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Les commentaires de Étirév



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    Étirév 31 août 2020 16:38

    À propos d’Alchimie, de Toison d’or et de Pierre philosophale
    Le secret de la Pierre philosophale était le secret de la doctrine philosophique écrite sur des pierres. Ce fameux secret qu’il fallait cacher concerne l’Esprit féminin qui est symbolisé par le feu ou par l’or.
    Le mythe dit : « Les dieux ne pouvaient user légitimement de l’or et furent maudits dès qu’ils se le furent approprié. » On a compris, sans doute, que l’or est un symbole, puisqu’il régit les attributs sexuels. Les dieux, ayant profané l’or sacré, furent maudits, ils moururent ; telle est la faute, la chute. Mais la résurrection viendra quand l’or sera restitué aux Ondines. La femme seule peut sauver l’homme et lui restituer la science (ceci est le sujet de la Tétralogie de Wagner) ; ce qui est or dans un sexe devient plomb vil dans l’autre sexe.
    Cette symbolique de l’or va nous expliquer l’origine de la légende mythique de la Toison d’or.
    Conquérir la Toison d’or, c’est s’emparer, par la force, des honneurs et du respect que confère l’Esprit. C’est conquérir la position donnée par la supériorité spirituelle, ce n’est pas conquérir l’Esprit, qui ne se conquiert pas.
    Cette prétendue conquête exaspérait les femmes, qui comparaient l’homme inférieur, l’homme-matière, au vil plomb, et qui le montraient voulant s’égaler à l’Or de l’Esprit-lumière de la Déesse.
    L’Esprit-feu est appelé Agni dans la langue des Hindous. Les latins en feront ignis, mais ceux qui ne comprennent pas feront de Agni agneau, et l’être sans tache, la Femme dans sa pureté physiologique, sera comparée à l’agneau. De là le nom d’Agnès.
    C’est Ram (1) qui prétend avoir fait cette conquête, puisqu’il s’est fait appeler agneau (Lama). Mais, plus tard, une mythologie plus touffue surgira et embrouillera par ses explications ridicules tous les anciens Mystères. Ainsi, Suidas nous apprend que la Toison d’or était une peau de mouton sur laquelle était écrit l’art de changer les métaux en or. On sait que les anciens attribuaient cette vertu magique à la pierre nommée philosophale.
    La Toison d’or était l’emblème du ciel physique (les Champs Elysées), et du Ciel moral, la Vertu.
    Les poètes et les historiens grecs disent que les Argonautes ont réussi, qu’ils sont parvenus à enlever la Toison d’or et qu’ils ont apporté ce précieux trésor dans leur patrie. Mais, si on ne dit pas ce qu’on en a fait, ce qu’elle est devenue, et où elle est gardée, c’est que le trésor qu’ils ont enlevé, ce sont les Livres sacrés, les grands poèmes, les Rituels des Sibylles, dont ils ont fait une littérature masculine dont les Grecs se glorifieront comme s’ils en étaient les auteurs. Et c’est après qu’ils auront fait cette œuvre de rapine spirituelle qu’ils diront que les Celtes n’écrivaient pas, que leur enseignement était oral et qu’on n’a rien retrouvé de leurs livres.
    Au Moyen Âge, « Al-Chimie », l’art sacré des anciens temples théogoniques, était tombé aux mains des mages empiriques, qui, ne pouvant plus s’élever jusqu’aux idées abstraites, avaient fait de cette science un art, en la faisant descendre des hauteurs du génie féminin jusqu’aux bas-fonds des mentalités les plus troublées.
    Alors, tout devient confus et intéressé. On ne cherche plus pour savoir, mais pour jouir, pour se procurer l’or qui donne le pouvoir. Mêlant les anciens symboles qui avaient caché les qualités psychiques des êtres sous des formes matérielles, on prit la représentation symbolique pour la réalité, l’or pur, emblème de la spiritualité supérieure, pour un corps simple, et, partant de là, on fit une chimie bizarre où les idées les plus hétéroclites se heurtaient.
    Si nous demandons des définitions, voici ce que dit Roger Bacon : « L’Alchimie est la science qui enseigne à préparer une certaine médecine ou Élixir, lequel, étant projeté sur les métaux imparfaits, leur communique la perfection, dans le moment même de la projection. »
    Paracelse dira aussi de l’Alchimie : « C’est une science qui apprend à changer les métaux d’une espèce dans une autre. »
    Partie d’un dualisme représenté par l’or et l’argent, représentant les deux sexes, elle arrive à un androgyne représenté par un corps à deux têtes, et enfin à l’unité, suivant la même évolution qu’avait suivie l’idée divine : 1°) Les Déesses ; 2°) Les Dieux ; 3°) Le Dieu unique.
    Dans cette conception, l’ancien principe du mal étant devenu « le Dieu », on en conclut qu’il s’est transmué, l’argent qui le représentait est devenu de l’or. Et comment s’est fait le miracle ?
    Pour l’expliquer, on reprend la thèse enseignée par les anciennes Prêtresses : « l’amour féminin élève l’esprit, purifie le sexe » (symboliquement, le feu purifie tout). Mais, comme c’est un homme qui va parler, suivant sa psychologie masculine, il va mêler son amour impur à tout cela, sans même se douter de la confusion, et il dira que l’élixir projeté sur les métaux imparfaits les ennoblit.
    (Suite dans l’article sur le Moyen Âge)
    Le mage a-t-il conscience de ce qu’il dit ? Comprend-il cette traduction dans la langue ou plutôt dans l’esprit d’un sexe de ce qui a une signification différente dans la langue de l’autre sexe ? Probablement non, car cette confusion a toujours été faite. L’homme, tous les hommes, nie la loi des sexes et prétend imputer à la Femme ce qui est masculin et s’approprier ce qui est féminin.
    Toute l’alchimie est née de cette confusion introduite dans la signification du symbolisme antique.
    La théorie de l’unité de la matière, qui en est l’ultime conséquence, est une expression de ce que l’on appelle l’égalité des sexes, une folie. Et, là-dessus, on a créé toute une science, laquelle est venue aboutir aux erreurs modernes.
    Si l’on consulte les vieilles gravures du temps où l’alchimie était triomphante, on voit partout l’or et l’argent représentés par... SUITE

    (1) Rappelons que c’est ce Ram celtique que les hindous appellent Râma (également connu sous le nom de Ramachandra), le grand perturbateur et usurpateur du régime féminin en Asie, c’est lui que le Tibet, la Chine, le Japon et les immenses régions du Nord de l’Asie honorent sous le nom de Lama. Il est connu sous le nom de Fo, de Pa, de Pa-pa (monarque paternel) ou de Pa-si-pa (Père des pères). C’est lui qu’en Perse on a appelé Giam-Shyd (Djamchid) et dont on a fait le premier monarque du monde. Les disciples de Ram étaient appelés Ramsès en Egypte. Quand l’homme eut vaincu le pouvoir féminin, il nous, raconta lui-même son histoire, qu’il fit glorieuse, mettant le mérite dans le triomphe de la force sur l’esprit. Les Orientaux ont donné à l’un de ces vainqueurs le nom de « Dhulcarnein », qui signifie « aux deux cornes » ; c’est l’épithète des conquérants « qui ont subjugué les deux extrémités du monde, l’Orient et l’Occident ». Après Ram, Alexandre eut le même surnom ; il fut le second vainqueur de l’Asie dans la mémoire des Orientaux.



