « essence lumière », puisqu’elle n’existe pas. La lumière est une conséquence, une suite et un résultat d’une série de phénomènes, mais elle n’existe pas en l’absence des causes qui la font naître.
    La vieille formule qui la définissait ainsi : « La lumière est un mouvement vibratoire qui s’agite au sein des corps lumineux et se transmet de leur centre à travers l’éther », ne renfermait que des erreurs. La lumière n’est pas un mouvement vibratoire, elle ne se transmet pas, il n’y a pas d’éther.
    C’est en étudiant la mesure absolue des grandeurs électriques que l’on est arrivé à trouver la relation qui existe entre la vitesse numérique de l’électricité et celle que l’on avait jusqu’ici attribuée à la lumière, sans savoir qu’en mesurant la prétendue vitesse de la lumière, on mesurait la vitesse du courant qui l’engendre.
    Une même grandeur électrique dans les deux systèmes de mesures absolue a montré que la vitesse était d’environ trois cents millions de mètre par seconde, c’est-à-dire égale à la vitesse de la lumière.
    Charles Wheatstone avait déjà annoncé, avant ses récentes découvertes, que la vitesse de propagation de l’électricité devait être égale à celle de la lumière.
    Tous les traités classiques de physique nous parlent de la propagation de la lumière, du temps qu’elle emploie à parcourir l’espace, des différentes théories qui nous expliquent sa transmission : ondulations, vibrations, etc.
    Tout cela repose sur une erreur de principe. La lumière ne se propage pas, elle ne met donc pas un temps quelconque à venir d’un point quelconque. Ce qui se transmet, c’est la radiation qui l’engendre ; mais la radiation est obscure, elle ne devient lumière qu’en s’arrêtant et, du moment où elle s’arrête, elle ne circule plus, la lueur reste à la place où elle a fait son apparition. Du reste, l’étincelle qui la produit est fugitive, elle apparaît et disparaît dans un temps très court. Si la lumière du jour dure, tant que nous sommes en face du soleil, c’est parce que les radiations qu’il nous envoie incessamment, renouvellent incessamment les étincelles qui font la lumière du jour ; mais ce ne sont pas les mêmes étincelles qui durent ; elles sont fugitives comme l’éclair, dont elles ne sont qu’une réduction. Ce qui prouve que la lumière ne se transmet pas, c’est que l’espace qui sépare la terre du soleil n’est pas éclairé. La lumière n’illumine pas les régions élevées de l’atmosphère. Les aéronautes qui se sont élevés à la hauteur de sept à huit kilomètres au-dessus du niveau de la terre, après avoir vu, peu à peu, s’éteindre la lumière terrestre, ont vu briller les étoiles comme pendant la nuit la plus obscure, et la terre, qu’ils voyaient sous leurs pieds, leur paraissait brillante de lumière.
    Du reste, il nous suffit d’observer la lune pour comprendre que sa lumière est produite sur place et ne résulte pas de rayons propagés du soleil à sa surface, car, si cela était, nous verrions une trainée lumineuse dans le ciel.
    COSMOGONIE



  • 2 votes
    Étirév 15 décembre 2020 03:43

    À propos de la FM moderne, Joseph de Maistre, dans « Mémoire au duc de Brunswick » (1782), précise ceci : « Tout annonce que la Franc-Maçonnerie vulgaire est une branche détachée et peut-être corrompue d’une tige ancienne et respectable. ».

