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Les commentaires de Étirév



  • 1 vote
    Étirév 10 février 2021 15:28

    « Bicots », « bougnes », « arbi », qui sont les Arabes ?
    Avant l’organisation matriarcale, les hommes erraient d’un lieu à l’autre, étrangers au sol qu’ils occupaient.
    Les Déesses-Mères, en organisant le travail, divisèrent le sol et le délimitèrent pour les travaux agricoles. Elles donnèrent aux hommes la part de terre qu’ils avaient à cultiver. De là vint le mot « tenancier », qu’on retrouve dans le vieux mot latin « tenere » (tenir ; celui qui a).
    Mais le tenancier devait donner une part de ses produits à la Mère, à l’organisatrice, dont le rôle moral, maternel, éducateur, n’était pas producteur des biens matériels nécessaires à la vie. Il fallait donc que l’homme travaillât pour elle et pour les enfants de la collectivité. Il faisait cinq parts du produit de sa terre, en gardant quatre et donnant la cinquième à sa Maîtresse. Le travail que représentent ces quatre parts a eu des appellations restées dans les langues.
    Ainsi, « arbé », dans les langues celtiques, veut dire quatre. De là s’est formé « arbeit » qui, en celtique, signifie travailler (en allemand « arbeiten »).
    « Arabe » est le nom donné à ceux qui étaient soumis à cette redevance (« arba’a » : quatre en arabe).
    Arabe ne serait pas un nom de peuple, mais un nom générique désignant celui qui travaille la terre. « Arare » veut dire labourer.
    Les Bretons étaient quelquefois appelés « arbi » (hébreu, heber, arabe), ceux qui travaillent.
    Avec le temps, les hommes commencèrent à trouver bien lourde leur sujétion. Ils travaillaient sur un sol dont ils n’héritaient pas (la fille seule héritait). On vit alors des hommes, plus audacieux que les autres, s’attacher à la Maîtresse et prétendre partager avec elle la redevance des tenanciers.
    Alors le cinquième donné fut divisé, et chacune de ses deux moitiés devint un dixième (la Dîme).
    C’est ainsi que Joseph, à la cour de Pharaon, régla la taxe du peuple (Genèse, XLI, 24).

    Les Arabes, l’Islam, etc.



  • 1 vote
    Étirév 10 février 2021 13:09

    « La France n’est-elle plus qu’une métastase du cancer américain ? »
    Assurément, comme tous les pays occidentaux du reste, dont les autorités ont été totalement noyauté et corrompues par l’argent.

    N’oublions pas que les USA sont une énorme métastase produite artificiellement dans les « laboratoires » de la City of London au début du XVIIIème et finalisé au début du XXème avec la création de la « FED ».

    Depuis, tout n’est plus qu’une succession de pandémie de mal, de guerre, de misère.
    Néanmoins, La France, comme ses Sœurs, pourra trouver le chemin de la Rémission lorsque, par la force de sa seule volonté, naturelle et latente, elle aura décidé de sortir de son cauchemar.



  • 3 votes
    Étirév 9 février 2021 13:47

    Même réponse que celle faite pour Onfray qui trouve « la classe politique très insoucieuse de la démocratie  »
    N. Polony est, ou niaise, ou malhonnête, lorsqu’elle se demande « sommes-nous en démocratie ? »
    Nous sommes effectivement en démocratie et plus que jamais.
    La démocratie est le vêtement dont se pare le pouvoir sous le prétexte qu’existe une représentation populaire, alors que tout est sous contrôle et l’influence, et de manière assez évidente, des puissances d’argent.
    En effet, la démocratie est une illusion qui, à cause des narcissique, ambitieux, égoïstes et parasites qui s’en nourricent, et de la masse des ignorants qui votent pour eux, transforme la société en une abomination de la désolation économique, sociale et morale telle que nous pouvons en constater les immenses ravages en cette fin de « Kali-Yuga ». 



  • vote
    Étirév 9 février 2021 10:53

    « Cela fait longtemps que la classe politique est très insoucieuse de la démocratie »
    Ou Onfray est un âne, ou un malhonnête.
    La classe politique est très soucieuse, au contraire, de la démocratie, puisque c’est ce régime qui permet à tous les parasites et professionnels de la politique de continuer à se servir au de lieu de servir.
    Mais les masses sont tellement dégénérées qu’elles n’arrivent même plus à s’en apercevoir.
    « Malheur à vous, guides aveugles  », est-il dit dans l’Évangile. Aujourd’hui, on ne voit en effet partout que des aveugles qui conduisent d’autres aveugles, et qui, s’ils ne sont arrêtés à temps, les mèneront fatalement à l’abîme où ils périront avec eux.



