• AgoraVox sur Twitter
  • RSS
  • Agoravox TV Mobile

poetiste

Cet auteur n'a pas encore renseigné sa description

Tableau de bord

Rédaction Depuis Articles publiés Commentaires postés Commentaires reçus
L'inscription 0 354 0
1 mois 0 0 0
5 jours 0 0 0


Derniers commentaires




  • 2 votes
    poetiste 21 juin 2011 19:59

    Comment un père et une mère peuvent-ils engendrer un tel monstre de violence ? Et il se trouve que cette violence de mineurs est en progression constante.
    C’est en amont que ça se passe, c’est là l’erreur. Ce crime consternant est le mauvais fruit d’une société qui ne contrôle plus rien.
    La prévention : pas de prévention. La répression : tant que l’on voudra.
    Hé ! C’est un mineur qui a tué ! Quels éléments de respect, de sagesse ou d’amour ne lui ont pas été inculqués par ses parents, par ses enseignants ?
    Globalement, la société ne prend pas la mesure de sa responsabilité, elle s’étonne, s’indigne sans jamais s’indigner d’elle-même.
    Et les politiques qui jouent sur la sécurité et sur la peur se justifient par des mesures répressives en bout de chaîne. Une démocratie en décadence qui aime les emplâtres sur la jambe de bois car pouvoir électoral oblige.
    Quelle tristesse française ! Quelle triste mentalité politique française ! Il est temps d’effacer le logiciel et d’en remettre un autre à la place, les raisonnements sont pipés.
    Prévention : pas de prévention, la délinquance augmente, on arrangera ça de bric et de broc au temps des conséquences et ça plombera tout le monde.
    Que d’énergie perdue à vouloir donner une fausse réponse au problème parce qu’on ne tient même pas compte de ses données.
    Qui a réellement tué cette petite fille ? Ou qui aurait fait quelque chose pour que cette progression de la violence juvénile régresse ?



  • vote
    poetiste 20 juin 2011 22:25

    Télé, visions et mirages.

     

    Celui qui s’ennuie regarde la télé et s’intoxique jusqu’à s’ennuyer plus encore et à en redemander car son ennui est plus profond, un ennui chasse l’autre. Phénomène d’addiction qui demande une drogue de plus en plus forte, là, une drogue de plus en plus crétine.

    Très bon pour l’indice d’écoute ce genre de téléspectateur, abandonné dès l’enfance à un poste de télévision en guise de baby-sitter. Client idéal pour faire le blé des gugusses qui se pressent dans le fromage de la maison ronde.

    Ce client idéal voit les mêmes têtes seriner toujours les mêmes inepties depuis qu’il est né. Ça lui va car il est formaté comme ça et se réjouirait volontiers de quelque chose encore plus médiocre. La contre culture, ça rapporte aux uns et ça confine les autres à l’obscurantisme.

    En télévision, le ravalement par le bas à l’endroit du téléspectateur a nécessairement une répercussion sur le programme lequel est aussi ravalé par le bas. La médiocrité appelle la médiocrité, phénomène cumulatif quasi exponentiel.

    Il n’y a pas de cure de désintoxication pour sortir de ce délire de paraître à la télé, pour les uns, et du rêve de s’y voir un jour, pour les autres. Si on a besoin de cet artifice pour être reconnu, c’est que le monde est en représentation.

    La télévision est une vitrine du pouvoir et du business où des lucioles présentant bien se collent, attirées par la lumière, une foire d’empoigne aux vanités en laquelle ceux qui en tirent les marrons du feu se réjouissent.

    La nourriture du corps est certes parfois polluée mais la nourriture de l’esprit, n’en parlons même pas ! Un enfant nourri à la télé, c’est du chômeur en herbe et un électeur de gagné pour ceux qui l’exploitent, les gros pleins de sous spéculateurs usuriers.

    La télé est évidemment complice de ces gens là, elle est un pouvoir sans responsabilité, un business d’information déformation, une verrue irréelle dans la réalité humaine.

    De plus la pub qui fait intervenir les enfants, c’est la pub pute par excellence. Ceux-là, le mot « conscience » leur échappe complètement.

    Cependant, on n’est pas obligé de se laisser entraîner vers le bas. Indignons-nous et ne laissons pas les enfants en proie à ces exploiteurs.