    « C’est bien ainsi qu’il faut envisager la question, confirme René Guénon : on a trop souvent le tort de ne penser qu’à la Maçonnerie moderne, sans réfléchir que celle-ci est simplement le produit d’une déviation. Les premiers responsables de cette déviation, à ce qu’il semble, ce sont les pasteurs protestants, Anderson et Desaguliers, qui rédigèrent les Constitutions de la Grande Loge d’Angleterre, publiées en 1723, et qui firent disparaître tous les anciens documents sur lesquels ils purent mettre la main, pour qu’on ne s’aperçût pas des innovations qu’ils introduisaient, et aussi parce que ces documents contenaient des formules qu’ils estimaient fort gênante. Ce travail de déformation, les protestants l’avaient préparé en mettant à profit les quinze années qui s’écoulèrent entre la mort de Christophe Wren, dernier Grand-Maître de la Maçonnerie ancienne (1702), et la fondation de la nouvelle Grande Loge d’Angleterre (1717). Cependant, ils laissèrent subsister le symbolisme, sans se douter que celui-ci, pour quiconque le comprenait, témoignait contre eux aussi éloquemment que les textes écrits, qu’ils n’étaient d’ailleurs pas parvenus à détruire tous. Voilà, très brièvement résumé, ce que devraient savoir tous ceux qui veulent combattre efficacement les tendances de la Maçonnerie actuelle, bien qu’il y a eu ultérieurement une autre déviation dans les pays latins, celle-ci dans un sens antireligieux, mais c’est sur la « protestantisation » de la Maçonnerie anglo-saxonne qu’il convient d’insister en premier lieu. »
    René Guénon nous fait remarquer également que dans la Franc-Maçonnerie moderne, nous trouvons l’existence d’une « Maçonnerie mixte », ou « Co-Masonry », comme elle est appelée dans les pays de langue anglaise, qui représente tout simplement une tentative de transporter, dans le domaine initiatique lui-même qui devrait encore plus que tout autre en être exempt, la conception « égalitaire » qui, se refusant à voir les différences de nature qui existent entre les êtres, en arrive à attribuer aux femmes un rôle proprement masculin, et qui est d’ailleurs manifestement à la racine de tout le (Faux) « féminisme » contemporain.
    Et Robert Ambelain d’ajouter : « Ce nouveau rite allait lancer la FM sur une nouvelle voie... qui tendrait à saper certaines valeurs qui font la dignité de l’homme, par l’athéisme, le matérialisme, le laxisme menant à l’amoralisme désagrégateur. » (La Franc-Maçonnerie oubliée)
    Rappel :
    La Franc-Maçonnerie est d’origine hébraïque (les Mystères de Jérusalem), tous les mots de passe sont des vocables hébreux, ses légendes sont tirées de l’histoire du peuple d’Israël.
    Le chapitre 13 du Livre de Samuel parle de la fin de la reine Daud (devenue le roi David après altération des textes), des dernières paroles qu’on lui attribue, et qui seraient celles-ci :
    2. « L’esprit de Hevah a parlé par moi, et sa parole a été sur ma langue.
    3. « La Déesse d’Israël a dit : Le rocher d’Israël a parlé de moi, disant : Celle qui domine sur les hommes avec justice
    4. « Est comme la lumière du matin lorsque le soleil se lève ; d’un matin qui soit sans nuages, comme la lumière du soleil qui fait germer la terre après la pluie.
    5. « Il n’en était pas ainsi de ma maison ; mais Elle m’a établi dans une alliance éternelle, bien ordonnée, et ferme en toutes choses. Elle est toute ma délivrance et tout mon plaisir, et ne fera t-elle pas fleurir ma maison ? »
    L’alliance éternelle et bien ordonnée dont parle le verset 5 fait allusion à la fondation d’une immense fraternité secrète qui a été éternelle en effet, puisqu’elle est devenue la Franc-Maçonnerie dont nous allons bientôt parler.
    La reine Daud ne fut pas seule à fonder l’Institution secrète qui devait se propager jusqu’à nous à travers la Franc-Maçonnerie.
    Elle eut deux collaboratrices : deux Reines-Mages qui, avec elle, formèrent le Triptyque sacré que les trois points de l’Ordre ont représenté depuis.
    L’une est Balkis, Reine d’Ethiopie (appelée la Reine de Saba), l’autre est une Reine de Tyr (Elissar surnommée Didon), que l’on a cachée derrière le nom d’Hiram*.
    Le rituel institué par Daud comprenait 3 degrés, imités par ceux d’apprenti, de compagnon et de maître.
    On donnait dans ces 3 étapes un enseignement graduel des Vérités que l’hostilité des hommes ne permettait pas de propager ouvertement. On les appelait alors « secrets hiératiques », c’est-à dire concernant les choses sacrées. C’est ainsi qu’on désignait la science divine, c’est-à-dire féminine. Pour la perpétuer à travers les âges, on la représentait par des symboles.
    La réception d’un homme dans l’Ordre secret était entourée de minutieuses précautions ; on exigeait de lui la plus grande sincérité, une docilité absolue, une constance à toute épreuve.
    Le premier degré
    Pendant le premier degré, on étudiait le caractère du postulant et, si on ne lui reconnaissait pas la faculté de comprendre la Vérité, on l’y laissait toute sa vie, on ne lui conférait pas les deux grades supérieurs.
    Le grade d’apprenti était donné aux hommes seulement, les femmes pouvant toujours comprendre la science féminine et particulièrement la loi de leur sexe.
    Pour montrer que c’est un grade masculin seulement, l’apprenti portait un petit tablier de peau dont la bavette était relevée, de manière à figurer le triangle masculin la pointe en haut.
    C’est à la réception de ce grade que l’on disait au récipiendaire que tout ce qu’il avait appris dans le monde profane était une science vaine et que c’est dans le Mystère qu’on allait lui donner la Lumière. Pour graver dans son esprit l’idée qu’il ne savait rien, on lui disait qu’il avait trois ans, c’est-à-dire qu’un apprenti était comme un enfant de trois ans qui avait tout à apprendre.
    Le premier symbole dont on lui expliquait la signification était, le signe de ralliement... SUITE