  • vote
    Étirév 6 février 2021 17:46

    La lutte du Bien et du Mal, c’est-à-dire de l’Esprit dans la femme et de la Force dans l’homme, dure depuis la jeunesse de l’humanité.
    Depuis plusieurs milliers d’années le monde lutte, l’humanité souffre, le Mal règne et grandit, le Bien est vaincu et s’affaiblit ; le Droit est sacrifié à la Force.
    Il faut donc que le Mal ait un terme ou, sinon, que l’humanité disparaisse.
    Ce terme c’est la Rédemption.
    C’est le renversement de la marche actuelle des choses.
    C’est le triomphe de l’Esprit sur la Force, ramenant l’humanité dans la voie du Bien, la voie de l’Evolution progressive.
    Ce grand événement qui doit, tout d’un coup, renverser l’œuvre de destruction du passé, a été prévu et annoncé depuis longtemps. C’est ce redressement, dont parle René Guénon, ce « renversement des pôles » qui doit s’opérer lorsque « le point le plus bas aura été atteint ». Et c’est là, pourrait-on dire en se référant au sens cosmologique du symbolisme biblique, « la revanche finale d’Abel sur Caïn ».
    L’antiquité a aperçu ce grand évènement comme un phare brillant dans un avenir lointain.
    Pendant que l’évolution masculine entraînait l’humanité dans les abîmes, l’évolution féminine l’élevait sur des hauteurs qui devaient, un jour, ouvrir un horizon nouveau à la pensée humaine.
    Nous sommes arrivés à ce terme fatal. Le Mal a pris des proportions telles dans le monde, qu’il ne semble pas qu’il puisse progresser encore sans briser tous les rouages de l’organisme physiologique et moral de l’humanité.
    Le vol est dans les lois, dans les administrations, dans le commerce, dans les mœurs, le crime est de tous côtés autour de nous, l’injustice est partout, l’hypocrisie triomphe, la débauche de l’homme, qui est la cause de tous ces maux, est dans tous, ou presque tous.
    Mais, pendant que le Mal est arrivé à ces proportions effrayantes par l’œuvre de l’homme, le Bien a progressé dans la même mesure par l’œuvre de la femme.
    (...)
    Le ménage des « Abeilles »
    Après la fécondation des reines, si le ciel reste clair et l’air chaud, si le pollen et le nectar abondent dans les fleurs, les ouvrières, par une sorte d’indulgence oublieuse, ou peut-être par une prévoyance excessive, tolèrent quelques temps encore la présence importune et ruineuse des mâles. Ceux-ci se conduisent dans la ruche comme les prétendants de Pénélope dans la maison d’Ulysse. Ils y mènent, en faisant carrousse et chère lie, une oisive existence d’amants honoraires, prodigues et indélicats : satisfaits, ventrus, encombrant les allées, obstruant les passages, embarrassant le travail, bousculant, bousculés, ahuris, importants, tout gonflés d’un mépris étourdi et sans malice, mais méprisés avec intelligence et arrière-pensée, inconscients de l’exaspération qui s’accumule et du destin qui les attend. Ils choisissent pour y sommeiller à l’aise le coin le plus tiède de la demeure, se lèvent nonchalamment pour aller humer à même les cellules ouvertes le miel le plus parfumé, et souillent de leurs excréments les rayons qu’ils fréquentent. Les patientes ouvrières regardent l’avenir et réparent les dégâts, en silence. De midi à trois heures, quand la campagne bleuie tremble de lassitude heureuse sous le regard invincible d’un soleil de juillet ou d’août, ils paraissent sur le seuil. Ils font un bruit terrible, écartent les sentinelles, renversent les ventileuses, culbutent les ouvrières qui reviennent chargées de leur humble butin. Ils ont l’allure affairée, extravagante et intolérante de dieux indispensables qui sortent en tumulte vers quelque grand dessein ignoré du vulgaire. Ils affrontent l’espace, glorieux, irrésistible, et ils vont tranquillement se poser sur les fleurs les plus voisines où ils s’endorment jusqu’à ce que la fraîcheur de l’après-midi les réveillent. Alors ils regagnent la ruche dans le même tourbillon impérieux, et, toujours débordant du même grand dessein intransigeant, ils courent aux celliers, plongent la tête jusqu’au cou dans les cuves de miel, s’enflent comme des amphores pour réparer leurs forces épuisées, et regagnent à pas alourdis le bon sommeil sans rêve et sans soucis qui les recueille jusqu’au prochain repas.
    Mais la patience des abeilles n’est pas égale à celle des hommes. Un matin, un mot d’ordre attendu circule par la ruche. On ne sait qui le donne ; il émane tout à coup de l’indignation froide et raisonnée des travailleuses, et selon le génie de la république unanime, aussitôt prononcé, il emplit tous les cœurs. Une partie du peuple renonce au butinage pour se consacrer aujourd’hui à l’œuvre de justice. Les gros oisifs endormis en grappes insoucieuses sur les murailles mellifères sont brusquement tirés de leur sommeil par une armée de vierges irritées. Ils se réveillent, béats et incertains, ils n’en croient par leurs yeux, et leur étonnement a peine à se faire jour à travers leur paresse comme un rayon de lune à travers l’eau d’un marécage. Ils s’imaginent qu’ils sont victimes d’une erreur, regardent autour d’eux avec stupéfaction, et, l’idée-mère de leur vie se ranimant d’abord en leurs cerveaux épais, ils font un pas vers les cuves à miel pour s’y réconforter. Mais il n’est plus, le temps du miel de mai, du vin-fleur des tilleuls, de la franche ambroisie de la sauge, du serpolet, du trèfle blanc, des marjolaines. Avant qu’il se soit rendu compte de l’effondrement inouï de tout son destin plantureux, dans le bouleversement des lois heureuses de la cité, chacun des parasites effarés est assailli par trois ou quatre justicières...



  • 4 votes
    Étirév 6 février 2021 13:46

    Charles Martel, sauveur de quoi ?
    Rappelons que la civilisation arabe prit un grand développement de 500 à 800. Les sciences arabes étaient protégées par le calife El-Mansour, en attendant Haroun Ar-Rashid au 8ème siècle, El-Mamoun, El-Motassem.
    On vit s’élever des écoles nombreuses en Egypte à Alexandrie, en Lybie à Tripoli, au Maroc, en Syrie à Damas, en Perse à Baghdad, en Andalousie à Cordoue et Grenade.
    L’industrie, le commerce, l’agriculture suivirent le progrès des sciences et s’étendaient partout, en Syrie, en Egypte, dans le Nord de l’Afrique et le Midi de l’Espagne. Ces progrès seraient venus vers le Nord s’ils n’avaient été arrêtés à Poitiers par Charles Martel.
    Les Arabes avaient une philosophie qui se développait et qui s’inspirait de la philosophie indienne et de la philosophie grecque. C’est ce mouvement qui, au XIIIème siècle, remontant vers le Nord, vint apporter aux écoles de Paris le germe de toutes les grandes idées nées et cultivées autrefois en Orient.
    C’est ainsi que les écrits d’Aristote, connus et enseignés depuis longtemps dans les écoles de Cordoue et de Séville, furent introduits en France en 1215. C’est à la civilisation arabe que la France doit ses arts, ses sciences, ses mathématiques, son architecture, c’est-à-dire tout ce que l’Église laissa passer.
    Il convient de parler également de l’influence de la civilisation islamique et non spécialement arabe. Car la plupart de ceux qui ont exercé cette influence en Occident n’étaient pas de race arabe, et si leur langue était l’arabe, c’était seulement une conséquence de leur adoption de la religion islamique.