  • 2 votes
    Étirév 30 août 2020 04:26

    « Même les plus grands criminels de guerre ne sont pas traités comme Julian Assange » est-il dit.
    On vit effectivement, une « drôle » de période.
    On pourrait ajouter :
    « Même les trafics de drogue, d’être humain ou bien le mal, en général, qui sévit dans notre Société ne sont pas traités avec autant de volonté et d’acharnement que l’obligation du port d’un masque d’une « épidémie sans malade ».



  • 2 votes
    Étirév 15 août 2020 16:45

    Le « serpent monétaire » d’hier à aujourd’hui, mais jusqu’à quand ?
    Après 1789, la France est passée d’une monarchie qui avait pour contre-pouvoirs tous les corps intermédiaires, à une oligarchie financière dénuée de tout contre-pouvoirs, le tout sous le vocable trompeur de démocratie. La démocratie est le vêtement dont se pare le pouvoir sous le prétexte qu’existe une représentation populaire (pouvoir législatif). Mais cette représentation est, dans les faits, c’est-à-dire concrètement, catégorielle et non pas populaire parce que contrôlée par des partis politiques sous influence des puissances d’argent.
    Le véritable pouvoir aujourd’hui n’est pas à rechercher dans l’apparence des arcanes politiques, il se cache derrière l’anonymat des capitaux et dans les paradis fiscaux. Le véritable pouvoir auxquelles sont soumises les populations, maintenues dans la naïveté et l’inconscience, est économique : il appartient aux principaux détenteurs de capitaux de la planète ; lesquels ont tant et si bien œuvrés depuis des centaines d’années qu’ils sont devenus propriétaires directs et/ou indirects de la majeure partie des actifs tangibles de ce monde.
    Tant que le destin des monnaies restera l’apanage des banquiers mondialisés, et continuera en conséquence à échapper aux peuples qu’elles contraignent, nous assisterons à la continuation de la mise sous tutelle financière, économique, juridique et politique de ces derniers (et à terme à l’esclavagisme). Pour ceux qui l’auraient oublié, cette vérité a été directement précisée par l’un des fondateurs de l’oligarchie financière : « Donnez-moi le contrôle de la monnaie d’une nation et je n’aurai pas à m’occuper de ceux qui font les lois ». Si l’on retourne aux fondamentaux, il apparaît en effet que la monnaie, et son pendant qu’est la dette, conjuguée au principe de l’entreprise anonyme qu’elle a juridiquement autorisé à se mettre en place, sont les armes du servage d’aujourd’hui au même titre que l’épée et la lance étaient celles du servage d’hier.
    Aussi, la France, comme les USA et ses alliés ne sont plus depuis le début du XXème siècle (au bas mot) gouvernés par ce qu’on appelle un phénomène politique, qui représente l’intérêt commun, mais par un cartel d’entreprises dirigé par les principales banques globales d’investissement qui ont leur quartier général, depuis Oliver Cromwell, à la City of London. En réalité, les Etats occidentaux n’existent plus car ils ont été privatisés lorsque le contrôle de leurs monnaies est tombé dans les mains des banquiers privés, ce qui explique, en Europe, l’apparition des institutions européennes, qui ne sont que la formalisation politique (traités de Maastricht et Lisbonne) de cette capture des règles d’organisation des peuples par des intérêts privés.
    Dans l’objectif de hâter sa prochaine disparition volontaire, les autorités politiques en charge de la France relaient avec zèle, voire même anticipent, l’agenda mondialiste consistant à appauvrir matériellement, physiquement et moralement la plus grande masse des gens peuplant la planète au profit de quelques usurpateurs, véritables escrocs économiques qui ont, aujourd’hui, pris l’ascendant sur les pouvoirs politiques des États. Aussi, la France qui n’a aucune politique, et encore moins de politique socialiste, dans le sens « social » du terme, est en revanche l’un des principaux fers de lance de l’agenda globaliste, lequel prospère sur le développement de la misère humaine.
    Les cartes sont actuellement dans les mains des populations civiles : ces dernières ont enfin, phénomène unique dans l’histoire, la possibilité de reprendre leur destin en main ; ce qui signifie, très précisément, qu’elles ont la possibilité de réinstaurer des gouvernements politiques en lieu et place des ersatz actuels entièrement aux mains des puissances financières. Les peuples auront ce qu’ils méritent : ils recevront, s’ils acceptent de se prendre en charge (en contrepartie d’un peu de courage) des fruits extrêmement bénéfiques… mais l’accepteront-ils ? Là est la question… Je profite de ce texte pour rendre hommage au travail de structuration politique fait, en France, par les Gilets Jaunes constituants, qui ont pleinement compris et anticipé cette problématique de fond.
    Finalement, les lois naturelles, tellement honnies des globalistes, reprennent le dessus et les choses vont entrer dans l’ordre : soit on lutte collectivement pour survivre collectivement, soit on ne lutte pas collectivement et ce sera la fin de la civilisation et de la liberté, y compris celle de vivre et de mourir.
    Pour info, les serpents d’hier sont les mêmes qu’aujourd’hui.
    L’antiquité a donné un grand rôle au serpent.
    Tout le monde connaît la légende biblique du serpent et de la pomme, mais personne ne sait comment cette histoire a été inventée. Dans l’original du livre fameux, cette histoire n’existe pas. Elle a été introduite dans la version grecque faite deux siècles avant notre ère, on ne sait par qui, quoique l’on nous dise qu’elle fut faite par 70 docteurs, d’où son nom de Version des Septante. Il s’agissait de cacher sous un langage équivoque un épisode se rapportant à la vie sexuelle. L’original disait brutalement que l’ardeur sexuelle, qui régnait dans toute la nature, tourmentait les hommes.
    Le serpent, animal rampant (ancien emblème de l’homme pervers), symbolise ce qui est bas, lâche, vil.
    Satan est souvent appelé en grec διάβολος, le détracteur ou l’accusateur, d’où on fait le « Diable ». Dans l’ Apocalypse, il s’appelle aussi le « Dragon », le « Serpent ».
    « Kâna el-insânu hayyatan fil-qidam. » (« L’homme fut serpent autrefois. »), nous rappelle une expression arabe.
    On représenta par les deux serpents du caducée les deux aspects du pouvoir de l’homme : le Roi, le Prêtre. Ensemble, mêlant la force à la ruse, ils vont torturer l’humanité.
    Le caducée est un des attributs du dieu Hermès. Précisons que « Hermès », est le nom générique des prêtres égyptiens qui sont venus, dans le cours des siècles, jeter le voile du mystère sur toutes les antiques vérités. Pour imiter la Déesse Hygie, « Hermès » prétendra guérir, et le caducée sera le symbole de sa médecine, celle qui tue.
    Comme les femmes ont comparé l’homme vil, qui les attaque lâchement, au serpent, Hermès appelle le serpent le plus spirituel de tous les êtres ; il symbolisait pour lui la Sagesse et la Perfection Divine et représentait la Régénération et l’immortalité de l’âme.
    Les dégénérés ont fait du serpent une divinité qu’on adore.
    Le serpent, l’homme vil, a mille noms. En Egypte, c’est Typhon (anagramme de Python) et personnifie les fléaux de la Nature et les maux du corps et de l’âme.
    En Syrie, c’est Nahash. C’est celui-là qui est le héros de la légende d’Adam et Eve.
    Chez les Perses, le méchant est représenté par le serpent Ophinéus.
    Chez les chinois, c’est Kong-Kong, à la face d’homme et au corps de serpent, qui détruit l’humanité par ce grand cataclysme moral dont la symbolique a fait un déluge universel, quand on a tout caché sous des allégories.
    Les Druides représentaient le serpent (l’homme méchant) par Hu.
    Thoth était représentée par la tête d’Ibis, et cet oiseau lui était consacré.
    L’Ibis était un oiseau sacré parce que sa spécialité était de faire la chasse au serpent qui personnifie l’esprit du mal, le mensonge, la fausseté et la ruse.
    Un 25ème degré des Mystères fut créé par des chevaliers qui, étant en Palestine lors des Croisades, avaient trouvé des Israélites captifs des Musulmans et les avaient délivrés. Ceux-ci, en reconnaissance leur firent connaître la tradition du « Serpent d’airain », qui s’était perpétuée en Judée. La révélation de cette tradition qui leur fut faite est l’origine de la fondation de l’Ordre des Templiers.
    Au Louvre, on peut voir Minerve assise et menacée dans sa sagesse et dans sa dignité par des serpents qui s’élèvent autour d’elle.
    Certains, encore aujourd’hui, parlent de « reptiliens », dirigeant la terre en gardant les humains dans l’ignorance. Un terme, évidemment, à prendre au sens figuré et non au sens propre.
    Enfin, il y a peu, certaines expressions étaient également explicites quant à leur aspect néfaste, tel « le serpent monétaire », qui permettra d’aboutir à l’abomination de la désolation, économique, sociale et morale, actuelle.
    Néanmoins, les jours du serpent sont comptés, car une prophétie a dit : Une Vierge viendra qui écrasera la tête du serpent et régénérera la race coupable.