    * « Hiram » doit se lire de droite à gauche comme lisent les Hébreux et non de gauche à droite suivant L’usage des Européens : Hiram alors devient Maria ou plutôt Myriam. Le heth final en hébreu se prononce A. Myriam, c’est la grande femme dont le nom brille dans l’histoire du peuple d’Israël, comme une resplendissante lumière qui éclaire plus de dix siècles ; c’est elle qui est l’auteur d’un livre de science, le Sépher, qui servira à faire le premier Livre de la Bible, la Genèse, qui en sera la caricature, une « père-version ».



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    Étirév 7 novembre 2020 09:09

    Chasse le naturel dans la « Gaule », il revient au galop !
    Le Romain a fondé la Patrie en détruisant la Matrie ; c’est là son crime. Cessons donc de considérer l’idée de Patrie comme un idéal supérieur, puisque c’est l’antithèse du droit naturel que représente la Matrie. Ce n’est pas un progrès de fonder une patrie ; c’est une décadence, puisque c’est la substitution du droit factice de la force au droit naturel de l’Esprit qui régnait dans les nations.
    La Nation est au-dessus de la Patrie. L’unité des grands Etats sous un chef despote n’est pas un progrès, cela ne crée pas une civilisation, c’est un asservissement général, une décadence. La civilisation est dans le morcellement des Etats, dans les petites républiques confédérées et gouvernées chacune par la plus haute puissance spirituelle qui y fait régner la vérité, la justice, le bien de tous. Une unité fédérative de tous les Etats du monde dans la vérité définitivement acquise, voilà le progrès, voilà la base de la grande civilisation, de la prospérité et du bonheur des Nations.



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    Étirév 6 novembre 2020 09:30

    « Nous sommes dans une dérive dictatoriale... Qu’est-ce que cette oligarchie est en train de faire de la France ? »
    Réponse (avec l’aide de Valérie Bugault) : Dans l’objectif de hâter sa prochaine disparition volontaire, les autorités politiques en charge de la France relaient avec zèle, voire même anticipent, l’agenda mondialiste consistant à appauvrir matériellement, physiquement et moralement la plus grande masse des gens peuplant la planète au profit de quelques usurpateurs, véritables escrocs économiques qui ont, aujourd’hui, pris l’ascendant sur les pouvoirs politiques des États. Aussi, la France qui n’a aucune politique, et encore moins de politique socialiste, dans le sens « social » du terme, est en revanche l’un des principaux fers de lance de l’agenda globaliste, lequel prospère sur le développement de la misère humaine.
    Profitons de ce commetaire pour rendre hommage au travail de structuration politique fait, en France, par les Gilets Jaunes constituants, qui ont pleinement compris et anticipé cette problématique de fond... action malheureusement interrompue par une « subite » pandémie… comme l’affaire « Epstein », par la même occasion.
    Finalement, les lois naturelles, tellement honnies des globalistes, vont reprendre le dessus et les choses vont entrer dans l’ordre, à condition que nous luttions collectivement pour survivre collectivement, car si nous ne luttons pas collectivement, ce sera la fin de la civilisation et de la liberté, y compris celle de vivre et de mourir.
    Rappel :
    Après 1789, la France est passée d’une monarchie qui avait pour contre-pouvoirs tous les corps intermédiaires, à une oligarchie financière dénuée de tout contre-pouvoirs, le tout sous le vocable trompeur de démocratie. La démocratie est le vêtement dont se pare le pouvoir sous le prétexte qu’existe une représentation populaire (pouvoir législatif). Mais cette représentation est, dans les faits, c’est-à-dire concrètement, catégorielle et non pas populaire parce que contrôlée par des partis politiques sous influence des puissances d’argent.
    Simone Adolphine Weil l’a très bien expliqué dans cette NOTE



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    Étirév 4 novembre 2020 04:11

    L’Univers est éternel, donc il n’y a pas de « Quand ».
    Mais on peut dire quelles sont les origines des Astres (Etoiles, planètes), de la Vie et de l’Homme.