    NB : petite histoire de de Charles Martel

    Au VIIème siècle, les rois n’existent plus que de nom, ce sont les « Maires du Palais » qui agissent pour eux, comme ils agissaient auprès des Reines. Ils sont l’action ; les rois, qui ont pris le rôle des femmes, sont devenus fainéants, par suite de la psychologie des sexes, qui veut que la femme pense et que l’homme agisse. Mais, comme ces rois fainéants ne pensent pas en femmes, il n’y aurait personne pour diriger les hommes si, dans les familles royales mêmes, ou aristocratiques, des femmes remarquables ne reprenaient le rôle que leur nature leur assigne. C’est ainsi que Begga, femme de Pépin de Landen et mère de Pépin d’Héristal, semble être l’inspiratrice du mouvement qui va renverser les rois francs.
    Pépin de Landen, qui gouverne l’Austrasie, écrase les Neustriens à Leucofao en 680.
    (précisons que les Neustriens, comme les Francs-saliens sont des « masculinistes » ; et les austrasiens, à l’image des Francs Ripuaires, sont des « féministes »)
    La famille de Begga possédait de grands domaines entre la Meuse et le Rhin.
    Les hommes de cette famille étaient des Ducs (conducteurs), mais ne possédaient pas l’autorité morale d’une Mère.
    La reine Begga fonda des asiles pour les femmes malheureuses, qu’on appela des béguinages. Ces femmes prendront son nom ; elles seront appelées des béguines.
    Après la mort de Pépin de Landen, son fils Pépin d’Héristal prend sa place. Pendant qu’il est Maire d’Austrasie, il anéantit le pouvoir royal des Mérovingiens et établit définitivement celui de l’aristocratie, c’est-à-dire des meilleurs.
    Il gouverna tout le royaume sous l’inspiration de sa mère, avec le titre de Duc des Francs. Il mourut en 714, après avoir tenté de relever l’empire franc qui s’écroulait.
    Pépin d’Héristal avait eu deux fils qu’il avait perdus ; c’est son petit-fils Théodoald qui va lui succéder, sous la régence de sa mère Plectrude (714-715).
    Voilà donc encore une femme qui gouverne. Quant aux hommes, ils ne font que se battre et on ne les mentionne qu’à propos de leurs batailles.
    Mais les Neustriens (masculinistes) vont se révolter et des intrigues vont se tramer pour mettre un homme à la première place. Ils attaquèrent les Austrasiens. Ceux-ci, alors, pensèrent à un fils que Pépin d’Héristal avait eu d’une autre femme que la sienne et qu’il tenait en prison pour des raisons morales. Ils le tirèrent de captivité et le mirent à leur tête. C’était Charles Martel (715-743), « un vrai barbare et un rude soldat », disent les chroniqueurs.
    Il laissa aux Neustriens le roi fainéant qu’ils avaient et gouverna sous son nom. Il se bat contre les Sarrasins, qui voulaient envahir la France, sous la conduite d’Abdérame, qu’il refoule (732), ce qui lui vaut, comme récompense, le titre de « Patrice », qui lui est donné par le pape, et les Clefs de saint Pierre, c’est-à-dire les honneurs spirituels des antiques Déesses-Mères. Dès lors, il se crut tout permis. Il était homme et femme à la fois. Il distribua des évêchés et des abbayes à ses compagnons d’armes. Et voilà la direction morale du pays donnée à la soldatesque. Cela introduisit dans l’Église les mœurs dissolues des camps, disent les histoires de France de nos écoles.
    C’est parce qu’il frappait fort qu’on lui a donné le surnom de Martel ; mais ce n’était vraiment pas un motif suffisant pour l’investir d’une autorité spirituelle.
    Charles Martel mourut en 741. Il était le père de Pépin le Bref.
    Voici le jugement porté sur lui par un historien, M. Vincent : « Charles Martel n’avait guère été l’ami de l’Église ; s’il favorisait les missionnaires qui tentaient d’évangéliser l’Allemagne, il n’hésitait pas à spolier les églises et les monastères de Neustrie et d’Austrasie, pour faire des bénéfices à ses leudes (complices). »
    Voilà l’homme moral que son père tenait enfermé. Il n’avait aucun des caractères de l’aristocratie dont il hérita.



  • 2 votes
    Étirév 4 février 2021 12:04

    « démocratie défaillante » est un pléonasme.
    Primo, la démocratie est le vêtement dont se pare le pouvoir sous le prétexte qu’existe une représentation populaire. Mais cette représentation est, dans les faits, catégorielle et non pas populaire parce que contrôlée par des partis politiques sous influence des puissances d’argent.
    Deusio, la démocratie avilit en abaissant les bons, c’est une tyrannie qui s’exerce par un mouvement de traction morale, de bas en haut ; elle fait descendre, elle empêche les meilleurs de s’élever, elle abat les têtes qui dépassent le niveau des médiocres, empêchant ainsi l’éclosion des types supérieurs.
    Enfin et surtout, la démocratie est une illusion car définir la « démocratie » comme le gouvernement du peuple par lui-même, c’est là une véritable impossibilité, une chose qui ne peut pas même avoir une simple existence de fait, pas plus à notre époque qu’à n’importe quelle autre. Mais la grande habileté des dirigeants est de faire croire au peuple qu’il se gouverne lui-même, et le peuple se laisse persuader d’autant plus volontiers qu’il en est flatté et que d’ailleurs il est incapable de réfléchir assez pour voir ce qu’il y a là d’impossible. C’est pour créer cette illusion qu’on a inventé le « suffrage universel » : c’est l’opinion de la majorité qui est supposée faire la loi ; mais ce dont on ne s’aperçoit pas, c’est que l’opinion est quelque chose que l’on peut très facilement diriger et modifier ; on peut toujours, à l’aide de suggestions appropriées (sondages, Peur, attentats, pandémies, etc.), y provoquer des courants allant dans tel ou tel sens déterminé.
    C’est pour cela qu’on a pu dire que l’opinion, c’est l’erreur du plus grand nombre.
    Ceci permet de comprendre pourquoi le pouvoir politique, comme le pouvoir religieux du reste, se fonde volontiers sur l’ignorance du peuple et s’accroît d’autant que les esprits sont faibles, les gens incultes.
    Remarquons qu’aujourd’hui, plus qu’hier, notre société encense la jeunesse. Pourtant, la jeunesse est l’âge de toutes les sottises et de toutes les exactions. Rien n’est plus étranger à la sagesse que la jeunesse.
    Mais surtout, on l’encense alors qu’elle est avant tout grégaire.
    C’est pour quoi les tyrans ont tant besoin d’elle.

    BLOG



  • 5 votes
    Étirév 4 février 2021 11:02

    Des Mystères de Jérusalem à la Maçonnerie moderne : une histoire de « déviation »
    La Franc-Maçonnerie est d’origine hébraïque (les Mystères de Jérusalem), tous les mots de passe sont des vocables hébreux, ses légendes sont tirées de l’histoire du peuple d’Israël. Cependant, Joseph de Maistre, dans « Mémoire au duc de Brunswick » (1782), précise ceci : « Tout annonce que la Franc-Maçonnerie vulgaire est une branche détachée et peut-être corrompue d’une tige ancienne et respectable. ». « C’est bien ainsi qu’il faut envisager la question, confirme René Guénon : on a trop souvent le tort de ne penser qu’à la Maçonnerie moderne, sans réfléchir que celle-ci est simplement le produit d’une déviation. Les premiers responsables de cette déviation, à ce qu’il semble, ce sont les pasteurs protestants, Anderson et Desaguliers, qui rédigèrent les Constitutions de la Grande Loge d’Angleterre, publiées en 1723, et qui firent disparaître tous les anciens documents sur lesquels ils purent mettre la main, pour qu’on ne s’aperçût pas des innovations qu’ils introduisaient, et aussi parce que ces documents contenaient des formules qu’ils estimaient fort gênante. Ce travail de déformation, les protestants l’avaient préparé en mettant à profit les quinze années qui s’écoulèrent entre la mort de Christophe Wren, dernier Grand-Maître de la Maçonnerie ancienne (1702), et la fondation de la nouvelle Grande Loge d’Angleterre (1717). (...) Cependant, ils laissèrent subsister le symbolisme, sans se douter que celui-ci, pour quiconque le comprenait, témoignait contre eux aussi éloquemment que les textes écrits, qu’ils n’étaient d’ailleurs pas parvenus à détruire tous. Voilà, très brièvement résumé, ce que devraient savoir tous ceux qui veulent combattre efficacement les tendances de la Maçonnerie actuelle, bien qu’il y a eu ultérieurement une autre déviation dans les pays latins, celle-ci dans un sens antireligieux, mais c’est sur la « protestantisation » de la Maçonnerie anglo-saxonne qu’il convient d’insister en premier lieu. »