    N’est-ce pas l’Archange Saint Michel (à figure de Femme) qui, à la fin des temps, doit remporter la victoire finale du Bien sur le mal, en terrassant Satan représenté par un dragon ?



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    Étirév 11 août 2020 16:00

    Pour des précisions au sujet de l’histoire de la Chine antique et notamment à propos du Taoïsme, c’est ICI



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    Étirév 11 août 2020 15:58

    Dans l’Edda Islandorum, l’arbre de vie est dit « l’arbre de l’univers » et s’appelle « Yggdrasil ».
    L’arbre de vie était célébré dans les Mystères le jour du solstice d’hiver (Noël).
    Dans un grade des Mystères de Jerusalem on enseignait un chapitre de la science secrète, celui qui se rapporte à la Genèse primitive.
    On montrait le Soleil générant l’Arbre de vie qui évolue vers le genre humain, lequel se reproduira, plus tard, par génération sexuelle.
    La génération s’explique par un symbole : la quadrature du cercle. Les deux sexes sont représentés par deux triangles, qui unis forment un cube ; c’est en réunissant les deux sexes (les deux triangles) qu’on réalise la quadrature du cercle, figure qui représente la génération sexuée.
    Cette science des origines expliquée était une occasion de rappeler à l’homme qu’il est un être fini, qui ne peut pas trouver par lui-même les lois de la Nature, et que son intelligence a besoin d’être éclairée par « l’Ange de lumière » (la Femme) qui lui a révélé les vérités cachées ; c’est elle qui éclaire le monde malgré la lutte soutenue contre elle ; aussi un des mots de passe de ce grade est cette phrase : « Je suis celle-là qui suis »
    Nos racines, notre arbre généalogique : nos véritables origines



  • 4 votes
    Étirév 10 août 2020 16:39

    « Comment répondre à quelqu’un qui vous traite de complotiste ? »
    Primo, rappelez-lui quelques anciens « théoriciens » du complot de renom, comme :
    Honoré de Balzac : « Il y a deux histoires : l’histoire officielle, menteuse, puis l’histoire secrète, où sont les véritables causes des évènements. »
    Théophile-Malo de La Tour d’Auvergne : « L’histoire n’est que les ruines d’un grand édifice que chaque génération d’hommes a cherché à détruire, en le masquant sous des mensonges, entassant des décombres sur des décombres, des ruines sur des ruines. »
    Jules Michelet : « L’Histoire tombera et se brisera en atomes dans le courant du XXe siècle, dévorée jusque dans ses fondements par ceux qui rédigent ses annales. »
    Joseph de Maistre : « L’Histoire est une conspiration permanente contre la vérité »
    Puis, dirigez-les vers les liens ci-dessous, dans lequel sont confirmés les propos des « théoriciens » cités ci-dessus.
    Rappelons, en effet, qu’il est des gens naïfs qui croient que l’histoire est le récit exact des faits du passé. Ils semblent ignorer que le monde est, depuis longtemps, régi par le mensonge et que le désordre de la société actuelle en est la conséquence.
    Il est curieux d’étudier comment cet ordre de choses a commencé, quels ont été les mobiles des premières erreurs voulues, et quels hommes, les premiers, ont eu l’audace de les écrire...
    Des hyperboréen à la France moderne, en passant par l’Atlantide et les Celtes, le Moyen Âge pour finir sur la Révolution Française.

     Mais aussi, pour ceux qui sont courageux, toutes la vérité sur les religions abrahamiques (le Judaïsme, le Christianisme et l’Islam), la véritable histoire de l’Egypte, des Chinois, des Perses et des Hindous, etc... et même la vérité sur le Mystère de l’Immaculée Conception et sur celle de la personnalité de la Bonne Mère, « Notre-Dame », la Vierge Marie.

    Dans le Complot, tout est beau.



  • 26 votes
    Étirév 7 août 2020 11:59

    Lorsque « l’Inquisition » moderne tentait de soumettre Etienne Chouard à la question sur la Shoah à l’été 2019, celui-ci aurait bien avisé de faire cette réponse que Jean Giono, pacifiste viscéralement et spirituellement convaincu, faisait suite à une sollicitation de l’écrivain Wladimir Rabinovitch :
    « Il me demande ce que je pense du problème juif. Il voudrait que j’écrive sur le problème juif. Il voudrait que je prenne position. Je lui dis que je m’en fous, que je me fous des Juifs comme de ma première culotte ; qu’il y a mieux à faire sur terre qu’à s’occuper des Juifs. Quel narcissisme ! Pour lui, il n’y a pas d’autre sujet. Il n’y a pas d’autre chose à faire sur terre qu’à s’occuper des Juifs. Non. Je m’occupe d’autre chose. »
    Reductio ad hitlerum jusqu’à la nausée...ad vitam aeternam ?