    Et, de là, on peut savoir tout ce qui se cache derrière le mot « Dieu ».



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    Étirév 3 novembre 2020 14:38

    Rappel à propos d’Aristote :
    La civilisation avait commencé en Orient, où les femmes avaient régné longtemps. Elle revenait en Occident de différentes manières, par les Arabes, par les Juifs, par les Cathares, par tous les hérétiques, par les idées rapportées d’Orient lors des Croisades.
    L’influence de la civilisation arabe surtout se faisait sentir. Elle avait déjà sa littérature, ses arts, sa poésie, et surtout sa brillante architecture. Les Arabes avaient fondé des écoles en Egypte, au Maroc, en Syrie, en Perse, en Andalousie ; ils avaient une philosophie qui se développait et qui s’inspirait de la philosophie indienne et de la philosophie grecque. C’est ce mouvement qui, remontant vers le Nord, vint apporter aux écoles de Paris le germe de toutes les grandes idées nées et cultivées autrefois en Orient.
    C’est ainsi que les écrits d’Aristote, connus et enseignés depuis longtemps dans les écoles de Cordoue et de Séville, furent introduits en France en 1215 par un Espagnol nommé Maurice. C’est à la civilisation arabe que la France doit ses arts, ses sciences, ses mathématiques, son architecture, c’est-à-dire tout ce que l’Église laissa passer.
    Mais la Métaphysique d’Aristote inspira de l’inquiétude à l’Église, qui commença par la condamner au feu ; il fut défendu de la transcrire, de la lire, et même de la garder, sous peine d’excommunication. Un siècle plus tard, les prêtres, plus éclairés, s’aperçurent qu’Aristote n’était pas aussi contraire à la théologie qu’ils l’avaient cru d’abord ; alors ils en recommandèrent et en imposèrent même l’étude. Cela prouve le peu de valeur des écrits de ce philosophe.
    La philosophie en Grèce, et l’invention du Dieu mâle, unique et surnaturel, qui devait jouir d’une si grande faveur pendant tant de siècles.



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    Étirév 3 novembre 2020 10:22

    « Que cache la « relation spéciale » américano-britannique ? »
    Trouvez le lien qui existe entre Oliver Cromwell et la création de la « FED » en 1913, et vous aurez la réponse.

    Indice : soudaines apparitions de révolutions « pour libérer les peuples »



  • 4 votes
    Étirév 2 novembre 2020 12:51

    Zemmour : « ceux qui décapitent ne sont pas des terroristes mais des djihadistes »
    Le « ver » est depuis longtemps dans le fruit, M. Zemmour, et depuis bien avant l’instauration des foyers SONACOTRA et du droit au regroupement familial.
    Mais ça, en réalité, le « missionné » Zemmour le sait, car au fond, ses lâches diatribes qui sont celles de cette meute idiote, aveugle et le plus souvent veule, cette meute tenue en laisse par LA main de moins en moins occulte qui nuit à la France Eternelle, et devant laquelle Zemmour se prosterne encore pitoyablement aujourd’hui.
    Que sait-il, finalement, de l’HISTOIRE de l’Islam et des Arabes ?
    Que connaît-il de l’Histoire, en général ?
    Sait-il que les mots « hébreu », « arabe » et « Ibère » ont la même racine ?
    S’il le sait, cela prouve que c’est un menteur pathologique et dangereux.



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    Étirév 24 octobre 2020 10:12

