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Les commentaires de BA



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    BA 14 novembre 2018 09:18

    « Nous n’annulerons pas les hausses des taxes sur les carburants », annonce Édouard Philippe.

     

    Le 1er janvier 2019, augmentation de 3 cents de l’essence, augmentation de 6 cents du gasole.

     

    Édouard Philippe a maintenu le cap du gouvernement sur la taxation des carburants qui a provoqué un mouvement de contestation important en France. Ces taxes ne seront pas annulées, a-t-il expliqué, déroulant un plan pour «  accompagner les Français  » dans cette transition.

     

    «  Nous n’annulerons pas la taxe carbone, c’est un engagement de campagne du président de la République, c’était d’ailleurs un engagement partagé par tous les candidats à la présidence de la République  » assumait, ce mercredi matin, le Premier ministre Édouard Philippe sur RTL.

     

    https://www.ouest-france.fr/economie/transports/carburants-essence-diesel/nous-n-annulerons-pas-les-hausses-des-taxes-sur-les-carburants-annonce-edouard-philippe-6069560



  • 5 votes
    BA 10 novembre 2018 18:35

    Le ministre Bruno Le Maire publie un tweet ahurissant :

     

    "L’Europe doit s’affirmer comme un empire paisible dans les 25 années qui viennent. Cette empire doit être celui des droits de l’homme et de la croissance durable."

     

    https://twitter.com/BrunoLeMaire/status/1060812167182761984

     

    Quant à nous, nous savons ce que nous devons faire :

    • Nous devons faire la guerre à l’empire européen et à ses partisans.
    • Nous devons redonner à la France son indépendance nationale.
    • Nous devons faire ce que les premiers rois capétiens et ce que toutes les républiques françaises ont TOUJOURS fait : nous devons être pour la Nation, et nous devons faire la guerre à l’Empire.

     

    C’est toujours la même histoire.

     

    L’Histoire est un éternel recommencement.



  • 1 vote
    BA 3 novembre 2018 20:07

    En 2016, le président de la République François Hollande a accordé des dizaines d’heures d’entretiens aux journalistes Gérard Davet et Fabrice Lhomme. Leurs dialogues ont été enregistrés et ensuite publiés en octobre 2016 dans le livre « Un président ne devrait pas dire ça ».


    La phrase la plus importante prononcée par le président de la République François Hollande est à la page 592 :


    « Comment on peut faire que la France vive ensemble, comment on peut redonner un lien entre tous les Français, comment on peut éviter la partition ? Car c’est quand même ça qui est en train de se produire : la partition. »


    https://www.amazon.fr/pr%C3%A9sident-devrait-pas-dire-%C3%A7a/dp/2757866982/ref=sr_1_1?s=books&ie=UTF8&qid=1521562069&sr=1-1&keywords=un+president+ne+devrait+pas+dire+ca



  • 1 vote
    BA 28 octobre 2018 15:01

    Sophia Chikirou avait une triple casquette :
    1- elle était la maîtresse de Jean-Luc Mélenchon
    2- elle était directrice de la communication
    3- elle était prestataire de la campagne de Jean-Luc Mélenchon.


    C’est cette triple casquette de Sophia Chikirou qui est le problème.


    L’argent des cotisations des adhérents de La France Insoumise servait à enrichir Sophia Chikirou, la maîtresse de Jean-Luc Mélenchon.


    Le parti La France Insoumise a versé 1,2 million d’euros à l’entreprise MEDIASCOP, qui appartient à Sophia Chikirou ! 1,2 million d’euros ! Merci pour elle, les cocus !


    Campagne de Jean-Luc Mélenchon : certains documents contredisent les propos de Sophia Chikirou.


    Après les propos de l’ex-directrice de communication du candidat de La France insoumise mardi sur BFMTV, la cellule investigation de franceinfo souligne pourquoi certains arguments de Sophia Chikirou sont contestables.


    "Ni surfacturation, ni enrichissement personnel, ni détournement de fonds publics", a-t-elle affirmé. Sur le fond, certains des arguments qu’elle a avancés sont pourtant contredits par l’enquête de franceinfo et des documents que la cellule investigation révèle.


    1- Ce qu’a dit Sophia Chikirou : "Moi je n’étais pas donneur d’ordre. J’étais prestataire. Les donneurs d’ordre sont Manuel Bompard, le directeur de campagne, et la mandataire financier."


    Sophia Chikirou conteste donc qu’elle ait eu une double casquette sur la campagne de Jean-Luc Mélenchon : à la fois donneuse d’ordre en tant que directrice de la communication et fournisseur, via sa société qui a facturé pour près de 1,2 millions d’euros de prestations. Cette singularité, qu’on ne retrouve chez aucun des concurrents de Jean-Luc Mélenchon, avait contribué à fonder le signalement qu’a effectué la commission des comptes de campagne auprès du procureur de la République de Paris. Bien que cette situation n’ait rien d’illégal en soi, Sophia Chikirou a tenté de minimiser son rôle au sein de l’équipe de campagne le réduisant à celui de simple "prestataire". Pourtant, un document fourni par l’équipe de Jean-Luc Mélenchon à la commission semble infirmer ses déclarations. Cet organigramme de campagne recense tous les postes de l’équipe du candidat. Sophia Chikirou y est bien présentée comme directrice de la communication.


    Un autre point semble fragiliser la position de la communicante. Elle affirme que les vrais donneurs d’ordre étaient le directeur de campagne, Manuel Bompard, et la mandataire financière, Marie-Pierre Oprandi. Eux seuls, selon sa présentation, avaient la faculté de passer commande au nom du candidat. Ce devrait donc être le cas des spots de campagne diffusés sur le réseau France Télévisions et réalisés par la société Story Circus pour un montant de 100 000 euros. Pourtant, c’est bien Mediascop qui semble avoir commandé ces spots puisqu’ils apparaissent sur la facture de la société de Sophia Chikirou qui les refacture à l’association de campagne de Jean Luc-Mélenchon. Si ces spots ont effectivement été commandés par Manuel Bompard ou la mandataire Marie-Pierre Oprandi, pourquoi ne sont-ils pas directement facturés à l’association de financement ?

    Par ailleurs, franceinfo n’a trouvé trace d’aucun devis, contrat cadre, ou suivi de commande concernant Mediascop dans les comptes de campagne de Jean-Luc Mélenchon.


    2- Ce qu’a dit Sophia Chikirou : "On a 39 discours dont on extrait les audios […] vous créez le réseau social, vous l’organisez, vous éditorialisez, vous publiez, ce ne sont pas des manipulations rapides. […] ça doit prendre au bas mot 4-5 jours de travail." 


