• AgoraVox sur Twitter
  • RSS
  • Agoravox TV Mobile

herve_hum

Cet auteur n'a pas encore renseigné sa description

Tableau de bord

  • Premier article le 06/12/2012
Rédaction Depuis Articles publiés Commentaires postés Commentaires reçus
L'inscription 2 806 62
1 mois 0 5 0
5 jours 0 0 0


Ses articles classés par : ordre chronologique





Derniers commentaires




  • vote
    herve_hum 3 janvier 2019 15:38

    @maQiavel

    addendum

    j’écris dans mon précédent commentaire

    "Partant de là, la souveraineté populaire n’existe pas, car seuls les propriétaires peuv unent prétendre à la souveraineté, les autres, à l’obéissance. "

    Il faut obligatoirement préciser une relation, celle qui fait évoluer la notion de souveraineté.

    En effet, au sens strict du terme, la souveraineté ne peut s’exercer pleinement que vis à vis de soi, donc, intérieure. Face à autrui, extérieure, sa propre souveraineté est confrontée à celle d’autrui où, soit elle s’impose, soit s’effondre ou enfin, trouve un lieu commun par lequel en échange d’une relation "paisible", chacun accepte de perdre de sa souveraineté sur les lieux communs débattus. 

    Et à ce jeu là, plus vous êtes forts, plus l’échange sera en votre faveur Autrement dit, plus vous êtes fort par rapport aux autres, moins vous aurez à concéder de votre souveraineté, alors que l’autre devra accepter de perdre plus. Résultat, les premiers commandent aux seconds. Si on va jusqu’à l’échelle, dimension de la nation, l’ordre des rapports de forces n’est pas changé, seul le lieu de discussion du rapport de force est déplacé en terme d’obligations réciproques, c’est à dire, en termes de relations droits/devoirs de chacun.



  • vote
    herve_hum 3 janvier 2019 10:26

    @maQiavel

    Non, inutile d’attendre la fin de mes articles, ceux publié sont suffisant pour répondre, car ceux qui viennent ne traitent pas de la souveraineté, mais du modèle découlant de la responsabilité en lieu et place de la propriété. Bref, vous avez déjà les éléments pour fournir votre réfutation, mais il est vrai qu’il vous faut lire ou relire les 4 articles.

    la souveraineté nationale ou populaire en système capitaliste n’est pas un oxymore. Je pense aussi que nous n’avons pas la même notion de ce qu’est la souveraineté.

    la souveraineté, quelle soit nationale ou populaire ou personnelle, n’a pas deux sens, mais un seul, soit, d’être l’autorité suprême, c’est à dire, d’être juge et partie, c’est à dire, de n’obéir qu’à soi même et personne d’autre. C’est à dire, de ne pas admettre d’autorité supérieure d’où quelle vienne. C’est à dire, que si vous donnez un autre sens au mot souveraineté, vous changez le sens du mot et alors, nous ne parlons pas de la même chose ! Partant de là, la souveraineté populaire n’existe pas, car seuls les propriétaires peuvent prétendre à la souveraineté, les autres, à l’obéissance. Le fait que ceux qui doivent obéir se rebellent parfois et exigent un meilleur traitement ne change rien au fait qu’ils n’ont aucune souveraineté à défendre, en dehors de celle des propriétaires, sauf à la leur reprendre.

    Dans l’histoire, sauf exception, la règle est que seuls les propriétaires détiennent la souveraineté. Qu’on soit en système monarchique, ou républicain, c’est à dire, bourgeois, on trouve toujours les mêmes pour exercer leur souveraineté et les autres, pour la subir. Le nier, c’est nier la réalité historique et ce ne peut être que le fait de son propre conditionnement de prêt à penser. Se dire machiavélien ou marxien ou n’importe quoi d’autre n’étant que de la poudre aux yeux.

    La démocratie n’est pas antinomique des classes sociales, si et seulement si, ces classes ne sont pas elles même en conflit d’intérêt, or, dans le système actuel, les classes sociales sont en perpétuel conflit d’intérêt et ceci, en raison de la propriété.

    Perso,je note que votre machiavélisme est figé à l’époque de Machiavel, mais incapable de l’actualiser à notre époque.

    Ainsi, Machiavel disait, tout comme Voltaire entre autres ” Un peuple qui commande, sous l’empire d’une bonne constitution, sera aussi stable, aussi prudent, aussi reconnaissant qu’un prince ; que dis-je ? il le sera plus encore que le prince le plus estimé pour sa sagesse. D’un autre côté, un prince qui a su se délivrer du joug des lois sera plus ingrat, plus mobile, plus imprudent que le peuple

    Seulement voilà, un peuple au sens de tous ses membres et non d’une partie, ne peut gouverner s’il est divisé entre les possédants et les possédés, entre les propriétaires et les prolétaires, car alors, le propriétaire est légal du prince, pouvant être exceptionnellement "sage", mais en règle générale cherchant à se délivrer du jour des lois pour exercer sa pleine souveraineté sur sa propriété, là où le prolétaire ne peut l’exercer que sur lui même. C’est ce qu’on constate aujourd’hui, comme hier et avant hier.