    Socrate : ce nom est pour les hommes un objet de vénération.
    En effet, il a droit à la reconnaissance de ceux qui affectionnent la forme religieuse qui règne depuis 2000 ans, car il en a été le premier auteur. C’est lui qui inventa le Dieu mâle, unique et surnaturel, qui devait jouir d’une si grande faveur pendant tant de siècles.
    Le Dictionnaire de Descubes définit ainsi ce personnage : « Socrate, déclaré le plus sage des hommes par l’oracle d’Apollon, aimait Alcibiade et Archélaüs ; il avait 2 femmes et vivait avec toutes les courtisanes. ».
    C’est donc par ironie qu’on l’appela le sage Socrate. De plus, il était envieux. Tous les hommes de talent de son temps furent l’objet de ses critiques jalouses ; il leur reproche leur manque de foi, lui qui ne croyait à rien.
    Ambitieux politicien, il voulut faire de toute la Grèce un seul royaume et en prendre la domination.
    Socrate ne monta pas une seule fois à la tribune pour discuter les affaires publiques. Il n’est pas connu pour sa vie, mais pour sa mort. Il eut la gloire d’avoir une mort retentissante qui divisa le pays en deux partis.
    Il était né en 469 ou 470. Son père, Sophronisque, était sculpteur (Remarquons que le fils ne porte pas encore le nom de son père.) ; il était de basse extraction par son père, mais de caste plus élevée par sa mère. Son physique était antipathique.
    Si les historiens ont fait une si grande réputation à Socrate (qui n’a pas laissé d’écrits), ce fut pour faire une sorte de réaction contre les grandes femmes de l’époque, les Aspasie, les Thaïs, les Phryné, qui le combattaient et qui occupaient l’attention publique bien plus que les hommes. Ce sont ces historiens qui ont cherché, plus tard, à les avilir, qui ont glorifié Socrate.
    Ses leçons, écoutées avec avidité par les hommes, les flattaient dans leurs mauvais instincts. Chacun d’eux, après l’avoir entendu, se croyait dieu lui-même. Sa parole les ennivrait de cet orgueil masculin qui perd l’homme.
    Socrate fut bien le premier fondateur de la fausse morale qui devait se perpétuer par les religions masculinistes ; c’est lui qui, le premier, prêcha la licence de l’homme, en même temps que la révolte contre la Divinité de la Femme. Il fut traité de blasphémateur contre les Déesses, qu’il appelait des dieux secondaires.
    Les mœurs homosexuelles qu’il affichait, sans aucune pudeur, étaient un scandale public (Voir son discours au Banquet de Platon).
    Les religions masculinistes font remonter à Socrate les dogmes sur lesquels elles s’appuient : la déification de l’homme et la déchéance de la femme.
    Il niait la réalité, c’est-à-dire les lois de l’humanité, et créait un surnaturel qui devait, à travers les religions modernes, arriver jusqu’à nous.
    Au-dessus des Divinités réelles, qu’il laissait dans l’ombre, Socrate mettait un Dieu imaginaire qu’il représentait souverainement grand, voyant tout, entendant tout, présent partout et gouvernant toutes choses. C’était l’homme agrandi, le moi masculin projeté dans l’infini et devenu immense par l’illusion d’un orgueil insensé. Socrate fut un grand orgueilleux et un petit esprit, puisqu’il ne comprenait pas la vraie Nature et lui substituait une chimère. Il fut un des fondateurs du spiritualisme masculin, celui qui avait pour but de mettre l’Esprit en dehors de l’humanité, pour qu’on ne puisse plus dire qu’il est dans la Femme.
    C’est à lui qu’on fait remonter les lieux communs de la philosophie masculine, tels que ceux-ci :
    - « Que celui qui a fait l’homme à l’origine s’est montré miraculeusement intelligent. »
    Voilà le Dieu créateur inventé ; et combien cette erreur a été funeste à ceux qui ont voulu faire prévaloir la véritable histoire de la création naturelle.
    - « Que le consentement de tous les peuples dans cette croyance atteste qu’elle est la Vérité. »
    Erreur manifeste, d’abord parce que, si les peuples avaient toujours eu ces croyances, il n’aurait pas fallu tant de sang versé pour les faire admettre.
    Ensuite, n’avons-nous pas vu depuis 2000 ans que ce sont les plus grandes erreurs qui ont eu le plus de partisans ? Ce système qui consiste à s’appuyer sur le nombre a toujours été employé par ceux qui ont tort ; le nombre, c’est la force, c’est pour cela qu’on l’invoque.
    Quant à sa moralité, elle est connue. Il n’aimait pas sa mère ; cette mère, Phéramète, devait être une femme de valeur car elle exerçait la médecine. A cette époque, c’étaient les femmes qui pratiquaient surtout la médecine et instruisaient les hommes dans leur art. Phéramète était une de ces femmes qui abondaient dans l’antiquité.
    Socrate, s’il était mauvais fils, était aussi mauvais mari, puisqu’il représente sa femme, Xanthippe, comme irascible et lui comme un époux patient.
    L’opinion que nous émettons sur Socrate était certainement celle des gens sensés de son temps, puisque l’intempérance de cette prédication obstinée de tant d’erreurs fatigua les oreilles de ses contemporains. Accusé de détruire la Religion et de corrompre la jeunesse, accusé aussi d’impiété envers les Déesses qu’il tournait en ridicule, il fut condamné à boire la ciguë.
    Il mourut en 401. C’est par les Socratiques de Xénophon et les Socratiques de Platon qu’il fut connu. C’est parce qu’il fut écouté et admiré par ces 2 hommes qu’il a été glorifié.
    C’est parce qu’il a été condamné à mort sur une accusation d’impiété et d’immoralité que ce corrupteur de la jeunesse est devenu le père de la philosophie dans toute l’Europe et la source de toute spéculation depuis 23 siècles.
    La lutte commencée par Socrate va continuer. Platon (429-347) est son élève.



