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Gnomedia

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« La terre est remplie presque jusqu'au centre de Gnomes, gens de petite stature, gardiens des trésors, des minières et des pierreries. Ceux-ci sont ingénieux, amis de l'homme et faciles à commander. Ils fournissent aux enfants des Sages tout l'argent qui leur est nécessaire et ne demandent guère pour prix de leur service que la gloire d'être commandés. »

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  • Premier article le 24/06/2018
  • Modérateur depuis le 11/11/2020
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Derniers commentaires




  • 6 votes
    Gnomedia Le monde 19 juin 2018 12:01
    Miguel Abensour = gros beurk
    Alain Soral = beurk aussi, mais un peu moins

    - Est-ce qu’on pourrait m’expliquer le rapport induit entre K. Marx et Miguel Abensour ? Qu’on rigole un peu smiley Miguel se sert de Marx pour donner une caution à son discours. Ça s’arrête là.
    - M. Abensour a écrit une Philosophie politique critique . S’il était honnête, il aurait dû écrire une Critique de la philosophie politique... Désolé, mais ça va être un 0 pour Miguel, copie à revoir.
    - M. le Professeur, quelle pédagogie ! C’est sûr que passer de Soral à Abensour, la transition pour vos étudiants va être dure. À ce compte là, redirigez-les directement vers Aymeric Cayron, il s’exprime autrement mieux et son livre Utopia risque lui d’être lu au moins... smiley 

    Conclusion  : nous avons là une parfaite illustration de ce qu’est l’université française contemporaine. Un cimetière.

    Ne lui jetons pas la pierre pour autant. Les travaux de Miguel Abensour méritent un coup d’œil bienveillant, comme pour toute personne qui se présente à nous avec des choses à dire. Il y a juste un problème dans sa démarche. 

    Le concept d’utopie en soi n’est pas inintéressant. Mais le nec plus ultra, ce qu’on ne trouve rien de mieux à faire, c’est de lui tirer une balle dans la nuque, puis de l’étudier tous ensemble en amphi le mardi après-midi. On se concentre exclusivement sur le prunus au lieu de regarder l’arbre dans son entier. Et ça finit par faire des têtes comme des ballons, complètement centrées sur leur ego, et qui finissent donc par cultiver l’onanisme intellectuel.


  • vote
    Gnomedia Le monde 18 juin 2018 11:19

    Il aurait fallu au moins critiquer le fait que l’homme soit mauvais par nature. Aussi, la seconde partie laisse penser que la subjectivité de l’auteur aimerait qu’il en soit autrement (antithèse primaire qui ne mène à rien)....



  • 2 votes
    Gnomedia Le monde 18 juin 2018 11:05
    On part de l’idée que les libéraux prennent l’homme pour ce qu’il est, et non ce qu’il devrait être.

    Cette idée est prise pour argent content et n’est pas critiquée, c’est là le faux pas.


  • 2 votes
    Gnomedia Le monde 18 juin 2018 10:59
    Le soit-disant mérite de Michéa, pour résumer, c’est d’avoir vu que le "bon" libéralisme" est indissociable du "mauvais" libéralisme (il a une bonne centaine d’année de retard sur d’autres, pardonnez-le). Si vous ne savez pas cela, informez-vous. Quoique je doute sérieusement que vous pussiez y voir vraiment plus clair à la fin. Sinon, passez votre chemin.

    L’auteur s’exprime avec clarté et aisance, la forme est bonne. Il est de bonne foi et essaye d’être critique (bon point), mais avec Jean-Claude Michéa comme compagnon, il ne peut malheureusement être que dans les choux complet. Michéa se contente de décrire l’écume de la surface des choses, dans ce cas là rien de surprenant à ce qu’il (Michéa) nous sorte vers la fin qu’en fait, ce qu’il nous faut c’est plus "d’entraide et d’altruisme". Que ça sent bon la coquille creuse ! On finit par surfer sur des concepts complètement déracinées de leur cause historique réelle, de la pseudo-philosophie saupoudrée d’histoire...

