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beo111

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  • Premier article le 09/05/2018
  • Modérateur depuis le 11/02/2019
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Derniers commentaires




  • vote
    beo111 beo111 1er août 2020 22:20

    @Giordano-Bruno

    La Vème a été acceptée par référendum. Certes on ne sait pas ce qui se serait passé si le peuple avait dit non, mais tout de même je vous trouve assez dur.



  • 1 vote
    beo111 beo111 1er août 2020 00:26

    Bon comme yen a qui ne comprennent pas je vais devoir revenir sur certaines idées développées par le philosophe.

    La première c’est qu’un médecin ça sert à soigner, nous aider à guérir des maux dont nous souffrons. Or la PMA pour toutes détourne le médecin de sa mission, puisqu’il se retrouve à traiter des gens qui ne sont pas malades.

    Certes la chirurgie esthétique ça existe, mais elle n’est remboursée que lorsqu’elle est réparatrice !

    La seconde idée est un parallèle entre la dégradation des cadres de vie naturels par les artefacts de l’industrialisation d’une part, avec l’invasion des procédés techniques dans le processus de reproduction humaine d’autre part. Ce parallèle mène au questionnement, que si l’homme n’a pas su anticiper les conséquences de la pollution sur les écosystèmes, comment pourra-t-il anticiper les effets néfastes d’une trop grande intervention de la science au niveau de sa reproduction ? L’homme pensait que la science allait domestiquer la nature sans limite. Mais les ressources du monde sont elles, limitées. Maintenant l’homme nous dit que grâce à la science il peut faire n’importe quoi avec sa sexualité, qu’il n’y a pas de limite. Mais qu’est-ce qu’il en sait ?



  • vote
    beo111 beo111 31 juillet 2020 23:22

    @Mao-Tsé-Toung

    Je n’ai pas encore abordé le troisième point concernant Socrate & Platon, et il me semble nécessaire de le faire maintenant pour éviter toute confusion future.

    3/

    La grande absente de votre analyse, c’est la démocratie. Et la démocratie athénienne marchait plutôt bien. Mais la démocratie est égalitaire en termes de droits politiques pour tous ceux qui sont reconnus comme citoyens.

    Le savoir, la philosophie, sont de leur côté élitistes. Donc forcément entre Socrate et la démocratie ça s’est mal passé. Socrate a été mis à mort par un jury citoyen, évènement d’une importance capitale qui a eu de lourdes conséquences pour les peuples grecs.

    Car sur le papier, rien, absolument rien n’obligeait Athènes à sacrifier son philosophe. C’était une option politique comme une autre. Mais d’un point de vue céleste, c’était la preuve que les Athéniens, en dépit de leur iségorie, n’étaient pas prêts à entendre la parole régénérante.

    *

    Donc évidemment le disciple Platon ne pouvait pas porter bien haut le nom de son maître, et on ne peut pas lui en vouloir de laisser des doutes quant-à la paternité de certains concepts évoqués dans ses dialogues.

    Alors maintenant, si nous revenons à notre époque actuelle, nous verrons que les mœurs ont évolué vers plus de tolérance, mais que la démocratie, elle, a plutôt régressé.

    Donc le Chouard, outre le fait qu’il est d’un calibre bien inférieur à celui de Socrate, il a une relation inverse à son environnement. Il cherche à faire monter en compétence son auditoire dans le domaine démocratique, ce que les élites de notre temps préfèrent empêcher.

    *

    Alors maintenant j’entends bien vos parallèles entre
    Chouard / Prophète,
    discours sur les institutions / la transcendance,
    mouvements chouaristes / communautés religieuses
    mais ne nous trompons pas d’échelle.

    Ou plutôt, dans une démarche dualiste, ne confondons pas les deux côtés du miroir. Dans le monde matériel il y a des pays, des nations. Alors que dans le monde spirituel il y a des religions. Et ce qui est religieux dans le royaume terrestre est politique dans le royaume des cieux. Et vice-versa.