  • 2 votes
    Étirév 22 octobre 2020 12:36

    Bernard Lazare écrit dans L’Antisémitisme, son histoire et ses causes  : « Il m’a semblé qu’une opinion aussi universelle que l’antisémitisme ne pouvait être le résultat d’une fantaisie et d’un caprice perpétuel, et qu’il devait y avoir à son éclosion et à sa permanence des raisons profondes et sérieuses. »
    Un début de réponse avec René Guénon dans son ouvrage Le Règne de la quantité et les signes des temps, à l’article Les méfaits de la psychanalyse : « Par une étrange incohérence, le maniement d’éléments qui appartiennent incontestablement à l’ordre subtil continue cependant à s’accompagner, chez beaucoup de psychologues, d’une attitude matérialiste. Le cas de Freud lui-même, le fondateur de la « psychanalyse », est tout à fait typique à ce point de vue, car il n’a jamais cessé de se proclamer matérialiste. Une remarque en passant : pourquoi les principaux représentants des tendances nouvelles, comme Einstein en physique, Bergson en philosophie, Freud en psychologie, et bien d’autres encore de moindre importance, sont-ils à peu près tous d’origine juive, sinon parce qu’il y a là quelque chose qui correspond exactement au côté « maléfique » et dissolvant du nomadisme dévié, lequel prédomine inévitablement chez les Juifs détachés de leur Tradition ? »



  • 1 vote
    Étirév 22 octobre 2020 09:23

    Islamisation d’une poignée de fanatiques et d’ignorants par le bas et judaïsation d’une élite détestant le genre humain au sommet du pouvoir... le « cocktail » détonnant servi dans tous les pays occidentaux depuis un certain 11/9.
    Où est donc passée cette France longtemps traditionnelle dans laquelle, jadis, s’étaient développées dans le calme et la sécurité, les Républiques Celtiques ?



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    Étirév 20 octobre 2020 12:37