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    Étirév 18 juillet 2020 02:20

    Les métaphores par lesquelles la fin du monde avait été annoncée ont toujours été mal interprétées.
    Ainsi, quand les prophètes disaient que les fondements de la terre allaient s’ébranler, cela s’appliquait aux institutions sociales qui allaient être attaquées et détruites, et non au globe terrestre et à ses conditions physiques.
    Quand ils disaient que le soleil, la lune et les étoiles allaient s’obscurcir et s’éteindre, cela se rapportait aux lumières de l’intelligence comparées aux astres du ciel et qui (suivant l’expression antique) allaient être mises sous le boisseau.
    Et c’est bien ce qui se produisit, puisque les conquérants qui arrivaient au pouvoir avaient toujours pour premier soin d’étouffer la pensée, souvent même de faire brûler les livres dès qu’ils prenaient possession du trône.
    Toutes les métaphores annonçaient le renversement du « monde intellectuel » et le règne de la brutalité.
    Rappelons que « L’Apocalypse » est un livre écrit par un auteur qui se répand en doléances sur le mal qui règne partout, sur le sort des opprimés victimes des religions et des institutions nouvelles.
    L’Apocalypse a dû être écrite avant la destruction du temple ; les remaniements qu’elle a subis, peut-être plusieurs fois, ont dû commencer dans le IIème siècle, L’ancien symbolisme, dont la signification était connue et facile à comprendre, y devient un surnaturel fantastique en prenant les idées abstraites symbolisées pour des réalités concrètes. Cette transformation de l’idée se retrouve dans tous siècles, c’est l’éternel manteau de l’ignorance et de la bêtise posé sur l’éternelle Vérité.
    Le mot « Apocalypse » signifie secret dévoilé.



  • 3 votes
    Étirév 17 juillet 2020 03:58

    On attribue à Paul Diacre (720-799) la composition de l’hymne chrétienne Ave Maris Stella et de l’hymne de saint Jean-Baptiste : Ut queant laxis resonare fibris.
    C’est à partir de la première syllabe de chacun des six premiers hémistiches de cette œuvre qu’au XIème siècle Guido d’Arezzo nommera les notes de Ut à La pour son système de solmisation.
    La note SI, qui est composée des deux initiales du dernier vers de l’hymne, Sancte Iohannes, ne sera ajoutée qu’à la fin du XVIe siècle.
    Paul Diacre avait conçu la gamme musicale avec pour point de départ non pas la syllabe DO (Dominus pour Jésus), mais UT, point de départ de l’homme tel qu’il est né de la femme dans toute son imperfection. Il choisit ainsi la syllabe UT, du mot Uterus, organe de la gestation, précisément pour souligner la condition imparfaite, commune à tous les fidèles comme à tous les hommes, afin de les orienter sur les traces de saint Jean, au sujet duquel Jésus a dit : « en vérité je vous le dis, parmi ceux qui sont né de femmes, il n’en est point paru de plus grand que Jean-Baptiste ». Ainsi, UT — Uterus — symbolise la porte de la naissance selon la chair, et SI la porte de la deuxième Naissance, celle selon l’Esprit, sans laquelle l’homme ne peut pas voir le royaume de Dieu. La gamme ascendante de Paul Diacre comprend donc une octave de régénération, allant de la naissance sur la terre à la naissance dans les cieux.
    Rappel général :
    Chacun sait que dans toutes les religions il existe une doctrine extérieure ouverte, l’exotérisme, et une doctrine cachée, l’ésotérisme.
    Les Prêtres ont tous mis dans leurs dogmes le mystère, et ont jeté un voile sur les lois de la Nature connues avant eux.
    C’est pour cacher au public les vérités exposées dans les « Livres sacrés » qu’on en altéra les textes. Cette profanation avait deux mobiles : l’ignorance, mère du fanatisme, et l’intérêt.
    Le Prêtre altéra d’abord parce qu’il ne comprenait plus les vérités fondamentales qui avaient fait l’objet de la pensée abstraite de la Femme Divine.
    Il altéra aussi par intérêt, par haine et par envie.
    II supprima ou cacha dans des allégories tout ce qui se rapportait à la loi des sexes, à la morale physiologique, parce que cette loi connue assigne forcément à chaque sexe une place dans la société, celle qui résulte de l’exercice de ses facultés naturelles. La loi des sexes explique les conditions différentes de la mentalité de l’homme et de la femme, la cause première de la raison et de la déraison, base du droit, base de la science, base de la Justice.
    En prenant la place de la Femme, c’est tout cela que le Prêtre violait.
    Comment, alors, aurait-il permis aux femmes d’étudier les lois qui le condamnaient, une science qui expliquait si clairement la double évolution humaine, celle qui fait monter la Femme vers les régions de la spiritualité, tandis qu’elle fait descendre l’homme par le chemin de la sensualité jusqu’à la mort morale, c’est-à-dire l’extinction de la raison ? Toutes les Ecritures avaient expliqué cela.
    C’était la base de toute religion, de toute morale, de toute civilisation. C’est dans cette connaissance qu’est l’avenir des nations comme l’avenir de l’humanité elle-même.

