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O Scugnizzo

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  • Premier article le 26/04/2013
  • Modérateur depuis le 21/05/2013
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Derniers commentaires




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    O Scugnizzo O Scugnizzo 11 juin 2014 14:50

    Un des grands problèmes des débats aujourd’hui c’est que les mots ont des significations flottantes : démocratie et propagande dans ce cas-là. A part ça, deux propagandes qui s’affrontent, certes, et alors quoi ? Aujourd’hui la propagande a une connotation négative, c’est systématiquement l’autre qui la pratique. Malatesta a passé sa vie à faire de la propagande, tout comme Bernays. Les deux s’en revendiquent explicitement. Dire cela est-ce suffisant à montrer que les deux se valent ? Absolument pas ! Il me semble que tu oublies un peu vite MaQ que derrière la propagande il peut y avoir des arguments et depuis le début, ceux de Bassam Tahan me convainquent mille fois plus que ceux de Laurent Fabius. Pourquoi une élection fantoche ? Parce que les notre ne sont pas fantoches ? Au final, c’est le but de l’article que je comprends pas. Dénoncer le piètre débat ? C’est la structure même de ceux-ci qui le rendent ainsi, impossible de s’élever, 2 contre 1, arbitre impartial, la présentatrice coupe toujours ses invités et donne 10 secondes à chacun pour s’exprimer. Même si quelqu’un avait quelque chose d’intéressant à développer, il ne le pourrait même pas. Dénoncer le fait qu’on est propagande vs propagande, dans l’émotionnel total et sans rationalité ? N’est-ce pas un raisonnement tout aussi binaire que d’opposer raison et émotion, objectivité et subjectivité ? comme si quelqu’un réfléchit froidement à quelque chose qui ne l’intéresse pas. Et même, la Politique n’est pas la Physique, le Social n’est pas réductible à une formule savante. Il me semble que tu te fourvoies dans ce que tu dénonces, une binarité caricaturale. Au plaisir de te lire.



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    O Scugnizzo O Scugnizzo 8 mars 2014 18:18

    Pour ceux qui connaissent la fortune d’entendre l’italien et qui aiment rire, le coeur léger



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    O Scugnizzo O Scugnizzo 21 février 2014 17:30

    Pour répondre à Stof, moi ce que je vois c’est que tous les sionistes juifs de France passent leur temps à nous emmerder avec ce beau pays qu’est censé être Israël, mais que, très curieusement, pas grand monde décide d’y aller vivre.Que réponds-tu à cela ? N’oublie pas le petit sourire en guise de point, typique de celui qui croit naïvement détenir la Lumière et qui méprise gentiment ses semblables, caractéristique propre par ailleurs à une certaine communauté. Certes, ceci explique peut-être cela.



  • 11 votes
    O Scugnizzo O Scugnizzo 1er février 2014 12:27

    Bien sûr, tout ce que dit Zemmour est juste, mais comme d’habitude, il illustre sa soumission intrinsèque au système par ce discours. Il dénonce sans en tirer les conséquences nécessaires. Pourquoi ? Parce qu’il réfléchit avec les concepts de ses maîtres, ce qui fait qu’il ne pourra jamais se libérer de sa condition de soumis au système (idiot utile qu’il se plait tellement à dénoncer). D’ailleurs, le veut-il vraiment ? Ce débat illustre toute la supercherie de notre théâtrale politique : droite (Zemmour) vs gauche (Domenach), homme (Zemmour) vs femme (Domenach) ; toutes des dichotomies horizontales qui empêchent d’atteindre une once de verticalité. Le dromadaire a raison de dire que c’est totalitaire, oui mais qu’est-ce qui est totalitaire ? Qu’est-ce qui rejoint Mao, Staline et notre époque ? L’application sans compromis d’un système totalitaire - le néolibéralisme, autrement dit la seule expression possible du libéralisme dans un contexte capitaliste sous contrôle technologique - qui a comme point commun avec le communisme la création d’un homme nouveau. Création d’un homme rationnel normatif cette fois, l’homme libéral complet, d’un côté homo economicus capable d’initiative, de responsabilité, de concurrence et de performance (l’homme de droite que Zemmour aime) et de l’autre l’homo individualis qui veut se libérer du poids de la communauté et s’identifie par ce qui est seulement censé lier la société (le marché dans ce cas). La fusion de Zemmour et de Domenach, c’est l’homme néolibéral par excellence, et ni l’un ni l’autre ne le perçoivent. Or la théorie du genre a bien cette visée, comme le dit d’ailleurs Domenach, à propos des filles : "Pourquoi ne pas les préparer à la guerre ?". En résumé, la théorie du genre est l’instrument éducatif de fusion entre l’être libéral de droite et l’être libéral de gauche, capable d’initiative, de concurrence et de performance indifféremment de son statut social ou biologique, non pas seulement pour le bien de son porte-feuille mais également de sa propre construction biographique.



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    O Scugnizzo O Scugnizzo 20 janvier 2014 19:38

    Je pense aussi qu’Attali, en bon transhumaniste, est fasciné par la figure d’ "homme nouveau" qui est souvent associée au marxisme. Encore une fois, c’est beaucoup plus complexe chez Marx (mais justement, trop théorique, ce qui illustre une nouvelle fois son inculture anthropologique). A la limite, c’est le Che qui était très attaché à cet homme nouveau, qui serait au service total de la Cause. Or, ce n’était pas du tout cela chez Marx. Pour ce dernier, toute morale est aliénante. Elle est certes nécessaire au développement humain, en faisant de nécessité vertu et en permettant aux populations de survivre psychologiquement dans la misère de condition. Morale que construisaient des maîtres pour des esclaves, à partir de magie, religion, obligations etc. Cette aliénation morale ne peut pas être séparée de l’histoire plus générale. Marx voulait créer une nouvelle éthique, qui se fonde sur le réel, par la science (la raison) et le dépassement de la situation actuelle. Mais il précisait bien que la bourgeoisie exalte l’individualité en apparence, pour l’écraser en fait. La bourgeoisie prône l’individualisme pour mieux dissiper les forces politiques potentielles. Donc toute éthique liée à la bourgeoisie est aliénante. Cette nouvelle éthique n’a rien d’individualiste. Mais là aussi je dirai que c’est une des grands drames du marxisme que ce "nouvel homme", instrument de justification de la nouvelle aliénation des peuples communistes réellement existants. D’ailleurs, c’est pour cela que sur le continent africain (notamment au Mozambique), le mouvement communiste a échoué. Les paysans ne voulaient pas se transformer en "hommes nouveaux". Ceci dit, Attali s’attache encore une fois à un des sujets les plus problématiques chez Marx !


    Clairement, s’il y a du bon à prendre chez Marx, c’est pas chez Attali qu’il faut aller le chercher !
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