    Aujourd’hui, on est éventuellement en droit de se demander si la plupart des individus pensent ?
    En effet, un individu pense t-il lorsqu’il vous déclare, le plus sérieusement du monde, qu’une information est « certainement exacte » parce qu’elle lui a été transmise par son appareil de télévision, sa radio, ou qu’il en a, lui, lu l’énoncé dans un journal, une revue ou un livre, ou sur une affiche, peu importe où pourvu que ce soit quelque part en caractères d’imprimerie ?
    NON ! Ils ne « pensent » pas plus que ne le fait une platine vinyle dont le saphir suit fidèlement les spires gravées sur un disque. Changez le disque, et la machine changera de langage, ou de musique. De même, changez les émissions de la télévision et de radio, que des millions de familles suivent et écoutent tous les jours de l’oreille et des yeux, payez la presse pour qu’elle imprime une autre propagande, et encouragez la publication d’autres revues et d’autres livres, et en trois mois vous changerez les réactions d’un peuple, de tous les peuples, aux mêmes événements, aux mêmes personnalités politiques ou littéraires, aux mêmes idées.
    Et si cela ne suffit pas, on y mèle quelque attentat bien choquant, afin que les éventuelles brebis égarées mais apeurées, rejoignent fidèlement le troupeau bêlant.
    Penser s’avère un exercice de liberté et de désobéissance. Les dieux de l’Olympe froncent le sourcil, ils vont perdre leurs privilèges et leur pouvoir si les mortels deviennent intelligents. Après eux et comme eux, tous les tyrans, les inquisiteurs, les fanatiques réprimeront le savoir, brûleront les livres ou tueront les intellectuels parce que ceux-ci sont fauteurs de liberté.
    Le pouvoir politique et aussi religieux se fonde volontiers sur l’ignorance du peuple et s’accroît d’autant que les esprits sont faibles, les gens incultes.
    Le lent processus d’abrutissement des masses depuis la naissance de la Société de consommation :
    C’est aujourd’hui un fait que depuis plus d’un demi siecle, la population du globe s’est considérablement accrue. En conséquence, les occupations qui étaient dîtes traditionnelles (les travaux de la terre, les divers artisanats) n’ont plus suffi à absorber les innombrables énergies disponibles.
    Aussi, l’issue allait en être le chômage et la famine, à moins que l’on n’installe partout des industries mécanisées, c’est-à-dire qu’on ne fasse, de l’immense majorité des populations dont le nombre ne cessait (et ne cesse encore) d’augmenter, des « prolétaires », qu’on ne l’arrache à ses traditions, partout où elle en avait conservé quelqu’une, et qu’on ne l’enfourne dans des usines et ne la force à s’appliquer à des travaux qui, par leur nature même, (parce qu’ils sont mécaniques) ne pouvaient être intéressants.
    La production montera alors en flèche. Il faudra écouler et vendre ce qui aura été fabriqué. Il sera, pour cela, nécessaire de persuader les gens d’acheter ce dont ils n’ont nul besoin et nulle envie, de leur faire croire qu’ils en ont besoin et de leur en inculquer à tout prix le désir. Ce sera la tâche de la publicité. Les gens se laisseront prendre à cette tromperie car ils sont déjà trop nombreux pour être moyennement intelligents.
    Il leur faudra de l’argent pour acquérir ce dont ils n’ont pas besoin, mais dont on les a persuadés qu’ils ont envie. Pour en gagner vite, afin de le dépenser tout de suite, ils accepteront de faire des travaux ennuyeux, des travaux dans lesquels il n’entre aucune part de création, et que, dans une société moins nombreuse, à la vie plus lente, personne ne voudrait faire.
    Malgré un « intérim » longtemps occupé par une main d’œuvre « éxotique » et très bon marché, qui plus tard et par l’entremise de décisions (idéologiques ?) favorables à un rapprochement familial, se trouvera définitivement mélée à la population autochtone (ayant déjà vécu 2 ou 3 « métissages » européens) qui, finalement, acceptera ces travaux ennuyeux, parce que la technique et la propagande auront fait d’eux un magma humain : une multitude de plus en plus uniforme, ou plutôt informe, dans laquelle l’individu existe, en fait, de moins en moins, tout en s’imaginant avoir de plus en plus de « droits », et en aspirant à plus en plus de jouissances achetables ; une caricature de l’unité organique des vieilles sociétés hiérarchisées, où l’individu ne se croyait rien, mais vivait sainement et utilement, à sa place, comme une cellule d’un corps fort et florissant.
    Actuellement, une des clefs du mécontentement dans la vie quotidienne, et spécialement dans la vie professionnelle, est à chercher dans les deux notions de multitude et de hâte.
    Rappelons cependant que c’est principalement l’absence de Vérité qui crée le malaise général dont souffrent les sociétés modernes. Aussi, croire que telle ou telle réforme dans le gouvernement peut changer la vie de l’homme serait une étrange illusion ; on peut lui donner des progrès matériels, des réformes économiques avantageuses aux masses, on n’atteindra pas les profondeurs de sa vie psychique.
    Or, ce sont les souffrances morales qui rendent l’existence amère.



  • 8 votes
    Étirév 19 octobre 2020 09:50

    M’est d’avis que toutes ces manœuvres, assez grossières du reste, et répétées quotidiennement par tous les fourbes alliés de ce gouvernement et de sa mauvaise gestion sciemment mis en œuvre, consistent, au mépris de l’intelligence de tout un peuple, dans le déclenchement d’une immense explosion de colère, justifiant, à l’instar de toutes les initiatives prises post 11/9 par le gouvernement « Bush », en l’application de toute une armada de décisions arbitraires (surement déjà rédigées, imprimées et prètes à l’emploi  un peu comme pour le covid), et la mise en place irrémédiable d’un état policier qui jusque-là ne disait pas son nom.
    Malheureusement pour toutes ces marionnettes gouvernementales et la main qui les manipule, le peuple de France, par on ne sait quel mystère et obéissant à des lois inconnues, refuse obstinément d’aller dans cette mauvaise direction et donner cette opportunité à ce ramassis de dégénérés.
    Apparemment, s’il y a bien eu un arrêt dans le mouvement des Gilets Jaunes, son, Esprit, lui, et pour le plus grand malheur du « côté obscur », ne s’est jamais éteint... depuis les Cathares, et même avant eux.