    Et Robert Ambelain d’ajouter : « Ce nouveau rite allait lancer la FM sur une nouvelle voie... qui tendrait à saper certaines valeurs qui font la dignité de l’homme, par l’athéisme, le matérialisme, le laxisme menant à l’amoralisme désagrégateur.  » (La Franc-Maçonnerie oubliée)

    La Maçonnerie oubliée :

    Le rituel institué dans les Mystères comprenait 3 degrés, imités par ceux d’apprenti, de compagnon et de maître.
    On donnait dans ces 3 étapes un enseignement graduel des Vérités que l’hostilité des hommes ne permettait pas de propager ouvertement. On les appelait alors « secrets hiératiques », c’est-à dire concernant les choses sacrées. C’est ainsi qu’on désignait la science divine, c’est-à-dire féminine. Pour la perpétuer à travers les âges, on la représentait par des symboles.
    La réception d’un homme dans l’Ordre secret était entourée de minutieuses précautions ; on exigeait de lui la plus grande sincérité, une docilité absolue, une constance à toute épreuve.
    Pendant le premier degré, on étudiait le caractère du postulant et, si on ne lui reconnaissait pas la faculté de comprendre la Vérité, on l’y laissait toute sa vie, on ne lui conférait pas les deux grades supérieurs.
    Le grade d’apprenti était donné aux hommes seulement, les femmes pouvant toujours comprendre la science féminine et particulièrement la loi de leur sexe.
    Pour montrer que c’est un grade masculin seulement, l’apprenti portait un petit tablier de peau dont la bavette était relevée, de manière à figurer le triangle masculin la pointe en haut.
    C’est à la réception de ce grade que l’on disait au récipiendaire que tout ce qu’il avait appris dans le monde profane était une science vaine et que c’est dans le Mystère qu’on allait lui donner la Lumière. Pour graver dans son esprit l’idée qu’il ne savait rien, on lui disait qu’il avait trois ans, c’est-à-dire qu’un apprenti était comme un enfant de trois ans qui avait tout à apprendre.
    Le premier symbole dont on lui expliquait la signification était, le signe de ralliement.
    Suite…



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    Étirév 30 janvier 2021 09:58

    Tant qu’il faudra choisir un camp, tant que l’on ne sortira pas de ce dualisme systématique et source des nombreuses et perpétuelles discordes entre les hommes, on ne pourra trouver aucun recours à la Paix.
    Les « diviseurs » pour mieux régner le savent.
    Ce sont toujours les jeunes qui constituent la majorité de ses « ultras ». Or, la jeunesse est l’âge de toutes les sottises et de toutes les exactions. Rien n’est plus étranger à la sagesse que la jeunesse. Aussi, elle est le bras séculier de tous les despotes, la matière première de tout militantisme extrême.
    « Dans notre société démocratique et humaniste, on encense la jeunesse alors qu’elle est avant tout grégaire. C’est pour quoi les tyrans ont tant besoin d’elle. », nous rappelle Louis Pauwels.

    BLOG



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    Étirév 28 janvier 2021 11:08

    La monarchie française, telle que nous la connaissons, nous vient de l’Empire romain, qui le tenait lui-même d’Alexandre le Grand, le vrai fondateur de toute sottise monarchique : l’idée du roi moderne, la cour et l’étiquette, nous viennent de lui.
    La conquête de la Gaule par césar laissa comme trace de son passage les luttes féodales, basées sur l’ambition et le despotisme de l’homme qui ne reconnaît plus aucune loi morale, puis les dissensions autour du principe de la monarchie dynastique, imitation de l’empire romain, qui firent régner pendant quinze siècles la barbarie latine sur le sol où s’étaient développées jadis, dans le calme et la sécurité, les Républiques Celtiques.
    L’unité des grands Etats sous un chef despote n’est pas un progrès, cela ne crée pas une civilisation, c’est un asservissement général, une décadence.
    La civilisation est dans le morcellement des Etats, dans les petites républiques confédérées et gouvernées chacune par la plus haute puissance spirituelle qui y fait régner la vérité, la justice, le bien de tous. Une unité fédérative de tous les Etats du monde dans la vérité définitivement acquise, voilà le progrès, voilà la base de la grande civilisation, de la prospérité et du bonheur des Nations.
    Mais le pouvoir de la force et de l’audace ou du hasard de l’hérédité centralisée en une seule main (Nouvel Ordre Mondial), qui peut être despotique ou imbécile (Sarkozy, Hollande, Macron, etc.) c’est une cause de ruine, de souffrances générales et de guerres perpétuelles.
    Rappelons que toutes les guerres de César ne sont qu’une suite d’attaques continuelles et d’attentats contre la vie et les biens de gens innombrables et inoffensifs, honnêtes et paisibles.
    Mais France n’a pas connu que des Rois.
    Après le départ des Romains, la Gaule fut envahie par des étrangers qui y apportèrent un nouveau ferment de révolte masculine.
    C’est ainsi que, vers l’an 241, on trouve tout à coup des peuples du Nord appelés Francs.
    Ce mot n’appartenait à aucune langue du pays. Il venait de frei et signifiait les fracasseurs, ceux que rien n’arrête.
    Mais les Francs comprennent deux peuples et deux partis : les Francs-Saliens (masculinistes), ainsi nommés parce qu’ils viennent de l’Yssel ou Sala, et les Francs-Ripuaires (féministes), qui viennent des bords du Rhin, de Cologne et d’une partie de la Belgique.
    Leurs chefs avaient un Roi suprême, ou roi inamovible, qui n’était autre qu’une Reine.
    Leurs prêtres étaient supérieurs aux chefs (petits rois), mais ils obéissaient au Roi des Rois (la Reine), appelé « si-nist ».
    Voyons ce qu’était ce Roi des Rois.



  • vote
    Étirév 22 janvier 2021 17:02
    Le Monde Ancien a pris fin avec le triomphe du Catholicisme au Concile de Nicée.
    Le Monde Moderne commence.
    Entre les deux, une époque de transition :
    Le Moyen Âge, que l’histoire classique fait commencer à la mort de Théodose le Grand (395) et termine à la prise de Constantinople par les Turcs (1453).
    Ces divisions n’ont pas de valeur pour nous. Ce qui nous intéresse, c’est de savoir comment à l’ancien gouvernement féminin va succéder le gouvernement masculin. Nous allons en étudier les péripéties. Il s’agit surtout de DÉVOILER l’histoire de la Femme en lutte avec l’Église, depuis le Concile de Nicée jusqu’à la Révolution française.
    Nous l’avons spécialement étudiée en France parce que c’est pour nous l’histoire la plus connue.