    C’est quand même facile d’appuyer sur le bouton « stop » et de choisir les quelques programmes épars mais édifiants que l’on trouve avec un peu de discernement et que l’on peut regarder raisonnablement.

    Arrêtons de donner à nos enfants du pain et des jeux, ce n’est pas assez nourrissant spirituellement. Retirons la syllabe « casse » de la « communication » et celle-ci deviendra « communion », c’est mieux pour la famille.



  • 3 votes
    poetiste 20 juin 2011 10:39

    Ah ! Pauvres de nous ! On ne pourra plus ratiociner virtuellement sur les cas Éric Zemmour et Éric Nolleau. On ne pourra plus donner frénétiquement notre avis,on ne pourra plus nous jeter sur l’os à ronger.
    On ne pourra plus parler pour ne rien dire alors que nous commencions à y prendre goût. C’est fait pour ça, ce genre d’émission, pour nous distraire, nous faire perdre notre temps pendant que d’autres "tirent les marrons du feu".
    Les deux inféodés au pouvoir médiatique s’en vont, ils ont joué et défendu leur rôle, on va passer à un autre film. Rien à craindre pour eux, ils sont du côté où on touche des pépètes à se faire voir, ils vont aller se faire voir ailleurs.
    Ah ! Pauvres de nous qui ne sommes pas entrés dans le cercle magique de la maison ronde !
    Mais au moins, une bonne chose :nous ne sommes pas vendus. Pas de rôle à jouer sauf celui des petits chiens qui ramassent les miettes sous la table, un "rôle bas" dont nous pourrions avoir "ras le bol".
    Ah ! Pauvres de nous ! Il y a encore des consommateurs télévisuels qui regardent Ruquier et des gens qui applaudissent sous l’ordre d’un chauffeur de salle sur le plateau.
    Ah ! Pauvres de nous qui allons vers ce qui brille mais qui est creux à l’intérieur et le piège se referme sur nous ! 



  • vote
    poetiste 19 juin 2011 20:54

    Trois Éric qui se cassent d’un plateau télé, qui voudrait en regretter un seul ?Un Zemmour, un Nolleau et un Besson, trois rôles de bouffon du pouvoir qu’il soit télévisuel ou étatique.
    Trois Éric de moins, c’est féérique, c’est l’Amérique ; trois éricacées de plus comme la bruyère ou la myrtille à fouler du pied dans les bois ! Ça me rend bucolique mais ça ne me fout pas la colique. Il était temps de changer d’Éric, le feuilleton était usé.



  • 4 votes
    poetiste 19 juin 2011 10:38

    Quelle force auraient les consommateurs s’ils se mettaient à partir d’aujourd’hui à une consommation de produits de base et biologiques de préférence !!!
    Aux produits de terroir avec traçabilité, en soutenant les amap.
    Quand on voit une grande affiche représentant deux sandwichs au pays de la gastronomie, ce n’est pas pour le plaisir de manger que l’on accepte ça, mais pour le fun consistant à distraire et à empoisonner.
    Et on tente les enfants qui tenteront les parents pour aller se bouffer un sandwich dans ces lieux ludiques mais pas sérieux. On crée des besoins simplistes et ça marche !! Exploitation éhontée des enfants. Mais de quoi aurions-nous honte, aujourd’hui ?
    Et des sodas avec aspartame là dessus, on a formé le futur gros con sot mateur de base.
    La manipulation publicitaire ferait avaler et avaliser n’importe quoi.
    Produits de base, pensez-y  ! et prendre le temps de cuisiner et même de faire ses boissons. Moins consommer de viande. Il y a plein de résolutions intelligentes pour revenir à une qualité de vie simple et sobre.
    Dis moi ce que tu bouffes, je te dirai qui tu es. Dis, qu’as-tu mis dans ton caddy ? Ce qui te simplifie la vie mais au sens du simplisme, pas de la bonne cuisine. Je ne viendrai pas manger chez toi. (je pourrais dire ça à pas mal de gens quand je vois les produits emballés qu’ils achètent).

Voir tous ses commentaires (20 par page)

Les thèmes de l'auteur


Publicité


Publicité


Palmarès

Publicité