    Cela étant dit, il nous faut préciser quelques éléments concernant l’articulation entre le séculaire et le millénaire.

    *

    À l’échelle d’un individu, les préoccupations millénaires vont correspondre à l’évolution morale de l’âme, au cours des différentes incarnations. Elles peuvent aussi, dans certains cas, concerner l’accomplissement de travaux spirituels collectifs, comme la création d’une école de pensée.

    Les préoccupations séculaires, elles, vont concerner la contribution d’un individu à son environnement, dans les sphères familiale, professionnelle, culturelle, scientifique notamment.

    Mais qu’en est-il d’une nation, d’un peuple ? C’est à peu près la même chose, sinon que l’échelle n’est pas la même. L’ordre de grandeur d’une vie humaine c’est le siècle, alors que pour le peuple c’est le millénaire.

    *

    C’est pour cela que lorsque j’évoque la descente de Chouard ici bas je ne le mets pas au même niveau que les grands initiés que vous avez mentionné. Il s’agit juste d’un Esprit qui a une mission politique dans le royaume de France, tout comme n’importe quel esprit quelque peu évolué peut avoir une mission dans je ne sais quel domaine, dans je ne sais quel pays.

    La France, elle, est bientôt au bout de son histoire. Et elle aussi doit apporter sa contribution à l’histoire mondiale, pour aider les autres peuples.

    C’est une étape décisive. Si elle meurt maintenant, les derniers éléments nécessaires à la pérennité des États-nations devront être développés au sein d’autres peuples. Ce n’est pas impossible, mais cela apporte des complications.

    C’est pourquoi la France a besoin d’une rémission. Pour achever son grand travail accompli au cours des siècles, et dont toutes les nations futures lui seront reconnaissantes, même après sa mort.

    C’est ça, la France éternelle.



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    beo111 beo111 31 juillet 2020 17:01

    @maQiavel

    Bon voilà, vous avez exprimé votre point de vue, moi le mien, je pense que l’on peut en rester là.

    Là où je vous rejoins, c’est que Soral n’est évidemment pas le chef de la résistance, mais ça on le savait depuis longtemps. J’ai discuté il y a quelques années avec quelqu’un qui l’avait côtoyé de près. Pour lui Soral est un bon maître à penser, mais au niveau intendance et organisation il n’est pas l’homme de la situation.

    Là où je vous rejoins encore, c’est sur la non pertinence du vocable "dissidence". Je sais pas qui est allé nous inventer ça. À la rigueur cela peut s’appliquer à des gens qui ont du s’exiler style Meyssan, mais certainement pas à des petits patrons qui collectent un max de TVA pour le Trésor public français.

    D’ailleurs à titre personnel, en parlant de vente de livres et de spectacles, il est un auteur à succès qui a retenu mon attention : Philippe de Villiers, celui du Puy du Fou. Je le reconnais comme chef de la résistance française au nouvel ordre mondial.



  • vote
    beo111 beo111 31 juillet 2020 11:46

    @maQiavel

    Je suis sympathisant d’E&R, j’ai acheté pas mal de leurs bouquins. Mais il me semble que justement, la qualité de leurs analyses, et l’audience significative de leur site internet sont un facteur aggravant quand Soral suggère aux Gilets jaunes de prendre les armes. Il peut le faire dans son coin si ça lui chante, mais publiquement cela engage sa responsabilité en cas de guerre civile.

    Alors évidemment, lorsque ça explose ceux qui ont amené la poudre me semblent plus coupables que celui qui a allumé la mèche. Donc évidemment, les Bildelberg, les électeurs de Macron et de ses playmobils entre autres ont leur part de responsabilité dans l’affaire. Mais pénalement je pense qu’il est pertinent que Soral subisse un rappel à l’ordre bien compris. Et s’il ne comprend pas le passage par la case prison me paraît inévitable.

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