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herve_hum

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  • Premier article le 06/12/2012
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  • 2 votes
    herve_hum 25 août 2017 22:51

    desole pour les accents, probleme ubuntu

    @Joe Chip

    Il y a deux maniere de considerer l histoire, en ne regardant que la forme, cad, les dates, les lieux, les protagonistes officiels (on parle de la forme, que l on fait passer pour de l objectivite) et pis c est tout, c est la maniere enseigne a l ecole d un Gerfaut ici present. Puis il y a l histoire ou on essaye de comprendre les motivations qui guident les actions et font les dates (on parle alors de fond, que l on denonce pour de la subjectivite)

    Si les dates de l histoire recente ne posent pas de problemes et ou n importe qui peut en parler, il n en va pas de meme pour ce qui est de traiter des intentions de ceux qui font l histoire.

    Or, il se trouve que ce qui est le moins traite et le plus cache dans l histoire, surtout recente, ce sont les intentions, ce qu un Gerfaud ici present ne parlera pas, car lui, il defend l histoire officielle.

    Sauf que comme le disait avec justesse Simone Veill "croire en la version officielle de l histoire, c est croire des criminels sur parole" Elle voulait parler des intentions et non tant des dates.

    Car ce que l histoire officielle tient tant a cacher ce ne sont pas les dates, mais les intentions et que la, il ne faut trop chercher dans les documents officiels, mais officieux.

    Du complotisme repondra le ci devant Gerfaud, c est l argument officiel qui a l avantage de ne rien argumenter puisque reduit a un seul mot. Qui est a la pensee unique ce que le mot heretique est a l inquisition religieuse.

     Ce qu il y a de plus effarant dans l histoire officielle, c est, malgre le fait qu elle ne raconte qu une suite ininterrompue de guerres de luttes du pouvoir et de possession de la richesse par l exploitation humaine, qu elle finit toujours par dire que ce n est pas la cause des guerres, qu il n y a pas de mauvaises intentions et par la meme, de complotisme.

    Que dans une societe domine par la culture du secret et de l opacite, il n y a pas de culture complotiste. Et ma foi, denoncer la nature complotiste des gouvernements dans une societe fonde sur le culte du secret de la decision politique, c est comme denoncer la pluie qui mouille sous un orage. 

    Henri Guillemin a surtout cherche les intentions, le fond des choses. Alors, oui, le risque est de se laisser aller a sa propre subjectivite de ses propres convictions et la difference entre l honnete homme et le malhonnete reside dans le fait de le preciser, l annoncer ou non. Or, Guillemin commence toujours ses conferences par cette mise au point, qui fait de lui un honnete homme.

    Un honnete homme ne se definit pas par la perfection de ses actes, mais par la reconnaissance de ses propres limites et faiblesses. Cette honnetete la, dites intellectuelle, est rare et la plus difficile a tenir



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    herve_hum 18 août 2017 02:16

    @yoananda

    Non, les mots ne sont pas forcément des conditionnements. Seulement s’ils sont employés dans ce sens là.

    Donc il existe de situations ou la propriété n’existe pas et, ça ne donne pas grand chose de bon. 

    Les sociétés où la propriété économique n’existait pas étaient florissantes.. Jusqu’à l’arrivé de la société basé sur la propriété économique. Ici, le développement technique motivé par la cupidité des uns, s’opposaient au développement social mû par la volonté du mieux vivre ensemble.

    le conditionnement dont vous faites preuve consiste à dire qu’il n’y a de développement que s’il y a croissance de la production. Sauf que ce n’est vrai qu’en société avec la propriété économique, car reposant sur la violence et la guerre économique perpétuelle des prolétaires, cad, des non propriétaires.

    Le hic, c’est bien le fait que l’accès à la propriété économique n’est pas extensible à l’infini et est même très limité, et qu’il faut des guerres périodiques pour réguler ce développement. Ce qui implique un effondrement économique et social, duquel on pourra alors recommencer un nouveau cycle de croissance et de développement. C’est comme si vous disiez qu’une fois terminé votre maison, vous la détruisiez pour la reconstruire et considériez posséder deux maisons !

    Ainsi, vivant dans un seul système de pensé, comme un poisson dans son eau de bocal, il vous est impossible de concevoir une autre gestion économique et sociale que celle qui est imposé par la violence systématique.

    Ce que Bush résumait par "vous êtes avec nous ou contre nous" ou Thatcher disant "il n’y a pas d’alternative"... Etc...