    Le Christianisme ésotérique



  • 6 votes
    Étirév 13 juillet 2020 10:29

    Pour les dormeurs et ceux qui souhaitent qu’ils le restent, leur grossière théorie de la « théorie du complot » est plus souvent emprunte d’ignorance et d’absurdité que la simple théorie avancée, à la différence des précédents, par de sincères et honnêtes chercheurs de Vérités.
    Aussi, rappelons que la conspiration, c’est-à-dire le mensonge politique, religieux, philosophique ou scientifique, n’est pas une théorie et ne remonte pas à JFK.
    En vérité, le mensonge, l’erreur et l’hypocrisie et la lacheté qui les couvrent sont le quotidien de l’humanité depuis près de 3000 ans.
    En effet, à toutes les époques, il y a eu des partis qui, voulant s’emparer d’un pouvoir auquel ils n’avaient pas droit, ont appuyé leurs prétentions sur une idée, un système, une théorie religieuse ou sociale, qu’ils ont propagée par violence, par fraude ou par ruse. Deux moyens furent notamment employés pour faire disparaître les témoignages gênants du régime qu’ils venaient renverser : la destruction et l’altération des textes.
    L’ère de destruction s’ouvrit au VIIIème siècle. On précise même la date : cela commença en 747 avant notre ère, c’est-à-dire au moment où la classe des prêtres se constitua.
    C’est un roi de Babylone nommé Nabou-Assar qui, rempli d’un orgueil fanatique et irrité des éloges qu’il entendait prodiguer au régime antérieur, s’imagina qu’il suffisait de faire disparaître sa trace dans l’histoire pour remplir l’univers de son nom et rendre sa domination légitime. Il fit effacer toutes les inscriptions, briser toutes les tables d’airain et brûler tous les papyrus. Il voulait que l’époque de son avènement au trône fût celle qui commençât l’histoire. Et cette idée devait triompher ; l’histoire antérieure à ce règne devait, pendant longtemps, être effacée.
    Le souvenir d’un pareil événement s’est perpétué aux Indes. On sait assez qu’il eut lieu en Chine et que l’empereur Tsinchi-hoang-ti alla encore plus loin que Nabou-Assar, en défendant sous peine de mort de garder aucun monument littéraire antérieur à son règne (« Fahrenheit 451 », une fiction ?).
    Ce système est resté dans les habitudes de tous les conquérants, de tous les usurpateurs, il a même pris des proportions formidables dans les religions modernes.
    N’oublions pas que la fameuse Bibliothèque d’Alexandrie a été brûlée trois fois, que les papes chrétiens ont fait détruire un grand nombre de monuments antiques, que les archives du Mexique et celles du Pérou ont disparu pour satisfaire le zèle fanatique d’un évêque espagnol.
    Puis, lorsque ces partis triomphaient, ils avaient soin d’abord d’écrire l’histoire passée, la montrant comme une longue préparation de leur triomphe qu’ils justifiaient par une aspiration des foules existant depuis longtemps.
    N’est-ce pas de là que viennent les mots « predate » (antidater) et « prédateur » ?
    Pour répandre l’histoire ainsi écrite, ils créaient un enseignement obligatoire dans lequel ils ne manquaient pas d’avilir leurs ennemis, ceux qu’ils avaient vaincus et qu’ils représentaient toujours comme des barbares ou des gens de mauvaises mœurs. Eux-mêmes se représentaient comme des sauveurs apportant tous les progrès.
    Et il faut bien remarquer que c’est toujours quand la Vérité est altérée, cachée, quand l’erreur triomphe, qu’on en impose l’étude à la jeunesse.
    Les dormeurs doivent se réveiller !
    Citons, à ce propos, cet extrait du « Visage vert » de Gustav Meyrik :
    « L’homme est fermement convaincu qu’il veille ; mais en réalité, il est pris dans un filet de sommeil et de rêve qu’il a tissé lui-même. Plus ce filet est serré, plus puissant règne le sommeil. Ceux qui sont accrochés dans ses mailles sont les dormeurs qui marchent à travers la vie comme des troupeaux de bestiaux menés à l’abattoir, indifférents et sans pensée. Veiller est tout. Le premier pas vers ce but est si simple que chaque enfant le peut faire. Seul celui qui a l’esprit faussé a oublié comment on marche et reste paralysé sur ses deux pieds parce qu’il ne veut pas se passer des béquilles qu’il a héritées de ses prédécesseurs. Sur ce chemin de l’éveil, le premier ennemi que tu trouveras sera ton propre corps. Il luttera avec toi jusqu’au premier chant du coq. Lis les Écritures saintes de tous les peuples de la terre. À travers chacune d’elles passe comme un fil rouge la science cachée de la veille. »



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    Étirév 6 juillet 2020 10:16

    En dehors du fait qu’Etienne Chouard, alors que « l’inquisition » moderne le soumettait à la question sur la Shoah à l’été 2019, aurait été bien inspiré de se souvenir de cette réponse de Jean Giono, pacifiste viscéralement et spirituellement convaincu, à l’égard d’une sollicitation de l’écrivain Wladimir Rabinovitch :
    « Il me demande ce que je pense du problème juif. Il voudrait que j’écrive sur le problème juif. Il voudrait que je prenne position. Je lui dis que je m’en fous, que je me fous des Juifs comme de ma première culotte ; qu’il y a mieux à faire sur terre qu’à s’occuper des Juifs. Quel narcissisme ! Pour lui, il n’y a pas d’autre sujet. Il n’y a pas d’autre chose à faire sur terre qu’à s’occuper des Juifs. Non. Je m’occupe d’autre chose. », cela lui aurait évité quelques ennui avec une justice qui n’en n’a plus que le nom.
    En dehors de ce fait, disais-je, il serait judicieux, pour une plus grande impartialité dans l’écriture de l’histoire de la seconde guerre mondiale, de remettre à disposition de tous, l’ouvrage de Marc Augier (dit Saint-Loup), intitulé « Hitler ou Juda ? Un second procès de Nuremberg ».
    Alors, une lumière nouvelle éclairerait les hommes de bonne foi sur les véritables « barbares » de la seconde guerre mondiale, barbares à l’origine du mal qui règne depuis près de 3000 ans.



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    Étirév 4 juillet 2020 12:13

    À l’Ecole Pythagoricienne, on enseignait l’unité de la nature féminine, dont le principe de vie ne se divise jamais : c’était le nombre 1. Et la dualité de la nature masculine dont le principe de vie se divise en deux parties : l’une pour être conservée et l’autre pour être donnée à la génération : d’où le nombre 2.
    L’unité féminine était appelée la Monade, parce que la femme est l’être indivisé, d’où le mot individu.
    La dualité masculine était la dyade. En latin, on disait homo duplex pour désigner la contrariété du cœur et de la raison, la duplicité (le double), suprême mystère de l’existence de l’homme.
    Ce grand mystère, c’est la loi des sexes.
    « Je ne pourrais entrer dans la discussion du fameux symbole de Pythagore, un-deux, sans dépasser de beaucoup les bornes que je me suis prescrites, écrit Antoine Fabre d’Olivet ; qu’il me suffise de dire que, comme il désignait Dieu par 1 et la matière (l’homme) par 2, il exprimait l’Univers par le nombre 12 qui résulte de la réunion des deux autres : un, deux, « en, duo ». C’est le même symbole de Fo-hi, si célèbre parmi les Chinois, exprimé par une ligne entière — 1 (Yang) et une ligne brisée - - 2 (Ying) ».

    NB : Mystère de l’Immaculée-Conception
    Dans toutes les Écritures antiques, la Maternité est considérée comme immaculée et les Déesses-Mères sont dites Vierges-Mères.
    Ce cas n’est pas une exception, il s’applique à la généralité des femmes.
    C’est que, dès cette haute antiquité, on connut la loi du Sexe féminin, et ce qui le prouve, c’est qu’elle est expliquée dans tous les Livres sacrés.
    Quand on parle devant des libres-penseurs de l’Immaculée-Conception, ils s’esclaffent et répondent : « Quelle bourde ! comment peut-il y avoir une conception immaculée, c’est-à-dire opérée autrement que par les procédés des modernes ? »
    Cette réponse prouve qu’ils ne connaissent pas la loi des sexes, pas plus du reste que l’évolution des langues. S’ils connaissaient cette dernière évolution, ils sauraient que le mot Vierge signifie intégrité de l’Esprit. La première religion ne s’occupait que du plan spirituel. C’est dans les religions masculinistes qu’on a mis la psychologie féminine sur le plan sexuel, et alors le mot virginité est devenu intégrité du sexe.
    La question n’est donc pas de savoir si la femme, vierge ou non, est plus ou moins sexuée, mais de savoir qu’elle est autrement sexuée, et c’est ce que toute l’antiquité théogonique savait.



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    Étirév 26 juin 2020 10:22

    « La Vérité à l’encontre du Catholicisme »

    Il manque à l’histoire des religions un grand chapitre : celui qui doit être consacré à l’origine réelle du Christianisme.

    Cette science n’existe pas. Les vraies origines chrétiennes sont inconnues, et les Eglises diverses qui se rallient à ce titre ne désirent pas qu’on les connaisse.

    L’histoire réelle du Christianisme n’a rien de commun avec le récit qui nous a été donné sous le nom de Nouveau Testament.