  • 1 vote
    Étirév 20 janvier 2021 11:59

    Camélia Jordana, tout comme Lilian Thuram et bien d’autres encore, fait preuve d’ignorance mais aime les « projecteurs ».

    Noirs et blancs : aux sources des premières luttes.

    Dès que ces hommes de races diverses furent mis en contact, des rivalités se manifestèrent. La race noire, qui avait mûri plus vite que les autres dans les régions de l’Equateur, était entrée dans la vie à une époque où la race blanche possédait encore la pureté de l’enfance. Cela causa aux blancs hyperboréens de l’horreur pour cette race, en même temps que la couleur noire de la peau des nègres les dégoûtait.

    Fabre d’Olivet croit que la race noire fut appelée « Suthéenne » et que les blancs firent de leur pays le domicile de l’esprit infernal, appelé pour cette raison « Suth » ou « Soth » par les Égyptiens, « Sath » par les Phéniciens, et « Sathan » ou « Satan » par les Arabes et les Hébreux. Ce nom a servi de racine à celui de « Saturne » chez les Étrusques, et de « Sathur », « Suthur » ou « Surthun » chez les Scandinaves, divinité terrible ou bienfaisante suivant la manière de l’envisager. C’est du celte saxon « Suth » que dérivent l’anglais « South », le belge « Sugd », l’allemand et le français « Sud ». Ce mot désigne proprement tout ce qui est opposé à l’élévation, tout ce qui est bas, tout ce qui sert de base ou de siège. Le mot « sédiment » en dérive par le latin « sedere » qui, lui-même, vient du celte saxon « sitten », en allemand « stizen », « s’asseoir » (Fabre d’Olivet, L’Etat social de l’homme).

    Donc, d’après cette doctrine de d’Olivet, la première lutte des hommes avait été celle des Sudéens contre les Boréens, des noirs contre les blancs.

    Les noirs sont plus forts que les blancs parce qu’ils sont plus avancés dans l’évolution sexuelle.

    Mais les Boréens ont une supériorité morale, ils sont purs, alors que les noirs sont les impurs.

    Et c’est ce qui explique que le mot Boréen est devenu un titre d’honneur, dont on a fait « Baron » en Europe. Le titre de Barons et de « hauts Barons » que s’attribuaient les Hyperboréens signifiait vainqueurs. Et c’est pour cela que ce peuple entrait dans la vie sociale avec la réputation d’un peuple vainqueur. 

    Les Celtes appellent leurs ennemis « Pélasks », c’est-à-dire peaux tannées (Pélaskon, Pélasges). La région qui entoure toute la mer Méditerranée portait autrefois le nom de « Pélasques », parce que des peuples noirs la possédaient.

    Le Péloponèse, nom qui vient de « Pélops », signifie « archipel ». Ce mot est remarquable parce qu’il signifie : ce qui domine sur la mer noire. Mais il peut se faire que le mot « noire » ait été pris symboliquement pour représenter la méchanceté ; alors, ce ne serait pas d’une lutte de races qu’il s’agirait, mais d’une lutte morale dans une même race.

    À suivre…



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    Étirév 20 janvier 2021 09:35

    Jésus est un personnage fictif derrière lequel des usurpateurs ont caché quelque chose de GRAND, et ont voulu avec cela dominer le monde.



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    Étirév 19 janvier 2021 13:12

    Des premiers révoltés des nations, parias, paresseux souvent, égoïstes toujours, aventuriers schismatiques et mus par un orgueil funeste, refusant continuellement de s’astreindre à un travail régulier et à la contrainte du devoir, créant une aristocratie factice basée sur les privilèges qu’ils se donnent tel que dans le Judaïsme, lorsque celui-ci se substituera à l’Israélisme après la captivité et l’exil, passant ensuite par la Grèce et ses philosophes qui amènent une décadence masculine, et se poursuivant, ensuite, dans le Catholicisme romain, puis un peu plus tard dans le protestantisme puritain, et parachevant leur « œuvre » désagrégatrice et amorale, dans la Maçonnerie moderne... tout ceci est l’histoire de la mue du « Serpent », ennemi éternel du genre humain, devenu aujourd’hui, dans une toute-puissance, apatride, supranationale et heureusement en fin de règne, ce qu’on appelle les « mondialistes » ou la « Main occulte ».
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    Étirév 17 janvier 2021 16:17