    Sophia Chikirou fait là référence à une prestation que franceinfo a relevée et qualifiée de "chère" sur une des deux factures de Mediascop : l’extraction et la publication des discours audio de Jean-Luc Mélenchon sur le réseau social Soundcloud. Chaque discours mis en ligne était facturé 250 euros hors taxe. La cellule investigation de franceinfo affirme que cette manipulation prend environ 10 minutes à être effectuée.

    Tout d’abord il s’agit de 19 discours et non de 39. Pour justifier son tarif, Sophia Chikirou ajoute donc à la prestation indiquée sur la facture le temps de création d’un compte Soundcloud (qui s’apparente à un compte Facebook) et le fait d’ajouter un titre et un commentaire au fichier sonore que l’on publie. En estimant à une heure le temps de création du compte, qui s’apparente à un compte Facebook, avec une photo, et à cinq minutes le temps pour ajouter un titre, ajoutons une heure pour la gestion du compte, nous arriverions donc à environ 6,5 heures de travail facturées 4750 euros hors taxe.

    Par ailleurs, la gestion du compte Soundcloud est déjà indiquée plus haut sur la facture, au milieu des tâches facturées dans le cadre du travail des community managers.


    3- Ce qu’a dit Sophia Chikirou : "Je n’ai jamais eu un salaire plus de trois fois plus élevé que le salaire le plus bas dans mon entreprise. C’est un principe. J’ai créé Mediascop en 2011, c’était une SCOP. Le salaire le plus bas, c’est 1 300-1 400 euros, moi je suis à fois trois."


    Si on comprend bien Sophia Chikirou, le salaire de dirigeante que lui verserait sa société serait de l’ordre de 4000 euros nets mensuels. Mais la présidente de Mediascop ne dit rien de ses revenus supplémentaires en tant qu’actionnaire unique de la société. Tout d’abord, constatons qu’en mars 2017, Mediascop a abandonné le statut de SCOP (société coopérative) pour celui de SASU (société par actions simplifiée à associé unique). Cette transition lui permet de pouvoir se rémunérer également en dividendes. Ce qu’elle va faire dès le 30 juin 2017 au moment où elle clôture ses comptes de l’année 2016.


    Que constate-t-on ? Mediascop réalise 162 900 euros de chiffre d’affaires en 2016. Ce chiffre correspond aux premiers versements de l’association de campagne de Jean-Luc Mélenchon pour la période de septembre à décembre 2016. La société n’avait quasiment pas d’activité les mois précédents la campagne et avait fait zéro euro de chiffres d’affaires en 2015. Grâce à ces premiers versements, Sophia Chikirou va se payer un salaire de 6 750 euros pour l’ensemble de l’année 2016. Et dans le même temps, elle décide de se verser 64 000 euros de dividendes grâce au bénéfice réalisé sur les quatre premiers mois de la campagne.


    Le choix qui consiste, pour un chef d’entreprise, à se verser une faible rémunération et un fort dividende permet d’échapper aux cotisations sociales sur les salaires. L’actionnaire ne paie que la CSG/CRDS (15,5%) puis ses impôts comme sur tout revenu. En clair, sur les quatre premiers mois de la campagne où sa société intervient, Sophia Chikirou touche au plus 1 700 euros par mois de salaire et environ 54 000 euros de dividendes une fois la CSG payée.

    Reste cette question : combien a-t-elle touché salaires et dividendes inclus en 2017, alors que sa société va encaisser près de 800 000 euros hors taxes de la part de l’association de campagne de Jean-Luc Mélenchon ? Mediascop n’a pas publié ses comptes pour cette année-là, grâce à une disposition légale propre au statut des SASU.

    https://www.francetvinfo.fr/politique/melenchon/campagne-de-jean-luc-melenchon-apres-les-dementis-de-sophia-chikirou-la-cellule-investigation-de-franceinfo-maintient-ses-revelations_3001119.html



  • 1 vote
    BA 24 octobre 2018 13:27

    Sophia Chikirou avait une triple casquette :

    1- elle était la maîtresse de Jean-Luc Mélenchon
    2- elle était directrice de la communication
    3- elle était prestataire de la campagne de Jean-Luc Mélenchon.


    C’est cette triple casquette de Sophia Chikirou qui est le problème.


    L’argent des cotisations des adhérents de La France Insoumise servait à enrichir Sophia Chikirou, la maîtresse de Jean-Luc Mélenchon.


    Le parti La France Insoumise a versé 1,2 million d’euros à l’entreprise MEDIASCOP, qui appartient à Sophia Chikirou ! 1,2 million d’euros ! Merci pour elle, les cocus !


    Campagne de Jean-Luc Mélenchon : après les démentis de Sophia Chikirou, la cellule investigation de franceinfo maintient ses révélations.


    Malgré les propos de l’ex-directrice de communication du candidat de La France insoumise mardi sur BFMTV, la cellule investigation de franceinfo estime que ces déclarations ne remettent pas en cause ses révélations.


    « Dans l’état actuel, nous maintenons tout ce que nous avons écrit », a déclaré Sylvain Tronchet, journaliste à la cellule investigation de franceinfo après les propos de Sophia Chikirou sur BFMTV mardi soir. L’ex-directrice de communication de Jean-Luc Mélenchon a réfuté les soupçons évoqués dans le cadre de la campagne présidentielle du candidat de La France insoumise. Il n’y a eu ni surfacturation, ni enrichissement personnel, ni détournement de fonds publics, selon elle. Sophia Chikirou a notamment qualifié de "fake news" l’enquête publiée par la cellule investigation de franceinfo vendredi dernier qui montrait que sa société a facturé très cher certaines prestations.


    franceinfo : Les propos de Sophia Chikirou remettent-ils en cause vos révélations ? 

    Sylvain Tronchet : Dans l’état actuel des choses nous maintenons tout ce que nous avons écrit. Par exemple, Sophia Chikirou hier soir a expliqué qu’elle n’était que prestataire de la campagne de Jean-Luc Mélenchon. En clair qu’elle n’avait pas cette double casquette qui a attiré l’attention de la commission des comptes de campagne, à la fois décisionnaire dans le staff, et fournisseur via sa société. C’est ce qu’elle dit. Nous avons pourtant un organigramme qui a été fourni par l’équipe de campagne de Jean-Luc Mélenchon à la commission : il y est écrit en toutes lettres Sophia Chikirou, directrice de la communication, pas prestataire.

    Est-ce que Sophia Chikirou a contredit les tarifs que vous avez donnés ?

    Elle a tenté de le faire. Mais là encore, quand elle affirme que le téléchargement de 19 sons des discours de Jean-Luc Mélenchon sur le réseau social soundcloud a pris en réalité quatre à cinq jours, que c’est pour ça que cela a été facturé près de 5 000 euros. Non. Le téléchargement d’un discours prend tout au plus 10 minutes. Plusieurs spécialistes nous l’ont confirmé. Nous l’avons constaté. 19 discours, c’est trois à quatre heures de travail, pas quatre à cinq jours.