    Les prémisses sont totalement biaisées. Ça se répercute sur tout le reste ensuite... On part de l’idée que les libéraux prennent l’homme pour ce qu’il est, et non ce qu’il devrait être. C’est du Hobbes, l’homme est mauvais par nature. C’est sensé être un fait objectif... qui ne l’est pas du tout (entre parenthèse, cette question de la nature de l’homme, à savoir s’il est bon par nature ou mauvais, est résolue depuis plusieurs millénaires déjà... et que seul le bon sens suffit pour répondre). En effet, ce n’est pas parce que le mouvement de l’histoire a fait qu’une tendance à commettre des actes répréhensibles se soit généralisé au fil des siècles, qu’il faut y voir là la nature profonde de l’homme...

    Penser cela c’est surfer sur l’écume de la surface des choses...

    Il suffit de penser à un petit d’homme (un enfant), est-il bon ou mauvais par nature...

    Pour le concept central de Michéa, "l’empire du moindre mal", c’est une expression malheureuse, même sous sa forme ironique. De la merde en somme.

    Le livre est à classer en rouge, car il va vous faire saigner des yeux...


  • vote
    Gnomedia Le monde 11 décembre 2017 22:27

    @Mahler


    Merci pour ces compléments d’informations, vraiment appréciables. Je m’entête cependant à penser que Marx, malgré le fait d’avoir identifié des modes de production distincts (asiatique notamment) comprenait toujours ces stades comme étant compris dans le cycle des modes de production (antique, féodal, capitaliste, communiste…), donc devant obligatoirement passer par le mode de production capitaliste, car étant le plus avancé. Le cas de la Russie étant certes un peu à part, mais c’est justement — c’est moi qui interprète là — parce qu’il s’est écarté du modèle qu’il avait mis sur pied, en fondant ses espoirs sur une possible exception, qu’il s’est quelque peu fourvoyé. C’est un danger dont il était le premier à être conscient, à savoir s’emballer devant certains événements marquants de son époque et appeler à la révolution, alors même qu’il avait clairement conçu en amont l’impossibilité de son avènement à ce stade de l’histoire — ça ne lui est pas arrivé qu’une seule fois, cela dit c’est un homme avant tout....  En bref, je développe ce que vous décrivez être le « premier » Marx, et je doute qu’il ait renoncé à ce paradigme à un âge avancé de sa vie, même si la théorie plurilinéaire de l’histoire, telle que vous la décrivez, a pu sensiblement changer sa vision, disons en marge de cette prémisse. Cela dit, j’ai bien entendu votre propos, et je peux maintenant concevoir cette possibilité aussi.  

    *

    Pour en revenir aux dénominations, qui sont à la fois triviales mais qui ont aussi leur importance… que la nébuleuse « marxophile » soit plurielle et à l’image de l’esprit, en perpétuelle évolution, je le conçois volontiers, mais tout mettre derrière le terme de marxisme, cela donne beaucoup d’ambigüité quant aux réalités que l’on met derrière, même si les frontières ne peuvent pas être tout à fait hermétiques non plus. Les termes de communiste, marxien, marxiste, léniniste, stalinien, maoïste etc… décrivent différentes choses, et employé judicieusement, cela apporte de la clarté aux idées — et aux réalités derrière — que l’on souhaite évoquer. C’est pareil, je pense qu’on ne peux se réclamer d’un point de vue politique être communiste, car le communiste est par essence anti-politique. Je chipote, certes smiley

    *

    Je ne vais pas régir sur tout, vous avez soulevé beaucoup de points intéressants. À la fin sur le fait que vous dites que l’on retrouve du néo kantisme en Chine, ça m’intéresse particulièrement, étant quelque peu versé dans cette aire géographique du globe, et n’ayant pas encore eu l’occasion de faire ce genre de rapprochement, si vous pouvez en toucher deux ou trois mots ça m’intrigue ! Enfin, je dois avouer que les écrits de/et ou en rapport à Marx et surtout au mouvement dont il se fait le porte-voix étant un véritable océan, je suis encore à mille lieux de l’avoir parcouru... 

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