    En résumé, votre chercheur à démontré qu’un gouvernement qui ne garantissait pas suffisamment la propriété économique, s’exposait à la violence de ceux qui la garantisse et que ces derniers disposant de la plus grande capacité de nuisance possible et imaginable, car n’ayant aucune limite ni morale ni éthique,"cela ne donnait rien de bon" pour ceux qui ne veulent pas de propriété économique.



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    herve_hum 18 août 2017 01:21

    @pemile

    Mes yeux sont ouverts et fonctionnent très bien, et j’attendrai donc que vous soyez le premier à faire cette démonstration.

    Pourtant, mon commentaire vous donne les éléments de bases pour comprendre. Dans l’exemple de la fourmi de Langton, l’attracteur dont vous parlez est cet ordre premier et lui seul !

    Simplement, il y a un ordre second qui provoque une itération du mouvement. Bien sûr, suivre la logique pour l’appliquer aux bases élémentaires de l’Univers semble bien plus complexe, mais c’est fondamentalement le même principe, celui ci est immuable.

    Quand on traite de la question de l’Univers et de l’énergie, on doit d’abord poser les conditions logiques.

    Ainsi, si on pose la création ex-nihilo, on ne peut rien expliquer, car c’est de la magie pure et cela revient à voir un Dieu monothéiste. Un athée postulant la création ex-nihilo, postule la création magique.

    On ne peut donc partir que de la création ex materia et postuler tel qu’énoncé par Lavoisier que "rien ne se crée, rien ne se perd, tout se transforme". Comme le conférencier, mais pas en décalant sans cesse la division fractale en posant la question "pourquoi le vide quantique plutôt que rien ?"

    En fait, ce n’est pas la question de la présence de la matière qui reste sans réponse, mais le fait qu’il y ait un moment de création impliquant nécessairement ce qu’on appelle une prise de conscience de soi, sans laquelle il ne peut exister un ordre quelconque. Or, l’Univers physique n’existe que parce qu’il est ordonné par des lois qui le gouverne. La preuve est partout, tout y est soumis.

    Mais encore une fois, pour aller jusque là, il faut sortir de sa position anthropocentrique de la conscience et de l’intelligence et admettre que celles ci commencent de manière élémentaire, soit, binaire.

    Je ne suis pas un scientifique, donc, toute ma démonstration est de la pure dialectique et repose sur une logique élémentaire, mais qui évolue en complexité quasi instantanément.



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    herve_hum 17 août 2017 22:07

    @yoananda

    oui, vous êtes quelqu’un de très bien conditionné.

    Déjà, l’expression "propriété privée" est un pléonasme, car par définition, il n’y a de propriété que privé, tout ce qui est public ne pouvant relever de la propriété.

    La propriété économique désigne donc ceux qui sont propriétaires des moyens de productions, par opposition aux prolétaires économiques. Car il n’y a d’économie que l’outil de production, y compris les matières premières.

    ces derniers pouvant êtres propriétaires de leur maison, voir posséder leur outil de travail, mais dès lors où ils doivent s’employer eux mêmes, ils ne peuvent pas êtres considérés comme des propriétaires économiques, car devant travailler.

    Un prolétaire économique est donc celui qui doit travailler pour acquérir ses moyens de substance, c’est donc aussi un artisan, un agriculteur, un petit chef d’entreprise et même un pdg de multinationales avant qu’il ne bascule dans la classe des propriétaires économiques.

    Il y a donc d’un coté les propriétaires économiques, par définition rentiers et les prolétaires économiques, certains se trouvant à la limite de l’un et de l’autre.

    Pour ma part, supprimer la propriété économique, entraîne la suppression du prolétariat économique et voit émerger la responsabilité économique,seule capable de mettre en place une économie totalement libérale.

    Maintenant, on peut préférer l’expression "propriété de l’économie".



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    herve_hum 17 août 2017 15:59

    @maQiavel

    Ce que vous dites est juste et c’est bien là le noeud du problème, le fait que sans l’abolition de la propriété économique, le système est verrouillé, quoi que vous fassiez.

    Il est bien établit qu’on ne soigne pas un mal en traitant ses symptômes, mais uniquement ce qui le provoque.

    Pour le résumer par un autre proverbe, chassez le naturel par sa conséquence et il revient au galop par sa cause, mais chassez le par sa cause et il s’enfuira dans sa conséquence.

    La politique actuelle des gouvernements est de tout changer sur la forme pour que rien ne change dans le fond.

    L’histoire enseigne qu’on est prêt à changer dans le fond que si les conditions ne nous laissent pas le choix... Quand il n’est pas trop tard !

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