    Précisions sur l’origine des constructions.
    Les premiers essais de construction de la jeune humanité ont été retrouvés partout. Ce sont les Dolmens (chambres de pierre) et les Menhirs, monolithes enfoncés en terre isolément, en allées ou en cercles, de dimensions parfois colossales.
    La destination des Dolmens et des Menhirs de l’époque néolithique a beaucoup préoccupé les savants, qui cherchent toujours dans l’humanité jeune des causes semblables à celles qui font agir l’humanité vieille. Pour retrouver la signification des choses matérielles, comme pour comprendre le sens des symboles, il faut apprendre à contempler le monde avec la naïveté de l’enfance et l’esprit de la jeunesse. On comprendra alors que les dolmens n’ont aucun rapport avec les sépultures, attendu que la jeunesse pense à la vie, non à la mort qui était un phénomène nouveau pour cette jeunesse primitive.
    Si les dolmens sont enfoncés dans le sol, ce ne fut pas pour y cacher les défunts, comme le font les modernes, c’est parce que la terre s’est élevée depuis qu’ils ont été construits ; ils étaient d’abord sur le sol, et non sous le sol, et les tumulus qui les recouvrent sont d’origine postérieure. La profondeur de leur enfouissement peut donner des indications sur la date de leur édification si l’on arrive à calculer de combien la terre s’élève dans un temps donné.
    On dit que le « Men-hir » druidique vient de « Man-herr » (homme seigneur) et le « Dol-men » de « Doll-man » (homme Seigneuresse), indication précieuse qui nous fait comprendre que les uns étaient destinés aux hommes et les autres aux femmes (Menhir a formé minaret).
    En effet, les dolmens qui sont composés d’une ou de plusieurs chambres, généralement précédées d’un vestibule ou d’un couloir d’accès, sont la première ébauche des maisons et ont certainement été édifiés pour abriter la première famille, la Femme et l’enfant. C’est le premier nid de l’humanité, le nid de pierre, le Mégalithe. Sur les parois intérieures, on a trouvé de naïfs et bizarres dessins.
    Non seulement la femme s’abrite, et abrite avec elle ses petits, mais elle cherche à les protéger contre les dangers du dehors. C’est pour cela que souvent les dolmens sont précédés d’une allée couverte, une sorte de galerie d’une certaine étendue.
    Le dolmen de Mané-Croch, près du village de Cracuno, en Bretagne, avait quatre chambres.
    Dans le même village de Cracuno se trouve un superbe dolmen dont l’une des pierres supérieures a six mètres de long sur cinq de large et un mètre cinquante d’épaisseur au centre ; cette pierre repose sur onze dalles debout et la hauteur sous voûte est d’un mètre quatre-vingts centimètres. Le tumulus de Rondossée contient trois dolmens avec leurs allées couvertes. L’un d’eux contient une petite chambre supplémentaire.
    Quant aux menhirs destinés aux hommes, ce n’est qu’une pierre levée derrière laquelle ils s’abritaient ou se cachaient, c’est là que se pratiquait l’eummaïra. Dans les menhirs perforés de l’île de Chypre, on avait pratiqué des ouvertures par lesquelles on voyait venir de loin les témoins gênants. L’un d’eux avait deux mètres dix centimètres de hauteur sur 70 centimètres de largeur.
    On en a trouvé sur lesquels était représentée une main, ce qui les faisait appeler « iad », et, au lieu d’y voir une indécente représentation qui joue un grand rôle dans le symbolisme antique, les savants modernes aussi naïfs que prudes, ont vu dans les pierres un cippe dressé à la mémoire d’un fait.
    Les menhirs sont tantôt isolés, tantôt réunis en nombre plus ou moins considérable. Ce qui indique bien l’instinct de l’homme qui, d’abord, fait sa vie seul, puis peu à peu se réunit à ses frères en humanité pour évoluer ensemble vers un avenir confus.
    On a trouvé aussi des cromlechs, qui sont des enceintes composées de blocs décrivant des figures variées, des cercles, des ovales, des carrés, des rectangles, circonscrivant des espaces enclavés dans ces espèces de barrières, qui semblent être les terrains que les hommes ou les femmes se réservaient et dans lesquels sans doute ils ne laissaient pas pénétrer l’autre sexe. Les deux sexes ont eu dès la jeunesse une tendance à se séparer.
    Cependant, les impulsions sentimentales les réunissaient. Alors ils se cherchaient, erraient ensemble loin des autres et finalement allaient s’abriter dans des lieux écartés. Ce sont ces endroits qui furent plus tard appelés des « Lieux secrets » ou « Lieux saints ».
    On a trouvé des Mounds, tertres élevés que l’on suppose avoir été destinés aux « sacrifices » (Unions).
    C’était l’époque où de magnifiques adolescents cherchaient à dépenser le trop-plein de leur force. Mais ils avaient encore la franchise, la spontanéité, la confiance que donnent l’inexpérience et l’amour naissant.
    NB : Dans la Grande-Bretagne et dans la Gaule, on faisait des initiations symboliques dans des endroits circulaires ou ovales, destinés à représenter l’œuf d’où tout vient (Mystères druidiques).
    Les lieux d’initiation étaient découverts ; les cérémonies se faisaient à ciel ouvert. On devait les construire avec de la terre et des pierres brutes, non souillées par un outil métallique. Les métaux, le fer, étaient en abomination, parce que c’étaient les hommes ennemis qui les travaillaient et qui les faisaient servir à des arts abominables, à des crimes.
    Dans l’Edda suédoise, le feu est nommé fyr ou fur ; les Grecs, dit-on, prononçaient « pyr » comme nous prononçons « pur ».
    Le mot Pyr est phrygien, d’où Pyramis, en égyptien Pyramide. Les Pyramides étaient des Temples sacrés dans lesquels on se cachait et qui étaient construits de façon à en rendre l’accès impossible à ceux qui n’étaient pas initiés.
    Il existait en Orient des Temples du feu qu’on appelait Pyres. Dans tous les cas, il s’agissait du feu symbolique représentant l’Esprit.
    C’est parce qu’il y avait des Temples du feu sur les montagnes qui séparent l’Espagne de la France qu’on les a appelées Pyrénées, et non parce qu’elles furent embrasées.
    (...)
    En suivant l’évolution anatomique, physiologique, morale et sociale de l’homme et de la femme, il a été compris qu’il avait dû exister dans le passé de l’humanité toute une période de lumière et de paix d’abord, puis de lutte ensuite, et enfin d’assujettissement de la femme. Et tout cela devait avoir été relaté par l’histoire primitive, chantée par les premiers poètes, inscrite même sur la pierre...
    LIEN



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    Étirév 16 janvier 2021 18:37