    Quant au sous-titrage de vidéos facturé 200 euros la minute sous-titrée. Nous en faisons ici à franceinfo, ça prend à peu près une demi-heure de travail. Pour 200 euros, chacun jugera si c’est cher ou non...

    Sophia Chikirou affirme que son salaire n’excédait pas 4 000 euros.

    Sophia Chikirou a affirmé que nous avions dit qu’elle touchait un salaire de 15 000 euros par mois, ce qui n’est pas vrai. Nous avons dit qu’elle facturait son travail en moyenne 15 000 euros par mois. À cela, nous l’avions dit, il faut retirer les charges de l’entreprise tout en notant qu’elles étaient faibles parce que Mediascop est une société qui n’a pas de locaux et qui était très largement prise en charge par la campagne de Jean Luc Mélenchon. 

    Sophia Chikirou a donc affirmé que son salaire n’excédait pas 4 000 euros par mois. On croit comprendre que c’est le salaire qu’elle se verse en tant que dirigeante de Mediascop. Mais il y a un point qu’elle n’évoque pas, c’est qu’elle est aussi la seule actionnaire de la société. Or, elle peut également se payer en dividendes, ce qu’elle a fait fin 2016 grâce aux premiers versements de la campagne Mélenchon. Elle s’était versé 64 000 euros de dividendes pour quatre mois de campagne. A-t-elle également touché des dividendes en 2017, là où elle a facturé près d’un million d’euros ? Elle n’a pas répondu à cette question, et les comptes 2017 de sa société n’ont pas été publiés.

    https://www.francetvinfo.fr/politique/melenchon/campagne-de-jean-luc-melenchon-apres-les-dementis-de-sophia-chikirou-la-cellule-investigation-de-franceinfo-maintient-ses-revelations_3001119.html



  • 6 votes
    BA 21 octobre 2018 14:50

    L’amour, le sexe, le fric.


    Le scandale MEDIASCOP n’est qu’une banale histoire d’amour, une banale histoire de sexe, une banale histoire de fric.


    La patronne de MEDIASCOP s’appelle Sophia Chikirou : elle était la maîtresse de Jean-Luc Mélenchon … et elle a réussi à pomper, à pomper, à pomper l’argent des cotisations des adhérents de La France Insoumise.


    A quoi servait l’argent des cotisations des adhérents de La France Insoumise ?

    Réponse :

    L’argent des cotisations des adhérents de La France Insoumise servait à enrichir Sophia Chikirou, la maîtresse de Jean-Luc Mélenchon.

    Le parti La France Insoumise a versé 1,2 million d’euros à l’entreprise MEDIASCOP, qui appartient à Sophia Chikirou ! 1,2 million d’euros ! Merci pour elle, les cocus !


    https://www.mediapart.fr/journal/france/191018/les-premieres-decouvertes-des-perquisitions-melenchon


    Quelle ne fut pas la surprise des enquêteurs quand ce 16 octobre, au petit matin – il était 7 heures –, ils ont découvert Sophia Chikirou au domicile personnel de Jean-Luc Mélenchon.

    Le patron de La France insoumise et la communicante entretiennent en réalité de longue date, selon nos informations, une relation extra-professionnelle. Celle-ci pourrait relever de la seule vie privée des deux intéressés mais prend désormais, à la lueur des investigations judiciaires, une dimension d’intérêt général.

    De fait, si l’enquête devait confirmer le soupçon qui a présidé à son ouverture, cela signifierait que les sommes incriminées perçues par Mme Chikirou l’auraient été à l’occasion d’une campagne présidentielle dirigée par un homme politique avec lequel elle partage une relation intime régulière.

    Sollicités à plusieurs reprises par Mediapart, ni Jean-Luc Mélenchon (entendu par les enquêteurs le 17 octobre) ni Sophia Chikirou (entendue ce 19 octobre) n’ont donné suite. Interrogé ce vendredi durant une conférence de presse sur la nature de sa relation avec Mme Chikirou, Jean-Luc Mélenchon a toutefois répondu : « Excellentes, monsieur. »

    Avant d’ajouter : « Si vous voulez faire remarquer qu’elle est une femme et que je suis un homme et que, peut-être, cela pourrait entendre [sic] quelque chose, je vous rappelle quel est mon statut [d’état civil]. Vous le connaissez ? » Il a précisé lui-même qu’il était officiellement célibataire, qualifiant les questions de la presse sur ce sujet d’« insidieuses ».

    Que ce soit à La France insoumise ou au sein du Média, organe audiovisuel soutenu par les Insoumis qu’elle a fondé puis dirigé avant qu’une crise interne n’éclate notamment sur fond de soupçons financiers, Sophia Chikirou est devenue ces dernières années un rouage central de la stratégie politique de Jean-Luc Mélenchon. Mais aussi un tabou en interne du fait de sa relation particulière avec lui.

    Ancienne militante fabiusienne passée chez Jean-Marie Bockel, ex-socialiste devenu secrétaire d’État de Nicolas Sarkozy, Sophia Chikirou avait soutenu la « volonté de réforme » de l’ancien chef de l’État en 2007. En 2012, elle est devenue chargée des relations avec la presse de Jean-Luc Mélenchon, puis a effectué des missions en Équateur et observé la campagne de Bernie Sanders aux États-Unis, avant de revenir au cœur de la stratégie de La France insoumise pour 2017.

    Pour cette nouvelle campagne, sa société Mediascop, dont elle est la patronne et l’unique actionnaire, a pris en main toute la communication qu’elle a facturée au candidat. Mais Sophia Chikirou n’était pas un prestataire comme les autres puisqu’elle occupait aussi la fonction de directrice de communication de la campagne. C’est-à-dire à la fois prestataire d’une campagne dont elle était aussi une dirigeante.

    Sur l’ensemble de la campagne, son entreprise a livré pour 1,161 million d’euros de prestations de communication, soit plus de 10 % du coût total de la campagne de Jean-Luc Mélenchon, réparties en deux grosses factures de plusieurs pages, adressées à LFI fin 2016 et au printemps 2017.

    Au cours de son examen, la Commission nationale des comptes de campagne (CNCCFP) avait contesté quelques prestations vendues par Mediascop et facturées au-dessus de sa « grille tarifaire » pour un surcoût estimé de 35 000 euros. Mais les factures rédigées par Sophia Chikirou ont depuis soulevé de nouvelles questions.

    Dans une enquête publiée ce vendredi matin 19 octobre, la cellule investigation de Radio France a pointé plusieurs lignes de dépenses originales, comme le sous-titrage de vidéos de campagne, facturé 200 euros par minute à l’association de financement. Le travail personnel de Sophia Chikirou aurait été valorisé à « près de 120 000 euros sur les factures de Mediascop », soit 15 000 euros mensuels en moyenne pour huit mois de campagne, a calculé Radio France. Les autres salariés de la campagne étaient bien moins rémunérés.