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    Étirév 16 octobre 2020 05:48

    Toutes les questions qui agitent l’esprit humain depuis longtemps, se heurtent à des mystères qu’aucune science jusqu’ici n’avait pu expliquer : c’est que l’ordre dans les opérations intellectuelles est ce qui manque le plus. On constate des faits, mais on ne sait pas les classer. C’est ce classement qui est la science suprême, la Mathèse qui, seule, donne des résultats certains. C’est en remontant aux origines qu’on comprend les phénomènes actuels et leur devenir.
    Or, qu’a été à l’origine l’homme qui pense ?
    Il a été l’Homme-enfant.
    Mais qu’est-ce que l’Homme-enfant ?
    Est-ce le primate ou le sauvage, que le darwinisme (et même le néodarwinisme) met avant l’homme qu’on appelle civilisé ?
    Oh ! que non. Ceux qui mettent la brutalité finale au début sont des imposteurs qui renversent l’histoire.
    Les premiers hommes qui resplendissaient de la pureté morale de l’Enfant, de sa naïveté, de sa droiture, de son exquise sensibilité, ne sont pas plus les fils des singes qu’ils ne sont le vieil Adam des théologiens fait de toutes pièces par un Dieu inconnu.
    Extrait :
    Des paléontologistes, poussés par une sorte d’intuition vague, ont voulu trouver l’Homme à une époque plus reculée que celle où son squelette a été rencontré. On a cherché à prouver sa présence dans le Miocène, la sous-période médiane de l’époque tertiaire.
    Charles Lyell, John Lubbock et d’autres ont étudié cette question, cherchant l’homme tout en constatant l’absence de restes humains.
    Or, on envisageait mal la question, en supposant que l’homme est un être qui fut soumis dès l’origine aux conditions de vie et de mort des êtres actuels.
    La vie primitive a la longueur extrême de la vie végétale ; la vie intermédiaire a encore une intensité prodigieuse qui permet au Primitif de franchir une période sans être interrompu dans son évolution par la mort, et d’arriver ainsi à la période suivante.
    C’est ainsi que la plupart des Enfants-humains du Pliocène arrivèrent à l’aurore de la période quaternaire sans avoir rencontré la mort.
    Les antédiluviens vivaient l’âge des cèdres, dira-t-on.
    Quant à ceux qui mouraient, soit par accident, soit par suite de cataclysmes quelconques, c’est dans les tourbières que se trouvent leurs restes agglutinés.
    Il faut se rappeler que le squelette ne se conserve intégralement que quand il est complètement ossifié et que, dans la période d’enfance, le squelette est encore cartilagineux, l’ossification n’est pas achevée. Or les tissus cartilagineux subissent la destruction organique et ne se retrouvent pas sous forme de squelettes entiers, mais forment des masses de matières organiques agglutinées, et c’est ce conglomérat qui forme les tourbières. Dans ces amas, les restes des animaux jeunes comme l’humanité se trouvent mêlés à ceux des enfants-humains, les primitifs fauves, entre autres, qui n’ont pas pu être un danger pour l’homme, puisqu’ils étaient eux-mêmes dans leur première enfance à cette époque.
    NOS VÉRITABLES ORIGINES



  • 5 votes
    Étirév 15 octobre 2020 12:27

    La mascarade continue !

    Au pire, la « justice » en punira certain(e)s comme elle a « durement » puni Cahuzac, le « fusible » et Super Ministre antifraude qui fraude et qui blanchi, qui aujourd’hui, avec son simple « fil à la patte » coule des jours heureux dans sa retraite, parmi les siens.

    Pour l’humble travailleur qui exerce son droit de désobéissance civile, c’est 135 € « cash » et la matraque de la police devenue politique s’il se plaint. Sur un salaire de smicard, c’est pas le même ratio financier que sur celui du voyou Cahuzac qui lui, en plus, sera à nouveau éligible en 2021, à l’issue de sa « dure » condamnation.

    La démocratie c’est bien, mais pas pour le peuple qui croit sincèrement être gouverné par lui-même, ce qui est faux.

    Malheureusement, la majorité des individus constituant le peuple est incapable de réfléchir assez pour voir ce qu’il y a là d’impossible.