    « Ce qui me terrifie, dans les violences conjugales, c’est le « par amour ». Cette faculté qu’ont les femmes à supporter, à pardonner, à espérer, au nom de l’amour. »
    Rappelons que l’état de servitude qu’on commençait à imposer à la Femme dans la deuxième moitié du 1er siècle avant notre ère et qu’on allait bientôt appeler « con-jugal » (avec joug) est l’origine de l’institution mariage, c’est-à-dire de l’asservissement de la femme dans une union monogame (ou plutôt monoandre) qu’on veut opposer à l’hétaïrisme, c’est-à-dire au régime de liberté de la Femme.
    À la source des violences conjugales.
    Le premier fait à enregistrer, c’est la révolte de l’homme contre les lois de la Nature.
    Ce fut dans la jeunesse de l’humanité que l’homme s’aperçut, peu à peu, de la différence qui commençait à se dessiner entre lui et la femme.
    D’abord il traversa une période d’étonnement et de tristesse quand il aperçut l’état qui résultait de la nouvelle fonction qui s’était imposée à lui. Il s’y était livré sans frein, si bien qu’il avait vu, en peu de temps, s’accentuer, en lui, les caractères du mal qui en sont les résultats, il était devenu brutal, batailleur, irritable et sensuel jusqu’à l’excès. A ses heures de réflexion il eut honte de cet état, il voulut le cacher, l’effacer. Pour cela il y avait un moyen : arrêter la cause de sa déchéance pour en arrêter les effets. II l’intenta, mais l’instinct devint plus fort que lui, il ne put le vaincre.
    Alors, s’adonnant tout à fait à la passion qui le sollicitait, il se révolta contre la Nature même qui lui imposait ce sacrifice de son Âme.
    La perversion, naissant en lui, lui enseigna le mensonge, il nia ce qui était, condamna la Nature, nia ses lois, nia tout ce qu’il avait cru jusque-là, tout ce qui le gênait : ce fut le premier pas en arrière.
    Le voilà donc divisé en deux êtres : l’un qui s’affirme et se révolte dans la vie sexuelle, l’autre qui le retient dans la vie intellectuelle, et la lutte qui va s’établir dans l’homme lui-même est le prélude de la lutte qu’il va soutenir contre la femme qui sera comme un reflet de sa propre conscience.
    La femme... il la veut, pourtant, pour son amour mais non pour ses reproches. Il la poursuit assidûment d’un désir, d’abord idéal, mais bientôt, bestial.
    Quant à elle, comme, elle ne sait pas que l’homme est un être autrement constitué qu’elle, elle croit trouver en lui tout ce qu’il y a en elle : l’amour cérébral qui élève l’esprit, qui l’invite à la contemplation de l’univers, au rêve cosmique, à l’abstraction.
    Et, dans les premières heures de rapprochement, c’est de la Nature qu’elle lui parle, du Cosmos ou d’elle-même, chef-d’œuvre de la création qu’elle veut lui dévoiler.
    Mais il ne la comprend pas, ce n’est pas cela qu’il veut.
    Cependant, dans ces premières relations, elle triomphe et fait naître en lui une ombre de sa pensée, il traduit, en rêve, ce qui est en elle, le réel, il donne une forme concrète à l’idée abstraite, mais la poétise ; sa vérité, à elle, était nue, austère, il l’habille de belles phrases, la rend embellie et comme une conception née en lui. Elle lui a beaucoup parlé d’elle. Lui, qui s’ignore, écoute ses idées révélatrices, se les assimile, fait du moi féminin son moi à lui et ainsi s’attribue si bien son âme qu’il se croit elle.
    C’est ainsi que naît sa première erreur psychologique qui grandira et s’affermira à travers les générations. Cette empreinte cérébrale, née avec le premier amour, ne s’effacera jamais en lui.
    C’est un curieux phénomène psychique que ce reflètement d’un être sur l’autre, ce miroir que tient la femme et dans lequel l’homme croit se voir !
    Mais ce prélude de l’amour ne lui suffît pas, il demande autre chose, et, alors, commencent, pour elle, les terreurs. Elle ne voulait que l’union des esprits, et les désirs qu’il exprime l’inquiètent, elle invente, pour s’y soustraire, une diplomatie savante. Mais elle est bonne, elle a pitié, elle ne veut pas le contrarier, elle l’aime trop pour cela, et elle cède elle se résigne, sans plaisir aucun, au sacrifice de sa personne.
    Lui, satisfait son besoin bestial et aussitôt la scène change.
    Il devient méchant. Il devient jaloux.
    Sa méchanceté commence par la taquinerie, les petites contradictions, les caprices imposés avec entêtement. Il substitue sa volonté à celle de la femme. En même temps sa force grandit, il va l’affirmer.
    Puis la jalousie de sexe survient.
    Tourmenté de sa déchéance, dont il sent les amertumes, dont il suit les progrès, il va concevoir, pour elle, la haine sourde de l’envie, et la tourmenter pour lui faire expier sa supériorité morale.
    La femme, qui le croit fait dans le même moule qu’elle, ne comprend pas. Elle croit ses reproches justifiés et cherche, en elle, des défauts à corriger pour éviter ses critiques. Mais plus elle cède, plus il l’accable, son but est de la faire souffrir, de la vexer, et plus elle croit à sa parole, plus il s’enfonce dans le mensonge, dans son mensonge que la crédulité de la femme fait triomphant.
    Il fut timide, d’abord, cependant ; c’est timidement qu’il osa le premier reproche, la première injure ; mais au lieu d’une réaction violente de celle qu’il outrageait, il la trouva intimidée et crédule. Elle crut, comme une vérité, ce qui était une ruse, elle prit pour une justice ce qui était une jalousie. Cela l’encouragea et il recommença.
    Ces moments de fausseté manifestés, par des outrages qui expriment sa révolte contre elle, ne sont interrompus que par des poussées de nouveaux désirs ; il fait trêve à ses brutalités quand il veut la reprendre, il redevient alors subitement et momentanément soumis et aimant.
    Elle, heureuse du changement, heureuse de l’avoir retrouvé comme elle le désire, croyant le retenir par sa soumission, cède de nouveau et, de nouveau recommence la réaction brutale et ainsi se passe la vie. Chaque rapprochement est suivi d’une chute qu’il fait dans l’abîme du Mal, et chaque fois il tombe un peu plus bas, jusqu’au moment où la folie qui le guette, le prendra tout à fait.
    La femme, complice ignorante de ce drame, en est la première victime. L’homme devient le tourment de sa vie.

    L’AMOUR



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    Étirév 16 janvier 2021 12:52

    « Comment les États-Unis se sont-ils développés après la Guerre de Sécession ? »
    Petit plaidoyer pour les vaincus :
    On aurait tort de réduire la Guerre de Sécession à une lutte simpliste, c’est-à-dire entre adversaires et partisans de l’esclavage, ainsi que les « vainqueurs » tentent, par tous les moyens de nous le faire croire depuis des années.
    D’ailleurs, ce conflit Nord-Sud n’a réglé aucun des problèmes américains et surtout pas la question noire, on a peut aisément s’en apercevoir encore aujourd’hui.
    Rappelons simplement que l’étendard de la Confédération, le Stars and Bars, comportait treize étoiles représentant chacun des douze états du Sud, la treizième correspondait à la nation indienne constituée par la totalité des tribus qui, en quelque sorte, étaient venues chercher refuge auprès des « affreux esclavagistes » du Sud, afin d’échapper au génocide des « généreux libérateurs » Nordistes.
    Les indiens d’Amérique avaient compris clairement que les « Yankees » représentaient avant tout et par-dessus tout, une civilisation mercantile et cynique, basée sur le profit à n’importe quel prix : la civilisation « rapace » de l’aigle pygargue, devenu depuis l’emblème national des USA.
    L’historien américain James Mc Pherson, qui a écrit de nombreux ouvrages sur l’histoire des États-Unis, dont un dont le titre est « La guerre de Sécession », écrit : « L’Amérique allait naître de ce conflit dans lequel sombrerait une civilisation... Mais le Nord vainqueur demeure l’ennemi haï et défié, dans la mesure où il représente une civilisation mercantile, basée sur le profit, par opposition à la civilisation aristocratique du Sud, basée sur l’honneur. »
    Souvent l’homme vil appelle valeurs dépassées celles qui le dépassent : ainsi de l’honneur, de la bravoure, du sens de la justice et de la loyauté.
    Tels sont les valeurs qui dépassent, effectivement, l’oligarchie apatride et supranationale, aidées de ses éternels traitres à leur nation, qui s’est emparée des USA après l’attaque « à main armée » du XIXème siècle.
    L’attaque « à main armée » est devenue une spécialité depuis pour « libérer » les peuples dans le monde et installer la « démocratie ». La Révolution française s’en souvient !
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    Étirév 15 janvier 2021 15:57