    En mars dernier, à l’occasion de nos premières recherches sur les facturations de Mediascop, Manuel Bompard, le directeur de la campagne présidentielle, nous avait déclaré ne pas connaître les marges dégagées par ce «  prestataire extérieur », qui se trouvait être pourtant l’une de ses principales collègues au quotidien à l’intérieur du mouvement…

    Au lendemain de la campagne présidentielle, Sophia Chikirou se lance dans un nouveau projet : la création d’une webtélé « humaniste, antiraciste, écologiste et féministe ». En janvier 2018, La France insoumise avait invité par mail ses quelque 500 000 soutiens à appuyer « l’appel de Sophia Chikirou ».

    Mais le 4 juillet 2018, sept mois seulement après le lancement de ce nouveau média financé par les dons de milliers de particuliers, Sophia Chikirou quitte le navire dans un contexte de crise sociale, éditoriale et financière. La webtélé est en difficulté financière et une pétition circule en interne contre le modèle de gouvernance de la communicante, qui prend finalement les devants en annonçant son départ auprès de Jean-Luc Mélenchon pour les élections européennes de 2019.

    Un mois plus tard, la nouvelle direction du Média conteste la gestion financière de Sophia Chikirou et bloque un virement de 67 146 euros vers Mediascop. Dans les colonnes de Mediapart, la journaliste Aude Lancelin interprète la manœuvre « comme une volonté de tuer le Média » alors que Chikirou défend la réalité des prestations. Les deux camps menacent de saisir les tribunaux.

    https://www.mediapart.fr/journal/france/191018/les-premieres-decouvertes-des-perquisitions-melenchon




  • 2 votes
    BA 21 octobre 2018 12:13

    Une histoire d’amour, une histoire de sexe, une histoire de 1,2 million d’euros.


    C’est ça, le scandale MEDIASCOP.


    C’est l’histoire d’une femme, Sophia Chikirou, qui pompait, qui pompait, qui pompait l’argent des cotisations des adhérents de La France Insoumise.


    A quoi servait l’argent des cotisations des adhérents de La France Insoumise ?


    Réponse :


    L’argent des cotisations des adhérents de La France Insoumise servait à enrichir Sophia Chikirou, la maîtresse de Jean-Luc Mélenchon.


    Le parti La France Insoumise a versé 1,2 million d’euros à l’entreprise MEDIASCOP, qui appartient à Sophia Chikirou ! 1,2 million d’euros ! Merci pour elle, les cocus !


    Quelle ne fut pas la surprise des enquêteurs quand ce 16 octobre, au petit matin – il était 7 heures –, ils ont découvert Sophia Chikirou au domicile personnel de Jean-Luc Mélenchon.


    Le patron de La France insoumise et la communicante entretiennent en réalité de longue date, selon nos informations, une relation extra-professionnelle. Celle-ci pourrait relever de la seule vie privée des deux intéressés mais prend désormais, à la lueur des investigations judiciaires, une dimension d’intérêt général.


    De fait, si l’enquête devait confirmer le soupçon qui a présidé à son ouverture, cela signifierait que les sommes incriminées perçues par Mme Chikirou l’auraient été à l’occasion d’une campagne présidentielle dirigée par un homme politique avec lequel elle partage une relation intime régulière.


    Sollicités à plusieurs reprises par Mediapart, ni Jean-Luc Mélenchon (entendu par les enquêteurs le 17 octobre) ni Sophia Chikirou (entendue ce 19 octobre) n’ont donné suite. Interrogé ce vendredi durant une conférence de presse sur la nature de sa relation avec Mme Chikirou, Jean-Luc Mélenchon a toutefois répondu : « Excellentes, monsieur. »


    Avant d’ajouter : « Si vous voulez faire remarquer qu’elle est une femme et que je suis un homme et que, peut-être, cela pourrait entendre [sic] quelque chose, je vous rappelle quel est mon statut [d’état civil]. Vous le connaissez ? » Il a précisé lui-même qu’il était officiellement célibataire, qualifiant les questions de la presse sur ce sujet d’« insidieuses ». 


    Que ce soit à La France insoumise ou au sein du Média, organe audiovisuel soutenu par les Insoumis qu’elle a fondé puis dirigé avant qu’une crise interne n’éclate notamment sur fond de soupçons financiers, Sophia Chikirou est devenue ces dernières années un rouage central de la stratégie politique de Jean-Luc Mélenchon. Mais aussi un tabou en interne du fait de sa relation particulière avec lui.


    Ancienne militante fabiusienne passée chez Jean-Marie Bockel, ex-socialiste devenu secrétaire d’État de Nicolas Sarkozy, Sophia Chikirou avait soutenu la « volonté de réforme » de l’ancien chef de l’État en 2007. En 2012, elle est devenue chargée des relations avec la presse de Jean-Luc Mélenchon, puis a effectué des missions en Équateur et observé la campagne de Bernie Sanders aux États-Unis, avant de revenir au cœur de la stratégie de La France insoumise pour 2017.


    Pour cette nouvelle campagne, sa société Mediascop, dont elle est la patronne et l’unique actionnaire, a pris en main toute la communication qu’elle a facturée au candidat. Mais Sophia Chikirou n’était pas un prestataire comme les autres puisqu’elle occupait aussi la fonction de directrice de communication de la campagne. C’est-à-dire à la fois prestataire d’une campagne dont elle était aussi une dirigeante.


    Sur l’ensemble de la campagne, son entreprise a livré pour 1,161 million d’euros de prestations de communication, soit plus de 10 % du coût total de la campagne de Jean-Luc Mélenchon, réparties en deux grosses factures de plusieurs pages, adressées à LFI fin 2016 et au printemps 2017.


    Au cours de son examen, la Commission nationale des comptes de campagne (CNCCFP) avait contesté quelques prestations vendues par Mediascop et facturées au-dessus de sa « grille tarifaire » pour un surcoût estimé de 35 000 euros. Mais les factures rédigées par Sophia Chikirou ont depuis soulevé de nouvelles questions.


    Dans une enquête publiée ce vendredi matin 19 octobre, la cellule investigation de Radio France a pointé plusieurs lignes de dépenses originales, comme le sous-titrage de vidéos de campagne, facturé 200 euros par minute à l’association de financement. Le travail personnel de Sophia Chikirou aurait été valorisé à « près de 120 000 euros sur les factures de Mediascop », soit 15 000 euros mensuels en moyenne pour huit mois de campagne, a calculé Radio France. Les autres salariés de la campagne étaient bien moins rémunérés.