    Derrière ce Livre, caché par lui, est l’histoire d’un mouvement de rénovation sociale, grandiose, extraordinaire, d’une haute portée, qui brilla sur le monde pendant deux ou trois siècles, mais qui fut renversé, dénaturé et caché par des faussaires qui en firent une caricature grotesque et voulurent avec cela dominer le monde.

    Dans ce vaste réseau d’intrigues, que nous allons démasquer, presque toutes les personnalités ont été dénaturées. Le mensonge a triomphé et la réalité a disparu sous l’amas d’absurdités qu’on lui a substituées.

    La science religieuse des falsificateurs n’a été qu’une collection de mystères, jamais expliqués clairement, mais remplis de sous-entendus et de malentendus, de paraboles obscures, de rapprochements de termes sans signification, de jeux de mots pour les foules avides d’erreurs.

    Il y a cependant, sous ce fatras, quelque chose de grand à étudier.

    C’est à cette étude que nous consacrons ce lien.

    NB :

    On ne peut pas comprendre dans quelles circonstances on a créé la légende de Jésus et forgé son histoire, si l’on n’a comme source que le Nouveau Testament.

    La question doit être posée sur un autre terrain, celui de la psychologie qui nous montre à quelles impulsions obéissaient les hommes de cette époque, alors que le droit romain venait d’affirmer la puissance masculine, ce qui révoltait la Femme. Et c’est pour répondre à cette révolte qu’on créa le Dieu Père et le Dieu fils de l’homme, déclarant que le Père, du haut du Ciel, ne reconnaît sur la Terre que les êtres mâles avec lesquels seulement il se met en relation par l’intermédiaire de son fils. Mais tout cela même serait difficile à comprendre si on en faisait un fait isolé. Il faut le rattacher à l’époque antérieure pour en comprendre la signification réelle.

    Il faut savoir, d’abord, que l’Ancien Testament, sur lequel le Nouveau s’appuie, était déjà un livre altéré, un livre destiné à cacher quelque chose. Si on ne sait pas qu’il y a déjà dans les anciennes Écritures quelque chose que l’on cache, on ne peut pas comprendre les nouveaux Évangiles, puisque c’est le même mensonge qui continue.



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    Étirév 18 juin 2020 10:41

    Orgueil et misanthropie, les deux mamelles du racisme.
    C’est principalement dans les conditions physiologiques, psychiques et morales de la nature du sexe masculin que nous trouvons les causes du racisme.
    La manie de la priorité règne sur la terre depuis longtemps, elle s’est manifestée de mille manières. D’abord par « l’orgueil terrestre », qui a fait croire à l’homme que son petit monde était tout dans l’univers, puis par « l’orgueil humain » qui lui a fait croire qu’il était le premier parmi les êtres créés. Cependant si, sortant du genre humain, nous mettions en présence un spécimen de chaque espèce animale, nous les verrions tous croire et déclarer leur espèce la meilleure.
    Après l’orgueil humain vient l’orgueil de race qui fait faire aux hommes des distinctions suivant leur couleur et leur origine et les persuade tous qu’ils sont les premiers dans le genre humain. Après l’orgueil de race, l’orgueil national qui persuade à chaque peuple que le pays où il a vu le jour possède une supériorité quelconque sur les autres nations. Après « l’orgueil national », l’orgueil de clocher qui, dans une même nation, fait encore supposer aux hommes que, parmi ceux qui la composent il existe des différences et que leur province, leur commune, leur village valent mieux que les autres. Enfin, l’orgueil de sexe qui, dans la famille même, crée des distinctions en faisant croire aux hommes qu’ils possèdent une supériorité quelconque sur les femmes.
    Plus l’homme progresse dans l’évolution descendante, plus il affirme qu’il s’élève, plus il veut dissimuler sa misère morale en se plaçant au-dessus des autres.
    À propos de misanthropie, Thomas Hobbes a dit : « L’homme est un loup pour ses semblables ».
    C’est que la haine naît en lui dès son entrée dans la vie sexuelle. Le petit garçon commence à détester la vie dans les autres en attendant que l’homme déteste les hommes. Faire souffrir ses petits camarades, ses petites sœurs, les vexer, les narguer, les taquiner est déjà un plaisir pour lui.
    Cette haine de la vie se manifeste aussi envers les animaux, envers les insectes qu’il torture pour le plaisir de les torturer.
    On dirait qu’il veut se venger sur l’univers tout entier des conditions physiologiques et psychiques qui s’imposent à lui.
    L’homme décroit moralement, c’est-à-dire sensitivement, à mesure que la sexualité s’accentue en lui. Dans l’enfance il possède une douceur de caractère, une vivacité d’imagination, une rectitude de jugement, une lucidité d’esprit qui s’atténuent peu à peu, et disparaissent dans l’homme livré à ses passions.
    C’est pourquoi tant d’hommes, qui n’ont pas su mettre un frein aux impulsions de leur instinct sont devenus des êtres dégradés chez lesquels tous les bons sentiments ont disparu. Chez eux, plus rien de l’exquise sensibilité de l’enfance et de l’activité intellectuelle qui en résulte, plus aucune élévation d’esprit, plus aucune notion de justice.
    En considérant un homme arrivé à cet état de déchéance on est forcé d’affirmer une loi toute contraire à celle de la théorie Darwinienne.
    L’homme qui s’abandonne aux impulsions de sa nature, c’est-à-dire qui agit selon la sélection naturelle, cet homme-là ne vient pas du singe, il y va.
    Cependant il y a deux espèces de misanthropie. A côté de celui qui s’isole par haine des hommes qu’il croit supérieurs à lui, il y a celui qui s’isole dans la grandeur du génie, dans l’élévation de l’esprit, celui qui se sent mal à l’aise dans une société indigne de lui et cherche la solitude pour fuir le contact du vice ou de la bêtise humaine. Gardons-nous bien de confondre ces deux genres de misanthropie qui sont l’opposé l’un de l’autre.
    La misanthropie du vice n’existe réellement que chez l’adolescent ; elle se perd vite dans les sociétés où l’abaissement moral est général.
    Quand les hommes dégradés se trouvent nombreux, ils ne se cachent plus, le nombre leur sert d’excuse ; ils se soutiennent mutuellement, et loin de cacher leur déchéance dans la solitude ils affirment leurs vices et s’en font des vertus.
    Dans le « Li-Ki » des Chinois, il est dit des hommes : « Ceux qui avaient perdu le sentiment du devoir étaient considérés comme des hommes morts »
    C’est également le sujet du « Livre des morts » égyptien, qui traite, non de la mort réelle du corps, mais de cette mort de l’âme, qui n’empêche pas les hommes de vivre.
    Aussi, on comprend pourquoi la vie morale était tout dans cette société antique.



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    Étirév 12 juin 2020 12:02

    En réalité, il n’y a pas dans tout l’Univers autre chose que l’Amour et « Dieu ». L’Intelligence et l’Amour sont une seule et même chose. Ils sont « Dieu »

    L’Intelligence est l’expression personnelle de « Dieu ».