    Enfin, vous dites qu’un espace commentaire ne permet pas de développer la contradiction pour tout ce qu’il y a à contredire, pourtant, convenez que vous pouvez le faire sous mes articles. Sinon, je vous invite alors à le faire par un article ou bien, à ne contredire qu’un seul point. La souveraineté par exemple. Pour l’instant, je vois surtout que vous affirmez sans rien démontrer et c’est bien dommage !



  • vote
    herve_hum 2 janvier 2019 16:28

    @l’argentin

    La démocratie est impossible, parce que les communautés sont fondées sur la propriété et la division en classes sociales liées à cette propriété. Sachant que le but de la propriété est de permettre le profit particulier, sinon, elle n’aurait pas lieu d’être ! Donc, où les différentes classes sont toujours en conflit d’intérêt, sauf face à une communauté extérieure.

    Ce que je veux dire, c’est qu’on peut remarquer qu’une question centrale est précisément le fait que les grands propriétaires étant devenus mondialistes, ils ne peuvent plus faire passer le conflit d’intérêt intérieur, après le conflit d’intérêt face à la communauté extérieure, puisque se montrant son allié contre la classe prolétarienne de l’intérieur.

    C’est le coeur, la profession de foi d’un Asselineau. Sauf qu’il ne combat pas le principe d’une classe dominante via la propriété, mais exige seulement que cette classe défende ses intérêts de l’intérieur de la communauté et non pas de manière globale, mondiale où la communauté française est intégrée. La confusion, c’est qu’il n’est pas anti capitaliste, c’est tout le contraire, un pur capitaliste, par condition de survie, nationaliste.



  • vote
    herve_hum 2 janvier 2019 16:21

    @Mao-Tsé-Toung

    Un constat d’échec, n’a rien à voir avec une base éthique quelconque !

    Quant à ignorer les crimes capitalistes, cela n’a, là aussi, rien à voir.

    Votre modèle est donc la coopération, mais qu’il faut revoir complètement. Impossible donc d’en penser quoi que ce soit, puisque le mode de coopération actuel n’est pas celui qu’il faut retenir.

    Pour le point C, pouvez vous m’expliquer en quoi c’est de la tchatche qui ne veut rien dire ? La conséquence, est le résultat d’une cause, ce que j’écris est du n’importe quoi si et seulement si je confond la cause et la conséquence. Donc, il vous faut montrer que vos deux mesures sont les causes et non la conséquence d’une idéologie politique.

    Sinon, quelle est votre base logique pour dire comment répartir de manière équitable le capital des français ? Car il faut avoir une base logique très solide pour convaincre l’écrasante majorité des français que votre mode de calcul soit vraiment équitable.



  • vote
    herve_hum 2 janvier 2019 15:57

    @maQiavel

    C’est exact !

    Disons qu’ensuite, je me suis contenté de les publier, pensant que vous n’aviez plus besoin que je vous en informe. Me reste à écrire la suite, expliquant dans le détail le modèle découlant du principe de responsabilité en lieu et place de la propriété et que je me refuse encore à faire.

    Si le débat autour de savoir comment organiser la société humaine, partant de l’individu jusqu’à la l’humanité en passant par les communautés existantes, part dans tout les sens, c’est précisément parce que la confusion règne en maître sur le sens des mots et des concepts qu’on leur prêtes.

    Ce Cousin et ce qu’il dit (du moins le début que j’ai écouté) sur la démocratie en est un exemple parmi tant d’autres, surtout venant de la part de quelqu’un qui a le titre de docteur en philosophie

    La démocratie, au sens étymologique, c’est à dire, où il n’y a pas de clivage de classes sociales qui interdit de facto la démocratie, ne commence pas avec le mot pour la désigner, rien de plus absurde, mais commence avec la réalité de son mode de gouvernance et qui apparaît bien avant le néolithique. Si on se réfère aux études de l’anthropologue Clastres, la démocratie était la norme du mode de gouvernance des communautés. Elle sera d’ailleurs la norme en Amérique du Nord avant l’arrivée des colons européens.

    Car la démocratie, au sens étymologique et sémantique du terme, ne parle pas de l’état ou de la nation, mais parle de toute communauté, quelle que soit son nombre.

    Partant de là, tout ce que j’ai écouté de Cousin ne tient pas la route. Cousin fait la confusion entre la forme des relations à l’intérieur et vis à vis de l’extérieur que peut avoir une communauté et leur conséquences avec le mode de gouvernance que cela implique.

    Ainsi, c’est fondamentalement la division de l’activité ET la propriété particulière (qui peut alors être revendiqué !) d’un espace à l’intérieur du territoire commun, qui va provoquer la fin de la démocratie dans son sens propre et sa perversion par l’usage de la confusion, par glissement sémantique des concepts. Un glissement qui va quand même prendre, nécessiter quelques milliers d’années !!!

    Cela veut aussi dire que, rejeter la démocratie parce que son concept perverti n’est pas recevable, revient à "jeter le bébé avec l’eau du bain".

Voir tous ses commentaires (20 par page)

Les thèmes de l'auteur

Israël Antisémitisme Judaïsme Santé


Publicité


Publicité


Palmarès

Publicité