    En mars dernier, à l’occasion de nos premières recherches sur les facturations de Mediascop, Manuel Bompard, le directeur de la campagne présidentielle, nous avait déclaré ne pas connaître les marges dégagées par ce « prestataire extérieur », qui se trouvait être pourtant l’une de ses principales collègues au quotidien à l’intérieur du mouvement…


    Au lendemain de la campagne présidentielle, la communicante se lance dans un nouveau projet : la création d’une webtélé « humaniste, antiraciste, écologiste et féministe ». En janvier 2018, La France insoumise avait invité par mail ses quelque 500 000 soutiens à appuyer « l’appel de Sophia Chikirou ».


    Mais le 4 juillet 2018, sept mois seulement après le lancement de ce nouveau média financé par les dons de milliers de particuliers, Sophia Chikirou quitte le navire dans un contexte de crise sociale, éditoriale et financière. La webtélé est en difficulté financière et une pétition circule en interne contre le modèle de gouvernance de la communicante, qui prend finalement les devants en annonçant son départ auprès de Jean-Luc Mélenchon pour les élections européennes de 2019.


    Un mois plus tard, la nouvelle direction du Média conteste la gestion financière de Sophia Chikirou et bloque un virement de 67 146 euros vers Mediascop. Dans les colonnes de Mediapart, la journaliste Aude Lancelin interprète la manœuvre « comme une volonté de tuer le Média » alors que Chikirou défend la réalité des prestations. Les deux camps menacent de saisir les tribunaux.


    https://www.mediapart.fr/journal/france/191018/les-premieres-decouvertes-des-perquisitions-melenchon?utm_source=article_offert&utm_medium=email&utm_campaign=TRANSAC&utm_content=&utm_term=&xtor=EPR-1013-%5Barticle-offert%5D&M_BT=103913059548




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    BA 20 octobre 2018 21:44

    A quoi servait l’argent des cotisations des adhérents de La France Insoumise ?


    Réponse :


    L’argent des cotisations des adhérents de La France Insoumise servait à enrichir Sophia Chikirou, la maîtresse de Jean-Luc Mélenchon.


    Le parti La France Insoumise a versé 1,2 million d’euros à l’entreprise MEDIASCOP, qui appartient à Sophia Chikirou ! 1,2 million d’euros ! Merci pour elle, les cocus !


    "Agression" et "ignominie"  : Mélenchon s’en prend à Mediapart, qui révèle sa "relation extra-professionnelle" avec sa conseillère Sophia Chikirou.


    Dans une enquête publiée vendredi soir, Mediapart affirme que le leader de La France insoumise entretient une relation avec la dirigeante de Mediascop, société au cœur de l’enquête sur les comptes de campagne de Jean-Luc Mélenchon.


    Que révèle Mediapart ? L’article fait état des "premières découvertes des perquisitions Mélenchon". Quand les policiers sont arrivés au domicile personnel de Jean-Luc Mélenchon, mardi 16 octobre, à 7 heures, ils y ont découvert Sophia Chikirou, conseillère en communication de ce dernier et dirigeante de la société de conseil Mediascop, au cœur de l’enquête sur les comptes de campagne de La France insoumise lors de la présidentielle.


    "Le patron de La France insoumise et la communicante entretiennent en réalité de longue date, selon nos informations, une relation extra-professionnelle", indique Mediapart.


    "Celle-ci pourrait relever de la seule vie privée des deux intéressés mais prend désormais, à la lueur des investigations judiciaires, une dimension d’intérêt général", précise le site d’information.


    Mediapart enfonce le clou : "Si l’enquête devait confirmer le soupçon qui a présidé à son ouverture, cela signifierait que les sommes incriminées perçues par madame Chikirou l’auraient été à l’occasion d’une campagne présidentielle dirigée par un homme politique avec lequel elle partage une relation intime régulière."


    Dans une enquête publiée vendredi, franceinfo est revenu sur ce dossier en évoquant des facturations de Mediascop "très élevées", pour un montant total de près de 1,2 million d’euros, "soit 11% du budget total de la campagne".


    https://www.francetvinfo.fr/politique/la-france-insoumise/melenchon-denonce-l-agression-et-l-ignominie-de-mediapart-qui-revele-sa-relation-extra-professionnelle-avec-sa-conseillere-sophia-chikirou_2995367.html




  • 1 vote
    BA 20 octobre 2018 17:52

    Pourquoi La France Insoumise a-t-elle versé 1,2 million d’euros à l’entreprise MEDIASCOP, qui appartient à Sophia Chikirou ?


    Réponse :


    "Agression" et "ignominie"  : Mélenchon s’en prend à Mediapart, qui révèle sa "relation extra-professionnelle" avec sa conseillère Sophia Chikirou.


    Dans une enquête publiée vendredi soir, Mediapart affirme que le leader de La France insoumise entretient une relation avec la dirigeante de Mediascop, société au cœur de l’enquête sur les comptes de campagne de Jean-Luc Mélenchon.


    Que révèle Mediapart ? L’article fait état des "premières découvertes des perquisitions Mélenchon". Quand les policiers sont arrivés au domicile personnel de Jean-Luc Mélenchon, mardi 16 octobre, à 7 heures, ils y ont découvert Sophia Chikirou, conseillère en communication de ce dernier et dirigeante de la société de conseil Mediascop, au cœur de l’enquête sur les comptes de campagne de La France insoumise lors de la présidentielle.


    "Le patron de La France insoumise et la communicante entretiennent en réalité de longue date, selon nos informations, une relation extra-professionnelle", indique Mediapart.


    "Celle-ci pourrait relever de la seule vie privée des deux intéressés mais prend désormais, à la lueur des investigations judiciaires, une dimension d’intérêt général", précise le site d’information.


    Mediapart enfonce le clou : "Si l’enquête devait confirmer le soupçon qui a présidé à son ouverture, cela signifierait que les sommes incriminées perçues par madame Chikirou l’auraient été à l’occasion d’une campagne présidentielle dirigée par un homme politique avec lequel elle partage une relation intime régulière."


    Dans une enquête publiée vendredi, franceinfo est revenu sur ce dossier en évoquant des facturations de Mediascop "très élevées", pour un montant total de près de 1,2 million d’euros, "soit 11% du budget total de la campagne".


    https://www.francetvinfo.fr/politique/la-france-insoumise/melenchon-denonce-l-agression-et-l-ignominie-de-mediapart-qui-revele-sa-relation-extra-professionnelle-avec-sa-conseillere-sophia-chikirou_2995367.html




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    BA 20 octobre 2018 17:49

    Pourquoi La France Insoumise a-t-elle versé 1,2 million d’euros à l’entreprise MEDIASCOP, qui appartient à Sophia Chikirou ?


    Réponse :


    "Agression" et "ignominie"  : Mélenchon s’en prend à Mediapart, qui révèle sa "relation extra-professionnelle" avec sa conseillère Sophia Chikirou.