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    Étirév 12 juin 2020 03:30

    Ardui-Anaïta, surnommée Diana
    Arduina est la grande Déesse celtique qui donna son nom à une région de la Gaule-Belgique : la forêt des Ardennes, formant la région nord de Médiomatrice.
    Nous lisons dans « Origine celtique » de T. Cailleux : « Arduenna, surnom de Diane, régnait sur une vaste forêt des Gaulois, les Ardennes, qui gardèrent son nom. Dans les environs du Hélion (la Meuse), la Déesse Arduina avait une chapelle où ses affiliés lui apportaient leur tribut. Sa statue retrouvée nous la montre entre une biche et un chien. Chez les Eburons (pays de Liège), elle était la patronne des chasseurs. »
    Ailleurs, le même auteur dit aussi : « Diana représente souvent les trois fleuves (Meuse, Escaut, Rhin), ce qui la fait appeler Hithye, c’est-à-dire Déesse du Hélion (ancien nom de la Meuse). »
    Donc, c’est Arduina qui est Diane.
    D’autre part, les Bouddhistes ont dans la pagode de Jikadzé (Petit Thibet) sept statues qui toutes s’appellent Erdeni (traduction de Arduina).
    Mais elle a bien d’autres surnoms.
    Nous savons maintenant que c’est cette Déesse qui est l’auteur de l’A-vesta, le livre sacré des anciens iraniens, qui la nomme Ardui-Souria-Anaïta.
    Souria est un titre qui indique la souveraineté. Il nous reste à chercher la signification du nom d’Anaïta.
    Mais, d’abord, un mot sur la localité qui semble avoir été le foyer principal d’où cette lumière a jailli.
    Liège, dont le nom ancien est Lüttich, a été appelée la Ville ardente. Ce surnom semble indiquer qu’elle fut le berceau à Arduina. Rappelons que de Lüttich on a fait Lutèce.
    L’A-Vesta aurait été écrit dans la langue qu’on y parlait à cette époque et qui est devenue le wallon belge, reste d’une ancienne langue sacrée.
    Plus tard, le livre a été porté en Perse par les Mages, qui en ont fait une révision qui l’a complètement dénaturé.
    Anaïta est un surnom qu’il faut écrire en deux mots : Ana-ita. ce dernier vocable étant un diminutif.
    Ana signifie ancien ; Ahne, en langue teutone.
    Ce nom a la même signification que le mot Edda (aïeule).
    Ce n’est pas seulement l’aïeule au point de vue de l’ascendance, c’est la lumière ancienne, la science primitive.
    Le mot Ary-ana signifie « Terre d’Ana » (rapprochons « ary » de « aretz », terre en hébreu). Ceci nous fait comprendre que l’opposition des sexes, qui est le fond de l’A-Vesta, est représentée par Ary-man, la Terre de l’homme, l’obscurité, tandis que Ary-ana, la Terre ancienne des Déesses, c’est le jour, la lumière.
    Ana est la racine d’une multitude de noms de femmes. Nous trouvons Anaïtis à Comare.
    Chez les Chaldéens, Ana signifie ciel, ou lumière astrale, Anima Mundi, d’où vient Anaitia.
    Dêvi-Durgâ, la femme de Shiva, est aussi nommée Anna-pûrnâ et Kanyâ (la Vierge).
    Umâ-Kanyâ est un nom ésotérique et signifie « la Vierge de Lumière ».
    C’est pour cela que les Catholiques ont appelé la Mère de la Vierge Marie Anne et qu’ils l’ont déclarée conçue sans péché.
    Quand les Grecs feront leur mythologie, qui a pour but de cacher le rôle de la femme, ils diront qu’Ariane était la fille de Minos, que dans le Labyrinthe de Crète Thésée se serait égaré sans le fil d’Ariane (c’est-à-dire la Science). Ce qui prouve bien que le Labyrinthe, c’est le symbole de l’erreur, de la parole de mensonge des imposteurs qui sont venus tout embrouiller en supprimant le rôle des femmes et en substituant des Dieux mâles aux antiques Déesses.
    Un autre surnom d’Arduina, c’est Diana. Les Parsis remplacent souvent le mot A-Vesta par le mot Dîn, qui signifie Loi en zend.
    Din fait Dina et Diana, et l’expression Dæna A-Vesta serait synonyme de Diana.
    Diane a donc signifié « la Loi », avant d’être le surnom d’une Déesse (comme la Loi d’Israël, Ha-thorah, est devenue le surnom de la Déesse Myriam qui en fut l’auteur).
    La Loi d’Ahoura, « l’Esprit Lumière de Diana », paraît constituer le fond du Vendidad.
    Les auteurs relativement modernes ne savent rien de cette histoire ancienne.
    Diodore de Sicile assure que Diane était particulièrement honorée chez les Perses et que ces barbares célébraient encore de son temps, en son honneur, les mêmes Mystères dont elle était l’objet chez les autres nations.
    Donc, elle n’est pas originaire de Perse, mais y a été importée probablement à l’époque où régnait la magie des Zoroastres.
    Dans le Zend-A-Vesta réformé du temps des Mages, on dit que les prêtres chaldéens sont originaires d’un pays où la nuit la plus longue est double du jour le plus court. Sur ces données, Bailly reconnaît que l’auteur désigne le 50ème degré de latitude, qui est celui de la Belgique.
    On sait que Diane était adorée à Bibracte ou Bibrax, dont elle était la grande Déesse.
    Bibrax était située entre la Meuse et l’Aisne, non loin de Médiomatrice.
    Dans la mythologie, Diane, dont le nom se retrouve dans Dhiava, Diva ou Daiva, signifie « le Jour », la lumière engendrée par le soleil.
    Dans l’ancien culte italique, on l’appelait Dea, Dia, Bona Dea, Maïa. Pour ses fidèles, elle représentait tout à la fois la Nature et la pureté féminine.
    On lui consacrait une fête en décembre, sans doute à l’époque du Solstice, qui est le retour vers la lumière qui va réveiller la Nature endormie.
    Diane est surnommée Propylæa, et aussi Lucifer, surnom donné aux antiques Déesses porte-lumière, que l’on nous représente un flambeau à la main, telle la Déesse Até. Elle est appelée aussi Phosphore-Lucifer.
    Tous ces noms changeront de signification quand le principe mâle régnera. Alors c’est lui qui sera le dieu de lumière et la femme sera l’esprit du mal, les ténèbres.



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    Étirév 9 juin 2020 15:35

    Ces outils, qu’il conviendrait d’appeler des armes de destruction de l’harmonie universelle, sont ce qui fut appelé les « idéologies ». Les idéologies sont des constructions de la spéculation mentale, au même titre que la philosophie, mais au service total de l’involution. Le souci principal et principiel de l’idéologie et du matérialisme étant de détruire toute Culture et Tradition, toute ancestralité, qui sera alors brûlée et fustigée comme institution primitive et arriérée. Les adjectifs péjoratifs ne manqueront pas dans la rhétorique développée par les différents idéologues du 19éme, et nous jugerons inintéressant d’en faire la liste exhaustive. Mais il s’agira d’un gigantesque autodafé de la mémoire de l’humanité qui commencera dès cette période, un autodafé idéologique. A la différence de l’inquisition Catholique, on n’y Brûlera pas des Livres, mais l’on en écrira pléthore pour mieux étouffer les références de ce qui se révèle déjà comme « l’ancien monde » : ici ce sont les écrits qui brûlent la Culture.
    L’humanité, en tant que race, est une accumulation historique de distorsions psychologiques et psychiques développées par la domination d’idéologies qui détournent l’individu de lui-même. L’humain plus évolué se dissociera, le temps venu, des idéologies globales et recouvrera son identité.