    Adam Smith aussi fourbe que ses homologues actuels, héritiers des « Lumières ». « Ténèbres » serait plus juste !
    Généralement, l’orgueilleux cherche toujours à justifier ses erreurs, ses fautes au lieu de les avouer.
    C’est par le mot « avarice » que le dogme catholique désigne l’égoïsme.
    On peut dire que cette préoccupation du moi ou du mien est le premier degré des conséquences fatales de la sexualité masculine, et en même temps le plus général : il existe chez presque tous les hommes. Regardez autour de vous, examinez ceux que vous connaissez, combien en trouvez-vous dont les actions ne sont pas guidées par un intérêt personnel ?
    « L’égoïsme en chaque homme a des racines si profondes que les motifs égoïstes sont les seuls sur lesquels on puisse compter avec assurance, pour exciter l’activité d’un être individuel.  »
    Ces paroles sont de Schopenhauer, l’homme qui, peut-être, connaissait le mieux les caractères de la déchéance, parce qu’il les étudiait en lui-même.
    La doctrine du tout pour moi est celle qui règne dans la société moderne. Chaque homme la pratique comme il peut, dans la limite de sa puissance.
    Pourquoi l’homme est-il égoïste ? Qu’y a-t-il de particulier dans sa nature physiologique qui fasse naître, dans le sexe mâle tout entier, ce sentiment personnel qui n’est pas dans l’enfant et qui n’est pas dans la femme ?
    La réponse est PAR ICI



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    Étirév 15 janvier 2021 14:14

    Pour répondre en partie au questionnement de M. Raufer sur le silence de ce qu’il appelle des « feministes », il suffit simplement de lui dire que le « féminisme » officielle, c’est-à-dire celui qui est médiatisé, en général lorsque le système en a besoin (Femen, les féministes « égalitaires », etc.), est à l’image de l’antiracisme intitutionnel et de la fondation de Gates : une façade, une duperie.
    Rappelons que dans la Franc-Maçonnerie moderne, qui date du XVIIIème siècle et qui est une déviation totale de la Maçonnerie ancienne, nous trouvons l’existence d’une « Maçonnerie mixte », ou « Co-Masonry », comme elle est appelée dans les pays de langue anglaise, qui représente tout simplement une tentative de transporter, dans le domaine initiatique lui-même qui devrait encore plus que tout autre en être exempt, la conception « égalitaire » qui, se refusant à voir les différences de nature qui existent entre les êtres, en arrive à attribuer aux femmes un rôle proprement masculin, et qui est d’ailleurs manifestement à la racine de tout le faux « féminisme » contemporain.
    Ainsi, on voudrait peut-être nous faire croire qu’un gouvernement composé des Morano, Dati, Schiappa ou Ndiaye, pour ne citer qu’elles, est une victoire pour le féminisme, alors qu’en réalité, et de manière assez évidente, on ne change que le costume et le timbre de la voix, et les médiocrités féminines se substituent aux médiocrités masculines.
    Le vrai Féminisme s’en vient comme les Papes l’ont d’ailleurs compris en cherchant par tous les moyens à rehausser le culte de la Femme dans la Mariolâtrie ?



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    Étirév 15 janvier 2021 11:07

    De l’ordre naturel dans l’antiquité au désordre moderne.
    Dans la jeunesse de l’humanité, et notamment dans l’Inde du temps du Véda, régne une organisation l’ordre social.
    La pierre fondamentale de l’ordre social dans l’Inde, c’est la division en castes.
    La première origine des castes se trouve dans la primitive religion naturelle. Religion signifie relier, pour se relier, il faut observer les rapports mutuels des êtres différents : masculin et féminin ; violer cette loi en nivelant les sexes que la nature a faits dissemblables, c’est créer le désordre.
    Primitivement, au-dessus des divisions masculines se trouvait le sexe féminin, sexe spirituel, sexe à part. C’est pour cela que l’on disait : les dêvas et les hommes, ce qui plus tard est devenu les dieux et les hommes.
    Rappelons que l’Egypte fut longtemps gouvernée par des Prêtresses que l’histoire appelle des Pharaons. Les Pharaons sont des magistrats sacerdotaux, toujours représentés en costumes de femmes.
    Dans le règne primitif, toutes les grandes dignités de l’Etat, les fonctions de juge, de médecin, étaient exclusivement réservées à la caste sacerdotale. Les hommes ne pouvaient pas y prétendre, ils étaient soumis au pouvoir des femmes appelées « des sages » (Soffet), qui leur faisaient faire un service régulier, un travail dont l’organisation avait été savamment établie.
    Cette division si naturelle de l’humanité suivant les facultés de chacun avait donné tant de force à la primitive organisation sociale, qu’elle fut la base réelle du bonheur de tous, résumé dans ce beau titre : « l’âge d’or », et de la grande civilisation qui dura si longtemps et qui fut le fonds dans lequel toutes les nations ont puisé.
    C’est la prétention à l’égalité qui germe dans le Cœur des envieux, des niveleurs, qui causa tous les désordres dont l’humanité eut à souffrir dans les temps d’erreurs et de despotisme jusqu’à aujourd’hui.
    « Le système des castes dura sans s’altérer pendant l’immense période de 50 siècles », dit Marius Fontane.
    La première caste était celle des Dêvas. Toute femme y participait, parce qu’elle représentait le privilège de la nature féminine, et non des facultés spéciales. Cependant, au sommet de la caste divine étaient les grandes Déesses, puis les Prêtresses qui dirigeaient la vie morale, qui instruisaient les enfants, qui étaient les éducatrices, celles qui dirigent et éclairent la vie humaine.
    C’est après cette séparation des sexes que les hommes sont divisés en trois catégories, qui représentent les degrés de l’initiation dans les anciens Mystères.
    Première caste : les Kshatriyas (ou Kshatras). C’est la première caste masculine : les chevaliers qui protègent les Dêvas. C’est la force qui soutient l’esprit en le faisant respecter.
    Deuxième caste : les Vaiçyas (marchands, cultivateurs). Cette caste comprend les hommes dont les facultés mentales ne sont pas très développées, ceux qui ne lisent pas le Véda, mais donnent leur vie au trafic, laissant à d’autres les préoccupations de la vie intellectuelle.
    Troisième caste : celle des Coudras, qui sont des travailleurs qui font un travail manuel sans y employer d’intelligence ; ce sont des inférieurs qui ne peuvent qu’obéir et servir les autres, parce que les facultés supérieures de l’esprit leur manquent.
    Cette division sociale représente une loi réellement divine, c’est-à-dire érigée suivant la connaissance de la nature humaine.
    C’est la science absolue, qui engendre la justice intégrale.
    En dehors de toutes les castes se trouvent les Parias, les rejetés, ceux qui, doués d’une mauvaise nature, se sont révoltés contre la Vérité, contre la justice, contre la Loi morale. Ce sont les avilis, ceux qui ont perdu le sens moral, ce sont les décastés de toute catégorie.
    Ce sont eux qui règnent aujourd’hui.
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