    Dans une enquête publiée vendredi soir, Mediapart affirme que le leader de La France insoumise entretient une relation avec la dirigeante de Mediascop, société au cœur de l’enquête sur les comptes de campagne de Jean-Luc Mélenchon.


    Que révèle Mediapart ? L’article fait état des "premières découvertes des perquisitions Mélenchon". Quand les policiers sont arrivés au domicile personnel de Jean-Luc Mélenchon, mardi 16 octobre, à 7 heures, ils y ont découvert Sophia Chikirou, conseillère en communication de ce dernier et dirigeante de la société de conseil Mediascop, au cœur de l’enquête sur les comptes de campagne de La France insoumise lors de la présidentielle.


    "Le patron de La France insoumise et la communicante entretiennent en réalité de longue date, selon nos informations, une relation extra-professionnelle", indique Mediapart.


    "Celle-ci pourrait relever de la seule vie privée des deux intéressés mais prend désormais, à la lueur des investigations judiciaires, une dimension d’intérêt général", précise le site d’information.


    Mediapart enfonce le clou : "Si l’enquête devait confirmer le soupçon qui a présidé à son ouverture, cela signifierait que les sommes incriminées perçues par madame Chikirou l’auraient été à l’occasion d’une campagne présidentielle dirigée par un homme politique avec lequel elle partage une relation intime régulière."


    Dans une enquête publiée vendredi, franceinfo est revenu sur ce dossier en évoquant des facturations de Mediascop "très élevées", pour un montant total de près de 1,2 million d’euros, "soit 11% du budget total de la campagne".


    https://www.francetvinfo.fr/politique/la-france-insoumise/melenchon-denonce-l-agression-et-l-ignominie-de-mediapart-qui-revele-sa-relation-extra-professionnelle-avec-sa-conseillere-sophia-chikirou_2995367.html




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    BA 16 octobre 2018 17:06

    En 2016, le président de la République François Hollande a accordé des dizaines d’heures d’entretiens aux journalistes Gérard Davet et Fabrice Lhomme. Leurs dialogues ont été enregistrés et ensuite publiés en octobre 2016 dans le livre « Un président ne devrait pas dire ça ».


    La phrase la plus importante prononcée par le président de la République François Hollande est à la page 592 :


    « Comment on peut faire que la France vive ensemble, comment on peut redonner un lien entre tous les Français, comment on peut éviter la partition ? Car c’est quand même ça qui est en train de se produire : la partition. »


    https://www.amazon.fr/pr%C3%A9sident-devrait-pas-dire-%C3%A7a/dp/2757866982/ref=sr_1_1?s=books&ie=UTF8&qid=1521562069&sr=1-1&keywords=un+president+ne+devrait+pas+dire+ca




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    BA 13 octobre 2018 07:27

    En mai 1974, les électeurs français votent pour Valéry Giscard d’Estaing. C’est le début d’une nouvelle période de l’histoire de France : « les Cinquante Décadentes ».


    Depuis mai 1974, tous les présidents de la République et tous les premiers ministres détruisent la France. Leur politique est fondée sur trois priorités :


    1- la construction européenne

    2- la destruction des frontières nationales

    3- le regroupement familial.


    44 ans plus tard, Valéry Giscard d’Estaing commence à comprendre.


    Regroupement familial : le plus grand regret de Valéry Giscard d’Estaing.


    L’ancien président de la République s’est confié au biographe Éric Roussel sur sa vie d’homme politique. On y découvre ce qu’il considère comme étant sa plus grande erreur de président.


    600 pages consacrées à la vie politique de Valéry Giscard d’Estaing seront publiées dès mercredi 10 octobre dans les librairies de France. À la tête de cet ouvrage publié aux éditions de l’Observatoire, le journaliste Éric Roussel. Il a passé près de 20 heures à écouter l’ancien président lui parler de ses années à la tête du pays. Entre deux joyeux souvenirs, il a abordé son plus grand regret. D’après Le Point qui a consulté les bonnes pages de la biographie, il s’agirait du regroupement familial. Il a été décidé en 1976 par Jacques Chirac par un simple décret.



    À ce moment-là, l’idée de réunir les membres d’une famille d’immigrés paraissait naturelle. Mais à l’heure où l’immigration explose dans le pays, elle pose question. Avec le recul, Valéry Giscard d’Estaing lui-même regrette cette initiative.


    « L’idée en soi était juste et généreuse […] Mais elle a été mal appliquée, et j’ai eu le tort de ne pas plus surveiller l’application ; j’en ai donc la responsabilité […] Nous visions le noyau familial tel que nous le connaissons et nous avons vu arriver des noyaux familiaux totalement différents », a-t-il ainsi déclaré.


    http://www.valeursactuelles.com/politique/regroupement-familial-le-plus-grand-regret-de-valery-giscard-destaing-99651



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    BA 23 septembre 2018 12:35

    Hapsatou Sy doit 350 000 euros au trésor public. 350 000 euros d’impôts impayés !


    Ce qu’omet de préciser Hapsatou Sy, c’est qu’elle est en proie à de graves difficultés financières. Comme l’a révélé Thierry Ardisson sur le plateau de Jean-Marc Morandini mardi matin, il lui a avancé 6 émissions après que la production de « Salut les terriens » a reçu des impôts une demande de saisie à la source sur les salaires de Hapsatou Sy. Mais cette somme gracieusement accordée ne saurait suffire à couvrir la somme que réclame le trésor public à la chroniqueuse de C8 pour ses impayés : 350 000 euros. Aujourd’hui, drapée dans sa posture de victime, Hapsatou Sy semble prête à l’affrontement avec ses producteurs et sa chaîne. Chercherait-elle à monnayer son silence, pour se remettre à flot ? De la victimisation au chantage, il n’y a qu’un pas.


    https://www.valeursactuelles.com/societe/info-va-victimisation-lucratif-comment-hapsatou-sy-premedite-son-clash-avec-eric-zemmour-99167




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    BA 23 septembre 2018 06:57

    Hapsatou Sy doit 350 000 euros au trésor public. 350 000 euros d’impôts impayés !


    Ce qu’omet de préciser Hapsatou Sy, c’est qu’elle est en proie à de graves difficultés financières. Comme l’a révélé Thierry Ardisson sur le plateau de Jean-Marc Morandini mardi matin, il lui a avancé 6 émissions après que la production de « Salut les terriens » a reçu des impôts une demande de saisie à la source sur les salaires de Hapsatou Sy. Mais cette somme gracieusement accordée ne saurait suffire à couvrir la somme que réclame le trésor public à la chroniqueuse de C8 pour ses impayés : 350 000 euros. Aujourd’hui, drapée dans sa posture de victime, Hapsatou Sy semble prête à l’affrontement avec ses producteurs et sa chaîne. Chercherait-elle à monnayer son silence, pour se remettre à flot ? De la victimisation au chantage, il n’y a qu’un pas.


    https://www.valeursactuelles.com/societe/info-va-victimisation-lucratif-comment-hapsatou-sy-premedite-son-clash-avec-eric-zemmour-99167




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    BA 23 septembre 2018 06:53

    Hapsatou Sy doit 350 000 euros au trésor public. 350 000 euros d’impôts impayés !