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    Étirév 26 mai 2020 06:16

    Tous ces gens sont grossiers et « moches » moralement, ce qui est un stigmate du mensonge.
    En effet, le mensonge ne peut pas créer la beauté, qui restera toujours le privilège du vrai.



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    Étirév 26 mai 2020 06:11

    Il est des gens naïfs qui croient que l’histoire est le récit exact des faits du passé. Ils semblent ignorer que le monde est, depuis longtemps, régi par le mensonge et que le désordre de la société actuelle en est la conséquence.
    A toutes les époques, il y a eu des partis qui, voulant s’emparer d’un pouvoir auquel ils n’avaient pas droit, ont appuyé leurs prétentions sur une idée, un système, une théorie religieuse ou sociale, qu’ils ont propagée par violence, par fraude ou par ruse.
    N’oublions pas que la fameuse Bibliothèque d’Alexandrie a été brûlée trois fois, que les papes chrétiens ont fait détruire un grand nombre de monuments antiques, que les archives du Mexique et celles du Pérou ont disparu pour satisfaire le zèle fanatique d’un évêque espagnol.
    Deux mots à propos des relations entre européens et américains primitifs.
    On s’est demandé comment il se fait que les habitants du vieux monde ont pu communiquer avec ceux du monde nouveau dans la haute antiquité, ainsi, que l’attestent les anciens souvenirs qui sont les mêmes partout, puisque partout les mêmes idées, les mêmes traditions ont été retrouvées.
    Nous pensons que cette communication a pu s’accomplir par terre, attendu que, à cette époque reculée, la mer Atlantique ne devait pas avoir une aussi grande étendue que dans les temps modernes, puisque l’eau augmente sur la terre. Il devait y avoir une terre qui reliait les deux mondes par le Nord.
    Ce n’est que depuis l’envahissement de l’eau que les deux mondes sont séparés par une large mer. Il n’y a pas eu effondrement d’un continent, mais submersion de plusieurs îles.
    L’Amérique s’appelait Antila (d’où est resté le mot Antilles). Une carte d’André Bianco se trouve à la Bibliothèque de Saint-Marc, à Venise, elle fut faite en 1436 et parle de l’Amérique sous le nom d’Antila.
    Les deux frères Zeni, vénitiens, pénétrèrent en Amérique par le Nord-Ouest de l’Europe vers 1380, ils nommèrent le pays où est le banc de Terre-Neuve, Friesland.
    Dans l’atlas d’André Bianco, Terre-Neuve est appelé Stoka-fixa (d’où l’on a fait Stockfisch).
    Chez les peuples Ibériques, on savait par d’antiques traditions qu’il existait au delà de l’Océan un pays que certains nommaient Ile de la main, de ce que la divinité s’appelait Maïr, Mœra ou Mana (Mère).
    On fit une légende sur le mot main. On raconta qu’une main en sortait la nuit pour saisir ceux qui s’approchaient.
    M. Cailleux nous fait remarquer que Mair-Monan, le Dieu des mexicains, n’est autre chose que la Déesse Mère (Maïr, Mœra), et il nous montre que par toute la Gaule on trouve des inscriptions rappelant la même Déesse, Deabus Mœrabus.
    Le vrai nom est donc Mair, exactement écrit comme dans Mair-Monan, ce qui établit une communication d’idées entre l’ancien Mexique et l’ancienne Gaule.
    (Cette Déesse porte dans une main cinq pommes de pin et dans l’autre une couleuvre ondulante.)
    À propos de ces anciennes relations « transatlantiques », Godefroy de Roisel dans « Études anté-historiques : les Atlantes », dit : « Il est acquis qu’un peuple colonisateur étendit ses conquêtes sur les deux rives de l’Océan atlantique et domina sur toute l’Europe occidentale. Après la ruine de la mère-patrie, quelques-unes de ces colonies, gardiennes fidèles de la science, prospérèrent en diverses contrées, jusqu’aux temps relativement modernes des premières invasions asiatiques, qui furent suivies d’une période d’équilibration, pendant laquelle tout semble avoir été perdu. Notre histoire date des ces époques de confusion ; et c’est à peine si l’on soupçonne aujourd’hui que ce véritable moyen-âge succédait à une antique prospérité. »
    Dans le Massachusetts (USA, Nouvelle-Angleterre), on voit des inscriptions phéniciennes gravées sur des roches.
    En Amérique, le mot Hour (qui vient de Houri) signifie pro-stituée (premier-état), c’est-à-dire femme de l’ancien régime.
    Le comte Maurice de Bregny, archéologue français, a découvert au Guatemala, dans le district de Peten, les vestiges d’une immense cité de l’époque des Mayas, c’est-à-dire de Maïr (Mères).



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    Étirév 23 mai 2020 10:12

    En Egypte comme partout, le régime féminin a précédé le régime masculin et il a dû avoir une longue durée de prospérité et de paix, puisque, au moment où commence l’histoire, c’est-à-dire le règne de l’homme, le pays possède déjà une langue bien formée, l’écriture, et des institutions sociales qui serviront de base à l’organisation future des sociétés. Enfin une religion, un culte, une haute morale. Tout cela réalisé avant les temps historiques.
    L’Egypte fut longtemps gouvernée par des Prêtresses que l’histoire appelle des Pharaons. Celui qu’on appelle « le premier Roi » est Mena (devenu Menés), mot qui veut dire Mère, comme Manou. On appelle les féministes Philo-Mena.
    Le règne de l’homme en Egypte ne s’établira que dans le millénaire qui précède le Christianisme.
    Il commencera à Psammitique (665 à 650).
    Dans le règne primitif, toutes les grandes dignités de l’Etat, les fonctions de juge, de médecin, étaient exclusivement réservées à la caste sacerdotale. Les hommes ne pouvaient pas y prétendre, ils étaient soumis au pouvoir des femmes appelées « des sages » (Soffet), qui leur faisaient faire un service régulier, un travail dont l’organisation avait été savamment établie. On les envoyait aussi en expéditions lointaines.
    Pour les récompenser, on leur donnait le droit de porter certains signes de distinction. On comprenait déjà que les honneurs accordés aux hommes n’ont de valeur que s’ils les tiennent de la Femme.
    Aujourd’hui encore, qu’est-ce que la rosette de la légion d’honneur, imaginé par Napoléon, rudice en étoile que les officiers de marine appellent la « tomate » ou « pomme d’amour », la pomme de Vénus, tellement dévaluées de nos jours parce que distribuées à la volée, moins sur la base du mérite qu’en raison d’une certaine aptitude aux courbettes quand il ne s’agit pas de reptation ?
    C’est la rose mystique, emblème qui représente la Femme que nous retrouvons en Egypte dans l’ordre de la « Rose-Croix ».
    Cette Rose était dédiée à Vénus et ceux qui se soumettaient à sa loi étaient appelés sub rosa.