    Ce qu’omet de préciser Hapsatou Sy, c’est qu’elle est en proie à de graves difficultés financières. Comme l’a révélé Thierry Ardisson sur le plateau de Jean-Marc Morandini mardi matin, il lui a avancé 6 émissions après que la production de « Salut les terriens » a reçu des impôts une demande de saisie à la source sur les salaires de Hapsatou Sy. Mais cette somme gracieusement accordée ne saurait suffire à couvrir la somme que réclame le trésor public à la chroniqueuse de C8 pour ses impayés : 350 000 euros. Aujourd’hui, drapée dans sa posture de victime, Hapsatou Sy semble prête à l’affrontement avec ses producteurs et sa chaîne. Chercherait-elle à monnayer son silence, pour se remettre à flot ? De la victimisation au chantage, il n’y a qu’un pas.


    https://www.valeursactuelles.com/societe/info-va-victimisation-lucratif-comment-hapsatou-sy-premedite-son-clash-avec-eric-zemmour-99167




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    BA 23 septembre 2018 06:52

    Le 23 juin 2016, le peuple britannique vote « oui » à la sortie de l’Union Européenne.


    Depuis le 23 juin 2016, c’est le bordel. Le premier ministre britannique David Cameron a démissionné. Les ministres britanniques démissionnent les uns après les autres : David Davis, Boris Johnson. Les négociations sont hyper-tendues avec l’Union Européenne, qui ne veut rien céder. On se dirige tout droit vers un « hard brexit ».


    Conclusion :


    La France ne devra pas s’engager dans une procédure « article 50 » comme l’a fait le Royaume-Uni. La France devra sortir de l’Union Européenne de façon brutale, unilatérale, non-négociée.


    Ensuite, la France ne devra pas gaspiller son énergie à négocier pendant deux ans les détails pratiques de sa sortie. Elle devra décider en toute liberté, en toute souveraineté, à propos de ses futures relations avec les autres nations européennes, à propos des droits de douane, à propos des contrôles à ses frontières nationales, etc.





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    BA 15 septembre 2018 09:55

    L’économie, c’est du pipeau.


    Aujourd’hui, l’économie, c’est des bulles de dettes, et rien d’autre.


    Toute l’économie mondiale repose sur de gigantesques bulles de dettes.


    Mais il n’y a pas que la dette publique qui gonfle comme une gigantesque bulle de savon. Il y a aussi la dette privée.


    Aux Etats-Unis, la dette privée atteint des proportions délirantes. Dette immobilière, dette automobile, dette étudiante, dette des cartes de crédit, … la dette privée dépasse les 13 293 milliards de dollars ! Record historique battu !


    Samedi 15 septembre 2018 :


    Dix ans après Lehman Brothers, la dette des ménages américains explose.


    L’endettement des ménages outre-Atlantique dépasse les 13.293 milliards de dollars et ne cesse d’enfler, porté par une économie vigoureuse. Mais une décennie après la crise des subprimes, certains observateurs s’en inquiètent.


    Il y a dix ans éclatait la bulle des crédits immobiliers « subprime », avec pour point culminant la faillite de la banque new-yorkaise Lehman Brothers, précipitant l’économie mondiale dans l’une des pires crises financières de son histoire. Depuis, l’appétit des ménages américains pour le crédit n’a pas diminué, bien au contraire.


    D’après un récent rapport de la Fed de New York, la dette totale des ménages outre-Atlantique a augmenté de 82 milliards de dollars au deuxième trimestre pour atteindre 13.293 milliards. Un niveau qui se situe au-dessus du précédent sommet de 12.680 milliards de dollars enregistré…au troisième trimestre 2008.


    Cette situation, qui semble logique au regard du mode de consommation américain et de la vigueur de l’économie outre-Atlantique, inquiète toutefois certains observateurs qui voient se former des bulles susceptibles d’exploser. Explications.


    La dette immobilière


    L’immobilier avait été le point de départ de la crise de 2008. L’effondrement des prix dans ce secteur, couplé à une remontée des taux directeurs, avait poussé les ménages fragiles au défaut sur leur crédit hypothécaire. La dévalorisation des actifs adossés à ces prêts immobiliers à risque avait ensuite plombé les comptes des banques, précipitant la plupart des économies mondiales dans une crise profonde. Aujourd’hui, la dette immobilière des ménages américains est plus élevée que jamais, à 9000 milliards de dollars. Mais le danger semble écarté, selon la Fed. Le taux de défaillance des prêts hypothécaires n’atteint plus que 1,1%. « Le marché immobilier s’est assaini depuis la crise de 2008. Les banques sont plus regardantes », explique au Figaro Vincent Juvyns, stratégiste chez JP Morgan AM.


    • La dette automobile


    C’est l’un des postes d’endettement qui inquiète le plus les analystes. Les encours totaux de ces prêts aux États-Unis s’élèvent à 1240 milliards de dollars. Et ils sont en progression constante depuis six ans, constate la Fed. Sur le seul deuxième trimestre, ils ont augmenté de 9 milliards de dollars. « Depuis la crise, il y a eu différents plans pour soutenir le secteur. On a sans doute un peu forcé l’achat, sans être très regardant sur le profil des emprunteurs », note Vincent Juvyns. Des prêts automobiles ont ainsi été octroyés à des ménages peu solvables. Ils portent d’ailleurs un nom : les « subprime auto loans »... Dans une note alarmiste publiée l’an dernier, la Fed constatait que « les prêts subprime sont accordés de façon disproportionnée par les sociétés de financement automobile, et leur part a doublé depuis 2011 ». L’encours de cette dette à risque s’établit maintenant à environ 300 milliards de dollars, soit environ 25% des encours totaux des prêts automobiles. La Fed chiffre à plus de 23 millions le nombre de consommateurs détenant ces emprunts à risque.


    Plus inquiétant encore : ces ménages ont de plus en plus de mal à rembourser leur dette. « Depuis 2011, le taux global de défaillance des prêts consentis par les sociétés de financement automobile s’est considérablement détérioré », déplore la Réserve fédérale. Or, comme pour l’immobilier en 2008, ces prêts à risque sont titrisés et redistribués aux investisseurs à travers divers instruments financiers. Ce qui fait craindre le pire à de nombreux observateurs...« Il s’agit d’un domaine d’endettement des ménages que nous surveillons depuis un certain temps déjà, et que nous continuerons de surveiller », prévient la Fed. « Le danger existe et il est connu des investisseurs. C’est un risque assumé », concède-t-on chez JP Morgan.


    • La dette étudiante


    Emprunter pour étudier constitue la norme pour les Américains. Mais à 1410 milliards de dollars, la dette qu’ils ont contractée à ce jour atteint des sommets de plus en plus inquiétants. Son niveau ne cesse de grimper, tiré vers le haut par des frais d’inscriptions en augmentation. Aujourd’hui, les jeunes actifs américains débutent leur vie avec un crédit d’environ 30.000 dollars à rembourser. Un fardeau dont ils peinent souvent à se débarrasser. Outre-Atlantique, certains retraités n’ont même pas encore fini de rembourser leur prêt étudiant ! La pression est telle que, selon le think-tank, Urban Institute, plus d’un million de détenteurs d’un prêt étudiant font défaut chaque année. Et d’ici 2023, près de 40% de ces emprunteurs seront en défaut de paiement. En mars dernier, Jerôme Powell, patron de la Fed, affirmait que la multiplication de ces défauts pouvait à terme freiner l’économie américaine. Mais pas de quoi déclencher une crise systémique pour autant, assure JP Morgan. « La dette étudiante représente seulement 10% du volume de crédit des ménages. Ce n’est pas assez fort pour déclencher une crise comme en 2008. Mais on peut quand même s’alarmer de sa dimension. Cela ajoute du tourment à une génération déjà en difficulté. Des mesures doivent être prises pour rendre cette dette soutenable », affirme Vincent Juvyns.


    • La dette des cartes de crédit


    Les Américains restent très attachés à leur carte de crédit. L’encours global des dettes qui y sont liées atteint 829 milliards de dollars, un chiffre en progression de 14 milliards sur le seul deuxième trimestre de 2018. Selon une récente étude du comparateur CardHub, les ménages détenteurs de ce type de carte sont en moyenne endettés à hauteur de 8332 dollars. Un niveau jugé « insoutenable ». Le taux de défaut sur cette dette est d’ailleurs en augmentation. « Il y a une détérioration sur ce front, constate Vincent Juvyns, mais il faudrait une récession économique avec un taux de chômage en hausse et des revenus en baisse pour que cela devienne inquiétant. Or, aujourd’hui, c’est l’inverse ».


    Pas de panique mais...


    D’après Vincent Juvyns, l’endettement global des ménages américains ne représenterait à ce stade pas de danger immédiat. « La charge de la dette a baissé avec les taux bas. Et le patrimoine des ménages américains est à un niveau historique. Leur capacité de remboursement est élevée. Dans les prochains mois, nous avons du mal à imaginer qu’il y aura une récession aux États-Unis qui serait susceptible d’inverser cette situation », explique-t-il. Mais il l’admet : « en cas de retournement de cycle, il faudra pouvoir se retourner. Et il faut bien se rendre compte que la dette ne peut pas croître ad vitam aeternam ».


    http://www.lefigaro.fr/conjoncture/2018/09/15/20002-20180915ARTFIG00010-dix-ans-apres-lehman-brothers-la-dette-des-menages-americains-explose.php#xtor=AL-201




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    BA 2 septembre 2018 08:18

    Rien, ni personne, ne peut vaincre la démographie de tout un continent.

    La démographie du continent africain explose. Durant le XXIe siècle, les jeunes hommes du continent africain vont arriver en masse sur le continent européen.

    Rien, ni personne, ne peut vaincre les invasions barbares.

    L’Empire romain a connu ça durant le Ve siècle.

    L’Union Européenne va connaître ça durant le XXIe siècle.

    Rien, ni personne, ne pourra empêcher l’anarchie, le chaos, durant le XXIe siècle.

    Le graphique ci-dessous explique les guerres qui vont arriver chez nous, sur le continent européen :

    L’Afrique tire la croissance démographique mondiale :


    https://www.alternatives-economiques.fr/sites/default/files/public/styles/media_large/public/me dia/demographie3_2.png?itok=l1itvQrP




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    BA 2 septembre 2018 08:17

    Agnès Saal aurait bénéficié d’une seconde promotion dans la plus grande discrétion.


    Nommée haut fonctionnaire du ministère de la Culture courant août, Agnès Saal aurait au passage été élevée à l’échelon spécial d’administrateur général, moyennant une généreuse contrepartie financière, selon Mediapart. 


    Le 30 août, le Bulletin quotidien révélait que l’ex-présidente de l’Institut national de l’audiovisuel (INA) Agnès Saal avait été nommée haute fonctionnaire à l’égalité, la diversité et la prévention des discriminations auprès du secrétaire général du ministère de la Culture. Un poste d’une durée de trois ans qui prend effet ce samedi 1er septembre.


    La nouvelle a depuis fait grand bruit, eu égard au passé sulfureux d’Agnès Saal, suspendue de l’INA en avril 2015 pour ses notes de taxi jugées excessives (50 000 euros) et condamnée à trois mois de prison avec sursis.


    Mais l’histoire ne s’arrêterait pas là, selon Mediapart, qui révèle qu’au passage, elle a été inscrite "à compter du 1er janvier 2018, donc rétroactivement, au tableau d’avancement à l’échelon spécial du grade d’administrateur général". 


    10% d’augmentation


    Or, cette inscription n’est absolument pas automatique et n’accompagne pas tout avancement de cet ordre dans la fonction publique. Elle relèverait au contraire d’une décision de l’employeur du fonctionnaire en question : en l’occurrence, le ministère de la Culture. 


    Le fonctionnaire qui en bénéficie atteint le sommet de l’échelon D de la fonction publique, juste en-dessous du stade le plus élevé, le E, réservé aux inspecteurs des finances. Et récolterait, aussi, une généreuse contrepartie financière, équivalant à environ 10 % du traitement annuel du fonctionnaire mais aussi de ses indemnités retraite, selon Mediapart. 


    https://www.bfmtv.com/politique/agnes-saal-aurait-beneficie-d-une-seconde-promotion-dans-la-plus-grande-discretion-1515692.html





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    BA 24 août 2018 09:58

    Rien, ni personne, ne peut vaincre la démographie de tout un continent.

    La démographie du continent africain explose. Durant le XXIe siècle, les jeunes hommes du continent africain vont arriver en masse sur le continent européen.

    Rien, ni personne, ne peut vaincre les invasions barbares.

    L’Empire romain a connu ça durant le Ve siècle.

    L’Union Européenne va connaître ça durant le XXIe siècle.

    Rien, ni personne, ne pourra empêcher l’anarchie, le chaos, durant le XXIe siècle.

    Le graphique ci-dessous explique les guerres qui vont arriver chez nous, sur le continent européen :


    https://www.alternatives-economiques.fr/sites/default/files/public/styles/media_large/public/me dia/demographie3_2.png?itok=l1itvQrP